>> Toutes les rubriques <<
· Au jour le jour (75)
· Déclaration d'amour (57)
· Saint Valentin (162)
· Mes creas - Jour de la semaine (307)
· Le jour du Seigneur (168)
· Mes creas - Bonne journée (456)
· La vie de l'Eglise (45)
· Gifs dieu nous bénisse (133)
· Carême 2014 Année A (52)
· Carême 2015 Année B (93)
aimer amis amour anges annonce background belle bisous bonjour bonne bonne journée centerblog
RechercherDerniers commentairesamen
Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
ma lumière et mon salut c'est le seigneur
Par Anonyme, le 06.06.2021
c'est mon anniversaire
Par Anonyme, le 10.05.2021
· Déclaration d'amour
· Fête st valentin... Poème
· Message d'amour en image
· Poême d'amour
· Merci Seigneur
· Poême d'amour
· Bon Dimanche dans la paix du Christ
· Les 5 préceptes ou commandements de l'église catholique
· St Valentin...Poême
· Bienvenue dans le blog de l'espérance
· Déclaration d'amour
· La prière du Rosaire
· message d'amour
· Neuvaine à St André
· Déclaration d'amour
Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
4342 articles
Toutes ces images sont trouvées sur le net
si une vous appartiens et que vous désirez que je la retire, ecrivez moi
merci
DEUXIÈME STATION
Jésus est chargé de la Croix
De l'Evangile selon saint Matthieu 27, 27 - 31
et selon saint Jean 19, 17
******************************************
MÉDITATION
Après la condamnation, vient l’humiliation. Ce que les soldats font à Jésus nous semble inhumain. De fait, c’est sans aucun doute inhumain : ce sont des actes de dérision et de mépris à travers lesquels s’exprime une obscure férocité, indifférente à la souffrance, y compris physique, qui est infligée sans motif à une personne déjà condamnée au supplice effrayant de la croix. Cependant, ce comportement des soldats est également, malheureusement, très humain. Mille pages de l’histoire de l’humanité et de la chronique quotidienne confirment que des actions de ce genre ne sont vraiment pas étrangères à l’homme. L’Apôtre Paul a bien mis en lumière ce paradoxe : « Je sais… qu’en moi, … dans l’être de chair que je suis, n’habite pas le bien : … je ne réalise pas le bien que je voudrais, mais je fais le mal que je ne voudrais pas » (Rm 7, 18-19).
Il en est véritablement ainsi : dans notre conscience, la lumière du bien est allumée, une lumière qui, dans bien des cas, devient évidente et par laquelle, heureusement, nous nous laissons guider dans nos choix. Mais il arrive souvent le contraire : cette lumière est obscurcie par les ressentiments, par les désirs inavoués, par la perversion du cœur. Et alors, nous devenons cruels, capables des choses les pires, y compris de choses inimaginables.
Seigneur Jésus, moi aussi, je suis au nombre de ceux qui se sont moqués de toi et qui t’ont frappé. Tu l’as dit : « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait» (Mt 25, 40). Seigneur Jésus, pardonne-moi.
Notre Père ...
Dans son âme qui gémissait,
toute brisée, endolorie,
le glaive était enfoncé.
Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen !
La confession demande courage et humilité. Une fois passé le cap du premier pas, c’est plus facile qu’on ne le pense. Il faut seulement commencer par chasser certaines fausses idées et se donner les bons moyens.
**************************
Pourquoi craindre la confession ? Par timidité ? Par gène ? Par peur ou honte d’avouer à un autre toutes les fautes commises ? D’avoir commis des péchés si graves qu’ils ne puissent être pardonnés ? Nombreuses sont les raisons qui peuvent aller jusqu’à rendre malade quelqu’un à la seule idée d’aller se confesser. Certains voient cela comme une corvée humiliante. D’autres deviennent nerveux à cette idée et se retrouvent bloqués.
Mais tous aimeraient bien savoir comment faire pour briser ces chaines qui empêchent de connaître la joie du pécheur pardonné. Non, Jésus n’a pas institué la confession pour rendre tristes, inquiets, mais pour libérer et donner cette joie. Regardez les visages de ceux qui viennent de se confesser… Alors, voici dix astuces qui peuvent aider à surmonter cette peur et faire de ce moment un grand moment de retrouvailles qu’on aura envie de répéter.
*************************
Partir d’un bon pied
Commencer par chasser cette idée que ce n’est « pas la peine… ça fait trop longtemps que je n’y vais plus ». Il n’est jamais trop tard pour se repentir, pour tirer un trait et recommencer.
Retirer le masque
Se mettre en mode « honnêteté » et accepter d’avoir commis des erreurs et qu’on ne peut pas tout contrôler. Puis demander à Dieu un coup de pouce. Prier pour qu’il vous donner la force et le courage dont vous avez besoin pour franchir le pas. C’est tout ce que Dieu attend.
Pour se sentir à l’aise
N’importe quel confesseur peut faire l’affaire, mais si cela est un problème au début pour se mettre en confiance, choisir un prêtre avec qui vous vous sentez à l’aise, ou alors un confessionnal anonyme.
Arriver avec des notes
Écrire sur une feuille ou dans un petit carnet les étapes du processus confessionnel pour ne pas risquer de devenir nerveux au fil de la confession et de se laisser distraire à nouveau par la peur.
Arriver à l’avance
Arriver un peu à l’avance. Fermer les yeux et penser à Dieu en train de vous observer avec son regard plein d’amour et de miséricorde. L’imaginer en chair et en os, et prier.
***************************
On n’est pas à un examen
Face au confesseur, se rappeler que ce n’est pas un examen. Si on ne sait pas « comment faire », le dire en toute simplicité. Si on a peur de parler ouvertement, se rappeler que le prêtre est tenu au plus strict secret sur ce qu’on lui dit en confession.
Briser la honte
Avouer tout de suite ce dont on a honte, qui nous humilie le plus, pour enlever cette chape de plomb qui nous opprime et ainsi permettre à la lumière de l’amour de mieux pénétrer et montrer l’orgueil endurci qui nous empêche d’aimer et de nous laisser aimer.
Tout dire
Ne rien cacher volontairement. Et, inversement, ne pas avoir peur de dire toujours la même chose si on recommence. À chaque fois que l’on retombe, Dieu veut nous relever. Il ne se lasse jamais. L’essentiel est de ne pas se lasser nous aussi de nous confesser.
Ne pas se justifier
Ne pas chercher à plaider des circonstances atténuantes au péché tout juste avoué. Dieu connaît le dossier. Il connaît tout le mal qui est en nous. On n’a rien à lui apprendre. On est là pour présenter notre mal et notre douleur afin qu’Il nous libère, nous pardonne et nous guérisse. La question n’est pas de savoir à quel point on est mauvais, mais de réaliser à quel point Dieu est bon.
Penser juste
Ne pas assimiler la pénitence à une punition. Contrairement à la punition, qui est un acte de vindicte imposé, la pénitence est l’expression d’une affliction libre et sincère à « réparer les dommages causés » et effacer les blessures que le péché a infligées à autrui. La pénitence est une œuvre d’amitié. Les péchés étant remis à Dieu, Dieu les a oubliés, et on va de l’avant.
**************************
Sagesse 1,12 : « Nourrissez sur le Seigneur de droites pensées et cherchez-le en simplicité de cœur, car il se laisse trouver par ceux qui ne le tentent pas, il se révèle à ceux qui ne lui refusent pas leur foi.»
« Un arbre qui tombe fait plus de bruit qu’une forêt qui pousse »
(Proverbe africain)
« Il ne fera jamais rien de bon, il est tout le temps connecté à son portable ; réussira-t-il seulement son bac ? » – « Connaissez-vous la dernière de mon collègue ? Il n’en rate aucune. Pas étonnant qu’il soit toujours en retard ! »
Nous sommes souvent bien lapidaires avec ceux qui nous entourent. Et si ce fils se documente sur son portable ? Et si ce collègue étourdi, plein de conscience professionnelle, veut, coûte que coûte, terminer son travail avant de quitter son bureau ?
Dans la pratique quotidienne, nous voyons plus facilement les imperfections que les valeurs.
Si nous décidions d’inverser nos jugements ?
Silence… ça pousse ! ‘Écoutons’ les graines de générosité dans celui-ci ! Découvrons les germes de l’artiste dans celle-là ! Chaque être humain possède des trésors cachés.
Allons à leur découverte !
Silence… ça pousse ! Comme Jésus, le bon jardinier, percevons les semences qui poussent sans bruit, et coopérons, avec l’aide de l’Esprit Saint, à leur croissance.
Par le baptême, tel le grain de blé en germe, nous naissons dans la vie nouvelle et éternelle, celle que nous a réservée le Christ par son sacrifice et sa résurrection. Aidons cette semence à grandir chez nos frères et en nous-mêmes.
*********************
Ô Jésus, je voudrais être le jardinier de tous ceux et de toutes celles qui se trouvent sur mon chemin, pour mettre en lumière chacune de leurs richesses.
Je n’oublie pas que, souvent, des amis trouvent les miennes, et les mettent en valeur. Merci Jésus pour tant de grâces reçues !
***********************
TROISIÈME STATION
Jésus tombe pour la première fois
**************************
V/. Nous t'adorons oh christ et nous te bénissons
R/. Parce que Tu as racheté le monde par ta sainte croix
De l'Evangile selon le Prophète Isaïe 53, 4 - 6
************************
MÉDITATION
Les Évangiles ne nous parlent pas des chutes de Jésus sous le poids de la Croix, mais cette antique tradition est infiniment vraisemblable. Rappelons seulement que, avant d’être chargé de la croix, Jésus avait été fait flageller par Pilate. Après tout ce qu’il avait subi depuis la nuit passée dans le jardin des oliviers, ses forces devaient être pratiquement épuisées.
Avant de nous arrêter sur les aspects les plus profonds et les plus spirituels de la Passion de Jésus, prenons simplement acte de la douleur physique qu’il a dû endurer. Une douleur immense et effrayante, et cela jusqu’à son dernier souffle sur la Croix, une douleur qui ne peut pas ne pas faire peur.
La souffrance physique est la plus facile à surmonter, ou tout au moins à atténuer, avec les techniques et les méthodes dont nous disposons aujourd’hui, avec les anesthésiants et autres prises en charge de la douleur. Et ceci, même si pour de multiples causes, naturelles ou liées aux comportements humains, un poids immense de souffrances physiques demeure présent dans le monde.
En tous les cas, Jésus n’a pas refusé la douleur physique et il s’est ainsi rendu solidaire de toute la famille humaine, particulièrement de ceux qui, en son sein, sont encore aujourd’hui marqués par ce type de souffrance. Alors que nous le voyons tomber sous la croix, nous lui demandons humblement le courage d’élargir les espaces trop étroits de notre cœur par une solidarité qui ne soit pas faite que de paroles.
Notre Père...
Qu'elle était triste et affligée,
la Mère entre toutes bénie,
la Mère du Fils unique !
Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen !
Josué 23,11 : «Veillez donc attentivement sur vos âmes, afin d'aimer l’Éternel, votre Dieu.»
**********************
En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : « De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé, afin qu’en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle. Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. » Celui qui croit en lui échappe au Jugement ; celui qui ne croit pas est déjà jugé, du fait qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et le Jugement, le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Celui qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dénoncées ; mais celui qui fait la vérité vient à la lumière, pour qu’il soit manifeste que ses œuvres ont été accomplies en union avec Dieu. »
Dans les lectures bibliques de ce dimanche, nous trouvons plusieurs fois le mot « sauvés ». Le premier texte (livre des Chroniques) est une relecture des événements du passé. Les chefs des prêtres et tout le peuple multipliaient les infidélités. Ils imitaient les sacrilèges des nations païennes. Cette conduite a été la cause de leur perte. Le temple de Jérusalem a été détruit ; le peuple a été déporté en exil. Mais Dieu reste éternellement fidèle à son alliance alors que l’homme ne cesse de la trahir. Il envoie des messagers car il a pitié de son peuple. Il ne cesse de lui offrir son amour généreux.
C’est important pour nous aujourd’hui. Nous vivons dans une société qui cherche à se construire en dehors de toute référence religieuse. Dieu y est le grand absent. En dehors de lui, nous courons, nous aussi, à la catastrophe. Mais Dieu ne cesse de vouloir nous sauver. Il nous appelle inlassablement à revenir vers lui de tout notre cœur : « Convertissez-vous et croyez à la bonne nouvelle. » Notre Dieu ne veut pas la mort du pécheur mais qu’il se convertisse et qu’il vive. Voilà cet appel que nous sommes invités à accueillir. Dieu est amour ; il n’a jamais cessé de nous aimer.
C’est aussi cette révélation que nous trouvons dans la lettre de saint Paul aux Éphésiens : « Dieu est riche en miséricorde : à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions esclaves par suite de nos fautes, il nous a donné la vie dans le Christ. » C’est la bonne nouvelle qui nous est annoncée tout au long de ce Carême : Dieu est amour ; il nous aime tous d’un amour passionné. Tout ce qui nous arrive par le Christ vient de cette miséricorde de Dieu ; cela ne vient pas de nous ni de nos actes. Saint Paul qui a rencontré le Christ sur le chemin de Damas sait de quoi il parle. Il sait ce qu’est la vie renouvelée par l’amour.
Dans l’Évangile, nous retrouvons également ce mot « sauvés ». En dehors de Dieu, nous sommes des naufragés. Et c’est pour ramener tous les hommes à Dieu que l’apôtre Pierre a reçu la mission de « pêcheur d’hommes ». Aujourd’hui, saint Jean nous invite à lever les yeux vers un signe. Il nous parle de Jésus « élevé » en croix comme le serpent de bronze avait été « élevé » par Moïse sur le peuple. Celui qui tournait les yeux vers le serpent élevé était guéri. Il n’était pas guéri par l’objet mais par le sauveur de tous les hommes.
L’évangéliste multiplie les expressions qui parlent de délivrance : « Obtenir la vie éternelle… être sauvés… échapper au jugement… » Le grand projet de Dieu c’est d’apporter son salut à tous les hommes. Il envoie son Fils pour réaliser ce projet. Il nous a montré son immense amour en nous donnant son Fils. C’est par la croix que se révèle cet amour unique. L’évangéliste nous demande de nous déterminer face au crucifié qui nous révèle l’amour de Dieu. « Celui qui croit en lui échappe au Jugement, celui qui ne croit pas est déjà jugé ».
Il nous faut le dire et le redire : jamais nos péchés ne seront plus grands que cet amour-là. C’est une certitude inébranlable de l’Église : nous sommes sauvés par ce Jésus qui a livré son Corps et versé son sang sur une croix. Jamais aucune faute ne pourra venir à bout de cet amour. Pour ceux qui savent regarder, la croix est un signe de salut et non de condamnation. Malheureusement, nous regardons trop souvent ailleurs. Quand nous organisons notre vie en dehors de Dieu, c’est la catastrophe, le naufrage.
Tout au long de ce Carême et tout au long de notre vie, nous sommes donc invités à lever les yeux vers la croix du Christ. Par sa mort et sa résurrection, le Christ Jésus nous fait passer vers la vraie Lumière. Avec lui, nous pourrons faire un pas de plus. Il nous invite à regarder le monde avec lui et comme lui. Par sa croix, il guérit les blessures du monde. Il est la Lumière plus forte que la nuit, l’amour plus fort que la mort. Alors oui, levons les yeux, élevons nos cœurs ! Profitons de ces derniers jours du Carême pour ouvrir les yeux sur la Vérité et renaître à la Lumière de la vie.
Esprit de Dieu, attire nos regards vers Celui qui a été « élevé de terre ». Répands en nous l’Esprit du Christ et fais-nous revivre avec lui. Amen !
Jacques 5,20 : « Qu'il le sache : celui qui ramène un pécheur de son égarement sauvera son âme de la mort et couvrira une multitude de péchés.»
****************************
QUATRIÈME STATION
Jésus rencontre sa Mère
V/. Nous t'adorons oh christ et nous te bénissons
R/. Parce que Tu as racheté le monde par ta sainte croix
De l'Evangile selon saint Jean 19, 25 - 27
*************************
MÉDITATION
Dans les Évangiles, on ne parle pas directement d’une rencontre de Jésus avec sa Mère sur le chemin de la croix, mais de la présence de Marie au pied de la Croix. Là, Jésus s’adresse à elle et au disciple bien-aimé, l’évangéliste Jean. Ses paroles ont un sens immédiat : confier Marie à Jean, afin qu’il prenne soin d’elle. Et en un sens beaucoup plus profond et plus large : au pied de la Croix, Marie est appelée à dire un second « oui », après le « oui » de l’Annonciation, par lequel elle est devenue la Mère de Jésus, ouvrant ainsi la porte à notre salut.
Par ce second « oui », Marie devient la mère de nous tous, de chaque homme et de chaque femme pour lesquels Jésus a versé son sang. Une maternité qui est le signe vivant de l’amour et de la miséricorde de Dieu pour nous. C’est pourquoi, les liens d’affection et de confiance qui unissent le peuple de Dieu à Marie sont si profonds et si solides ; c’est pourquoi nous recourrons spontanément à elle, surtout dans les circonstances les plus difficiles de la vie.
Marie, néanmoins, a payé cher cette maternité universelle. Comme Syméon l’avait prophétisé à son propos : « Toi-même, ton cœur sera transpercé par une épée » (Lc 2, 35).
Marie, Mère de Jésus et notre mère, aide-nous à faire l’expérience en nos cœurs, ce soir et toujours, de cette souffrance pleine d’amour qui t’a unie à la croix de ton Fils.
Notre Père...
Qu'elle avait mal, qu'elle souffrait
La tendre Mère, en contemplant
son divin Fils tourmenté !
Que par la miséricorde de Dieu les âmes des fidèles défunts reposent en paix. Amen !