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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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indiens

paix

Publié à 16:19 par fandeloup
paix

Un brin de plume en bout de rimes contre la haine et tout nos crimes Un chant de paix et non de guerre



pardonner

Publié à 15:53 par fandeloup Tags : vie background moi coeur travail soi
pardonner

Pardonner, un très grand mot qui cache bien des facettes. Pardonner, un acte qui ne peut être fait que si deux personnes sont prêtes. Prêtes à entendre la vérité, leur vérité. Celle qui a fait mal donc celle qui va faire le bien. Pardonner, un terme bien souvent incompris ou galvaudé. Pardonner, c'est se mettre dans une situation qui mélange et alterne tous les sentiments. C'est faire émerger colère, haine, désir, pleurs, rancoeur, incompréhension ... C'est faire face à une nouvelle vie pour libérer les chaines de deux personnes. Combien de fois je me suis dis je te pardonnes mais en restant là, sans action ! Les actes, gestes et mots visant volontairement à nuire. Pardonner, est un acte qui vient du plus profond de Soi .Un besoin pour vaincre l'ombre et apporter une nouvelle lumière Pardonner quelque soit le mal relève quelquefois de l'impossible Pour moi il relève d'une manière de voir les choses très différentes. Peut-t-on pardonner à une personne qui a fait du mal à une autre personne. Cette personne qui a été prise entre actes et mots vils. Dans ce dernier acte, si sur les deux personnes, l'un ne peut pas pardonner. L'autre proche se doit aussi de la suivre .Au risque de creuser le fossé du ♥ et dans le cas ou ces actes et mots vils ont été faits volontairement Intentionnellement dans le but de nuire voire de détruire ..

Le pardon existe-t-il ?

Je répondrai personnellement que je ne suis pas assez spirituel pour le faire Donc dans ce dernier cas, le pardon n'a pas lieu d'être. On peut certes pardonner à une personne quelque chose de non intentionnel. Mais lorsqu'il s'agit d'un acte volontaire ma réponse qui n'engage que moi sera non. Bien entendu vous direz que je devrais le faire tout de même. Faire un acte positif qui me grandira Je répondrai que lorsque les actes et les mots sont nuisibles volontairement. Je ne peux pardonne.r D'autant plus que je ne suis pas la seuel à pourvoir pardonner. Pardonner, c'est redonner une liberté là ou étaient les chaines. Là où était colère, malaise, incompréhension, haine ou dégoût. Oui, je peux pardonner mais pas à n'importe quel prix. En premier lieu, un travail sur Soi est impératif. Puis un pas vers l'autre devient obligatoire. C'est une très grosse prise de conscience. Le Pardon n'enlève peut être pas le passé et les actes. Mais il permet d'aller de l'avant en étant plus libre et léger. C'est donc moi qui demande pardon à la personne qui a été meurtie.Mais je ne peux pardonner à ceux qui on voulu nuire et détruire.



aller

Publié à 11:41 par fandeloup Tags : nuit
aller

On ne va jusqu’à l’espérance qu’à travers la vérité, au prix de grands efforts. Pour rencontrer l’espérance, il faut être allé au-delà du désespoir. Quand on va jusqu’au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore



améridiens

Publié à 14:41 par fandeloup Tags : vie dieu nature animaux livre anges
améridiens

Le Langage Du Silence

Dans un groupe qui bavarde, les amérindiens sont toujours en retrait, Observant et n'intervenant que parcimonieusement Ils ne vous couperont jamais la parole.

Le silence est tout à la fois la manifestation du respect qu'ils portent aux êtres, réceptivité et grande attention à tous les signes qu'ils perçoivent, disponibilité aux mystères de la vie.

Combien de personnes paniquent littéralement dans le silence, la solitude, le vide ? On allume la télé dès le réveil, on installe les écouteurs sur les oreilles si on va faire du vélo à la campagne et la radio se retrouve dans les bagages de vacances.

Et surtout, surtout, on parle. On parle de tout, de balivernes, on médit pour simplement émettre des sons, pour occuper l'espace, réduire notre sentiment d'inconfort et pour soulager nos cerveaux en survoltage.

C'est pourtant au cœur du silence qu'il faut plonger quand tout est à repenser, dans les moments charnière de notre vie. Dans les moments graves de notre vie, les difficiles surtout, nous sentons tous l'urgence du silence. Il nous aide à nous retrouver, comprendre notre réalité et offre la distance nécessaire à nos prises de décision.

Comme une cure de santé, une cure de silence est porteuse de mieux être Il est le précieux point de départ pour y voir clair et ainsi remanier nos vies. Il nous permet de nous rencontrer face à face et d'affronter avec courage tout ce qui se tapit dans notre tapage quotidien. Il n'est certes pas facile de faire tomber les fausses représentations que nous nous donnons de nous-même, mais notre liberté s'acquiert à ce prix.

Sur la route de l'intégrité et de l'authenticité, Il nous faut retrouver l'habitude du silence. La nature, c'est tellement plus qu'une somme d'arbres, de plantes, d'animaux et de phénomènes. Un de ses grands bienfaits, pratiquement ignoré, c'est qu'elle nous livre les messages que le Grand Mystère, ou nos guides, ou les anges, ou Dieu, selon nos croyances, veulent nous signifier.

Quand la nature semble toute tendue, en attente, comme une mère dont l'accouchement commence, alors, dans cet espace ténu et fragile où tout est possible nous approchons le fertile silence. Et les êtres capables de silence en sont transformés car ils voient, dans ce miroir du vide, au-delà de l'apparence des événements et y atteignent, pour beaucoup d'entre eux, le non-jugement et même la compassion



indien

Publié à 18:05 par fandeloup
indien

Alors qu'au loin sont détruits les totems et les tipis, Ahiga et le mustang, son ami, subissent cette cruelle agonie ... Déjà des tours se dressent sur les charniers des valeureux guerriers … Ce peuple qu'on oppresse saura châtier ces monstrueux caissiers !



indien

Publié à 16:56 par fandeloup Tags : nuit nature
indien

Lorsque la nuit se découvre aux couleurs naissantes de l'Aube, l'indien et son amie s'ouvrent à la ferveur puissante du Globe ; Calmes et sereins, à l'écoute de la nature et de ses secrets, ils suivent leur instinct et se fondent dans les ombres étoilées.



terre

Publié à 10:31 par fandeloup Tags : animaux merci vie message air
terre

Message à celles et ceux qui croient encore en leur pouvoir absolu !!!

Les Indiens respectaient la Terre. Un toit sans fondations, ils levaient le camp, la terre et le lieu d'hébergement étaient intacts à leur départ, comme si personne n'était passé par là.

Que de leçons aurions-nous à recevoir de ce peuple, les blancs les ont massacrés......

Quelle honte et aucune gloire à en tirer. Ils étaient un peuple pacifique, nous, nous n'avons étés que des monstres, et ça continue de nos jours, bravo le progrès, bravo au peuple qui se croit intelligent et dont les actes sont horribles.

Il est temps de réfléchir et de se poser les vraies questions, sommes -nous devenus des êtres instruits ignorants ? ou sommes-nous des êtres instruits et malveillants ?

Pour ma part, nous sommes les deux, ignorants et malveillants. Mais n'oubliez jamais ceci: Rien ne peut être vendu.

Cette terre nous ne pouvons pas la vendre car elle ne nous appartient pas. Nous ne pouvons pas vendre la vie des animaux et des hommes. Pourquoi ne pas vendre l'air ou la mer immense ? Partagez en masse, merci.



message

Publié à 15:55 par fandeloup Tags : voyage message
message

Il existe une rivière qui s’écoule maintenant très rapidement. Elle est si puissante et vive que certains en seront effrayés. Ils essaieront de s’accrocher au rivage. Ils se sentiront comme déchirés et souffriront énormément. Sachez que la rivière a sa destination. Les Anciens disent qu’il nous faut lâcher prise au rivage, et nous élancer au milieu de la rivière, en gardant nos yeux ouverts et nos têtes hors de l’eau. Et je vous dis, regardez qui se trouve-là, auprès de vous, et réjouissez-vous. A cette époque de l’histoire, ne prenons rien trop sérieusement et surtout pas nous-mêmes ! Car dès l’instant où nous le faisons, notre croissance spirituelle et notre voyage s’arrêtent. Le temps du loup solitaire est terminé. Rassemblez-vous ! Bannissez le mot ’lutter’ de vos comportements et de votre vocabulaire. Tout ce que nous accomplissons à présent doit l’être de manière sacrée et dans la joie. Nous Sommes Ceux que Nous avons Attendus

Message des Anciens Hopi.



observer

Publié à 05:09 par fandeloup
observer

Le sage observe les autres, mais il les observe avec sagesse, pas avec ignorance. Si on observe avec sagesse, on peut apprendre beaucoup. Mais si on observe avec ignorance, on juge et on critique.



Indiens d’Amérique: un génocide tranquille et presqu'achevé

Publié à 12:33 par fandeloup Tags : photo enfants monde homme chez 2010 femme histoire mort annonce divers voyage neige femmes
Indiens d’Amérique: un génocide tranquille et presqu'achevé

Les Etats-Unis ne voient pas d'un bon oeil que le sort des Indiens d’Amérique soit pour la première fois à l'ordre du jour des Nations-Unies. Car il s'agit de se pencher sur le sort d'une population de 2,7 millions d'habitants ravagés par une multitude de fléaux et dans des proportions effroyables. Mais qu'en attendre? Car la parole de ces exterminés est inaudible.

Un jour d'avril 1973, un militant noir américain pour les droits civiques, Ray Robinson, qui a longtemps suivi Martin Luther King, débarque à Wounded Knee, dans le Dakota du Sud. Il souhaite apporter son soutien à la cause des "Native Americans", ainsi que l'on nomme les Indiens aux Etats-Unis, qui manifestent contre les injustices dont ils sont victimes dans le pays. Wounded Knee est un lieu emblématique et de sinistre mémoire. C'est là, en effet, que furent massacrés et jetés dans une fosse commune entre 150 et 300 hommes, femmes et enfants au matin du 29 décembre 1890, par le 7ème régiment de Cavalerie du Colonel James Forsyth. Sitôt arrivé dans ces lieux où résident toujours une petite communauté indienne, Ray Robinson appelle sa femme qui lui demande de rentrer à la maison, inquiète car elle sait que la situation sur place est explosive. Elle ne le reverra jamais. Après avoir reçue l'annonce de la mort de son époux, Cheryl n'a jamais pu savoir ce qui était arrivé à son mari ni où son corps avait été enterré.

Voilà quelques jours, quarante ans plus tard, Cheryl a fait le voyage de Détroit à Sioux City pour témoigner de son histoire. Le gouvernement américain refuse toujours de communiquer sur le sort de son mari, officiellement parce que le cas est toujours en cours d'investigation par le bureau du FBI de Minneapolis. A Wounded Knee, plus personne ne se souvient de Ray Robinson. Une épisode parmi tant d'autres dans l'histoire des militants de la cause des Indiens d'Amérique, qui n'a jamais bénéficié d'un large soutien populaire et que beaucoup voudraientt voir s'éteindre.

Et de fait, cynisme et indifférence se conjuguent pour ensevelir année après année la mémoire des peuples indiens presqu'entièrement anéantis en Amérique du Nord.

On ne va pas le nier, les Apaches, les Cheyennes, les Iroquois, les Sioux ou les Esquimaux ne nous inspirent pas, la plupart du temps, un sentiment extrême de culpabilité. Mais ce n'est rien comparé au pays du Western et de la Country. Pas plus que le Jazz ou le Blues ne suscitent leur part de tristesse chez leurs amateurs et ne réveillent chez eux les souvenirs tragiques des lynchages des Noirs, ces genres populaires ne renvoient à la réalité d'un génocide toujours en cours dans l'indifférence générale.

Lorsqu'un Américain de l'Illinois souhaite acheter ses cigarettes à bas prix (un paquet coûte ici actuellement 10 dollars), il prend la route du sud de l'Etat ou de l'Indiana voisin, pour s'approvisionner dans l'un des territoires octroyés aux tribus indiennes locales. Là, il paiera son paquet de cigarettes 4 dollars en moyenne. Dans un certain nombre de ces tribus, qui sont des milliers à travers les Etats-Unis, on peut également se procurer de l'alcool à bon marché, jouer au casino (dans 452 d'entre-elles) ou, si l'on se sent possédé par le mal (ce qui est très en vogue), consulter un shaman. Il est toujours très exotique de s'offrir une escapade dans ces drôles d'endroits. Pourtant, l'Américain moyen ne s'y risque pas trop.

En effet, 2,1 millions de ces Indiens, soit l'écrasante majorité, vivent largement sous le seuil de la pauvreté. La vision offerte par bien des campements tient purement du bidonville. Et une fois passé ses limites, c'est un voyage en enfer qui commence. L'alcoolisme y prend des proportions catastrophiques. Le chômage y bat tous les records du pays. La maladie s'y propage et tue comme dans les pires zones de la planète. Le suicide, celui des jeunes en particulier, crève le plafond des statistiques. Les Indiens vivant à l'extérieur des tribus n'y reviennent eux-mêmes que pour se faire soigner lorsqu’ils n'ont pas, chose courante, accès au système de santé américain.

Anthony B. Bradley est Professeur de Théologie au King's College de New York et Spécialiste des questions raciales aux Etats-Unis. « Si quiconque pense que le gouvernement fédéral sait ce qui est bon pour les communautés locales, explique t-il, il ferait bien de visiter une Réserve Indienne Américaine. Les Natifs Americains [Indiens d'Amérique, NDA] sont aujourd'hui plongés dans le cauchemar de la privation de soins et d'économie qui est la conséquence directe des problemes crées par le Gouvernement lequel, en imposant des solutions sensees résoudre les problemes, rend ceux-ci bien pires en retirant aux communautées leur autonomie. »

Tel est le prix à payer pour les Indiens d'Amérique, afin de rester sur la terre de leurs ancêtres, grâce aux concessions faites par le gouvernement fédéral. Pourtant, les Etats abritant ces réserves n'ont de cesse de rogner ces droits et de tenter de récupérer par tous les moyens ces espaces. Pire, une certaine propagande laissant entendre que les Indiens d'Amérique auraient fait le choix de vivre dans ces conditions a fort bien fonctionné dans l'esprit collectif. Or, cela repose sur une contre-vérité historique.

L'UNE DES PLUS GRAVES VIOLATIONS DES DROITS DE L'HOMME DANS LE MONDE

En effet, peu rappellent le grand mouvement de délocalisation qui fut la conséquence de l'Indian Removal Act [Loi sur le Retrait Indien, NDA] lequel, au milieu du XIXe siecle, contraint les Indiens à délaisser leurs terres historiques au gouvernement pour se concentrer dans les zones qui leur étaient réservées en échange. En 1890, il était devenu interdit aux Indiens de sortir hors de leurs réserves afin de s'approvisionner en nourriture. Une étude du Professeur Jeffrey E.Holm, de l'Université de Médecine du Nord Dakota, a mis en évidence que le changement de régime alimentaire imposé durant des décennies aux tribus indiennes a engendré une surmortalité aujourd'hui toujours existante, en raison des pathologies qu'elles ont engendrées pour des peuples qui ne pouvaient plus se nourrir comme ils l'avaient fait durant des millénaires.

En 2010, les Etats-Unis, dans la foulée du Canada, fut le dernier pays au monde à ratifier la Déclaration des droits des Peuples indigènes aux Nations-Unies. Une des rares concessions faites par un pays qui place souvent l'Histoire au dernier rang de ses préoccupations, si ce n'est pour en offrir une version idéalisée. Mais en l'espèce, il est impossible d'idéaliser la réalité sur laquelle s'est construite l'Amérique. En effet, 90% des tribus amérindiennes ont disparu à la suite de l'arrivée des Européens en Amérique du Nord, la plus grande partie à cause des maladies, la partie restante par les armes.

Mais ce n'est pas tant cette réalité historique qui rend ces jours-ci le rôle du Professeur James Anaya complexe, en tant que Rapporteur spécial des Nations-Unies sur les Peuples indigènes. Bien que, pour la première fois de leur histoire, l'organisation se penche, du 23 avril au 4 mai, sur le sort des Indiens d'Amérique, ce qui en soit est déjà un événement notable, c'est avant tout pour regarder en face une réalité qui n'est pas celle du passé mais celle du présent.

Cette réalité concerne les 2,7 millions d'Indiens vivant actuellement sur le territoire des Etats-Unis, et qui constitue l’un des cas de violation des droits de l'homme a grande échelle le plus emblématique de toutes les nations développées.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes: Les Indiens d'Amérique vivent en moyenne 6 ans de moins que les autres Américains

Ils ont 770% de risques en plus de mourir d'alcoolisme

Ils ont 665% de risques en plus de mourir de Tuberculose

Ils ont 420% de risques en plus de mourir de Diabète

Ils ont 280% de risques en plus de mourir d'accidents

Ils ont 52% de risques en plus de mourir de Pneumonie et de Grippe

Les Indiens d'Amérique se sont vus accorder la citoyenneté américaine en 1924. Mais ils ont pour longtemps encore été exposes au même sort que les Noirs américains, empêchés d'accéder à l'enseignement scolaire, victimes de la ségrégation.

Ce n'est qu'en 1969 qu'ils se sont organises, dans la foulée de la loi sur les Droits civils des Indiens votée l'année précédente. C'est à cette époque qu'ils ont obtenu ce dont les Américains blancs jouissaient depuis deux siècles: la liberté d'expression et d'information, la protection contre les recherches et les arrestations arbitraires, le droit d'engager un avocat pour se défendre, la protection contre les punitions inhumaines et dégradantes, contre les cautions excessives, l'abolition de la peine systématique d'un an d'emprisonnement ou de 5000 dollars d'amende quel que soit le délit commis, le droit d'être jugé par un jury, et ainsi de suite.

Mais à l'heure actuelle, aucun Indien d'Amérique, citoyen des Etats-Unis, n'a accès à la plénitude des droits des autres citoyens américains. Une réalité qui peut prendre des aspects accablants pour l'Administration américaine. Ainsi, le 6 novembre 2008, le Gouverneur du Dakota du Sud, Michael Rounds, décrète l'état d'urgence car son Etat est recouvert par une épaisse couche de neige et de glace qui le paralyse. Mais les réserves indiennes seront exclues du dispositif.

LA GUERRE DES ETATS CONTRE LES TRIBUS

Mais le pire pour ces tribus à l'heure actuelle vient probablement de la pression des Etats pour s'accaparer leurs terres. Les conflits sont nombreux à travers tout le pays. Ils sont allumes sous divers motifs, comme la volonté du Gouverneur de New York, en 2007, d'étendre la taxation de l'Etat aux territoires de la Nation des Seneca, ce qui a engendre une violente bagarre juridique. Et bien que les territoires laisses aux Indiens soient pour la majorité pauvres en ressources et difficiles d'accès, leur contestation par les Etats qui les abritent sont de plus en plus courantes.

Toutefois, la pente naturelle démographique et sociologique suivie par cette population dont la Constitution américaine fait fi devrait se résoudre par le procédé le plus naturel du monde dans les décennies qui viennent: l'extinction.



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