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Par Anonyme, le 25.07.2021
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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QU'EST CE QUE LA FOI ?
Le fait de croire ou de dire que l'on a la foi n'identifie pas nécessairement les chrétiens. Il y a toujours eu, par ailleurs, de multiples formes de croyances même si, de façon habituelle et dans l'opinion courante, celles-ci sont davantage liées aux convictions religieuses.
Mais lorsque nous parlons de croire en Dieu ou d'avoir la foi, que voulons-nous dire exactement ? Qu'est-ce qui différencie le fond de la démarche religieuse de toute autre croyance ou acte de foi ? En ce qui concerne le Christianisme, la croyance et la foi sont indissociables d'une manifestation de Dieu et d'une Révélation. Il y a un échange constant entre une Parole divine donnée et la raison humaine qui ne cesse d'interroger et de chercher.
La recherche de foi est toujours singulière à chaque être humain en fonction de sa culture, de son histoire, du contact qu'il a ou non avec d'autres croyants, etc.
Personne n'est obligé de croire; dire: "je crois" dépend de la volonté de chacun. D'ailleurs la foi, on ne l'a pas une fois pour toute, elle évolue compte tenu des événements qui surgissent, des étapes de la vie. Pour certains, elle va en s'affirmant, pour d'autres, elle semble s'étioler. S'intéresser à la foi ouvre à une expérience plus vaste que la sienne, mais en même temps cet intérêt met en chemin et permet de préciser ce en quoi l'on croit.
Croire, une expérience à clarifier
"On juge l'arbre à ses fruits", dit le proverbe. Il en va un peu de même pour la foi. Le discernement a sa place dans l'expérience du croyant.
La foi, une réponse vécue et toujours actuelle à l'appel de Dieu
La foi chrétienne propose une double démarche :
Le premier mouvement de la foi est celui de la conversion. Il consiste à se tourner vers Dieu. Comment croire si je ne compte que sur moi-même pour construire ma vie ?
Pour les chrétiens, la foi requiert la confiance en ceux qui les précèdents. La tradition judéo-chrétienne nous situe héritiers d'une longue histoire. En ce sens, choisir de faire route avec les chrétiens nous évite de nous isoler dans une manière subjective de croire. Cela permet, par ailleurs, de se situer en solidarité avec tous les chercheurs de Dieu.
C'est aussi prendre le temps de se reconnaître membre de l'Église en ce qu'elle a d'universel. Le mouvement de la foi consiste à accorder sa confiance à Dieu, révélé comme Père, Fils et Esprit-Saint.
Les connaissances acquises sur le contenu de la foi se traduisent en expérience personnelle. La foi se fait réponse vécue et toujours actuelle à l'appel de Dieu. Cette réponse proclame des paroles d'espérance, pose des actes, rend membre de la communauté des croyants.
Il n'y a pas de preuves mathématiques en matière de foi, sinon les raisons que nous ayons de croire. Seul celui qui se situe comme croyant peut dire: "C'est bien ça, c'est Dieu qui se rend présent à ma vie.
Dans la Profession de foi chrétienne, le premier article a toujours concerné le Dieu créateur. L'Histoire biblique nous montre que le Peuple élu, auquel Dieu s'est révélé tout en le sauvant, a vu en lui l'origine de toutes choses et le créateur de tous les éléments du monde.
Cette conviction de base n'a jamais été remise en cause dans le tradition chrétienne et quelles que soient les évolutions des données scientifiques sur le développement de l'univers. Dieu est le créateur de l'univers en évolution. Il est à la source et au terme. Il crée cet univers en permanence et le maintient dans son déploiement, dont notre Terre n'est qu'un élément.
Dieu révélé dans l’histoire des hommes
Dieu n'est pas resté étranger au monde qu'il crée. Il s'est manifesté. C'est tout le sens de ce que nous appelons la Révélation. Le livre de la Bible, par ses différents récits, écrits de la main des hommes sous l'inspiration de Dieu, nous trace les grandes étapes de cette Révélation. Dieu a parlé à l'humanité et cette Parole est fondatrice de la foi. Il y a là l'originalité de la religion chrétienne : Dieu n'est pas resté l'éloigné et l'incommunicable. Il s'est inscrit dans notre histoire.
Les chrétiens reconnaissent en Jésus l'accomplissement de cette Révélation. Jésus est non seulement la manifestation du Dieu créateur mais sa présence totale. Par lui, le Dieu vivant trace pour toute l'humanité une voie de sagesse, de paix et d'amour.
Dieu révélé en Jésus Christ
Les chrétiens reconnaissent en Jésus non seulement la manifestation du Dieu créateur mais sa présence totale. Ils affirment la divinité de Jésus. Comme le dit le Prologue de l'Evangile de saint Jean, Jésus est Le Verbe, La Parole de Dieu incarnée, c'est-à-dire : Dieu lui-même dans notre chair, Dieu dans notre humanité.
C'est le message que nous transmettent les Evangiles, que développeront les Lettres de saint Paul, des premiers écrivains chrétiens et de toute la Tradition de l'Eglise, des origines jusqu'à ce jour. Il y a là l'originalité de la religion chrétienne : Dieu n'est pas resté l'éloigné et l'incommunicable. Il s'est inscrit dans l'histoire de l'humanité.
Jésus nous révèle le Dieu Trinitaire
La Trinité est au cœur de la Profession de foi chrétienne. Parler de la Trinité ne signifie pas qu'il y a trois dieux mais un seul Dieu. Prenant appui sur l'enseignement de Jésus, les disciples et les premiers chrétiens ont nommé Père le Dieu créateur qui reste l'invisible, Fils ce Dieu manifesté dans l'humanité de Jésus, Esprit ce Dieu dont le souffle, source de liberté, renouvelle toutes choses.
La Trinité n'est pas une question de chiffres mais d'amour. Dieu est communion d'amour en lui-même. Parce qu'il est différence et unité, il fonde, en créant le monde, l'unité dans la différence. Il se révèle comme amour créateur, amour proche et amour libérateur.
Jésus annonce la bonne nouvelle
C'est l'Evangile qui est la source et le cœur de la foi des chrétiens. Selon ses quatre traditions, les évangiles de Matthieu, Marc, Luc et Jean, c'est le même message qui est transmis dans la diversité des quatre récits. A partir de la même base historique, et compte tenu de la personnalité des évangélistes, la vie, les actes et l'enseignement de Jésus sont présentés autour des mêmes affirmations : - l'origine divine et l'humanité de Jésus - sa mission d'annoncer la Bonne Nouvelle qu'est le Royaume de Dieu, c'est-à-dire sa présence et le chemin qu'il trace - l'enseignement de Jésus par les paraboles, ses gestes et ses miracles - sa passion, sa mort et sa résurrection.
Ce que dit le catéchisme de l’église catholique
Dans la condescendance de sa bonté, Dieu, pour se révéler aux hommes, leur parle en paroles humaines : " En effet, les paroles de Dieu, exprimées en langues humaines, ont pris la ressemblance du langage humain, de même que le Verbe du Père éternel, ayant assumé l'infirmité de notre chair, est devenu semblable aux hommes " (DV 13)...
Quel est le message transmis par Jésus ?
Tout au long de la Bible, Dieu apparaît comme ayant un amour sans mesure pour les hommes : "Dieu tendre et miséricordieux, lent à la colère, plein d'amour et de fidélité" (Livre de l'Exode 34,6).
L'intention de Jésus n'est donc pas de démontrer une autre façon d'être de Dieu. Au contraire, son message confirme la révélation d'un Dieu qui se fait partenaire de son peuple et de tous les hommes.
Mais en Jésus, l'Amour et la miséricorde de Dieu trouvent leur expression la plus totale ; l'engagement de Dieu auprès des hommes devient radical et définitif. Pour traduire cette Bonne Nouvelle de la présence agissante de Dieu, Jésus utilise un genre littéraire : la parabole.
Le message de Jésus ne se résume pas à une information, un slogan humanitaire. Il nous fait connaître de l'intérieur la réalité présente du Royaume de Dieu.
L'Évangile nous laisse percevoir que Jésus lui-même se révèle Fils de Dieu. Avec lui, l'Alliance s'inscrit plus que jamais dans l'histoire. C'est en Jésus Christ que le Règne de Dieu advient, qu'il est rendu présent. (Luc 7, 24-27) (...)
Jésus fait souvent appel à la royauté comme comparaison. Le vocabulaire évangélique, Règne, Royaume, Roi... avec sa connotation féodale pourrait égarer dans une représentation d'un Dieu dominateur, et pourquoi pas, dictateur. En évoquant le « Royaume », Jésus nous parle du monde tel que Jésus le voit, un monde où la paix, la réconciliation, la fraternité et le bonheur peuvent l'emporter.
Pour connaitre le message de Jésus, il est également essentiel de lire le récit de la proclamation des Béatitudes (Mt 5, 1-12) et l'ensemble du sermon sur la montagne (Mt 5, 1- 6, 28).
QU'EST CE QUE LA SAINTE TRINITE ?
Les chrétiens sont baptisés « au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit ». Quand ils commencent leur prière, ils se marquent du signe de la croix sur le front, le cœur et les épaules en invoquant Dieu : Au Nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit : c'est la Trinité.
L'homme n'est pas capable d'imaginer un Dieu unique qui existe en trois personnes. C'est Dieu qui nous a révélé ce mystère de son amour par l'envoi de son Fils et du Saint-Esprit.
Jésus nous a révélé que Dieu est « Père », en nous montrant d'une façon unique et originale, que Lui-même n'existe que par son Père. Jésus est un seul Dieu avec le Père. Jésus a promis à ses apôtres - les douze hommes qu'Il a choisis et envoyés - le don de l'Esprit Saint. Il sera avec eux et en eux pour les instruire et les conduire « vers la vérité tout entière » (Jean 16, 13). Ainsi, Jésus nous le fait connaître comme une autre personne divine.
La Trinité est Une : nous ne croyons pas en trois dieux, mais en un seul Dieu en trois personnes : le Père, le Fils et l'Esprit Saint. Chacune des trois personnes est Dieu tout entier. Chacune des trois personnes n'existe qu'en union avec les deux autres dans une parfaite relation d'amour. Ainsi toute l'œuvre de Dieu est l'œuvre commune des trois personnes et toute notre vie de chrétiens est une communion avec chacune des trois personnes.
Source : Petit guide de la foi, Mgr Vingt-Trois, éd. le Sénevé.
L’Écriture nous transmet l’expérience de Thomas dans l'évangile selon saint Jean 20,19-31 qui, de loin, exprime la plus belle confession de l’évangile de Saint Jean, devant Pierre, qui sera confirmé comme pasteur par le Ressuscité, devant Marie Madeleine, reconnue dans la tradition chrétienne comme l’Apôtre des Apôtres par sa rencontre qui la détourne des tombeaux. Ces prénoms sont précieux, car chacun renvoie à la singularité d’une existence humaine, traversée par la Résurrection au point de voir sa vie transformée de l’intérieur, et mise au service de lamission de l’Église.
Cet évangile nous rappelle que l’apostolicité de la foi est garantie par des personnes précises, uniques, réunies par leur relation à Jésus Christ. La juste transmission de l’expérience de Pâques n’est pas d’abord assurée par un texte, ni par un code de conduite, ni par un rite. Elle passe par l’existence concrète d’hommes et de femmes, inscrivant dans leur biographie la nouveauté de la résurrection du Christ.
Ce dimanche, cette liste de témoins, connus ou non, est augmentée de deux hommes du XXème siècle, Angelo et Karol, les papes Jean XXIII et Jean-Paul II, qui ont profondément marqué la vie de l’Église et du monde. En étant évêques, à Venise, à Cracovie, puis à Rome, ils sont inscrits dans cette succession apostolique qui, pour nous, atteste que la Bonne Nouvelle annoncée par l’Église est bien celle reçue par les Apôtres.
Ànotre tour, dans l’unicité de chacune de nos vies, nous sommes conduits à goûter le pardon qui nous relève, cette vie nouvelle que nous recevons au nom de Jésus Christ. Chacun mesure la grâce et l’exigence de ce pardon, dont il peut être bénéficiaire, mais aussi témoin jusque dans sa propre famille. Père Luc FORESTIER
L’ENFER, LE PURGATOIRE ET LE CIEL
On entend souvent parlé du ciel, du purgatoire et de l’enfer. Après notre mort l’un de ces trois lieux nous accueillera ; faisons notre choix dès à présent.
L’Enfer est un lieu de souffrances morales indicibles et de peines corporelles épouvantables. C’est un dogme de notre foi. La privation à jamais de la vue de Dieu, de la société bienheureuse de Jésus, de la Vierge Marie, des anges et des saints, de l’amour en soi du Paraclet (l’esprit saint). Au contraire, les violences abjectes et odieuses des démons et des réprouvés, seront des peines immenses. Tandis qu’un feu inextinguible, corporel et spirituel, remords, fureur, horreur et désespoir, ajoutera à la « peine du damné » son juste châtiment extérieur,pour terrasser l’insolence de la créature... Toutes les bêtes féroces, puantes, immondes, tous les tourments inventés par les hommes ne suffisent pas à donner une idée de ce que sont les tortures éternelles de l’enfer, méritées par les damnés. Que ceux qui doutent de la réalité de l’enfer et de la parfaite exactitude de ses représentations traditionnelles lisent le récit de la vision de l’enfer qu’eurent les trois enfants de Fatima, le13 juillet 1917, par sœur Lucie du Cœur Immaculé, carmélite à Coïmbre :
« En cette mer étaient plongés, noirs et brûlants, des démons et des âmes, sous forme humaine, sans poids ni équilibre, au milieu de grands cris et de hurlements de douleur et de désespoir qui faisaient frémir et trembler d’épouvante...
« Les démons se distinguaient des humains par leurs formes horribles d’animaux épouvantables et inconnus, mais transparents comme des charbons embrasés. Cette vision ne dura qu’un instant et nous devons remercier notre bonne Mère du Ciel, qui d’avance, nous avait prévenus par la promesse de nous prendre au Paradis. Autrement je crois que nous serions morts de terreur et d’épouvante. ».Les âmes qui vont en enfer sont celles qui ont refusé jusqu’au bout la main tendu de Dieu, qui l’ont consciemment rejeté.
Le Purgatoire et son feu naturel sont tout autres. C’est avec une intense joie, une ardente satisfaction que les âmes, en ce lieu de passage, souffrent les peines qui les disposent de jour en jour, ou d’années en années, hélas ! à entrer enfin pour l’éternité dans la vie bienheureuse des élus. Revoir Jésus, revoir Marie et n’en plus jamais être séparés, est leur certitude, si forte qu’elle leur fait trouver douces les vives flammes du feu qui les purifie.
Le Ciel est une telle félicité qu’il ne peut y en avoir de plus grande pour quelque créature que ce soit. C’est un bonheur, une joie, mille jouissances qui dépassent tout ce que nous pourrions ici-bas concevoir, imaginer, expérimenter et savourer. Le Ciel est le palais du Grand Roi, la demeure de Dieu et des hommes, la salle du festin des noces messianiques du Fils de Dieu avec l’humanité rachetée. Il est aussi le souper intime de l’Ami avec son ami (Ap 3, 20), l’étreinte nuptiale de l’Époux et de l’épouse (Ct 8, 3-4), le retour de l’enfant prodigue sur le Cœur de son Père (Lc 15, 20), « l’éternel enfant dans la maison de son Père » (P. Faber), et leur indicible face à Face (I Co 13, 12).
Le Ciel est l’épanouissement en gloire de la famille humaine restaurée, en chairs et en âmes vivantes, selon toutes les veines et artères de leurs relations filiales, nuptiales et fraternelles. Seules les admirables réunions festives de l’Église sont les ouvertures terrestres de la grande liturgie éternelle que révèle l’Apocalypse, immense, splendide féerie...
Dans les papiers d'une jeune fille morte au couvent, on a retrouvé ce manuscrit. Examiné et ayant reçu l'imprimatur, il est conforme à la saine Théologie, à l'Évangile. Il s'agit d'une dame qui après sa mort est allée en enfer. C'est très riche spirituellement. Je vous invite à le lire puisque l'Eglise Catholique a donné son approbation. Vous pouvez télécharger sur ce lien :
https://magazinelavoixdedieu.files.wordpress.com/…/le-manus…