Elle n’a que trois ans, mais elle est déjà un prodige du patinage. Elle a conquis nos cœurs!

Si vous êtes parent, vous savez que c’est important de laisser les enfants essayer plusieurs activités afin de voir dans laquelle ils s’amusent le plus. Cette petite fille est sur le chemin vers la réussite! Malgré son jeune âge, elle a déjà découvert sa passion. La fille a appris à patiner juste un an après avoir pris ses premiers pas. Et si elle continue comme ça, nous sommes certains qu’elle peut aller très loin.

Considérant son talent à trois ans, nous croyons qu’elle pourra accomplir de grandes choses – peut-être une médaille d’or aux Jeux Olympiques en quelques années? Les enfants qui sont intéressé par un sport développent de confiance et l’estime en soi. L’important est que l’enfant s’amuse en pratiquant un sport qu’il aime vraiment, et de ne pas l’obliger à faire un sport qu’il n’aime pas.

La jeune fille dans cette vidéo a l’air de beaucoup s’amuser, et sa belle performance fait fondre les cœurs des spectateurs! Admirez son talent ci-dessous, et n’hésitez pas à le partager avec vos amis!

Une terrifiante créature s’échoue sur une plage Un monstre long de quatre mètres s’est échoué sur une plage mexicaine jeudi 10 mars dernier.

Le mystère de cette créature reste entier.

Un monstre long de quatre mètres s’est échoué sur une plage mexicaine jeudi 10 mars dernier. Le mystère de cette créature reste entier.

 Une créature gigantesque et difforme a été découverte sur une plage de la ville d’Acapulco (Mexique) il y a quatre jours. Forcément, un tel phénomène attire l’attention.

Les personnes présentes ce jour ont partagé vidéos et photo sur les réseaux sociaux afin de résoudre le mystère de cette espèce marine. Pour certains il s’agirait d’une baleine, pour d’autres, d’un calamar géant…

Tout ce que nous voyons est une masse grise monstrueuse. Selon la coordinatrice des pompiers, Rosa Camacho, la créature serait morte peu de temps avant sa découverte et présentait un état de décomposition avancé. Mais ce n’est pas pour autant qu’une odeur fétide émanait de l’animal.

Si vous achetez un œuf au supermarché... vous obtiendrez peut-être un cailleteau

Un Néerlandais a voulu voir si les œufs au supermarché sont vraiment infertiles. Il a acheté une douzaine d'oeufs de caille et les a mis dans un incubateur.

Et une vingtaine de jours plus tard naissait Albert, un petit cailleteau en parfaite santé. Et on vous dit pourquoi.

1 Vous rêvez d'élever un bébé caille ? Pas de problème, il vous suffit d'aller au supermarché. C'est du moins ce que tend à prouver cette expérience, réalisée par Alwyn Wils, un Néerlandais de 45 ans, curieux de savoir ce qui se cachait derrière la coquille des œufs industriels.

"Sur internet , j'ai vu partout que les œufs de supermarché ne sont pas fécondés. Mais je me suis dit, allons voir ça", raconte-t-il selon le Telegraph. Il s'est donc rendu dans un supermarché le 15 janvier, visiblement bio (on aperçoit le mot "biologique" en Néerlandais sur une boite en retrait), et a acheté une boite de 12 œufs de caille. Un œuf sur douze Il a placé tous les œufs dans un incubateur, curieux de voir le résultat.

Et le 3 février, l'un de ces douze œufs se met à gigoter... Albert a fendu sa coquille et fait sa première apparition. Le cailleteau, élevé par Alwyn, est pleine forme et a même réussi son premier vol à 20 jours à peine.

Coup de chance ? Fake ?

Comment un bébé caille est-il sorti d'un œuf en rayon de supermarché ? Cette expérience n'est probablement pas truquée. Elle ne pourrait cependant fonctionner qu'avec des œufs de caille. À l'inverse des poules souvent élevées en masse et sans coq (les œufs ne sont donc pas fécondés), les cailles ont un mode de vie délicat. Un élevage qui favorise la fécondation Leur élevage nécessite d'être au plus prêt de leurs besoins naturels, en terme d'espace, de lumière du jour, de nourriture au sol, et de congénères bien sûr, nous explique La Voix du Paysan.

Pour respecter l'équilibre de l'élevage, ces oiseaux, mâles et femelles, sont donc souvent mélangés à raison d'un mâle, qui accélère l'ovulation de ses semblables, pour 5 femelles. Et sur chaque récolte, 8 œufs sur 10 est fécondé, soit beaucoup plus que chez la poule. Une fois les œufs pondus, ils sont triés selon certaines normes, fixées par l'état. L

es plus ronds, pointus, trop petits ou trop gros sont écartés et destinés à la consommation. Les autres produiront de nouveaux cailleteaux destinés plus tard à la reproduction. Certains des œufs fécondés peuvent donc terminer dans nos boites par douzaines au supermarché, d'autant plus quand celui-ci est bio et respecte un certain "art de vivre" dans l'élevage des animaux.

L’homme se rapproche d’un troupeau d’éléphants barbotant dans l’eau, mais regardez la suite…

Les éléphants sont l’un des plus grands mammifères du monde, mais cela ne les empêche pas de former des amitiés avec ceux qui sont moins de la moitié de leur taille.

La vidéo ci-dessous, filmé au parc « Elephant Nature Park » en Thaïlande, est la preuve.

Lek Chailert a fondé le centre de secours et de réhabilitation en 1996 afin de fournir un sanctuaire pour les éléphants, ainsi que pour des autres animaux.

Lek visite le refuge tous les jours. Son mari, Darrick Thompson, s’occupe également des éléphants sauvés. Ci-dessous, nous pouvons voir le lien qui existe entre HanSa, le bébé éléphant, et Thompson. Ils ont passé toute la journée à nager ensemble.

« Hier, elle voulait vraiment que j’aille nager avec elle donc et elle était triste parce que je ne suis pas allé, donc aujourd’hui, je voulais aller nager avec elle, » explique Thompson, qui aide à la construction du refuge.

Malheureusement, HanSa est décédé en 2015 à cause d’un herpèsvirus, une un virus frappant les éléphants en captivité, ce qui rend ce moment encore plus touchant. Regardez la vidéo ci-dessous et s’il vous plaît partagez le souvenir de ce bébé éléphant avec vos amis!

Chine : un nouveau cauchemar pour les dauphins et les baleines La chine est devenue le cauchemar des cétacés captifs en raison de l’expansion des parcs marins, ce qui soulève une question : La Chine doit-elle suivre l’exemple dévoyé de l’occident ?

Par KC Chau L’engouement croissant du public pour les parcs marins en Chine continentale a entraîné une augmentation du nombre de cétacés capturés et dressés pour divertir les consommateurs chinois et ainsi générer un profit.

La sauvegarde et l’éducation sont les deux motifs bien souvent invoqués par ces parcs avides de profits. Or, un rapport d’enquête récemment publié contredit ces allégations en dénonçant la cruauté envers les animaux et la possible illégalité de certaines pratiques. Selon les défenseurs des droits des animaux, parmi lesquels on compte des scientifiques, il existe des alternatives plus respectueuses des animaux à ce genre de « divertissement éducatif ».

La Chine héberge aujourd’hui trente-neuf parcs marins et quatorze autressont en construction. Récemment, la transformation d’un centre commercial à Canton, dans la province de Guangdong, en parc marin (le Sea World Zhengija), a créé une polémique. Les parcs chinois détiennent près de 500 cétacés, appartenant à onze espèces, dont la moitié ont été capturés dans la baie de Taiji, au Japon ou dans la mer d’Okhotsk en Russie au cours des cinq dernières années.

Ces parcs lucratifs et les spectacles qu’ils assurent en sont les uniques responsables. La demande croissante pour de telles infrastructures est une menace majeure qui plane sur les cétacés sauvages qui vivent dans ces régions. Afin de sensibiliser le public à la cruauté de la captivité, des experts et des activistes internationaux, avec l’aide de leurs partenaires en Chine et à Taiwan, ont formé en 2014 l’Alliance Cétacés de Chine (China Cetacean Alliance ou CCA).

Pendant six mois, les enquêteurs de la CCA ont rendu visite à quatorze parcs marins chinois. À la veille d’une conférence internationale sur la captivité des animaux marins, en décembre 2014, la CCA a publié son Rapport d’enquête sur l’industrie des cétacés en captivité en Chine, qui réunit les observations de première main recueillies par les enquêteurs aux informations de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de la faune et de flore sauvages menacées d’extinction) et à d’autres sources publiques.

Le Dr. Naomi Rose , une spécialiste des mammifères marins du U.S. Animal Welfare Institute (institut pour le bien-être des animaux, ndt), une organisation membre de la CCA, explique : Dans leur milieu naturel, les cétacés nagent jusqu’à 160 kilomètres par jour et peuvent plonger jusqu’à trois cent mètres de profondeur. Or, les dimensions moyennes des bassins dans les parcs marins chinois sont de six mètres de profondeur, quinze mètres de largeur et vingt mètres de longueur, ce qui ne leur permet pas de satisfaire leurs besoins complexes. En outre, le bruit et le stress causé par la participation forcée à des spectacles peuvent déclencher des comportements névrotiques chez les cétacés captifs.

Ses conclusions sont sans appel : les cétacés sont inadaptés à la vie en captivité sous toutes ses formes. « Sans aucun doute, les conditions de vie dans les infrastructures taiwanaises et chinoises sont pires qu’ailleurs. »

Le rapport souligne qu’il n’existe pas de définition du bien-être animal dans la loi chinoise, pas plus qu’il n’existe de registre du nombre d’animaux importés, de naissances ou de décès auquel le public ait accès.

Ainsi, ils ne sont aucunement protégés. C’est précisément parce qu’ils sont absolument inadaptés à un environnement confiné, bruyant et chloré que les cétacés sont dans de tels états de stress et de dépression, ce qui, on le sait, a des conséquences désastreuses sur leur santé et leur espérance de vie.

Cette information, évidemment, est passée sous silence. Afin d’attirer toujours plus de consommateurs, les parcs livrent un message trompeur, tel que « les dauphins aiment interagir avec les hommes » ou « quand le public est content, ils le sont aussi. »

Le but de ces parcs n’est « évidemment pas l’éducation comme ils le prétendent, mais le profit. L’industrie du divertissement se développe rapidement en Chine. Ainsi, la société Haichang Ocean Park Holding LTD., le holding leader du marché qui détient 6 parcs marins sur le continent chinois, attire plus de dix millions de visiteurs par an.

Il a réalisé un bénéfice de 192 millions de RMB (soit plus de 29 millions de dollars) en 2014, soit une augmentation de 77 % par rapport à l’année précédente. Les visiteurs paient pour avoir leurs photos avec les dauphins à l’Ocean Park Polar de Canton. Les dauphins doivent garder la pose pendant plusieurs minutes pendant ces séances.

Dans le même temps, les enquêteurs de la CCA le Guangzhou Chimelong Group Co., Ltd., une autre société majeure sur la scène chinoise, avait acheté, avait acheté sept orques en voie de disparition pour son Ocean Kingdom de Guangdong, dont seulement deux ont été inscrites sur le registre du commerce de la CITES. La CCA a aussitôt fait pression sur le gouvernement pour qu’il enquête sur la légalité de cette transaction.

Les cétacés captifs à Taiwan ne sont pas épargnés non plus. Quatre parcs y détiennent des cétacés, confinés dans de petites installations vétustes.

Le Dr Naomi Rose a notamment observé que le spectacle des dauphins au Farglory Ocean Park à Hualien, Taiwan, était extrêmement bruyant, « peut-être même le spectacle le plus bruyant auquel j’ai jamais assisté. »

Depuis 2002, le Farglory a importé 17 dauphins, dont 9 sont décédés à la suite de mauvais traitements. Le Farglory Ocean Park et l’Ocean World de Yehlui sont décrits comme des « esclavagistes des animaux » par l’Environment and Animal Society de Taiwan. Néanmoins, les spectacles de dauphins attirent encore et toujours des touristes mal informés.

La beauté des dauphins, leur supposé sourire et leur comportement, alors même qu’ils endurent de terribles souffrances, sont souvent mal interprétés. En 2013, Pinky, un grand dauphin alors âgé de 14 ans et détenu par l’Ocean Park de Hong Kong, a été filmé en train de se jeter contre les murs du bassin à plusieurs reprises, un comportement auto-destructeur stéréotypique.

La direction du parc a essayé d’éviter la mauvaise publicité en affirmant que c’était un jeu habituel pour Pinky, mais le scandale a déclenché la première campagne publique anti-captivité des cétacés à Hong Kong. Depuis 2003, plus de 20 millions de touristes chinois se sont rendus à l’Ocean Park de Hong Kong, soit près d’un habitant sur deux.

Le Dr Samuel Hung, Président de la Hong Kong Dolphin Conservation Society impliqué dans la campagne, s’inquiète de l’exemple que l’Ocean Park de Hong Kong donne à ses concurrents en Chine. Il reproche à l’Ocean Park de promouvoir les spectacles de dauphins, véhiculant ainsi un message trompeur, tel que :

« les dauphins captifs vivent mieux que leurs congénères en liberté. » Contrairement aux autres infrastructures en Chine continentale, qui sont souvent dirigées par des sociétés commerciales, l’Ocean Park de Hong Kong est géré par une fondation caritative dont le gouvernement local est l‘investisseur principal. Le Dr. Hung exhorte donc ses dirigeants à cesser de promouvoir la captivité des dauphins au nom de leur protection.

Le Dr. Rose déclare, à propos de l’Ocean Park de Hong Kong, qu’il « montre un mauvais exemple aux parcs similaires de Chine. » Selon elle, en tant que leader dans son domaine d’activité, le parc devrait commencer à envisager d’autres formes de divertissement qui n’entraînent pas de souffrance animale, comme les technologies CGI, les animatroniques, la réalité virtuelle ou les projections en 3D Imax.

Elle résume ainsi :L’affluence des touristes chinois dans les parcs marins de Chine et de Taiwan indique clairement que la demande pour ce genre de divertissement ne baisse pas. On est alors en droit de se demander si, en dépit du désintéressement occidental pour ce genre d’attraction, et malgré la montée de l’intérêt pour le bien-être animal, la Chine ne prendrait pas le chemin inverse ? En d’autres termes, les consommateurs chinois ne peuvent-ils pas se passer de ce genre de divertissement ?

La réponse du Dr Rose, et d’autres militants des droits des animaux chinois est un « non » catégorique. Ils commencent à peine à protéger les cétacés sauvages. Ce texte est une traduction d’un article publié dans le « inmediahk » de Hong Kong.

CETTE FILLETTE HANDICAPÉ EST FILMÉ PAR SON PROFESSEUR… ATTENDEZ DE VOIR LORSQU’IL OUVRIR LA BOUCHE !

 Julia Maritza est une petite fille très spéciale, qui a attiré l’attention des médias du monde entier pour son talent. Surmontant les barrières de l’handicap, Julia se prépare en effet à devenir une petite star grâce à sa voix puissante, que vous pouvez écouter avec plaisir dans cette vidéo.

La chanson qu’elle a choisie est un classique de la musique pop, écrite par Dolly Parton et chantée par la grandeWhitney: Julia parvient à maîtriser un titre aussi difficile que « I will always love you » à la perfection. On n’a qu’une chose à dire: BRAVO et longue route à toi.

Elle tenait absolument à connaître sa mère biologique, elle a eu une surprise incroyable

Nita Valdez a fait adopter sa fille il y a 40 ans alors qu’elle n’avait que 17 ans .

Cet enfant s’appelle Jenny Thomas. Elle cherchait désespérément la trace de sa mère biologique depuis 15 ans. Pour arriver à ses fins, Jenny Thomas a fait appel à l’émission « Long Lost Family » (TLC). Ce show télévisé américain permet aux personnes de retrouver les membres de leur famille.

Le moins que l’on puisse écrire est que Jenny Thomas a eu droit à une drôle de surprise. En fait, sans le savoir, elle connaît sa mère biologique depuis dix ans. Jenny Thomas et Nita Valdez travaillent ensemble dans un hôpital à Rochester.

Elles ont même déjà échangé quelques mots quand un patient devait changer de service. « Notre relation a toujours été professionnelle », a ajouté Jenny Thomas, très étonnée par la nouvelle. « On peut dire que ça a été violent. Je suis choquée. »

A les voir, on dirait qu'ils peuvent à peine tenir une guitare, mais j'ai été hypnotisé

La nouvelle astuce ingénieuse de la police américaine pour piéger les braconniers !

L'Homme a toujours chassé les animaux et continue encore à le faire pour se nourrir.

Cependant, la chasse de nos jours est réglementée en fonction des zones, des périodes et aussi des espèces à chasser. Seulement, il existe toujours comme partout des gens qui vont essayer d'enfreindre le règlement. Pour lutter contre le braconnage, une association américaine a pris l'initiative d'implanter des animaux robotisés qui vont servir d'appâts. Une belle initiative et une avancée significative dans la lutte contre le braconnage qui a débuté au Maryland (États-Unis).

Un concept qui consiste à piéger ces hors-la-loi qui croiront voir de vrais animaux alors que ce sont des robots.

Une astuce qui a déjà produit des résultats satisfaisants avec l'arrestation de deux chasseurs du Maryland qui ont abattu un cerf en pensant que c'était des vrai.

Pour avoir chassé sur une zone interdite et en dehors du calendrier, ils ont été interdits de chasse.

Dave, la chienne de sa vie

A l’occasion de la sortie du livre « Ma chienne de vie » écrit à quatre mains et quatre pattes par Dave, son compagnon Patrick Loiseau et Chance, leur chienne, 30millionsdamis.fr vous propose une plongée dans leur vie.

Extrait de l'émission 30 Millions d'Amis.

Une vie à trois. C’est le joli conte de Dave et son compagnon Patrick Loiseau dans leur livre Ma chienne de vie sorti le 16 février 2016 aux éditions Robert Laffont.

Sous la plume de Chance, qui raconte elle-même son histoire , on y découvre sa vie de chienne rescapée d’un sombre destin : celui d’appât vivant pour la chasse aux requins sur l’île de La Réunion.

Une chasse officiellement interdite mais qui se perpétue toujours officieusement, car très lucrative. Mais aussi et surtout, sa belle vie depuis 10 ans avec le couple star.

MESSAGE D’ESPOIR

Ce livre, qui évoque le martyr de la chienne jusqu’à son adoption, puis son quotidien rempli d’amour, est un véritable message d’espoir pour tous les chiens qui souffrent. Une belle preuve que ces animaux malmenés par l’existence peuvent retrouver confiance en l’Homme et renouer un lien indéfectible.

Mais si la lumière des projecteurs s’attarde sur les terribles conditions animales à La Réunion, les auteurs n’en oublient pas moins de pointer les horreurs en métropole : la corrida ou encore la fourrure.

Cet engagement pour la cause animale qui transparaît au fil des pages, Dave l’a déjà partagé dans l’émission 30 Millions d’Amis. DAVE ET SES 30 MILLIONS D’AMIS

Dès son arrivée dans la vie de Dave, Chance était passée dans l’émission 30 Millions d’Amis (18/12/2005). Son maître, avait alors confié son immense amour des animaux !

Puis, en 2014, les caméras de l’émission avaient pris de leurs nouvelles. Un joli souvenir pour le chanteur à succès, qui a par ailleurs récemment confié à Laurent Ruquier regretter la suppression de l’émission 30 Millions d’Amis (On n’est pas couché – F2 – 14/02/2016).