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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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animaux races ce chiens

humour

Publié à 15:21 par fandeloup Tags : humour

milly

Publié à 10:51 par fandeloup Tags : bébé monde femme chien livre jardin oiseaux
milly

Le plus petit chien du monde s'appelle Miracle Milly .Elle s'appelle Miracle Milly, et du haut de ses 9,65 centimètres, elle est le plus petit chien du monde. Ce minuscule toutou, un Chihuahua originaire de Puerto Rico, vient de faire son entrée dans le livre des records, aux côtés de Colonel Meow, le matou aux poils les plus longs du monde. Un chien pas (tout à fait) comme les autres Milly a près de deux ans, pèse 450 grammes, et adore prendre la pose ! La petite puce a détrôné Boo Boo, un Chihuahua à poils longs du Kentucky, qui mesure 10 centimètres.

 Lorsqu'elle est née, Miracle Milly pesait moins de 30 grammes et tenait dans une cuillère à café, affirme sa maîtresse, Vanessa Semler. Trop petite pour téter sa mère, elle a été nourrie avec une pipette pendant des semaines.

Habituée à dormir dans un lit de bébé près de sa maîtresse, et à manger des petits plats préparés par ses humains, Milly est proche de ses deux soeurs, qui ont une taille normale, mais préfère la compagnie des hommes.

"Elle ne comprend pas qu'elle est un chien. Elle pense qu'elle est un enfant" confie sa maîtresse. Une petite taille, mais une grande personnalité ! Que dire de plus de Milly, si ce n'est qu'elle n'aboie jamais, adore jouer avec les plantes du jardin , et chasser les oiseaux? Véritable passionnée, Vanessa possède 10 Chihuahuas. Et naturellement, Milly est bien souvent la favorite des invités de la jeune femme.

"Les gens sont surpris quand ils la voient, parce qu'elle est si petite. Elle a une grande personnalité. Les gens l'adorent" affirme non sans fierté l'heureuse maîtresse de Miracle Milly.

st bernard

Publié à 10:59 par fandeloup Tags : vie histoire roman film chien livre bleu hiver neige dessin chiens
st bernard

Chien du Saint-Bernard

Le chien du Saint-Bernard (couramment appelé « Saint-Bernard ») est une race de grands chiens de montagne, souvent dressés comme chiens de recherche en avalanche. L'imaginaire populaire les affuble d'un tonnelet de Whisky accroché au cou qui serait destiné à revigorer les victimes du froid. Cette pratique a été utilisée surtout à la fin du xixe siècle dans la recherche de personnes perdues dans les montagnes ou victimes d'une avalanche.
La devise du Chien du Saint-Bernard est: « Noblesse, dévouement et sacrifice »

Appellation :

Leur nom provient de l’hospice du Grand-Saint-Bernard, situé au col homonyme dans les Alpes Suisses, à la frontière avec l'Italie, où ils étaient utilisés par les moines d'abord pour la garde et la défense puis pour la recherche des voyageurs en hiver. C'est une coïncidence pour l'étymologie Bernard et Barry.
 
 Histoire :

Il semble cependant que les chiens initialement utilisés par les religieux appartenaient à une race aujourd'hui disparue qu'ils auraient tenté de recréer en lui enlevant sa férocité. Un spécimen empaillé de la race initiale (sans bajoues et sans oreilles tombantes) est visible à l'hospice.
Le chien viendrait de Haute-Assyrie. Des bas-reliefs ont été retrouvés au Moyen-Orient datant de plus de trente siècles, ressemblant énormément au Saint-Bernard à poil court. Il descendrait du légendaire Mâtin du Tibet, et donc originaire d'Asie. Quelques spécimens furent importés en Grèce, puis à Rome et ensuite se seraient dispersé dans l'Europe Occidentale par le biais des armées romaines probablement au ier siècle. Quelques armoiries, en 1350, de familles nobles figurent le Saint-Bernard.
Vers 1660-1670, des chiens sont offerts au Grand-Saint-Bernard, par des familles vaudoises et valaisannes.
Ce chien est décrit pour la première fois à l'hospice du Saint-Bernard, en 1709 par le Prieur Ballalu : « En 1700, le Chanoine Camos, économe de la Maison, fit faire une roue dans laquelle on met un chien pour faire tourner la broche...». En 1735, le prieur note la réparation du collier d'un chien dans les comptes du Prieur.
Les chroniques qui seront publiées en Europe sur les exploits de ces chiens, sauvant des voyageurs égarés dans la neige ainsi que des récits de soldats de Bonaparte lorsque l'armée de celui-ci franchit le col en 1800, ont fait sa renommée.
Grâce à un élevage systématique, la race actuelle fut créée. En 1867, Heinrich Schumacher, habitant Holligen près de Berne établit des documents généalogiques pour ses chiens. Le livre des origines suisse fut ouvert en février 1884 et le premier à y être inscrit fut un saint-bernard nommé Léon. Le club suisse du Saint-Bernard fut créé le 15 mars 1884 à Bâle et le chien du Saint-Bernard fut reconnu comme race d'origine suisse et son standard adopté lors d'un congrès international de cynologie en juin 1887. Il est alors devenu le chien national suisse.

Saint-Bernard à poil court x Terre-Neuve :

À cause de la consanguinité, un croisement s'opéra entre le Terre-Neuve et le chien du Saint-Bernard à poil court. De ce fait, la corpulence et les qualités du Terre-Neuve furent ajoutées au croisement. Un Saint-Bernard plus gros et plus grand à poil long apparut. Henry Schumacher (1831-1903) expose ces chiens sensationnels à Paris, et en 1884, fonde le club du Saint-Bernard. Un club suisse. L'hospice fut bien étonnée de cette variété de chien à la fin du xixe siècle.
Il existe deux variétés de Saint-Bernard : une variété à poil court et double et une variété à poil long (caractère qui serait réapparu à la fin du xixe siècle). La variété à poil court est d'ailleurs une race moins répandue parmi les chiens du Saint-Bernard.
Mais coûteux à instruire et à entretenir, les chiens du Saint-Bernard sont de plus en plus remplacés par d'autres races plus communes comme le berger allemand, chien polyvalent, comme chien de secours en montagne

Apparence :

Le Saint-Bernard est un chien ayant une grosse tête. Le plus massif chien du Saint-Bernard enregistré était de 107 cm de hauteur, 89 cm au niveau des épaules, et 2,59 m de long et pesait 100 kg. Le poids moyen de la race est entre 64 et 120 kg ou plus et la hauteur approximative au garrot est de 70 à 90 cm.
Le manteau peut être lisse ou rugueux, avec à la fin du tronc, un pelage lisse et plat. La fourrure ondulée est abondante, dense mais plate, et un peu plus autour du cou et des pattes postérieures. Le pelage est typiquement de couleur rouge avec du blanc, ou parfois un brin acajou et -toujours- avec du blanc. Un ombrage noir se trouve généralement sur le visage et les oreilles du chien du Saint-Bernard. La queue est longue et lourde, pendue vers le bas, avec l'extrémité tournée vers le haut. Les yeux noirs sont munis d'auréoles étanches naturellement, avec une "conjonctive peu visible". Parfois, les yeux, bruns en général, peuvent être bleu glacial, presque blancs.

Santé :

Le taux de croissance et la prise de poids d'un Saint-Bernard étant rapides, ceux-ci peuvent conduire à une dégradation très grave de l'os, si le chien ne reçoit pas de la nourriture appropriée et de l'exercice physique. Beaucoup de chiens sont génétiquement touchés par la dysplasie de la hanche ou la dysplasie du coude. Il a été démontré que l'ostéosarcome (cancer des os) était héréditaire dans cette race.
Ils sont sensibles aux troubles de la vue tels l'entropion et l'ectropion, dans lequel la paupière se retourne en avant ou en arrière. Le standard de la race indique qu'il s'agit d'un défaut majeur. La race est également sensible aux crises d'épilepsie, à une maladie cardiaque appelée cardiomyopathie dilatée et à l'eczéma. En raison de la probabilité de problèmes de santé au cours des années du chien du Saint-Bernard, l'espérance de vie moyenne pour un Saint-Bernard est d'environ 8 ans. Un Saint-Bernard peut vivre au-delà de 10 ans, mais cela est assez rare.

Caractère :

Le chien du Saint-Bernard est doux, comédien et très têtu. Attention le chien du Saint-Bernard n'est pas une peluche. Il est donc nécessaire de suite, d'appliquer les règles d'une éducation stricte est obligatoire pour que plus tard, ce chien soit agréable à vivre au quotidien. Le chien du Saint-Bernard n'est absolument pas un chien pour novices, sa particularité, c'est de prendre sa place à la maison, et pour certain de rentrer en conflit. Par son instinct de chien de sauvetage, il aidera son maître ou une personne en danger sans hésitations. Il convient très bien en tant que chien de garde (qui était sa première fonction à l'hospice, voir plus haut) puisqu'il est attaché à son territoire. Il n'est pas agressif du tout, sauf envers des personnes mettant en danger son maître. Ce chien n'est strictement pas citadin, de ce fait, il a besoin de beaucoup d'espace.

Sauvetage :

Le chien du Saint-Bernard peut détecter une présence jusqu'à six mètres sous la neige grâce à sa truffe humide. En effet, il possède, contrairement à la plupart des chiens, un sens de l'orientation extrêmement développé, pourrait prévoir des avalanches et des tempêtes de neige, et serait à même de percevoir si une personne est vivante ou morte sous la neige.

Hospice :

L'hospice du Grand-Saint-Bernard a conservé jusqu'en 2004 un élevage de chiens de Saint-Bernard, pour maintenir la tradition et augmenter l'intérêt touristique du site. Depuis janvier 2005, la congrégation des chanoines du Grand-Saint-Bernard a remis la charge du chenil et de l'élevage des chiens du Saint-Bernard à la fondation Barry basée à Martigny, du côté suisse de la route du col du Saint-Bernard.

Cinéma :

À l'instar du dalmatien popularisé et propagé par le dessin animé Les 101 Dalmatiens, cette race de chiens a connu les appuis du public grâce au cinéma :
le court-métrage de Mickey Mouse, Les Alpinistes (1936)
le film de Richard Pottier, Barry (1948) avec Pierre Fresnay et Pauline Carton.
le film québécois à grand succès, La Guerre des tuques (1984).
le film Beethoven et ses suites sortie au cinéma dans les années 1990.
le film Cujo sorti en 1983 adapté du roman de Stephen King.
 

humour

Publié à 07:49 par fandeloup
humour

C'est ce que j'appelle un regard de tueur !!!

galgos

galgos

Le Galgo Espagnol est un lévrier.

Ce mot de "lévrier" est parfois un peu ambigu pour les néophytes qui pensent à la base que "lévrier", c'est une race de chiens ! Rappelons donc que "lévrier" c'est avant tout une fonction : on est lévrier comme chien de berger, de terrier ou de traineau. Le lévrier est donc un chien qui chasse à vue et atrappe lui-même le gibier en le poursuivant.

Cette première mise au point est certes très basique, mais il ne faut jamais l'oublier : le Galgo est un chasseur. Il vit pour la chasse, il a été sélectionné pour cela et pour cela seulement.

La chasse avec un lévrier est interdite en France, alors pourquoi choisir le Galgo ??

Parce que c'est un chien de compagnie idéal ! Vivant, joueur, sportif à l'extérieur, il est extrêmement calme, doux et délicat à l'intérieur. Il s'adapte à votre activité avec une saisissante rapidité. Si rien ne se passe, il est couché tranquilement et dort énormément. Mais pour peu que l'activité du foyer s'intensifie,il suivra. Promenade, jogging, randonnée, shopping ou simple partie de jeu dans le jardin, il est toujours partant. Etant donné sa taille (entre 60 et 70 cm au garrot) c'est un chien peu encombrant, il sait être très "fluide"dans la maison, il ne gêne pas les déplacements des humains même dans une petite pièce, sauf s'il veut vous "dire" quelque chose.Mais c'est au retour de ses maîtres ou à l'arrivée d'un familier que le Galgo s'exprime le plus. L'accueil est souvent délirant : fouet battant à tout rompre,il marche en soulevant les pattes, façon cheval espagnol, se cabre mais sans vous sauter après et sans lécher ( fait que les enfants apprécient tout particulièrement !!). Puis la folie retombe et il retrouve son calme habituel.

Que n'a-t-on pas dit sur les lévriers : betes,distants,fugueurs... ! Les aprioris sont nombreux.

Certes les Galgos ne sont pas faciles à manoeuvrer comme peuvent l'être des chiens de berger ou de garde. Rien de plus facile que d'apprendre un ordre quelconque à un berger allemand ou à un berger belge, en quelques répétitions d'un mot avec un geste associé, le chien a compris, l'ordre est assimilé. Avec un Galgo, rien de tel ! On peut arriver à un bon résultat, mais au pris d'efforts beaucoup plus importants. Il faudra de nombreuses répétitions, mais surtout il ne faudra jamais lasser le chien ! Le forcer est inutile, cela ruine tous les efforts passés et le dégoute. L'éducation d'un Galgo c'est une histoire de patience, le tout étant d'être rigoureux et de ne jamais céder sur un point important, sans pour autant le braquer ! Difficile certes, mais quand on aime son chien....

Alors les Galgos sont ils bêtes ? Certes non ! Comment un chien capable d'anticiper sur la trajectoire de son gibier en tenant compte de la position de son coéquipier et de la topographie du terrain et tout cela à une vitesse effarante pourrait-il l'être ! Mais il s'agit d'un type de comportement différent. Ils sont capables de beaucoup de réflexion pour ce qui les arrange !!! Ce sont des débrouillards nés, avec une finesse d'esprit très surprenante !

Le rapport avec les êtres humains est, après la chasse, l'autre passion des Galgos. Affectueux, collants même, la communication entre un Galgo et son maître est permanente. Si on le laisse faire, un Galgo passerait volontiers sa journée, sa tête, voire son corps entier, sur vos genoux ! C'est à croire que certains rêvent d'être de ces chiens de poche qui passent leur vie entière dans le giron de leur maître ! Mais comme il n'est pas possible de les carresser en permanence, ils prennent leur mal en patience et vont se coucher à la place qui leur est attribuée (si ils sont bien éduqués, sinon ce sera sur le lit, le canapé ou le fauteuil : confort quand tu nous tiens !). Mais même de là, ils ne "lâchent" jamais leur maître des yeux. Ce qui me manque le plus quand je suis loin de mes chiens c'est cette présence permanente. Ce regard qui vous suit, la queue qui s'agite, un peu, calmement, et, quand je les regarde, les yeux qui se plissent un peu avec comme un sourire de complicité, de connivence. Là est toute la douceur du Galgo.

Vis à vis des étrangers, tout est question d'individu et /ou d'éducation. J'ai toujours eu des Galgos très sympathiques, très vivants allant facilement vers les étrangers. En exposition, ils sont rarement dans leur cage et préfèrent "user" tous les exposants de la rangée. La technique est la suivante : vous prenez un exposant qui s'ennuie assis sur un fauteuil devant la cage de son chien, vous glissez gentiment votre nez sous son coude ou sa main et hop vous êtes parti pour 10 ou 20 minutes de caresses. Le "caresseur" se lasse, hop, vous passez tranquilement au suivant !Mais pour certains sujets pas question d'approcher un étranger.

A la maison, c'est différent. Le Galgo aboit très peu de façon générale, mais il aboit très fort à l'arrivée d'un nouveau venu. Quand un inconnu entre c'est tout d'abord la méfiance qui domine. Si la tête du nouveau venu ne leur plait pas, ils peuvent même grogner. Mais cette phase s'arrête immédiatement si la personne s'assoit ! Assis au salon, visiblement accepté par les maîtres, il est un "caresseur" potentiel, et c'est à qui fera la conquête du nouveau venu ! Il faut même souvent les renvoyer à leur place plusieurs fois pour que celui-ci puisse respirer un peu au milieu de toutes ces sollicitations !

Mais là aussi certains Galgos gardent leurs distances. Question de personnalité ? D'éducation ? Difficile de faire la part des choses.

Le Galgo est-il un chien fugueur ?

Oui et non !

Je considère qu'il existe deux types de fugues et une situation exceptionnelle.

Le chien vit dans une maison ou un appartement et il a l'occasion d'en sortir seul sans son maître. Ce chien va comme tous les chiens dans ce cas, faire son tour du quartier, rencontrer d'autres chiens libres ou en provoquer d'autres qui sont enfermés ou attachés et rentrer à la maison quand il aura finit sa "tournée". Il n'est pas paniqué, il connait les lieux. Si cela est une fugue pour vous, oui, le Galgo est fugueur ! Son "territoire" est à la mesure de sa vitesse de déplacement, est forcément il sera plus grand que celui du Chihuahua du voisin qui se limite à la bordure de trottoir. Ce type de "fugue" a été le quotidien de beaucoup de chiens pendant des centaines d'années, mais aujourd'hui la circulation automobile s'intensifie et un chien ayant un comportement "normal" de chien domestique court les plus grands risques. Contre ce type de fugue il n'y a pas d'autre solution que la cloture si vous avez un jardin et une fermeture systématique des portes s'il s'agit d'un appartement.Beaucoup de propriétaires de lévriers n'osent pas lâcher leur chien dans un endroit non clos. Si cela arrive un jour par hasard, ou à titre d'essai, leurs pires soupçons se confirment et ils pestent et angoissent pendant 2 heures jusqu'à ce qu'ils récupèrent leur chien fugueur. Confortés dans leur sentiment que le laisser libre est impossible, ils le rattachent sur le champ et jurent bien que celà ne se reproduira pas ! Mais fatalement un jour cela se reproduit et le scénario est égal à lui-même, si ce n'est pire. La prise de risque par le chien est énorme, car, ivre de liberté, il ne fait attention à rien, il court, il renifle, il urine, il repart de plus belle... Le maître est fou d'inquiètude, de désespoir ...  Il ne faut toutefois jamais oublier que le Galgo est fait pour courrir et que ce défoulement lui est INDISPENSABLE. Un départ de gibier ne laissera jamais un Galgo indifférent ! Même un Galgo bien éduqué partira TOUJOURS derrière un gibier qui démarre, lapin, lièvre, perdrix, mais aussi chevreuil ou biche. Comme je le disais au début de cette page il est avant tout un chasseur. Il a beau aimer son maître et justement à cause de cet amour, il partira. Des centaines d'année de sélection sur ce seul critère resteront marquées en lui quoique l'on fasse. Alors pas d'autre solution que de bien choisir ses lieux de promenade, surtout pas trop giboyeux.

pittt

Publié à 07:30 par fandeloup
pittt

Dans les années 70 ils blâmaient les Dobermans, dans les années 80 ils blâmaient les bergers allemands, dans les années 90 ils blâmaient les Rottweilers. Maintenant ils blâment les Pitt Bull, quand vont ils blâmer les humains?? Ce n'est pas parce que cette loi ne vous affecte pas maintenant qu'elle ne vous affectera pas dans le futur. SVP faites votre part, éduquez, ne faites pas de discriminations

pittt

Publié à 07:30 par fandeloup
pittt

Dans les années 70 ils blâmaient les Dobermans, dans les années 80 ils blâmaient les bergers allemands, dans les années 90 ils blâmaient les Rottweilers. Maintenant ils blâment les Pitt Bull, quand vont ils blâmer les humains?? Ce n'est pas parce que cette loi ne vous affecte pas maintenant qu'elle ne vous affectera pas dans le futur. SVP faites votre part, éduquez, ne faites pas de discriminations

berger australien

Publié à 11:53 par fandeloup

boxer

Publié à 12:16 par fandeloup
boxer

Je peux me défendre contre la méchanceté ; je ne peux pas me défendre contre la gentillesse

chiens

Publié à 08:54 par fandeloup Tags : amour photo tendresse
chiens

Une photo remplie de tendresse et d'amour, alors que c'est une race qui elle aussi subit tellement de préjugés