aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ils trouvent des argiopes frelons, araignée impressionnante mais sans danger, dans leurs jardins
« L’argiope frelon est sans danger pour les humains. Son nom vient de sa livrée jaune et noire, qui copie celle d’un frelon. Cela la met à l’abri de la voracité des oiseaux , qui associent cette robe à un danger. Elle se nourrit de gros insectes type criquets, sauterelles… », explique un représentant de l’association Lo Parvi.
Des habitants de La Tour-du-Pin et des Avenières-Veyrins-Thuellin ont fait part de leurs inquiétudes concernant la présence de cette araignée dans leurs jardins. Elle est impressionnante. Autant par sa robe striée jaune et noire que par sa taille. Tant et si bien que cette araignée a fini par inquiéter deux de nos lecteurs, qui ont repéré des spécimens dans leurs jardins : l’un à La Tour-du-Pin et l’autre aux Avenières-Veyrins-Thuellin.
« Taille imposante, couleur tranchée » Pas d’inquiétude : l’argiope frelon, comme son nom ne l’indique pas forcément, « n’est pas dangereuse pour l’homme », ainsi que le spécifie Jérôme Petitprêtre, entomologiste au Muséum d’histoire naturelle de Grenoble. « Dans la mesure où elle ne fréquente pas vraiment l’intérieur des habitations et se tient plutôt tranquille sur sa toile, en milieu ouvert, en y étant très visible compte tenu de sa taille imposante et de sa couleur bien tranchée, les morsures doivent être franchement rares, quand on ne cherche pas à stresser l’animal en le manipulant n’importe comment », confirme Michaël Dierkens, arachnologue et membre de la Société linnéenne de Lyon
Qui complète : « L’espèce est extrêmement banale dans la région. Elle n’est pas protégée à l’échelle nationale. »
Le cambrioleur de glands
Avec cet été particulièrement chaud et sec, la végétation semble avoir pris de l’avance sur l’automne. Les chênes sont déjà couverts de glands pour le plus grand bonheur des geais et des écureuils notamment.
Mais, un cambrioleur semble avoir pris les devants et beaucoup de fruits sont vides, les graines semblant s’être volatilisées. Seul indice, un minuscule trou percé dans la paroi. Le voleur est un insecte, un balanin.
Avec son allure éléphantesque, le balanin pourrait remporter la palme du plus rigolo des insectes. Mais cette trompe est une arme redoutable. Elle lui sert de forêt pour entrer en catimini dans le gland et y pondre au début de l’été alors que le fruit est tout juste formé.
L’œuf éclot à l’abri de ce berceau puis il va se nourrir de la graine. En fin d’été, lorsque le gland tombe, la larve est suffisamment grosse et elle creuse à son tour un petit trou pour sortir de sa logette.
Elle s’enfouit alors dans le sol pour parfaire son développement et sa métamorphose avant de sortir, adulte, au printemps prochain.
Une mygale découverte au rayon fruits d’un supermarché d’Arras
L’araignée, cachée dans des fruits en provenance de République dominicaine, s’est retrouvée dans un supermarché du Pas-de-Calais. Le personnel du supermarché d’Arras (Pas-de-Calais) où l’araignée a été découverte, le 17 août, a photographié le spécimen avant de l’écraser (cliché fourni par l’enseigne)
Devant les photos de la bestiole, l'arachnologue Christine Rollard est catégorique : « Très velue, elle possède aussi deux appendices caractéristiques de certaines mygales ! » C'est probablement le pire cauchemar des phobiques de nos congénères à huit pattes.
La petite bête, de quelques centimètres tout au plus, était nichée dans un sachet de bananes lorsque, samedi 17 août, les clients d'un supermarché d'Arras (Pas-de-Calais) ont eu la mauvaise surprise de l'y trouver.
« Les agents de sécurité sont intervenus et l'ont neutralisée », insiste Auchan Retail France, qui a retiré les fruits de la vente. Avant d'écraser l'araignée, devant une dizaine de personnes « en émoi », le personnel du magasin a pris le temps de la photographier pour demander des comptes au fournisseur dominicain, Banamiel.
Une espèce digne de Fort Boyard Selon Auchan, que nous avons joint, il s'agirait d'une espèce endémique de République dominicaine : la phormictopus cancerides, surnommée « cacata » dans ce pays des Caraïbes. Adulte, elle mesure une dizaine de centimètres, sans les pattes.
« Une espèce géante comme on en voit dans l'émission Fort Boyard », selon notre spécialiste des araignées, qui ne peut confirmer cette précision à partir d'une simple photo. Pour elle, l'indésirable du supermarché arrageois a fait le trajet depuis la République dominicaine, au milieu des bananes.
« Cette espèce se rencontre des Antilles au Brésil, s'étonne-t-elle. Elle n'avait rien à faire là! » Les mygales ne font pas partie des fameuses « araignées-banane » qui se retrouvent fréquemment embarquées jusqu'en Europe. «Nous ne sommes pas leurs proies»
La Direction départementale de la protection des populations (DDPP), qui n'a pas été sollicitée par Auchan lors de l'incident, souligne que la banane, qui noircit à basse température, ne séjourne pas en chambre froide à son arrivée en France. Pour les autres fruits et légumes, cette précaution « suffit à éliminer ce type d'intrus toxiques ».
Si cette découverte rappelle de vieilles légendes urbaines, Christine Rollard se veut rassurante : aucun de ces spécimens ne met notre vie en danger. « Dans la majorité des cas, elles n'injectent aucun venin car nous ne sommes pas leurs proies », rappelle-t-elle.
Ainsi, peu de risques d'être terrassé par une araignée, même si la morsure peut être douloureuse et provoquer des infections ou des contractions musculaires. Seule « une quinzaine de personnes » sont tuées chaque année par les effets secondaires du venin. D'autre part, souligne l'arachnologue, « les mygales exotiques qui s'installeraient en Europe, c'est un fantasme » : elles n'y trouveraient jamais les conditions nécessaires à leur survie et leur reproduction.
L'incroyable #parasite qui transforme les escargots en zombies
Le Leucochloridium paradoxum est un ver parasite au cycle de vie déroutant, au cours duquel il est amené à prendre le contrôle mental d'un escargot , le transformant en une sorte de zombie
Ils ont beau avoir besoin d'un hôte pour survivre, les parasites sont de redoutables organismes. Et le Leucochloridium paradoxum en est un parfait exemple.
Ce ver plat que l'on retrouve en Europe et en Amérique du nord, a des cibles bien désignées : les gastéropodes qui lui servent d'hôte intermédiaire. Une fois les escargots infectés, le parasite a un plan très bien pensé. Ils les transforment en véritables zombies et les poussent au suicide.
En effet, logé dans les antennes de l'escargot, le ver les rend plus grosses et surtout beaucoup plus voyantes. Il force ainsi sa victime à quitter la protection de la végétation puis à se percher bien en vue.
Le but ? Attirer l'oeil des oiseaux. En mangeant les escargots, les oiseaux ingèrent du même coup les vers. Une fois dans l'estomac de l'oiseau, ces derniers peuvent alors se reproduire en toute tranquillité afin de continuer leur cycle de vie. La dissémination des œufs du parasite est assurée par les fientes du volatile, ce qui permettra de redémarrer un nouveau cycle.
Une espèce d’abeille sauvage introuvable depuis 50 ans réapparaît dans la Drôme
Invisible en France depuis une cinquantaine d’années, l’abeille maçonne des hangars – appelée aussi chalicodome des hangars – vient d’être repérée dans le pays Diois, au cœur de la Drôme.
Grosse abeille noire qui construit son nid à l’aide de boue et de graviers, cette hyménoptère n’avait plus donné signe de vie depuis près d’un demi-siècle dans l’Hexagone. Abondamment étudiée par le naturaliste Jean-Henri Fabre au XIXe siècle, cette espèce d’abeille sauvage était devenue mythique pour plusieurs générations d’entomologistes.
C’est Philippe Haeringer, un géographe à la retraite installé dans le petit village de Saint-Roman, à une dizaine de kilomètres au sud-est de Die, qui a identifié le célèbre spécimen après avoir découvert un premier nid sous le toit d’un transformateur électrique. Il en découvrira un second par la suite.
« Cela va à contre-courant des alarmes qu’on reçoit sur la disparition des abeilles et de toutes les espèces qui butinent. Ça redonne du courage », a expliqué M. Haeringer cité par France Bleu.
« J’ai ressenti une certaine émotion » Pour Vincent Albouy, ancien attaché au Muséum national d’histoire naturelle et actuel coordinateur d’une étude sur les abeilles mellifères sauvages à l’Office pour les insectes et leur environnement (OPIE), la réapparition de l’abeille maçonne pourrait s’expliquer par la très faible utilisation de pesticides dans la Drôme, premier département agricole bio de France avec 1100 exploitations certifiées bio ou en conversion, soit 43 000 hectares selon la Chambre d’agriculture de la région Auvergne Rhône-Alpes.
En outre, M. Albouy estime également que la présence de champs de sainfoin cultivés – une plante fourragère et mellifère particulièrement représentée autrefois avant de diminuer peu à peu – pourrait aussi jouer un rôle dans le retour de l’abeille maçonne des hangars. « Quand j’ai vu les nids, j’ai ressenti une certaine émotion. J’ai vraiment vu ce que Fabre décrivait. Ça m’a aussi fait beaucoup de bien parce qu’on accumulait les mauvaises nouvelles pour les insectes depuis des années », conclut Vincent Albouy.
Baby boom chez le gendarme !
Vous les observez dans vos jardins, ils grouillent autour des tilleuls et d’autres arbres en fleurs… Les gendarmes, ces petits insectes aux couleurs si reconnaissables sont dans tous nos souvenirs d’enfance à la campagne ! C’est entre mai et juin, que les premières petites larves éclosent. Mais remontons dans le temps.
A la sortie de leur hivernation, que mâles et femelles se séduisent. Il est plutôt aisé de rencontrer l’âme sœur au sein des immenses colonies. Les couples s’assemblent et l’accouplement peut durer un jour. Le mâle s’accroche à l’abdomen de la femelle. Ensuite, la femelle pond une cinquantaine d’œufs blancs d’un millimètre qu’elle dépose dans la terre ou sous un tas de feuilles mortes. En fonction de la température extérieure, les premières larves éclosent au début de l’été. En sortant de l’œuf, elles sont de couleurs orange pâle. Ces derniers passent ensuite par cinq étapes larvaires avant d’atteindre leur corps d’adulte.
Au fur et à mesure, leur taille et leur couleur évoluent. Les tâches noires si reconnaissables de l’animal apparaissent au cours du développement de l’insecte. Les larves terminent leur évolution avant la fin de l’été et se transforment en jeunes adultes appelés alors imagos. Ensembles, ils se cachent sous des feuilles mortes pour hiverner.
Savez-vous pourquoi on appelle cet insecte, le gendarme ?
Ce nom lui vient de son apparence. En effet, au XVIII siècle, l'uniforme porté la garde militaire de Louis XVI ressemblait étrangement au couleur de ce petit insecte original.
A la Nasa, ils ont accroché une affiche illustrée d'abeilles où on peut lire ce qui suit . "Aérodynamique le corps d' une abeille n'est pas fait pour voler , le bon côté c' est que l' abeille ne le sait pas" La loi de la physique dit qu'une Abeille ne peut pas voler, chaque principe aérodynamique dit que l'amplitude de ses ailes sont trop petites pour conserver son énorme corps en vol, mais une abeille ne le sait toujours pas, elle ne connaît rien de la physique ni sa logique et vole de toute façon. C'est ce que nous pouvons tous faire, voler et prévaloir à chaque instant face à toute difficulté et face à toute circonstance malgré ce qu'ils disent... Soyons des abeilles, peu importe la taille de nos ailes, élevons nous et profitons du pollen de la vie.
Les coccinelles sont appelées familièrement «les bêtes à bon Dieu». Ce surnom est tiré d’une légende remontant au Xe siècle.
Condamné à mort pour un meurtre commis à Paris , un homme , qui clamait son innocence, a dû son salut à la présence du petit insecte. En effet, le jour de son exécution publique, le condamné devait avoir la tête tranchée. Mais une coccinelle se posa sur son cou. Le bourreau tenta de l’enlever, mais le coléoptère revint à plusieurs reprises se placer au même endroit. Le roi Robert II (972-1031) y vit alors une intervention divine et décida de gracier l’homme. Quelques jours plus tard, le vrai meutrier fut retrouvé. Cette histoire s’est très vite répandue et la coccinelle fut dès lors considérée comme un porte-bonheur qu’il ne fallait pas écraser.
La forêt du Buchholz fermée suite à une invasion de chenilles processionnaires
Une invasion de chenilles processionnaires a été constatée en forêt du Buchholz. Elle représente un risque sanitaire important.
La mesure est radicale. La municipalité de Sarreguemines en concertation avec l’Office national des forêts a fermé aujourd’hui vendredi les sept accès de la forêt du Buchholz en raison d’une invasion de chenilles processionnaires. Elles représentent un risque sanitaire important pour l’homme et les animaux.
Leurs poils particulièrement urticants peuvent provoquer de nombreux effets secondaires : conjonctivite, irritation des voies respiratoires, inflammations des muqueuses de la bouche et des intestins… Les poils se détachent facilement et sont dispersés par le vent.
Un contact direct avec une chenille n’est donc pas nécessaire. L’interdiction vaut jusqu’à nouvel ordre.
S'éveiller à la vie, une opération périlleuse pour cette libellule, qui restera très vulnérable jusqu'à son envol.