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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
50 000 Lévriers sont sur le point d’être exterminés. Et personne n’en parle
Aujourd’hui, c’est la journée mondiale des Galgos, ces Lévriers utilisés pour la chasse en Espagne. Un rendez-vous annuel symbolique pour attirer l’attention sur le terrible sort qui leur est réservé quand la saison de chasse espagnole se termine.
Les Galgos sont les chiens de prédilection des chasseurs espagnols. Chaque année, ils les font naître par milliers et les condamnent à une existence de misère, entassés dans des hangars, affamés, négligés.
Il est aussi d’usage de les entraîner à courir le plus vite possible, le collier attaché à un véhicule roulant à vive allure.
« L’holocauste des Lévriers »
Mais le pire a lieu quand la saison de chasse se termine, début février. Si les chiens sont trop vieux pour chasser, ou si le chasseur juge qu’ils sont déjà « usés » après une saison, ou encore parce qu’il ne souhaite pas payer pour leur nourriture en attendant la prochaine période de chasse, ils sont exterminés brutalement ou abandonnés. Pendus, condamnés à mourir de faim ou de soif dans leur box, jetés au fond d’un puits ou d’une falaise, brûlés vifs…
Les chasseurs rivalisent de cruauté pour se débarrasser de ces chiens devenus encombrants et inutiles. Les plus chanceux seront lâchement abandonnés, relâchés et livrés à eux-mêmes dans la nature.
Les associations locales estiment que chaque année, 50 000 chiens sont concernés par ce qu’elles ont tragiquement baptisé « l’holocauste des Lévriers ».
Reproduction excessive et incontrôlée Si les 190 000 chasseurs espagnols qui utilisent des Galgos se permettent de telles horreurs avec leurs chiens, c’est aussi parce qu’il les considèrent pour la plupart comme des objets jetables. Leur reproduction est en effet excessive et incontrôlée.
Tant ils sont nombreux, il est très facile de s’en procurer autant que l’on veut, leur vie ne valant rien. Sur son site, l’assocition Lévrier Sans Frontières explique :
Il est important de comprendre que le Galgo n’a aucune valeur dans ce pays, que ces chiens sont élevés en masse et que les jeunes et meilleurs « sujets » remplaceront ceux qui ont deux ou trois saisons de chasse derrière eux.
Les chiens qui se sont montrés les plus efficaces à la chasse seront donc conservés et serviront de reproducteurs pour les saisons suivantes. Le formidable travail des associations de terrain Par chance, les associations sont nombreuses à agir localement pour aider ces pauvres chiens et dénoncer les atrocités dont ils sont victimes. L’association Baasgalgo par exemple, organise des tournées dans les régions concernées et recueillent les Lévriers errants.
La plupart sont faméliques et ont subi des sévices. Il est en effet courant qu’en les libérant, les chasseurs leur cassent une patte afin qu’ils ne puissent plus servir à la chasse.
Depuis la France, il est aussi possible d’aider les Galgos Le nombre de chiens abandonnés est si important que les associations locales organisent des partenariats avec plusieurs organisations des pays voisins qui se chargent de trouver une nouvelle famille à ces pauvres animaux . En France, on peut citer les association Sos-Chiens-Galgos et Lévriers Sans Frontières qui proposent de nombreux Lévriers espagnols à l’adoption.
À défaut d’adopter l’un d’entre eux, n’hésitez pas à apporter votre soutien à ces associations !
Et diffusez l’information autour de vous. Ces atrocités ne doivent plus être commises dans l’indifférence générale. Plus il y aura de personnes conscientes de cette barbarie, plus les choses auront de chance d’évoluer.
Sébastien Arsac, défenseur choc de la cause animale Militant pour la protection des animaux d’élevage, il est le cofondateur de l’association L214, à l’origine des images montrant les pratiques cruelles de l’abattoir Alès.
Sébastien Arsac, fondateur de l'association de défense des animaux d'élevage L214, à Lyon le 26 octobre 2015. Enfant du terroir L’élevage, l’abattage, l’équarrissage faisaient partie de la vie de Sébastien Arsac bien avant la création de L214 (du nom d’un article du code rural qui définit les animaux comme des êtres sensibles).
Son grand-père paternel, boucher à l’origine, devint plus tard marchand de bétail en Haute-Loire. « Il m’arrivait de mélanger la viande pour la préparation des saucisses ou de nettoyer les boyaux des cochons. »
Ses grands-parents maternels tenaient quant à eux une exploitation laitière. Militant tous azimuts Étudiant en mathématiques, il s’encarte au syndicat UNEF et s’engage autant auprès des sans-papiers que des féministes. Cet objecteur de conscience rejoint ensuite une association écologiste lyonnaise pendant deux ans.
C’est là qu’il découvre les écrits du philosophe australien Peter Singer, auteur de La Libération animale, qui le « bouleversent à jamais ». Homme de terrain Cet antispéciste (il refuse de considérer que l’homme est supérieur aux animaux) fonde en 2003 Stop Gavage, un mouvement anti-foie gras, aujourd’hui intégré à l’association L214.
Là, il peaufine sa méthode : enquête de terrain et images chocs. En 2008, il tourne en caméra cachée dans un abattoir de Charal pour mettre en évidence la cruauté des méthodes employées. Bruno Le Maire, ministre de l’agriculture, se dira « choqué » par les images. Porte-parole réaliste « Viandard repenti », il est l’un des deux représentants de l’association de défense animale, qui compte aujourd’hui 11 employés et 300 000 fans sur Facebook.
Peu présent dans les médias, il est pourtant à l’origine des révélations liées au broyage des poussins mâles, aux conditions d’élevage des lapins de batterie et aux méthodes brutales de l’abattoir d’Alès (Gard). « Si la vidéo a eu un impact fort sur le grand public, on sait qu’on ne va pas déclencher une révolution », admet-il.
Nice : un homme met le feu au chat de sa copine et le jette par la fenêtre du 7e étage par simple jalousie.
L'essentiel est de pouvoir se regarder en face, le matin, en se rasant.
EXPÉRIMENTATION ANIMALE, UNE BARBARIE INJUSTIFIÉE
Image réalisée en octobre 2014, par les associations BUAV et Soko, lors de leur infiltration dans les laboratoires d'un Institut allemand.
Chiens, chats, chevaux, oiseaux, primates… chaque année, en Europe, 11,5 millions d’animaux servent de cobayes dans les laboratoires.
Aujourd’hui, une partie de la communauté scientifique dénonce cette pratique cruelle et dresse un constat accablant. Il existe d’autres méthodes pour tester les recherches : des biotechnologies plus prédictives pour l’homme.
En octobre 2014, après sept mois d’infiltration au sein des laboratoires de l’Institut Max-Planck de Tübingen, les associations de défense des animaux BUAV (Angleterre) et Soko Tierschutz (Allemagne) livraient ces images insoutenables : des macaques rhésus prostrés dans leur cage, le visage ensanglanté par les trépanations, le crâne surmonté d’un implant en titane pour accéder directement et de manière permanente à leur cerveau.
On croyait ces horribles photos hors d’âge. Mais le constat est là, rien n’a changé. Pourtant, rien n’est plus pareil : l’Initiative citoyenne européenne (ICE), lancée en 2013 pour demander à la Commission européenne de mettre fin à l’expérimentation animale et de rendre obligatoire l’utilisation des méthodes substitutives plus pertinentes pour l’homme, a recueilli plus de 1,2 million de signatures.
La Commission doit publier sa réponse dans les semaines qui viennent.« L’expérimentation animale est la préhistoire de la science », explique le Pr Claude Reiss. Ancien directeur de recherche au CNRS, il a cofondé le comité Antidote Europe.
Objectifs :informer à propos des dégâts de l’expérimentation animale sur la santé humaine et sur l’environnement, et promouvoir les méthodes substitutives.
Il poursuit : « Utiliser des animaux comme modèles biologiques de l’être humain est un non-sens. Une espèce ne peut pas prédire l’effet d’une substance ou d’un médicament sur une autre espèce : c’est une loi de la biologie. Le chimpanzé, dont le génome présente 98,5 % d’homologie avec celui de l’homme, est insensible au virus du sida. Il est aussi peu affecté par le virus de l’hépatite B et meurt d’Ebola. »
Un modèle aléatoire, donc.
L’ARCHE DE NOÉ A ÉCHOUÉ EN ENFER
Autres exemples : le persil tue le perroquet alors qu’il a des propriétés anticancéreuses pour l’homme, le paracétamol empoisonne le chat, etc.
Et les animaux ne souffrent pas de nos modes de vie : tabagisme, alcool… « Quant au rat, utilisé pour évaluer un médicament, il ne sera jamais un homme de 70 kilos ! alerte Claude Reiss.La preuve : les effets secondaires des médicaments sont la quatrième cause de mort en France après les crises cardiaques, le cancer et les attaques cérébro-vasculaires.En 1997 on parlait déjà de 18 000 morts, plus que les accidents de la circulation ! »
Aujourd’hui, le Pr Bernard Bégaud, directeur de l’unité pharmaco-épidémiologie de l’Inserm à l’université de Bordeaux, avance la fourchette de 10 000 à 30 000 décès. « Je comprends mal pourquoi aucune étude sérieuse n’a été menée depuis près de vingt ans, s’étonne-t-il.
J’en ai fait part dans le rapport sur la surveillance et la promotion du bon usage du médicament, commandé par Marisol Touraine, en 2013. Je n’ai jamais eu de retour. » Joint par téléphone, le ministère de la Santé nous explique que « c’est difficilement quantifiable »… Les experts du ministère de la Recherche ont refusé de nous rencontrer pour évoquer les tests scientifiques sur animaux. Il faut donc aller pêcher les documents.
Ainsi apprend-on, dans le 7e rapport de la Commission européenne publié le 5 décembre 2013, que près de « 11,5 millions d’animaux ont été utilisés en 2011 à des fins expérimentales et scientifiques en Europe ».
La France, qui a fourni des données pour 2010 – contrairement aux autres pays membres –, fait partie des champions avec 2,2 millions d’animaux utilisés. Sur les 11,5 millions d’animaux, les rongeurs et les lapins représentent 80 % du nombre total, les souris 61 %, suivies par les rats, 14 %. Viennent ensuite les animaux à sang-froid (reptiles, amphibiens, poissons) 12,5 %, les oiseaux 5,9 %. Il y a aussi les chevaux, les ânes, les porcins, les caprins, les ovins et les bovins, les carnivores (qui incluent chats et chiens) et les primates « non humains » (depuis 1999, aucun grand singe n’a été officiellement utilisé en Europe).
Pour quelle utilité ?
Plus de 60 % des animaux ont servi à la recherche et au développement pour la médecine humaine et vétérinaire, pour la dentisterie et dans les études de biologie fondamentale (c’est-à-dire la recherche du comment ça marche, sans visée pharmaceutique) ; 14 %, pour la production et le contrôle de qualité des produits et dispositifs employés ; 8,75 %, pour des essais toxicologiques et autres évaluations de sécurité.
« Cancers, diabètes, autisme, Alzheimer, mucoviscidose… où sont les thérapies dues aux animaux de laboratoire ? interroge le Pr Claude Reiss. Le nombre des patients affectés par ces maladies a plus que doublé en dix ans. »
Selon une étude britannique menée de 2002 à 2012 sur la maladie d’Alzheimer, 99,6 % des médicaments testés sur les animaux ont échoué sur l’homme. Et, en règle générale, « même quand les études animales suggèrent qu’un traitement sera efficace et sans danger, plus de 80 % des médicaments potentiels échouent quand on les teste sur les gens », reconnaît le chercheur américain Steve Perrin dans un article publié en mars 2014 par la revue scientifique « Nature ».
"AUX SCIENTIFIQUES DE TROUVER AUTRE CHOSE !"
Alors pourquoi persister ? « Parce que c’est comme ça qu’on a appris à faire, confie un chercheur. Et il faut bien publier, sinon vous finissez au placard ! » Alors on choisit un animal ciblé pour donner le résultat recherché.
Témoin, la polémique autour des rats du chercheur Gilles-Eric Séralini : ils avaient développé d’énormes tumeurs après ingestion de maïs transgénique. Au-delà du terme OGM qui suscita l’effroi, on découvrit que l’espèce de rats sélectionnée était connue pour développer facilement des tumeurs.
Certes, l’effet des ravages des OGM fut médiatiquement plus efficace. Aujourd’hui, la reproduction sur l’animal des pathologies humaines n’est plus moralement acceptable, et pas non plus scientifiquement pertinente.
On nourrit les bêtes avec des aliments conçus pour développer la maladie ( safe-diets.com vaut le détour) ou on fabrique des mutants trangéniques. La souris par exemple, cet antique cobaye de laboratoire, a pris du galon artificiellement.
Il y a la souris obèse, la cancéreuse, la diabétique et même la supersouris (qui ne parle pas encore !) à 16 000 euros, produite par l’Institut clinique de la souris, près de Strasbourg.
« Il existe pourtant des moyens éthiques plus fiables et plus prédictifs pour l’homme, explique Arnaud Gavard, porte-parole du comité scientifique Pro Anima. Cultures de cellules et de tissus humains, modélisations informatiques… la palette est large et en plein développement. »
Le biophysicien Jean-François Narbonne et le chercheur en biologie cellulaire Christophe Furger, soutenus par Pro Anima, ont mis au point le programme Valitox qui permet de déceler la toxicité aiguë d’une substance sans passer par l’animal.
Il est prouvé que ce test est fiable à 82 %, contre 65 % sur les souris. Valitox devrait donc être inclus dans le règlement européen Reach qui prévoit de tester, d’ici à 2018, 30 000 substances chimiques déjà présentes sur le marché, et d’épargner 9 à 16 millions d’animaux.
« Les méthodes substitutives sont intéressantes, concède François Lachapelle, chef du bureau de l’expérimentation animale à l’Inserm. Sur les 13 000 chercheurs de l’Inserm, 3 000 les utilisent en complément de l’expérimentation animale. Mais, pour la recherche fondamentale notamment, elles ne remplaceront jamais un organisme vivant, complet et autonome. »
Les chercheurs de l’Institut Wyss de Harvard ont pourtant créé des organes sur puces, reliables entre elles, pour imiter la physiologie humaine. La révolution viendra donc des nouvelles technologies biomédicales.
Mais suffiront-elles à changer les mentalités ?
« L’animal de laboratoire est tellement ancré dans la recherche qu’il est difficile de s’en défaire, constate Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot. Il faut passer à la contrainte. Lorsqu’en 2009 l’industrie cosmétique n’a pas eu le choix et a dû arrêter de torturer les animaux, elle est passée à autre chose. Aux scientifiques de trouver autre chose ! »
Pourrais-je un jour aimer. Me sentir en sécurité. Donner mon cœur sans avoir peur
Voilà, cette fourrure rend l'idée de combien d'animaux ont été sacrifiés pour une traînée du genre ! Regardez combien de pattes. Horrible !
On devrait vraiment faire quelque chose, un truc trash, un exemple, certaines de mes amies espagnoles se font menacer dans leur pays par les galgueros, on ne peut pas faire grand chose contre leurs traditions ancestrales, mais la cruauté gratuite comme ici est inacceptable!!!
Quitte a aller en prison, je trouverai quelque chose a faire pour ces martyrs!!!!!
La nuit dernière ils sont entrés dans ce refuge...ont tué 3 galgos à coup de blocs dont une devait accoucher et une autre était senior..Les autres ont été empoisonnés !!
Qu ils crèvent tout ces fils de putes ,j'ai la haine bandes de sous merdes vous me foutez la gerbe
Signez la pétition pour un statut des lévriers
Le Lévrier est l'un des plus anciens canidés de la planète. Il est aussi l'une des races les plus exploitées :
Greyhounds de course en Irlande et Royaume Uni, Galgos, Podencos et autres Lévriers en Espagne pour la chasse et la course, Podengos pour la chasse au Portugal..
60.000 Galgos sont suppliciés chaque année en Espagne. En France, les lévriers dits "Primitifs" du groupe 5 de la cynophilie internationale (section 6 :
Lévrier Pharaon, section 7 : tous les podencos et podengos) sont utilisés pour la chasse malgré l'interdiction de chasser avec les Lévriers du groupe 10 de la cynophilie internationale.
Pour faire cesser la cruauté envers les Lévriers, ces disparités et ces ambiguïtés, nous demandons le "statut" d' ANIMAL DE COMPAGNIE pour tous les Lévriers en Europe avec les mesures de protection et de contrôle adéquates.
Symbole de la maltraitance des animaux en Europe, des animaux "instruments", de chasse, de course ou de travail sacrifiés par centaines de milliers chaque année au profit et au divertissement...
pétition change.org
Ivre, il coupe les oreilles de son chien avec des ciseaux
L’émotion était vive hier après-midi rue de Londres, au Port. Il est environ 13 h lorsque des habitants, alertés par des hurlements d’animal, sollicitent le commissariat.
Un équipage de police secours se rend sur les lieux où un homme, un état d’ébriété avancé, vient de s’en prendre à sa petite chienne âgée de trois mois et demi.
Dans son appartement, le Portois vient de découper les oreilles du chiot à l’aide d’une paire de ciseaux. Il est interpellé alors qu’il sortait sur le parking, où il avait jeté l’une des oreilles depuis sa fenêtre.
Il reconnaît instantanément les faits, indiquant qu’il avait voulu donner une leçon à l’animal « pour qu’il écoute mieux. »
PLUS DE DEUX GRAMMES D’ALCOOL
Affichant 2,42 g d’alcool dans le sang, l’homme sans profession, âgé de 55 ans, a été placé en cellule de dégrisement en attendant de pouvoir être auditionné dans le cadre de sa garde à vue.
L’autre oreille du chien a été retrouvée dans la poubelle du domicile, mais la paire de ciseaux avait disparu. L’animal mutilé a été confié aux soins de la SPA, qui l’a rapatrié dans son dispensaire de Sainte-Clotilde.
La chienne a été prise en charge par un vétérinaire pour suturer les plaies. Un représentant de la SPA doit se rendre aujourd’hui au commissariat pour déposer plainte pour « acte de cruauté envers un animal. »
Les faits sont passibles de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.