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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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En ce temps-là, Jésus prit la parole : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l'as révélé aux tout-petits. Oui, Père, tu l'as voulu ainsi dans ta bonté. Tout m'a été confié par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. » « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »
L’Evangile de ce jour fait suite aux reproches très durs que Jésus avait adressés aux villes du bord du lac de Tibériade. Ces dernières avaient eu le privilège de ses miracles et de saprésence, mais elles ne s’étaient pas converties. Les pharisiens n’ont jamais cessé de le critiquer quoi qu’il fasse. De la part de Jésus, on aurait pu s’attendre à des plaintes. En fait, c’est tout le contraire qui se passe. Sa prière est une prière de louange, inspirée par ce qu’il vit. « Tu as caché ces choses aux sages et aux savants… » Tu les as cachées aux pharisiens d’hier et à ceux d’aujourd’hui. Ne nous trompons pas. Dieu n’a rien caché à personne. Jésus s’adresse à ceux qui se rengorgent de leur savoir et de leur pouvoir. Ces derniers traitent les petits avec mépris. Eux, ils savent. Ils ricanent quand ils entendent ce prophète parler de l’amour sans condition qui prétend les libérer et les faire renaître. C’est comme dit saint Jean au début de son Évangile : « il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu. » Face à ces gens conscients de leur supériorité, nous avons les petits : Eux, n’ont rien à perdre. Ils sont loin du savoir et du pouvoir. Leur disponibilité leur permet d’accueillir la bonne nouvelle que Jésus est venue apporter au monde. Ces gens considérés comme des bons à rien sont prêts à jouer leur vie sans calcul. C’est pour cela que Jésus rend grâce : « Ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits ». Il faut le redire : Dieu ne cache rien à personne. C’est l’orgueil humain qui empêche l’homme d’accueillir la bonne nouvelle de l’Evangile. Le « tout-petit » chez saint Matthieu, c’est celui qui accueille le « tout-grand » c’est-à-dire Dieu. Ce n’est pas pour rien que Jésus a dit : « Heureux les pauvres de cœur, le Royaume de Dieu est à eux ». Ces « tout-petits » dont il est question, ce ne sont pas des « enfants de chœur » ni des « enfants de Marie ». Ce sont les publicains d’hier et d’aujourd’hui, ce sont les prostituées, les étrangers, les malades aux contagions redoutables, des gens qui ont perdu la tête. Ce sont aussi des prisonniers et des marginaux de toutes sortes. Par rapport aux bien-pensants, ils sont tout-petits parce qu’on les regarde de haut. Or, c’est vers eux que Jésus va. Il ne cesse de leur dire que Dieu les aime. Il ne leur parle pas « d’aller à confesse » mais de « venir à un banquet ». Il ne brandit pas la loi, mais il annonce le Royaume pour tous. « Venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau ! »Aller au Christ et le rencontrer c’est vraiment LA chance de notre vie. Ceux qui l’ont vraiment rencontré ont vu leur vie transformée et rayonnante. Ils ont retrouvé une paix plus lumineuse que le soleil du plein midi. Avec Jésus, nous sommes entraînés vers une vie responsable et toute neuve. Si nous le voulons, tout peut commencer, tout peut devenir neuf chaque jour. C’est à nous aujourd’hui que le Seigneur adresse son appel : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau ». En nous rassemblant à l’église, nous avons répondu à cet appel. Le Seigneur est toujours là pour nous accueillir. Le problème c’est que beaucoup en sont incapables de venir à lui. Alors nous pouvons faire comme les porteurs qui amenaient un paralysé à Jésus. Quand nous allons à Jésus, nous pouvons lui amener tous ceux qui souffrent autour de nous et partout dans le monde : pensons aux malades, aux exclus, aux victimes de la haine et de la violence des hommes. Nous ne pouvons pas aller à Jésus sans eux.
Donne-nous d’en être les témoins fidèles auprès de tous ceux que tu mettras sur notre route.
Aujourd’hui, c’est la fête de St Thomas Apôtre ! C’est l’un des douze Apôtres, qui suivent Jésus.
Il est celui qui demande à Jésus « Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment saurions-nous le chemin? » et qui se voit répondre « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. ». Il est celui qui doute quand ses compagnons lui annoncent qu’ils ont vu le Christ ressuscité mais qui face aux plaies de Jésus proclame se foi « Mon Seigneur et mon Dieu ». Surnommé l’Incrédule, c’est pourtant grâce à ses questions et ses doutes si « rationnels » que nous devons des certitudes qui nourrissent la foi de l’Eglise depuis deux millénaires.