Mon bateau préféré , Pourquoi as-tu coulé ? Dès que je pense à toi , Je te vois devant moi . Mais pourquoi es-tu partis , Si loin d'ici ? Pourquoi m'as-tu quitter , Moi qui t'as tant aimé .

Je sais qu'il existe un bateau qui mène au pays des rêves ... Il faut juste que j'arrive à le trouver

Je fus, Plante superbe, en Vaisseau transformée. Si je crus sur un Mont, je cours dessus les eaux : Et porte de Soldats une nombreuse armée, Après avoir logé des Escadrons d'Oiseaux. En rames, mes rameaux se trouvent convertis ; Et mes feuillages verts, en orgueilleuses voiles

SI NOUS NOUS PRENIONS TOUS ET TOUTES PAR LA MAIN, SI NOUS ETIONS TOUS ET TOUTES DES AMIS(ES), COMME CELA SERAIT BIEN ET CHANGERAIT NOTRE DESTIN. NOUS POURRIONS FAIRE UNE RONDE, PARCOURANT LE TOUR DE NOTRE SI BEAU MONDE, CELA SERAIT SI MERVEILLEUX DE POUVOIR, ETRE ENFIN TOUS ET TOUTES HEUREUX. BIEN SUR C'EST UN DE MES REVES, MAIS QUELQUE FOIS LES REVES, PEUVENT SE REALISER. MERCI A TOI QUI ME LIS.

J'ai été confrontée a toi il y a peu de temps. J'ai admiré ta splendeur et pourtant j'ai pris peur. J'ai eu peur d'être une de tes victimes pour que tu puisses te venger de ce que l'homme t'a fait. Je voulais me baigner dans cette étendue d'eau que tu nous as offerte, toi dame nature, mais j'ai eu peur d'être emmenée vers le fond comme ses hauts arbres que l'homme à abattu sur ton sol. Dame nature je te respecte car tu me permets de vivre et pour ceci je lutte pour ta survie, toi qui m'as permis de respirer

Les mouettes naissent des mouchoirs que l'on agite au départ d'un bateau.

Quand rejoint par la mer, Le soleil allume aux cieux Les couleurs incendiaires D’un été aux mille feux. Quand l’eau de tes pas Sur le sable mouillé, Traces douces lassées D’empreintes esquissées. Quand les soupirs du destin, De réveils aux doux matins Enlacés d’Amour, se mêlent De mots teintés d’éternité.

Le bateau vogue sur la mer scintillante, Les voiles dansent avec le vent, Les dauphins me guident vers l'île naissante, Tout est beau sur cet océan . Tout à coup : une foudroyante tempête. Les vagues sombres se déchaînent, Le navire fait des pirouettes, Les voiles déchirent leurs chaînes.

Mon ♥ Qui était rocher, Pour toi Je l'ai brisé .Mes larmes ,Qui était gelée, Pour toi Elles furent salée. Moi qui avait Bannie l'espoir, Pour toi J'ai eu la foi .Pourtant un jour, Doucement, Sans un au revoir ,Sur la pointes des pieds ,Tu t'en ai allé. Le silence De cette absence ,A fait de l'existence Un bateau sans ancre, En partance pour la démence ,Des nuages gris Me conduisant Au bord du précipice .Un soleil sans chaleur, Où le ♥ a perdu Toutes ces couleurs, Et où la douleur Ne pleure que l'amour.

Les passions sont les vents qui enflent les voiles du navire ; elles le submergent quelquefois, mais sans elles il ne pourrait voguer