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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Jésus proposa cette parabole à la foule : « Le Royaume des cieux est comparable à un homme qui a semé du bon grain dans son champ. Or, pendant que les gens dormaient, son ennemi survint ; il sema de l'ivraie au milieu du blé et s'en alla. Quand la tige poussa et produisit l'épi, alors l'ivraie apparut aussi. Les serviteurs du maître vinrent lui dire : 'Seigneur, n'est-ce pas du bon grain que tu as semé dans ton champ ? D'où vient donc qu'il y a de l'ivraie ? ' Il leur dit : 'C'est un ennemi qui a fait cela. ' Les serviteurs lui disent : 'Alors, veux-tu que nous allions l'enlever ? ' Il répond : 'Non, de peur qu'en enlevant l'ivraie, vous n'arrachiez le blé en même temps. Laissez-les pousser ensemble jusqu'à la moisson ; et, au temps de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Enlevez d'abord l'ivraie, liez-la en bottes pour la brûler ; quant au blé, rentrez-le dans mon grenier. ' » Il leur proposa une autre parabole : « Le Royaume des cieux est comparable à une graine de moutarde qu'un homme a semée dans son champ. C'est la plus petite de toutes les semences, mais, quand elle a poussé, elle dépasse les autres plantes potagères et devient un arbre, si bien que les oiseaux du ciel font leurs nids dans ses branches. » Il leur dit une autre parabole : « Le Royaume des cieux est comparable à du levain qu'une femme enfouit dans trois grandes mesures de farine, jusqu'à ce que toute la pâte ait levé. » Tout cela, Jésus le dit à la foule en paraboles, et il ne leur disait rien sans employer de paraboles,accomplissant ainsi la parole du prophète : C'est en paraboles que je parlerai, je proclamerai des choses cachées depuis les origines. Alors, laissant la foule, il vint à la maison. Ses disciples s'approchèrent et lui dirent : « Explique-nous clairement la parabole de l'ivraie dans le champ. » Il leur répondit : « Celui qui sème le bon grain, c'est le Fils de l'homme ; le champ, c'est le monde ; le bon grain, ce sont les fils du Royaume ; l'ivraie, ce sont les fils du Mauvais. L'ennemi qui l'a semée, c'est le démon ; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges.De même que l'on enlève l'ivraie pour la jeter au feu, ainsi en sera-t-il à la fin du monde.Le Fils de l'homme enverra ses anges, et ils enlèveront de son Royaume tous ceux qui font tomber les autres et ceux qui commettent le mal, et ils les jetteront dans la fournaise : là il y aura des pleurs et des grincements de dents.Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Celui qui a des oreilles, qu'il entende !
Cette parabole du bon grain et de l’ivraie, nous la connaissons bien parce que nous l’avons entendue souvent ; cet homme qui sème le bon grain c’est Dieu. Nous n’oublions pas ce qui est dit dans le premier récit de la Création : « Dieu vit que cela était bon ». Tout ce qui vient de Dieu est beau et bon. Le bon grain est mis en terre par Dieu. Il faut le dire et le redire, Dieu ne nous donne que du bon grain. Le problème c’est qu’au lieu de « veiller au grain », nous dormons. Nous nous installons dans la routine, la facilité ; nous oublions le Seigneur et son Evangile. Pendant que les gens dormaient, l’ennemi est venu. Il vient toujours pendant que nous dormons. Ce n’est pas pour rien que Jésus nous demande de veiller et de prier pour ne pas succomber à la tentation. C’est ce qui est arrivé à Pierre,Jacques et Jean au Jardin des Oliviers, la veille de la mort de Jésus. Nous ne devons jamais oublier que notre vie chrétienne est un combat de tous les jours contre « l’ennemi ». La priorité c’est le bon grain semé par le Seigneur.
L’ennemi, lui, ne dort pas. Il est toujours à l’affût pour semer l’ivraie. En grec, l’ivraie se traduit par « zizania ». Ce que l’ennemi sème, c’est toujours la zizanie, c’est le trouble, la discorde, les bagarres, les calomnies. C’est tout ce qui est contraire à la communion. Tout cela est semé par l’ennemi. Nous le voyons dans nos paroisses, nos communautés, nos familles : on s’endort tranquillement, on n’est pas vigilant ; et quand on se réveille, on s’aperçoit qu’il y a de la zizanie partout. Ce mal, nous le voyons tous les jours : à côté du pape François, ardent défenseur des pauvres, nous avons des extrémistes qui tuent et massacrent. Le pire, c’est qu’ils prétendent agir au nom de Dieu. Nous voudrions faire le ménage en enlevant l’ivraie. Mais Jésus nous demande de ne pas le faire. Ce serait ajouter de la haine à la haine, de l’ivraie à l’ivraie. Cet Evangile nous dit l’immense patience de Dieu. Il ne veut pas risquer d’arracher le bon grain avec l’ivraie. Il ne veut pas nous abimer. Et il nous demande de faire preuve de la même patience envers les autres. Il nous laisse discerner ce qui ne va pas dans notre vie. Lui-même nous accompagne jusqu’à la moisson.
Saint Pierre nous parle lui aussi de l’infinie patience de Dieu. Nous ne devons pas nous décourager quand nous avons l’impression qu’il y a de l’ivraie partout et que Dieu ne fait rien. Le Seigneur use depatience envers tous. Il veut absolument que personne ne périsse mais que tous arrivent au repentir. Il est important que nous méditions sur cette patience de Dieu et sur le fait qu’il faut être rempli d’espérance : l’ivraie et la zizanie n’auront pas le dernier mot. Mais bien que ce soit les vacances, il ne faut pas passer son temps à dormir. Nous devons rester dans la vigilance.
Dans la seconde lecture,Rm 8,26-27, saint Paul nous invite à nous tourner vers notre Dieu. Mais laissés à nous-mêmes, nous en sommes bien incapables. C’est alors que le Seigneur intervient pour nous donner son Esprit Saint. Avec lui, nous devenons capables de nous ouvrir à l’amour du Père et à répondre à sa volonté. Le vrai Dieu n’est pas celui qui écrase ses ennemis. Il se présente à nous comme un Dieu plein d’amour qui veut le salut de tous les hommes.
Seigneur, nous te prions : apprends-nous à te suive sur le chemin de l’accueil et de la tolérance. Par cette Eucharistie, viens renouveler notre foi et notre confiance en ton amour. Amen
Bonjour...
Une nouvelle semaine débute remplit de rêves, d'attentes, de projets...
Que la grâce de Dieu accompagne chacun de nos pas pour une pleine réalisation des projets d'amour de Dieu pour chacun de nous.
Que la Vierge Marie nous assiste de sa protection maternelle.
Que Dieu vous bénisse
Bisous !
Le 9 juin dernier, le pape François a imploré les chrétiens de ne pas tomber dans le piège du désespoir dans les moments difficiles. Lors de l’homélie de la messe matinale célébrée quotidiennement dans sa résidence, la maison Sainte-Marthe, le Pape a préconisé de garder foi en Dieu, d’être patient et de prier afin de surmonter la douleur.
Le pape François a imploré les chrétiens d’éviter le piège du désespoir dans les moments difficiles, et celui de la facilité dans les moments de bonheur. « Restez humbles et laissez la “joie de Dieu” pénétrer votre cœur. Remerciez Dieu pour le Salut qu’il vous accorde. »
Pour nourrir son propos, le Pape a évoqué le livre de Tobie, qui raconte l’histoire de deux infortunés. Tobeit est un juif pieux, déporté à Nivine lors de l’exil des Hébreux à Jérusalem. Des pigeons lui ayant souillé les yeux de leurs fientes alors qu’il se reposait, il devient progressivement aveugle et se voit réduit à la misère. Il charge alors son fils Tobie de se rendre à sa place récupérer une somme d’argent laissée en dépôt chez un parent lointain. Tobie part alors pour un long voyage, au cours duquel il rencontre Sarra, sa future épouse. Il la délivre d’un démon qui faisait périr ses fiancés au fur et à mesure que ces derniers lui déclaraient leur amour.
Le Pape a fait allusion à cette histoire pour illustrer la façon dont le Seigneur influence la vie de chaque individu, y compris la nôtre. La vie de Tobiet et Sarra fut jonchée de bons et de mauvais moments. Tobiet fut persécuté, raillé, insulté par sa femme. Sarra, a ajouté le Pape, n’était pas de mauvaise nature mais elle devait assumer au quotidien les difficultés liées à la mort de ses époux. Elle aussi a beaucoup souffert. Dans leurs plus grands moments de détresse, Sarra et Tobiet ont souvent pensé à mettre fin à cette vie.
« Nous avons tous traversé des épreuves au cours de nos vies. Leurs moments de désespoir sont donc compréhensibles. Mais Sarra a ensuite imaginé la souffrance que causerait sa mort à ses parents, et cette pensée lui fut insupportable. Elle s’est donc tournée vers la prière. C’est cette prière qui nous sauve dans les moments difficiles, ainsi que la patience. Sarra et Tobiet ont tous les deux patiemment attendu que Dieu leur vienne en aide… Ils n’ont jamais perdu espoir en Dieu. Priez, soyez patients et espérez. C’est essentiel. »
Leur histoire est également faite de moments de bonheur, et le Pape a insisté sur le fait que l’histoire se termine bien. Tobiet est finalement guéri de sa cécité et Sarra délivrée de son démon grâce à l’intervention de l’ange Raphaël.
« La souffrance qui leur a été infligée était un test. En voyant l’humilité avec laquelle le couple surmontait ces difficultés, le Seigneur a décidé de les sauver… Il leur a accordé de vrais moments de bonheur durant lesquels Sarra et Tobiet n’ont pas oublié de Le remercier par leurs prières. »
Le souverain pontife a poussé ses fidèles à se demander si, dans dans les différentes phases de leurs vies, ils étaient conscients de ce qui se passait dans leurs âmes. Savez-vous que les mauvais moments sont des épreuves qu’il vous faut surmonter courageusement en priant pour garder patience et espoir ?
Le Seigneur est toujours près de nous. Nous pouvons nous tourner vers lui à tout moment pour prier et Le remercier de la joie qu’il nous donne. Après réflexion, Sarra et Tobiet ont compris que le suicide n’était pas le chemin à prendre. Ils ont réalisé qu’il leur fallait « prier et attendre patiemment le Salut de Dieu ». Le pape François a invité tous ses fidèles à relire ces quelques passages de la Bible.
« En lisant la Bible ce week-end, prions pour que Dieu nous accorde la grâce de pouvoir discerner ce qui se passe dans nos âmes aussi bien dans les bons que dans les mauvais moments de notre existence. Prions pour pouvoir surmonter les épreuves de la vie, et éviter le piège de la vanité dans les moments d’allégresse. »
Dieu notre Père, en ce début de semaine, nous te rendons grâce pour tout ce que tu as prévu pour nous et nos proches cette semaine.
Daigne le Saint Esprit nous aider afin que tout se réalise pour ta gloire et le salut de tous nos frères et sœurs partout dans le monde.
Amen !
En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits.Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance.Tout m’a été remis par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. »« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos.
Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme.Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »
Les lectures bibliques de ce dimanche nous rejoignent dans ce que vit notre monde. Comment ne pas être accablés devant toutes ces souffrances, ces victimes de la haine, de la violence et de l’exclusion ? Le risque est grand de se dire qu’au point où nous en sommes, il n’y a rien à faire. Mais voilà qu’aujourd’hui, la Parole de Dieu vient nous bousculer. Le message qu’elle nous adresse par l’intermédiaire de ses envoyés est porteur d’espérance. Même dans les situations les plus désespérées, le Seigneur est là ; il ne nous abandonne pas. Nous pouvons toujours compter sur lui.
Avec l’Évangile, c’est Jésus qui nous invite à faire un pas de plus : « Venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous soulagerai. » (Mt 11, 28) Quand Jésus dit cela, il a en face de lui des personnes qu’il rencontre chaque jour sur les routes de Galilée, des gens simples, des pauvres, des malades, des pécheurs, des exclus… Les uns et les autres l’ont poursuivi pour écouter sa parole porteuse d’espérance. Jésus lui-même cherchait ces foules lasses et épuisées « comme des brebis sans berger ». Il les cherchait pour leur annoncer le Royaume de Dieu et pour en guérir beaucoup dans leur corps et leur esprit.
Et voilà qu’aujourd’hui, il les appelle à lui : « Venez à moi ! » Il leur promet le réconfort et le repos. Cette invitation de Jésus s’étend jusqu’à nos jours. Il veut atteindre tous ceux et celles qui sont opprimés par les conditions de vie précaires. Chaque jour, des hommes, des femmes et des enfants sont victimes de la haine et de la violence des hommes. À cause de la guerre, beaucoup sont obligés de tout quitter pour aller sur une terre étrangère. Et comment ne pas penser aux victimes d’un système économique qui impose aux plus pauvres un fardeau insupportable ?
C’est à tous que le Seigneur s’adresse : « Venez à moi ! » Il promet ce que lui seul peut réaliser. Auprès de lui se trouve le repos. C’est bien mieux que tous les centres de remise en forme qui peuvent améliorer le bien-être physique. Le Christ peut rendre légers ces fardeaux qui alourdissent notre âme. Mais cela ne sera possible qu’à une condition : « Prenez sur vous mon joug. » Pour comprendre cette parole, il faut savoir ce qu’est un joug : C’est un outil qui permettait de relier une paire de bœufs l’un à l’autre. Ensemble, ils arrivaient à tirer un attelage qui pouvait être très lourd. Pour un seul, ce n’était pas possible, mais à deux, ils étaient plus forts.
Si Jésus nous demande de prendre son joug, c’est pour nous faire comprendre qu’il veut porter avec nous ce fardeau qui nous accable, celui de la souffrance, de la maladie, de la solitude, la fatigue. Et nous n’oublions pas tous ceux et celles qui sont épuisés par les épreuves de la vie. Nous sommes comme les porteurs de l’Évangile qui amènent un homme paralysé à Jésus. C’est la foi de ces porteurs qui les sauvera. Nous ne pouvons pas aller à Jésus sans eux.
En nous rassemblant à l’église, nous sommes venus à Jésus. C’est lui qui nous accueille pour ranimer notre foi, notre espérance et notre amour. Lui seul a « les paroles de la Vie Éternelle ». Qu’il soit toujours avec nous et nous toujours avec lui pour en être les témoins fidèles après de tous ceux qu’il mettra sur notre route.
Bonjour ...
J'espère que tout se passe bien chez vous
Je vous souhaite une belle journée du jeudi remplit de la grâce et de l'amour de Dieu.
Pourquoi ne pas mettre à profit ces vacances pour vous rapprocher encore plus de Dieu, répondre à son appel d'une intimité plus profonde avec lui...
Session, retraites, pèlerinages,...
bref à chacun sa convenance.
Prenez soin de vous et de ceux que vous aimez.
Que Dieu vous bénisse en abondance
Bisous !!!