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Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
ma lumière et mon salut c'est le seigneur
Par Anonyme, le 06.06.2021
c'est mon anniversaire
Par Anonyme, le 10.05.2021
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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JE RECONNAIS UN SEUL BAPTÊME
POUR LE PARDON DES PECHES
Oui, pour entrer dans la Communion des saints, il faut être rentré en grâce auprès du Dieu trois fois Saint ! Et comment cela peut-il se faire ? Que Jésus ait vu son Sacrifice agréé, qu’il ait obtenu sa résurrection et sa glorification en signe de la rédemption obtenue par lui pour tout le monde, c’est certain. En droit,tous les péchés sont pardonnés, tous nous sommes sauvés. Encore faut-il, en fait,que nous recevions ce salut, que nous nous l’approprions, que nos péchés d’hier, pardonnables, soient aujourd’hui pardonnés...
Ce n’est pas ici le lieu de rappeler ce qu’est le péché, sinon brièvement, suivant le petit catéchisme : « Une désobéissance, consciente et voulue, à un commandement de Dieu ou de l’Église »,une souillure, une blessure pour nous-mêmes, une injustice, un désordre envers la famille humaine et surtout envers la communauté chrétienne, enfin et plus que tout une injure à Dieu (q. 399).
Il faut ajouter ceci qui est très important et très touchant : Nos péchés ayant été rachetés au prix du Sang de Jésus, toute faute est une ingratitude, un mépris, une insultante insolence à Jésus crucifié, à son Cœur transpercé, son Sang répandu, sa Face outragée, tant qu’elle n’est pas regrettée, confessée et absoute.
Pour tout homme droit que travaille la grâce divine, son état natif de pécheur, et tout ce que sa propre volonté y a rajouté, ne peuvent le laisser en repos. « Il tend les bras au Libérateur » (Pascal, Pensées, 422). Cette attente angoissée, cette espérance de plus en plus ardente s’expriment dans les religions païennes, de plus en plus magnifiquement dans les écrits des Sages inspirés et les prières des psalmistes de l’Ancien Testament. Elles précipitent les foules au baptême de pénitence prêché par Jean dans le désert. Enfin, elles soulèvent le peuple juif et le jettent sur les pas de Jésus pour en obtenir « la rémission »,le « pardon de leurs péchés ».
Or, Jésus manifestant sa propre et personnelle autorité et initiative divine, remet les péchés, pardonne au pécheur. À sa parole, l’injure faite à Dieu est oubliée, la dette est remise, la grâce est donnée ou rendue et sans doute toute peine est ôtée. Comme lorsque Jésus dit au bon larron : « Aujourd’hui, tu seras avec moi dans le Paradis. » (Lc 23, 43)
C’est ce même pouvoir divin de remettre les péchés, de les absoudre, c’est-à-dire de les « nettoyer, abolir, anéantir par la sainte Pénitence » (Saint François de Sales), que Notre-Seigneur Jésus-Christ accorde à saint Pierre et à tous les Apôtres le soir de sa Résurrection, après le leur avoir promis durant sa vie publique (Mt 16, 17-20 ; 18, 18 ; Jn 20, 23 ; cf. Lc 24, 47). À leur suite, ce pouvoir qui leur a été donné transmissible, est conféré à tous les évêques et à tous les prêtres par l’ordination sacerdotale, quoique ces derniers ne puissent l’exercer validement qu’en dépendance de l’évêque, en chaque diocèse, comme des instruments efficaces de la Miséricorde divine (q. 142).
L’Église exerce ce divin pouvoir par les Sacrements et sacramentaux, mais premièrement et principalement par les sacrements de Baptême et de Pénitence (q. 143). Car Dieu-Père veut que le pardon et la grâce du salut, obtenus douloureusement par son Fils Jésus-Christ sur la croix, nous soient distribués, du moins ordinairement, par leur Sagesse et Vouloir divin, la Troisième personne de la Sainte-Trinité agissant en l’Église par ses gestes et ses paroles sacramentels. Même par le moyen extraordinaire du pardon immédiatement accordé par Dieu à la « contrition parfaite », le recours au Christ et à son Esprit-Saint s’impose et la réception des sacrements ordinaires de l’Église doit être le signe de la foi et de l’obéissance chrétiennes.
LES FINS DERNIÈRES RÉVÉLÉES PAR JÉSUS-CHRIST
ET ENSEIGNÉES PAR SON ÉGLISE
Dès la fin de cette vie passagère, tous les hommes entrent dans leur éternité, eux-mêmes, leur âme personnelle et immortelle. Pour y recevoir la juste rétribution de leur bonne ou de leur mauvaise conduite durant le temps de leur épreuve terrestre. La Mort, le Jugement, l’Éternité sont lesformidables réalités qui surplombent la vie présente. Et qui commandent de faire de Dieu et de sa sainte Religion l’objet principal de nos pensées, la règle de nos affections, le but de nos volontés et de toutes nos actions. Vivre autrement est proprement insensé.
LA MORT ET LE JUGEMENT
La mort est la séparation naturelle ou violente de l’âme et du corps. Mais, châtiment du péché originel, elle est pour tous, l’ultime épreuve... Le corps retourne en poussière, ou chose équivalente, « qui n’a de nom en aucune langue » (Bossuet). L’âme paraît à l’heure même devant Dieu pour être jugée, d’un « Jugement particulier »,sur ses propres œuvres et spécialement sur son état de grâce ou de péché en son dernier moment : ultime conversion, persévérance ou impénitence finale.
Les âmes totalement pures, tout éprises de Dieu, sanctifiées par la grâce, vont au Ciel. Les âmes fidèles, néanmoins souillées encore de quelques fautes, alourdies de dettes envers Dieu pour une trop médiocre vie, ou pour d’énormes fautes à peine absoutes et insuffisamment expiées, vont pour un temps au purgatoire dont le nom signifie clairement la fonction de purification. Quant aux âmes mortes en état de péché mortel invétéré, âmes rebelles à Dieu, fermées à toute foi, toute espérance ou seulement toute charité, elles sont précipitées, dès l’instant de leur mort dans l’enfer éternel et saisies par les démons comme leur proie.
À la fin du monde, sonnera la Résurrection générale. Toute âme retrouvera son propre corps, les élues pour leur faire partager leur état glorieux, d’impassibilité, de clarté, d’agilité et de subtilité, les âmes perdues pour associer leur propre chair pécheresse à leur condamnation et à leur châtiment. C’est le Christ, le Fils de Dieu, qui alors prononcera le « Jugement dernier »,terrassant et chassant de sa Présence à jamais ses ennemis, anges et hommes, et instaurant son Royaume de gloire et d’honneur avec la Bienheureuse Vierge Marie et tous ses élus pour les siècles des siècles éternels.