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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L’impact climatique des volcans extra-tropicaux serait plus important qu’envisagé
Les éruptions volcaniques explosives de grande ampleur ont un effet considérable sur le climat. Toutefois, les scientifiques ont généralement considéré que c’est lorsqu’elles surviennent dans les tropiques qu’elles ont l’impact le plus important. Cette assertion a récemment été remise en question dans une étude parue le 28 janvier dernier.
Il est bien connu que les éruptions explosives de grande ampleur ont un impact substantiel sur la machine climatique. Elles provoquent notamment un refroidissement des températures en surface via l’injection de dioxyde de soufre (SO2) dans la stratosphère.
Cela conduit à une augmentation de la quantité d’aérosols sulfatés qui s’y trouvent. Lesquels sont de très bons réflecteurs du rayonnement solaire. En conséquence, moins d’énergie atteint les basses couches de l’atmosphère, ce qui conduit à un abaissement ponctuel des températures. Par exemple, l’année suivant l’éruption du Mont Pinatubo (1991), la température moyenne globale s’est abaissée d’environ 0,5 °C. Une hypothèse généralement admise par les scientifiques stipule qu’à intensité égale, l’impact climatique d’une éruption explosive est plus important si elle a lieu au niveau des tropiques.
Elle repose sur le fait suivant. Si les aérosols sulfatés sont formés dans la stratosphère tropicale, ils vont se répandre autour du globe et rester en suspension plus longtemps. Ceci grâce à la circulation particulière des vents à ces altitudes. Ainsi, l’effet sur le rayonnement solaire et donc sur le climat sera plus marqué. Pourtant, les reconstructions de l’activité volcanique sur les derniers 2500 ans suggèrent autre chose.
Lorsque d’importantes éruptions extra-tropicales se sont produites, elles ont été suivies d’un net refroidissement à grande échelle. On citera par exemple l’événement catastrophique de l’an 536. Cela rentre à l’évidence en contradiction avec l’hypothèse exposée précédemment. Crédit : Wikilmages/Pixabay « Les éruptions extra-tropicales sont plus efficaces en termes de refroidissement hémisphérique »
Pour éclaircir la question, des chercheurs ont réévalué l’ampleur du forçage climatique des éruptions extra-tropicales par rapport à celui des éruptions tropicales. L’étude est parue le 28 janvier dernier dans la revue Nature Geoscience. En comparant les reconstructions des injections de soufre dans la stratosphère à celles de la température en été dans l’hémisphère nord depuis l’an 750, les auteurs sont arrivés à des résultats surprenants.
« Nos analyses montrent que de nombreuses éruptions volcaniques extra-tropicales ont provoqué un refroidissement de surface prononcé dans l’hémisphère nord au cours des 1250 dernières années », indique Matthew Toohey, auteur principal de l’étude.
« En fait, les éruptions extra-tropicales sont plus efficaces que les éruptions tropicales en termes de refroidissement hémisphérique, par rapport à la quantité de soufre émis », poursuit-il. Les simulations effectuées par les chercheurs montrent qu’en réalité, si les aérosols sulfatés ont bien une durée de vie plus courte lorsqu’ils sont produits à des latitudes élevées, cet effet est faible. Il est quantifié à hauteur de ~10 % en comparaison d’un panache tropical de mêmes caractéristiques.
Pour une injection de soufre similaire à celle du Pinatubo mais placée dans les extra-tropiques de l’hémisphère nord, le forçage climatique dans ce dernier est jusqu’à 80 % plus marqué ! Cela s’explique par le fait que les particules sont confinées dans un hémisphère au lieu d’être diluées autour du globe. Ainsi, l’effet est plus concentré que dans le cas d’une injection tropicale.
Réévaluer le rôle des volcans dans les variations climatiques passées Cette avancée devrait permettre de mieux quantifier la part des variations climatiques passées attribuable aux volcans. En considérant les résultats obtenus par les chercheurs, il est par exemple plus aisé de comprendre comment l’éruption de l’année 536 a pu provoquer un refroidissement aussi marqué. « (…) la latitude extra-tropicale de l’éruption agit de manière à focaliser les forçages radiatifs dans l’hémisphère nord, ce qui renforce l’impact climatique hémisphérique » conclut l’étude.
Pourquoi l'Etna pourrait provoquer un tsunami en Méditerranée
L'Etna est tout proche des villes densément peuplées de Catane et Messine.
L'un des flancs du volcan le plus actif d'Europe s'enfonce peu à peu dans la mer Méditerranée. Un effondrement brutal provoquerait d'énormes tsunamis. Ses coups de sang réveillent déjà régulièrement les Siciliens sous un ciel de fumée et de poussière.
Mais l'Etna cache une autre menace : selon une étude publiée par la revue Science Advances, le volcan le plus actif d'Europe s'enfonce de plusieurs centimètres par an, ce qui pourrait à terme provoquer des tsunamis en mer Méditerranée.
C'est le flanc sud-est du géant sicilien qui pose problème. D'après les chercheurs de l'institut océanographique allemand Geomar, qui ont étudié ses mouvements durant un an et demi, celui-ci glisse de trois centimètres par an dans la mer à cause de la gravité (et donc de son propre poids).
Le chiffre paraît réduit mais, à la longue, "nous ne pouvons pas exclure que ce mouvement évolue en effondrement catastrophique". Une lourde menace pour les habitants d'une région qui, entre Messine et Catane, est densément peuplée. Mais ils ne sont pas les seuls concernés.
"Le déplacement soudain de grandes quantités de matière peut provoquer des tsunamis aux effets dévastateurs", craignent en effet les vulcanologues. Un scénario catastrophe qui aurait déjà touché les côtes de l'actuel Israël il y a quelque 8 000 ans.
5 faits que vous ignorez (peut-être) sur les volcans d’Auvergne Puy de Dôme
Ce lundi 2 juillet, l’Unesco a inscrit la Chaîne des Puys et la faille de Limagne au patrimoine mondial. Chapelet de 80 volcans "endormis", l'emblématique Chaîne des Puys fait partie des volcans d'Auvergne, eux-mêmes faisant partie du parc naturel régional des volcans d'Auvergne.
Elle devient le premier bien naturel de la France continentale classé au patrimoine mondial, les autres sites naturels inscrits se trouvant en Corse et outre-mer (Réunion, Nouvelle-Calédonie).
C’est le moment de réviser vos connaissances sur ces volcans qui dessinent le relief et l’histoire de l’Auvergne.
Voici 5 faits que vous ignorez (peut-être) sur les volcans d’Auvergne :
La période volcanique en Auvergne a débuté il y a environ 60 millions d’années Il y a 60 millions d'années, la plaque terrestre européenne a rencontré la plaque africaine, ce qui a provoqué des plissements à l'origine des Alpes. S’en est suivi la formation des premiers volcans d’Auvergne, ceux de la Limagne, qui seraient apparus il y 25 millions d’années.
Les volcans d’Auvergne n’entrent qu’une seule fois en éruption Les volcans d’Auvergne sont mono géniques, ils ne peuvent entrer en éruption qu’une seule fois. En effet, le magma ne remonte pas par une cheminée mais par des failles qui se rebouchent après l’éruption.
« La seule possibilité d’une éruption résiderait dans une fracture de la roche, due à un changement de pression sous terre ou à un épisode sismique, ce qui pousserait le magma à se frayer un chemin jusqu’à la surface. », selon Ouest-France.
La dernière éruption en Auvergne remonte à près de 7 000 ans Le site a connu sa dernière éruption volcanique il y a 6 700 ans, donnant ainsi naissance au lac Pavin dans le Puy-de-Dôme. L’Auvergne abrite le plus grand volcan d’Europe Le Massif du cantal est le plus grand volcan d’Europe avec un diamètre d’environ 70 km, vieux de 3 millions d’années.
La formation de ce massif résulte d’une forte activité volcanique qui s’est déroulée sur une période d’environ 8 millions d’années. Un réservoir de magma liquide a été découvert sous les volcans d’Auvergne Sous les volcans endormis de la Chaîne des Puys, des chercheurs ont découvert en 2016 un gigantesque réservoir de magma à quelques kilomètres de profondeur !
Notre planète est sublime ! Pour le constater, il suffit de bien observer la nature: elle marche comme une machine bien huilée et les spectacles qu'elle nous offre sont parfois à couper le souffre. Qu'il s'agisse d'une montagne au mille couleurs ou d'un animal aux multiples têtes, notre bonne vieille Terre ne cesse jamais de nous étonner. Sans compter ce que nous-même, humains, apportons de beauté et de bizarrerie !
Cette spectaculaire éruption est celle du mont Ararat en Arménie !
Peu de gens peuvent se vanter d'avoir vu de si près ces phénomènes assez rares. Ces clichés ne semblent pas réels et pourtant, ils le sont bien, on peut dire des photographes qu'ils sont très chanceux.
Peu de gens peuvent se vanter d'avoir vu de si près ces phénomènes assez rares. Ces clichés ne semblent pas réels et pourtant, ils le sont bien, on peut dire des photographes qu'ils sont très chanceux.
Chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais nous l'avons oublié. L'envie a empoisonné l'esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour nous enfermer en nous-mêmes. Les machines qui nous apportent l'abondance nous laissent dans l'insatisfaction. Notre savoir nous a fait devenir cyniques. Nous sommes inhumains à force d'intelligence, nous pensons beaucoup trop et nous ne ressentons pas assez. Nous sommes trop mécanisés et nous manquons d'humanité. Nous sommes trop cultivés et nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités humaines, la vie n'est plus que violence