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Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
ma lumière et mon salut c'est le seigneur
Par Anonyme, le 06.06.2021
c'est mon anniversaire
Par Anonyme, le 10.05.2021
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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si une vous appartiens et que vous désirez que je la retire, ecrivez moi
merci
« Ceux qui te craignent me voient et se réjouissent, car j'espère en tes promesses... Moi, je médite sur tes décrets... Qu'ils reviennent vers moi, ceux qui te craignent et qui connaissent tes instructions! » (119,74&78-79)
Dans ces versets le psalmiste demande que Dieu nous unisse à tous ceux qui L’aiment Lui et Sa Parole afin de nous édifier ensemble. Prions afin que dans les lieux de partages bibliques la joie règne, la réconciliation ait lieu et la vie se développe et s’épanouisse.
Et si on envisageait de vivre cette nouvelle semaine dans la joie. "Le Père lui-même vous aime" Jean 16:27
« On me persécute sans raison: secours-moi ! Ils ont failli me terrasser, mais moi, je n'abandonne pas tes décrets. Rends-moi la vie conformément à ta bonté....» (V.86-88)
Prions et engageons-nous selon nos possibilités, pour nos frères et sœurs en Christ persécutés dans le monde entier. Que Jésus Lui-même les assiste, les protège, les fortifie, les garde en vie et soit miséricordieux envers eux (lis en plus Hébreux 13 ,3:« Souvenez-vous de ceux qui sont en prison, comme si vous étiez prisonniers avec eux. Souvenez-vous de ceux qui sont maltraités, car vous aussi, vous avez un corps.»
Prions pour nos frères et sœurs en Christ, malades, désespérés, épuisés, qui ne savent plus quoi faire et qui passent par un temps de désert spirituel. En nous appuyant sur la promesse du Psaume 34,18-20: « Le Seigneur entend ceux qui l'appellent : de toutes leurs angoisses, il les délivre.Il est proche du cœur brisé, il sauve l'esprit abattu.Malheur sur malheur pour le juste, mais le Seigneur chaque fois le délivre.»
prions que Dieu les aide à sortir de cette situation et qu’ils puissent Le rencontrer tout à nouveau.
O Jésus, vous avez porté sur vos épaules tous nos péchés. Ce poids est tel qu’aucune parole ne peut l’exprimer. Donnez-nous, Seigneur, de porter cette croix avec vous, de ne jamais la rejeter, mais d’en faire notre bien le plus précieux.
Donnez nous aussi la force d'abandonner le péché et de vivre une vie conforme à l'évangile.
Notre Père…
Je vous salue Marie…
Gloire au Père…
Ayez pitié de nous, Seigneur.
Ayez pitié de nous.
Que, par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen !
Remercions et adorons Dieu parce qu’il nous a donné Sa Parole éternelle et qu’Il l’accomplira.
Psaume 135 :5-6: « Je le sais, le Seigneur est grand : notre Maître est plus grand que tous les dieux. Tout ce que veut le Seigneur, il le fait au ciel et sur la terre, dans les mers et jusqu'au fond des abîmes.» ;
Marc 13, 31:« Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas ».
Toutes choses, y compris ses ennemis, contribueront finalement à l’accomplissement de son « plan divin » parfait
Psaume 110, 1: « Oracle du Seigneur à mon seigneur : « Siège à ma droite, et je ferai de tes ennemis le marchepied de ton trône. »;
Romains 8, 28: « Nous le savons, quand les hommes aiment Dieu, lui-même fait tout contribuer à leur bien, puisqu'ils sont appelés selon le dessein de son amour ».
À de multiples reprises, Les Saintes Écritures nous encouragent à regarder au-delà de ce qui est terrestre et passager, vers ce qui est permanent et éternel, et à nous orienter selon elles. C’est aussi un remède contre la recherche de la perfection et du perfectionnisme sous toutes ses formes.
Prions les uns pour les autres, que nous ne perdions pas de vue les priorités éternelles.
1 Corinthiens 13, 13:« Ce qui demeure aujourd’hui, c’est la foi, l’espérance et la charité ; mais la plus grande des trois, c’est la charité.»
Thessaloniciens 5 (6-11):« Alors, ne restons pas endormis comme les autres, mais soyons vigilants et restons sobres. Les gens qui dorment, c’est la nuit qu’ils dorment ; ceux qui s’enivrent, c’est la nuit qu’ils sont ivres, mais nous qui sommes du jour, restons sobres ; mettons la cuirasse de la foi et de l’amour et le casque de l’espérance du salut. Car Dieu ne nous a pas destinés à subir la colère, mais à entrer en possession du salut par notre Seigneur Jésus Christ, mort pour nous afin de nous faire vivre avec lui, que nous soyons en train de veiller ou de dormir. Ainsi, réconfortez-vous mutuellement et édifiez-vous l’un l’autre, comme vous le faites déjà.»
O Seigneur, comment ne pas pleurer en vous voyant passer, vous le plus humble, le plus petit des petits, sur le chemin du Calvaire et tomber sous le poids de nos fautes ?
Que nos chutes, Seigneur, ne nous conduisent pas au désespoir, mais que, confiants en votre amour, nous nous relevions et continuions à avancer sur le chemin de la sainteté !
Notre Père…
Je vous salue Marie…
Gloire au Père…
Ayez pitié de nous, Seigneur.
Ayez pitié de nous.
Que, par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix.Amen !
En ce temps-là, en sortant du Temple, Jésus vit sur son passage un homme aveugle de naissance. Ses disciples l’interrogèrent : « Rabbi, qui a péché, lui ou ses parents, pour qu’il soit né aveugle ? » Jésus répondit : « Ni lui, ni ses parents n’ont péché. Mais c’était pour que les œuvres de Dieu se manifestent en lui. Il nous faut travailler aux œuvres de Celui qui m’a envoyé, tant qu’il fait jour ; la nuit vient où personne ne pourra plus y travailler.Aussi longtemps que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde. » Cela dit, il cracha à terre et, avec la salive, il fit de la boue ; puis il appliqua la boue sur les yeux de l’aveugle, et lui dit : « Va te laver à la piscine de Siloé » – ce nom se traduit : Envoyé. L’aveugle y alla donc, et il se lava ; quand il revint, il voyait. Ses voisins, et ceux qui l’avaient observé auparavant – car il était mendiant – dirent alors : « N’est-ce pas celui qui se tenait là pour mendier ? » Les uns disaient : « C’est lui. » Les autres disaient : « Pas du tout, c’est quelqu’un qui lui ressemble. » Mais lui disait : « C’est bien moi. » Et on lui demandait : « Alors, comment tes yeux se sont-ils ouverts ? » Il répondit : « L’homme qu’on appelle Jésus a fait de la boue, il me l’a appliquée sur les yeux et il m’a dit : “Va à Siloé et lave-toi.” J’y suis donc allé et je me suis lavé ; alors, j’ai vu. » Ils lui dirent : « Et lui, où est-il ? » Il répondit : « Je ne sais pas. » On l’amène aux pharisiens, lui, l’ancien aveugle. Or, c’était un jour de sabbat que Jésus avait fait de la boue et lui avait ouvert les yeux. À leur tour, les pharisiens lui demandaient comment il pouvait voir. Il leur répondit : « Il m’a mis de la boue sur les yeux, je me suis lavé, et je vois. » Parmi les pharisiens, certains disaient : « Cet homme-là n’est pas de Dieu, puisqu’il n’observe pas le repos du sabbat. » D’autres disaient : « Comment un homme pécheur peut-il accomplir des signes pareils ? » Ainsi donc ils étaient divisés. Alors ils s’adressent de nouveau à l’aveugle : « Et toi, que dis-tu de lui, puisqu’il t’a ouvert les yeux ? » Il dit : « C’est un prophète. » Or, les Juifs ne voulaient pas croire que cet homme avait été aveugle et que maintenant il pouvait voir. C’est pourquoi ils convoquèrent ses parents et leur demandèrent : « Cet homme est bien votre fils, et vous dites qu’il est né aveugle ? Comment se fait-il qu’à présent il voie ? » Les parents répondirent : « Nous savons bien que c’est notre fils, et qu’il est né aveugle. Mais comment peut-il voir maintenant, nous ne le savons pas ; et qui lui a ouvert les yeux, nous ne le savons pas non plus. Interrogez-le, il est assez grand pour s’expliquer. » Ses parents parlaient ainsi parce qu’ils avaient peur des Juifs. En effet, ceux-ci s’étaient déjà mis d’accord pour exclure de leurs assemblées tous ceux qui déclareraient publiquement que Jésus est le Christ. Voilà pourquoi les parents avaient dit : « Il est assez grand, interrogez-le ! » Pour la seconde fois, les pharisiens convoquèrent l’homme qui avait été aveugle, et ils lui dirent : « Rends gloire à Dieu ! Nous savons, nous, que cet homme est un pécheur. » Il répondit : « Est-ce un pécheur ? Je n’en sais rien. Mais il y a une chose que je sais : j’étais aveugle, et à présent je vois. » Ils lui dirent alors : « Comment a-t-il fait pour t’ouvrir les yeux ? » Il leur répondit : « Je vous l’ai déjà dit, et vous n’avez pas écouté. Pourquoi voulez-vous m’entendre encore une fois ? Serait-ce que vous voulez, vous aussi, devenir ses disciples ? » Ils se mirent à l’injurier : « C’est toi qui es son disciple ; nous, c’est de Moïse que nous sommes les disciples. Nous savons que Dieu a parlé à Moïse ; mais celui-là, nous ne savons pas d’où il est. » L’homme leur répondit : « Voilà bien ce qui est étonnant ! Vous ne savez pas d’où il est, et pourtant il m’a ouvert les yeux. Dieu, nous le savons, n’exauce pas les pécheurs, mais si quelqu’un l’honore et fait sa volonté, il l’exauce. Jamais encore on n’avait entendu dire que quelqu’un ait ouvert les yeux à un aveugle de naissance. Si lui n’était pas de Dieu, il ne pourrait rien faire. » Ils répliquèrent : « Tu es tout entier dans le péché depuis ta naissance, et tu nous fais la leçon ? » Et ils le jetèrent dehors. Jésus apprit qu’ils l’avaient jeté dehors. Il le retrouva et lui dit : « Crois-tu au Fils de l’homme ? » Il répondit : « Et qui est-il, Seigneur, pour que je croie en lui ? » Jésus lui dit : « Tu le vois, et c’est lui qui te parle. » Il dit : « Je crois, Seigneur ! » Et il se prosterna devant lui. Jésus dit alors : « Je suis venu en ce monde pour rendre un jugement : que ceux qui ne voient pas puissent voir, et que ceux qui voient deviennent aveugles. » Parmi les pharisiens, ceux qui étaient avec lui entendirent ces paroles et lui dirent : « Serions-nous aveugles, nous aussi ? » Jésus leur répondit : « Si vous étiez aveugles, vous n’auriez pas de péché ; mais du moment que vous dites : “Nous voyons !”, votre péché demeure. »
Ce 4ème dimanche du Carême est celui de la joie. C’est la joie d’un peuple déporté en terre d’exil qui entend une bonne nouvelle. Le prophète Isaïe lui annonce que Dieu est là au cœur de ses détresses. Il intervient pour apporter le salut à ce peuple opprimé. C’est aussi la joie des catéchumènes qui vivent la 2ème étape de leur baptême. Des enfants d’âge scolaire et des adultes se sont mis en route pour ce grand événement.
Tout au long de ce carême, nous sommes invités à « changer nos cœurs ». Les textes bibliques de ce jour nous invitent à changer notre regard sur les personnes et les événements : « Dieu ne regarde pas comme les hommes. Les hommes regardent l’apparence. Dieu voit le cœur ». Avoir le cœur de Dieu c’est voir les qualités et la grandeur de celui qui est petit, faible et méprisé. C’est reconnaître que, lui aussi, est capable de grandes choses.
Au jour de notre baptême, nous avons été introduits dans le monde de la lumière. Saint Paul nous dit que cela n’est devenu possible que par la grâce du Christ. Il est la « lumière du monde ». Lui-même nous appelle à vivre en « enfants de lumière ». Ce qui doit nous guider c’est la Lumière qui est en Jésus, c’est son amour. Il est toujours là pour nous apprendre à voir les autres avec le regard de Dieu, un regard plein de miséricorde.
Dans l’Évangile, nous voyons Jésus qui guérit un mendiant aveugle de naissance. Il lui ouvre les yeux deux fois. Il commence par lui rendre la vue qui lui permettra de voir les personnes et le monde qui l’entoure. Et dans un deuxième temps, il lui ouvre les yeux de la foi. Tout cela se fait progressivement. Dans un premier temps, l’homme guéri parle de « l’homme qu’on appelle Jésus » ; ensuite il voit en lui un prophète ; puis quand il se trouve devant lui, il se prosterne en disant :« Je crois, Seigneur. »
Comme cet homme, nous sommes appelés à passer des ténèbres à la foi. Nous aussi, nous sommes souvent aveugles ou malvoyants. Cet aveugle-né est le symbole de l’humanité plongée dans les ténèbres. Mais par le baptême, elle découvre la Lumière du Christ. Pour ces nouveaux convertis, c’est une illumination. C’est la Parole de l’Évangile de saint qui s’accomplit : « Le Verbe était la Lumière, qui, en venant en ce monde, illumine tout homme.»
Face à cet homme guéri et sauvé, il y a tous ceux qui sont aveugles dans leur esprit et dans leur cœur ; il y a ceux qui s’enfoncent dans leur aveuglement qui est celui du péché. Comme le hibou ou la chouette, ils sont aveuglés par la lumière du jour. La Lumière de Dieu, la Lumière de la Vérité leur fait peur. Mais nous ne devons pas avoir peur de la Lumière de Jésus Christ ; il se présente à nous comme le soleil qui rendra lumineuse notre vie.
Autre constat : il arrive parfois que le soleil se cache : il y a des nuages, des épreuves ; il y a aussi la nuit. Mais quand il fait nuit, il ne nous vient pas à l’idée de douter de l’existence du soleil même si nous ne le voyons pas. L’amour du Seigneur est toujours bien présent, même quand tout va mal. Il est toujours là pour nous éclairer et, souvent c’est lui qui nous porte. Il veut nous conduire jusqu’à la victoire sur le péché et sur la mort. Tout l’Évangile nous dit qu’il est venu pour chercher et sauver ceux qui étaient perdus. « La gloire de Dieu c’est l’homme vivant » dit saint Irénée.
La suite de l’Évangile nous parlera des souffrances, de la Passion et de la mort de Jésus ; c’est là qu’il a assumé toutes les misères et tous les handicaps du monde. Jésus nous révèle un Dieu qui n’explique pas les souffrances, qui ne condamne pas mais qui prend sur lui le péché du monde. Il devient solidaire de tous ceux qui sont « nés comme ça ». Et surtout, il devient source de toute guérison et de la santé totale de l’homme.
Dieu ne prend pas son parti de la misère de l’homme. Il l’assume. La croix n’est pas un signe d’échec, de résignation ; c’est une protestation, une victoire sur tout ce qui abîme l’homme. Jésus nous donne un signe de cette victoire pascale en ouvrant les yeux de l’aveugle-né et en lui donnant un accès à une autre lumière, celle de la foi. C’est aussi à cette lumière que la Samaritaine a pu accéder (Évangile de dimanche dernier). Et dimanche prochain, nous découvrirons Jésus qui redonne vie à Lazare. À travers ce signe, il s’affirmera maître de tous les handicaps, y compris le dernier, la mort.
Vivre le Carême, c’est accueillir cette lumière qui vient de Jésus. Cette lumière c’est celle de la foi. Elle nous aide à voir les personnes et les événements avec le regard de Dieu. Comme l’aveugle guéri, nous deviendrons des témoins du Christ. Nous pourrons proclamer notre foi avec fierté : « Je crois en Dieu qui est lumière, Je crois en Dieu, il est mon Père. » Amen !
Seigneur, tout au long de ce Carême, tu nous invites à nous reconnaître pécheurs et à nous offrir à ta miséricorde.
Il en coûte toujours à l’homme, de par sa nature, de rechercher ses fautes, en toute vérité. Je te demande alors l’humilité nécessaire pour reconnaître mes péchés et les confesser. Ce qui te plaît, ce n’est pas un cœur satisfait de lui-même, mais un cœur de fils, contrit, un cœur assoiffé de justice, qui, lorsqu’il se présentera ainsi devant toi, obtiendra la béatitude promise.
Donne-moi la joie du pardon et la béatitude de ceux qui ont faim et soif de sainteté. Amen !
En ce 4ièm semaine de carême faisons un bilan de notre cheminement vers pâques et prenons une ferme résolution de nous corriger. Nous avons encore un peu de temps devant nous. Courage à tous et que Dieu nous prenne en grâce.
Remercions Dieu pour Sa manière de nous conduire par Sa Parole. Prions afin que Dieu nous montre, ainsi qu’à notre communauté, nos prochaines étapes, les décisions à prendre et notre développement à long terme. Prions aussi afin nous soyons toujours prêts à partir et que rien ne nous retienne pour prendre possession du « pays » que Dieu a préparé pour nous
Verset à méditer
Proverbes 4 :25-27:« Sache regarder en face, dirige tes yeux droit devant toi ! Aplanis la piste sous tes pieds : tous tes chemins seront sûrs. Ne dévie ni à droite ni à gauche ; du mal, écarte ton pied !»
Le pardon est un élément essentiel dans notre foi chrétienne. En effet le christ sur la croix nous a obtenu le pardon de nos péchés. De ce fait nous devons nous aussi pardonner à nos frères et sœurs. C’est pas chose aisée surtout quand certaines offenses sont très profondes et nous ont détruit. Mais c’est un devoir pour tout chrétien de pardonner aux autres les offenses si nous voulons que le Père céleste nous pardonne aussi nos péchés.
Le manque de pardon creuse un fossé entre nous et le Seigneur. Il peut être aussi source de maladie.
Pardonner n’est pas facile mais pour Dieu tout est possible. La part qui nous revient c’est de faire le choix. Nous devons décider dans notre cœur de pardonner et demander au Seigneur la force pour cela. Pardonner c’est se libérer et retrouver une paix profonde.
Je vous propose une démarche simple pour entrer dans ce processus de pardon :
Ouvrir la bouche par la suite et proclamer au nom de jésus : je te pardonne … (dire le ou les noms des personnes concernées) et je te demande seigneur de le bénir, de le combler de tes grâces.
Quand vous réussissez à trouver des points précis dans la vie de ces personnes (travail, famille, santé…) que vous désirez que Dieu touche par sa grâce et si vous sentez dans votre cœur que votre prière de bénédiction est sincère ; alors Dieu est à l’œuvre et vous retrouverez la paix.
A chaque fois que vous sentirez la douleur revenir, reprenez votre prière de bénédiction. Bénissez ces personnes de tout votre cœur et votre Père céleste sera fier de vous.
N’attendez rien en retour de ce pardon (repentir de ces personnes, vengeance de Dieu,…) seul l’amitié retrouvé avec votre seigneur compte.
Prions : Seigneur je te présente ma douleur, Tu vois tout le mal qui m’a été fait par (dire les noms). Je te demande de guérir ces blessures par la puissance de ton esprit saint. Enlève toute la douleur et donne-moi ta paix.
Tu vois seigneur mon incapacité à lui pardonner. Viens seigneur par ton esprit saint pardonner en moi.
Au nom de Jésus Christ et par la puissance de l’esprit saint je te pardonne (dire les noms) et je te demande seigneur de les bénir. Bénis seigneur son travail, sa famille et comble-le d’abondantes grâces.
Merci seigneur pour la libération et la paix que tu me donne. Sois bénis seigneur