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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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horreur

Publié à 18:47 par fandeloup Tags : mer internet sur saint société
horreur

Le meurtre de deux orques devant des touristes pourrait mettre fin à la pêche à la baleine dans les États insulaires

Deux orques harponnées devant un groupe d’observateurs de baleines attirent l’attention sur la pratique controversée de la chasse à la baleine à Saint-Vincent.

 Quelques instants avant que cela ne commence, Ken Isaacs, un membre d'équipage d'un navire d'observation de baleines, s'est rendu compte que les touristes à bord de son bateau étaient sur le point d'être témoins de quelque chose de terrible.

En parcourant les eaux libres autour de la petite île des Caraïbes de Saint-Vincent, l'équipage a repéré un groupe de quatre orques, également appelées « baleines tueuses », sautant hors de l'eau.

Alors que les touristes se réjouissaient de voir des orques à l'état sauvage, Isaacs s'est mis à vociférer contre trois pêcheurs qui approchaient à bord une petite embarcation. Isaacs avait remarqué le fusil à harpon fixé sur le pont. Ignorant les requêtes d'Isaacs, les pêcheurs se sont rapprochés du groupe d'orques.

Le groupe de 40 touristes a entendu un bruit comme celui d'une explosion. Une des orques du groupe venait de se faire harponner juste devant leurs yeux. Puis rapidement, une autre connaissait le même sort. Selon le récit d'Isaacs, dont le témoignage est rapporté par le site d'informations Caribbean 360, le groupe de touristes aurait regagné la terre dans un état de choc, avec de nombreux convives en pleurs.

Fantasea Tours, le tour-opérateur à l'origine de cette excursion consacrée à l'observation des baleines, aurait suspendu ses visites. La chasse à la baleine, qui est une activité à la fois traditionnelle et commerciale, est une question complexe pour cette petite île du sud des Antilles, située juste au nord du Venezuela. Officiellement appelée Saint-Vincent-et-les-Grenadines, il s'agit d'un pays membre volontaire de la Commission baleinière internationale (CBI).

Conformément aux stipulations énoncées par l'agence internationale, la chasse à la baleine est autorisée lorsque celle-ci est pratiquée par les « populations indigènes pour satisfaire des besoins liés à la survie, » d'après le site internet de l'organisation. La nation, qui est autorisée à abattre quatre baleines chaque année, en aurait abattu six depuis 2015.

Désormais, le journal local Antigua Observer évoque un effort renouvelé pour interdire la chasse à la baleine dans les eaux contrôlées par l'île. Lors d'une interview dans un journal télévisé local, le Premier ministre de Saint-Vincent, Ralph Gonsalves, a plaidé pour une interdiction totale de la chasse à la baleine, sans entacher une pratique traditionnelle et culturelle.

« Ce qu'ils ont fait, et je tiens à le souligner, ce qu'ils ont fait était tout simplement inacceptable. Pas seulement parce que cela s'est passé devant les touristes, mais parce qu'ils ne doivet pas tuer les orques, » a déclaré Gonsalves. Il a souligné que les pêcheurs étaient « des travailleurs acharnés » mais a ajouté plus tard que « la cupidité a eu raison d'eux. »

Gonsavles affirme désormais qu'il présentera un projet de loi, à Saint-Vincent, visant à empêcher le massacre des baleines, une mesure législative similaire à celles des protections locales mises en place pour les tortues marines. L'indemnisation de chasse à la baleine instaurée par la Commission baleinière internationale est limitée : les pays qui signent l'accord reçoivent des allocations pour les groupes autochtones pour lesquels la chasse à la baleine représente un des principaux moyens de subsistance.

Outre les populations de Bequia à Saint-Vincent, les groupes autochtones du Groenland, de la Russie et de l'Alaska bénéficient chacun d'un quota de capture de baleines dans un délais déterminé de cinq ans. Sue Fisher, consultante auprès de la Whale and Dolphin Conservation Society (en français « Société pour la conservation des baleines et des dauphins »), affirme que les indemnités légales pour la chasse à la baleine à Saint-Vincent sont aberrantes, puisque la plupart des autres pays sont près de l'Arctique.

Elle considère la pratique de la chasse à la baleine comme une négligence de la CBI, affirmant que l'île était à l'origine une base pour les pratiques commerciales de chasse à la baleine menées par des entreprises aux États-Unis. « La chasse à la baleine était pour les États-Unis une opération commerciale, » explique Fisher. La chasse à la baleine menée par les populations de Bequia (prononcé beck-way) à Saint-Vincent est une tradition qui remonte à environ 140 ans.

La pratique aurait été transmise aux habitants de l'île par un immigré écossais du nom de William Wallace, qui avait créé une entreprise baleinière. Après que les entreprises de chasse commerciale à la baleine ont quitté l'île, l'activité a été maintenue par quelques-uns. Cela signifie qu'elle ne devrait pas être considérée comme une véritable pratique culturelle, selon Fisher.

Les défenseurs d'une interdiction totale sur l'île soutiennent également que la technologie émergente ne signifie plus que les baleines sont la seule forme de subsistance pour les populations autochtones. Certains des anciens chasseurs de baleines de l'île se sont tournés vers le tourisme consacré à l'observation des baleines, une méthode alternative pour tirer profit des orques.

En 2018, afin de poursuivre des pratiques de chasse à la baleine légales, Saint Vincent devra présenter à la CBI un énoncé des besoins lorsque son permis de chasse à la baleine viendra à expiration. Selon Fisher, l'île ne le fera pas car elle bénéficie davantage de ses activités touristiques que de la chasse à la baleine. Dans un entretien publié en 2014 dans le quotidien Miami Herald, Gaston Bess, un ancien pêcheur, se rappelle avoir été déplacé pour abandonner l'activité quand des orques ont été observées au large de la côte de la République dominicaine :

« j'avais beau avoir été parmi elles, les avoir attaquées et regardées mourir, désormais je regardais leur ballet, caressais leur progéniture. » Alors que l'incident a été un choc pour les touristes en mer, Saint-Vincent chasse désormais une quantité relativement faible de baleines chaque année. Un rapport du Service de recherche du Congrès états-unien a révélé que, parmi les pays pour lesquels la CBI permet une exemption de chasse, la chasse menée à Saint-Vincent se compte en chiffre, tandis que 51, 128 et 203 baleines ont été tuées respectivement aux États-Unis, en Russie et au Groenland en 2012.

Le plus grand nombre de baleines tuées chaque année a lieu, de loin, en Norvège, qui chasse en s'opposant frontalement à la CBI, ainsi que le Japon qui soutient que sa chasse à la baleine est au service de la recherche scientifique.

bte

Publié à 17:46 par fandeloup

trafic

Publié à 17:41 par fandeloup Tags : vie chez france animaux animal chien sur jardin voiture chiens
trafic

La terrible réalité du trafic de chiens en France…

Le trafic de chiens est une bien triste réalité qui existe bel et bien dans notre pays. En France, le trafic est en effet particulièrement important, et les chiens sont les premières victimes de cette terrible manœuvre.

Comment l’éviter ? De quoi parle-t-on exactement ?

Nous vous expliquons tout en détails…

 

 

LES VOLEURS DE CHIENS

Les trafiquants sont souvent prêts à tout pour récupérer des chiens, afin de les revendre et de gagner de l’argent. Comment se procure-t-il les animaux ? Et bien souvent, ils les volent. Un chien attaché devant une boulangerie, attendant sagement son maître… Un animal resté seul dans la voiture quelques minutes le temps que son maître fasse une course… Un chien qui passe du bon temps dans un grand jardin, sans surveillance… Les situations sont extrêmement diverses et nombreuses. Tout est bon pour le vol des animaux . Le vol est rapide, silencieux, et se déroule toujours dans les lieux où les animaux sont laissés sans surveillance. Il faut moins d’une minute au malfaiteurs pour voler un chien. Et en France, on parle de 70 000 chiens par an qui sont tristement volés.

 

 

LES CHIENS DE LABORATOIRE

Souvent, les personnes qui ont fait tatouer ou pucer leur chien se croient en sécurité. Mais en réalité, l’identification de l’animal n’empêche pas le vol. Et surtout, il n’empêche pas la disparition définitive de l’animal. Mais alors où vont les chiens volés ? Il semble que la plupart des animaux volés finissent dans des laboratoires, à l’étranger. Ils sont vendus au poids, et utilisés dans les laboratoires. Ils deviennent des animaux testeurs, jusqu’à ce qu’ils décèdent, parfois dans des souffrances terribles.

 

 

LES CHIENS REPRODUCTEURS

D’autres deviennent reproducteurs dans des élevages clandestins. Les trafiquants repèrent des chiens de race, les volent, et créent un élevage. Souvent, les animaux partent alors dans les pays de l’est de l’Europe, et ils ne sont pas toujours bien traités. D’ailleurs, il a été constaté, par des associations œuvrant pour le bien-être des animaux , que ces chiens finissent souvent par mourir de froid, de maladie ou encore d’épuisement. Les portées sont alors renvoyées en France, souvent dans les animaleries. Il faut savoir que les chiots provenant des élevages clandestins portent la mention « type X » à la mention « race » sur les papiers officiels. C’est toujours bien de la savoir, au cas où vous achèteriez un chiot…

 

LES CHIENS À FOURRURE

Autre possibilité pour les chiens volés… terminer dans l’industrie de la fourrure. Certaines races de canidés sont plus recherchées que d’autres. Les animaux sont envoyés dans les pays dans lesquels l’industrie de la fourrure est autorisée. Les animaux sont froidement abattus, et dépecés pour leur fourrure, qui est ensuite utilisée pour fabriquer des vêtements… Il existe aussi certains chiens qui sont volé pour les besoins de combat de chiens. L’animal est sauvagement battu afin qu’il devienne agressif, et qu’il combatte, sous le regard de son bourreau qui gagne de l’argent en cas de victoire. La vie du chien qui a été volé à son propriétaire devient un enfer de souffrance… Une vie que personne ne mérite.

 

LES DEMANDES DE RANÇON

Les voleurs qui ne sont pas bien organisés peuvent demander une rançon à leur propriétaire. Cette pratique est peu courante en France, mais elle existe tout de même. Le plus gros problème, c’est que malheureusement, bien souvent, les trafiquants jouent sur les deux tableaux. C’est-à-dire que le chien est parti dans un élevage clandestin, dans l’industrie de la fourrure… mais que les propriétaires paient la rançon. Et ne revoient jamais leur animal si cher à leur cœur… C’est une véritable arnaque.

 

LES IMPORTATIONS ILLÉGALES DE CHIENS

Les importations illégales de chiens sont également un véritable problème. Souvent, les animaux viennent des pays de l’est. Il faut savoir que chaque année, les chiots de race sont très demandés dans notre pays. On compte environ 600 000 demandes. Et les producteurs français ne peuvent en proposer que 250 000. Pour pallier à la demande, il faut donc trouver 350 000 chiots. Et souvent, ils proviennent de ce qu’on appelle les usines à chiots des pays de l’est. Les bébés chiens sont élevés dans des conditions atroces, en Slovaquie, en Roumanie, ou encore en Bulgarie.

Les trafiquants font naître les chiots, et exportent les bébés, quels que soient leur état de santé. Parfois même, ils ne sont pas de pure race. Mais peu importe, ils trouvent toujours preneur chez nous ! Le problème, c’est que parfois, les femelles enchaînent les portées. Pour être rentables au maximum. Et elles meurent d’épuisement. Peu importe, elles sont vite remplacées…

L’essentiel c’est de proposer assez de chiots, et de répondre à la demande des Français qui veulent absolument des chiots. Ces bébés sont parfois malades, ont des malformations physiques. Et surtout, ils sont émotionnellement très fragiles car ils sont séparés de leur mère bien trop tôt. Sans compter qu’ils sont transportés à la va-vite, dans des camionnettes, entassés durant des heures… On fabrique donc des animaux qui seront instables toute leur vie. Mais cette réalité, le futur propriétaire ne la connaît évidemment pas ! C’est d’ailleurs pour cette raison que beaucoup de chiots finissent chez les vétérinaires avec des pathologies lourdes, juste après leur acquisition par un propriétaire qui n’a pas compris à quoi il avait à faire. Comment est-ce possible de ne pas s’en rendre compte ? Et bien tout simplement parce que le trafic est efficace, et que bien souvent, le mensonge est à la base de tout ! On ment par exemple sur l’âge du chien…

 

QUE FAUT-IL FAIRE ?

Il faut donc être vigilant. Quand on a un chien, il ne faut jamais le laisser seul, et essayer de le surveiller régulièrement, pour éviter qu’il ne soit volé. On constate que les vols de chiens sont concentrés sur la région parisienne, la Haute-Garonne, les Pyrénées, l’Ariège et la Savoie. Lorsque votre animal disparaît, il faut immédiatement signaler la disparition à la gendarmerie afin que les forces de l’ordre soient vigilantes au moindre signe de trafic. Enfin, lorsque vous adoptez un chiot, il faut essayer de se renseigner au maximum sur sa naissance, sa vie avec sa mère, son état de santé… pour éviter les très mauvaises surprises qui peuvent être véritablement handicapantes, tant pour l’animal que pour le propriétaire. Les chiens font l’objet de toutes sortes de trafics en France car ils sont à l’origine d’un incroyable chiffre d’affaire… Il faut le savoir, le partager, l’expliquer… pour que ce trafic diminue au maximum.

age

Publié à 16:44 par fandeloup

lions

Publié à 16:38 par fandeloup
lions

En safari en Zambie, Torie Hilley ne pensait pas qu'elle serait capable de tirer quoi que ce soit de ces herbes hautes. "Puis cette horde de lions s'est approchée de nous, comme pour eux aussi éviter ces herbes hautes qui leur fouettaient le visage".

jeu

Publié à 16:22 par fandeloup

guépard

Publié à 16:15 par fandeloup
guépard

Un guépard profite d'un moment de calme pour se réchauffer au soleil.

prendre

Publié à 16:04 par fandeloup Tags : amour
prendre

Prend le temps d'arreter , de poser le regard et d'expedier de l'amour....

comment

Publié à 15:48 par fandeloup Tags : voiture vie monde homme mode création nature animal sur cheval afrique
comment

Comment sauver le plus grand animal du monde?

Des défenseurs de l'environnement travaillent sans relâche pour sauver les girafes d'une «extinction silencieuse». Si chaque écolier connaît l'animal le plus grand au monde, la girafe est souvent oubliée lorsqu'il est question de conservation. Au cours de ces 15 dernières années, ces herbivores africains sont passés d'environ 155 000 à près de 97 000 aujourd'hui, ce que certains scientifiques qualifient d'« extinction silencieuse ».

La perte et la fragmentation de leur habitat, associées au braconnage, seraient les principales causes de leur déclin, mais en l'absence d'efforts de conservation sur le long terme, il est difficile de connaître les raisons exactes. Les scientifiques en savent très peu sur le comportement des girafes, ce qui n'arrange rien : leur mode de vie, l'espace dont elles ont besoin pour survivre, les lieux où elles évoluent et les raisons de la longueur de leur cou.

 D'après l'Union internationale pour la conservation de la nature, toutes les girafes appartiennent à une seule et même espèce, divisée en neuf sous-espèces. Cependant, une étude publiée en 2016 remet en cause cette idée et suggère qu'il y aurait quatre espèces distinctes, chacune vivant dans une région différente de l'Afrique. Si tel est le cas, les girafes du Nord ainsi que les girafes réticulées pourraient compter moins de 10 000 spécimens chacune.

Connue pour sa robe aux motifs reconnaissables entre mille, la girafe réticulée vit principalement dans le nord du Kenya, mais il est possible que certaines populations subsistent au sud de l'Éthiopie et en Somalie. Le nombre de girafes réticulées a chuté de 80 % ces dernières décennies à cause de la destruction de leur habitat et du braconnage. David O'Connor (écologiste spécialisé dans la conservation pour l'organisation San Diego Zoo Global), Julian Fennessy (directeur général de la Fondation pour la conservation des girafes basée en Namibie), l'ONG Northern Rangelands Trust, qui rassemble plusieurs refuges communautaires du nord du Kenya, et l'organisation The Nature Conservancy collaborent sans relâche afin de démêler le mystère qui se cache derrière leur déclin rapide.

Les gardes-forestiers du Service de la faune kényan ont attendu que le calmant fasse effet. Après 5 à 10 minutes, la girafe s'est mise à adopter une démarche hésitante, signe des effets du médicament. Une équipe a ensuite entouré les jambes de la girafe d'une corde afin de l'amener au sol en toute sécurité.

Pendant la première semaine de juin, les scientifiques ont muni de colliers 11 girafes des refuges de Loisaba et de Leparua et leur ont accroché de minuscules GPS fonctionnant à l'énergie solaire au niveau des ossicônes, ces protubérances osseuses en forme de cornes situées au sommet de leurs crânes. Le processus n'est pas une mince affaire.

Au cours des récents travaux de terrain, Mathew Mutinda, le vétérinaire du Service de la faune kényan, a lancé une flèche sur l'épaule ou l'arrière-train d'une girafe réticulée à la fois depuis une voiture et d'un hélicoptère. Signe que le médicament fait effet, la girafe se met à adopter une démarche semblable à celle d'un cheval lipizzan. Quatre homme entreprennent ensuite d'entourer rapidement et calmement les jambes de la girafe avec une corde afin de l'amener au sol en toute sécurité. Après environ 10 minutes, les spécialistes posent les GPS et relâchent l'animal.

Ces GPS fourniront des données précieuses sur l'habitat de prédilection des girafes réticulées ainsi que sur leur aire de répartition, entre autres. Il est essentiel pour leur survie de connaître quelles sont les régions qui leur sont vitales aux différentes périodes de l'année et la façon dont elles se déplacent sur l'ensemble du territoire. Si le dispositif porte ses fruits, la pose de colliers sur les girafes pourrait être une solution afin d'assister les communautés et les refuges dans la protection de ces icônes africaines majestueuses.

Au sein du refuge Namunyak situé au Kenya, une girafe orpheline est nourrie par son soigneur de la communauté des Samburu. Les Samburu sont traditionnellement des éleveurs nomades. La population de cette région a été très impliquée dans la création et la gestion de la zone de conservation Namunyak dédiée aux espèces sauvages.

apprendre

Publié à 14:39 par fandeloup Tags : vie
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Allèges ta vie, apprend a danser avec l'obstacle !