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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Noël- La nativité

Publié à 09:41 par lusile17
Noël- La nativité

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Publié à 09:41 par lusile17
Noël- La nativité

Noël- La nativité

Les sabots de Noel

Les sabots de Noel

Les sabots de Noël

Sur la terre d'Orient, loin, bien loin de l'autre côté des mers et des montagnes, par une nuit bleue où l'on entendait voler les anges, vint au monde, comme vous savez, le Petit Jésus de Bethléem.

Il vint au monde, et ce fut dans une étable parce que son père n'était qu'un pauvre ouvrier charpentier.

Et parce que saint Joseph était pauvre, sa naissance fut tout d'abord annoncée aux pauvres gens : des bergers et des bergères qui gardaient leurs moutons dans la            campagne. C'est un ange du ciel qui vint avec une harpe, leur chanter le message. Il avait une robe de neige, des cheveux dorés, un diadème d'argent avec une étoile à cinq branches, et une voix musicale. Il chantait d'une façon si mélodieuse que les bergers se mirent debout, tout remplis d'allégresse. Mais avant de courir vers l'étable, comme ils avaient le cœur généreux et qu'ils connaissaient les usages, ils garnirent leur bissac de fromages de chèvre, d’œufs frais, de pommes mûres et de gâteaux de miel.

Liseth, la pastoure, n'avait pour tout bien qu'une tourterelle captive. Elle aurait voulu l'offrir à l'Enfant-Dieu. Mais le chef des bergers lui donna à entendre que les parents du nouveau-né n'auraient que faire d'un oiseau roucoulant. Et Liseth suivit les bergers, le coeur gros parce qu'elle avait les mains vides.

En arrivant devant l'étable, le groupe des bergers menait grand bruit. Il y avait des cris, des rires pleins de fête, des airs de galoubet. Dans la lumière de l'étoile, on entendait le concert des anges. Liseth, en bonne petite fille qu'elle était, se disait : « On va réveiller le petit poupon! n Et comme ses sabots de bois claquaient : clic! clac! clic! clac! sur le sol sec, Liseth, de peur de tirer de son sommeil l'Enfant-Dieu, sur le seuil abandonna ses deux sabots.

Se poussant les uns les autres pour bien vite admirer le nouveau-né, les bergers entrèrent; et Liseth, déchaussée, les suivit. Elle voyait à peine, car elle était petite et au dernier rang. Les plus âgés et les plus bavards étaient juste devant la crèche, dépliant les mouchoirs à carreaux pour déposer l'humble offrande du pauvre. Le chef présenta un agneau. Un autre joua un air de cornemuse. Liseth, qui n'avait pu apporter sa tourterelle, n'avait rien à donner que son cœur de fillette et le silence dévotieux de ses petits pieds nus.

Après qu'ils eurent beaucoup questionné Marie qui devenait lasse et joseph tout chenu dont la tête s'appesantissait, les bergers se retirèrent louant Dieu et toujours chantants.

Liseth était si émue en même temps que si déçue de n'avoir pu regarder de près le Petit Jésus qu'elle en oublia ses sabots. Marie, qui s'était levée après le départ des bergers pour changer les langes de son fils, vit sur le seuil de l'étable les petits sabots abandonnés.

« Ils appartiennent à cette petite fille qui se tenait derrière les autres, dit-elle à Joseph. Elle a le cœur gentil, l'âme compatissante et déjà maternelle puisqu'elle s'est déchaussée afin de ne pas éveiller l'Enfant. Pour l'adorer, elle est demeurée les pieds nus sur la terre froide. En vérité, en vérité, je vous le dis, pour l'amour de cette fillette, les petits sabots seront bénis ».

Et Marie prit les humbles chaussures de bois qu'elle déposa sur la crèche.

A ce moment, on frappa discrètement à la porte de l'étable. Joseph, quoiqu'il fût bien las, s'empressa d'aller ouvrir. Dans le carré de lumière apparut alors une petite fille qui, timide, roulait un coin de sa robe entre ses doigts. C'était Liseth qui venait rechercher ses sabots. Elle les vit entre les mains de jésus; et leurs sourires se rencontrèrent si beaux, si lumineux que le visage de la petite pastoure devint aussitôt plus resplendissant que celui du plus beau séraphin du chœur céleste.

Marie fit signe à la petite fille de s'approcher; et comme elle allait lui rendre les deux petits sabots, voici que l'Enfant-Dieu fit son premier miracle. Des roses, des violettes, des lys des champs, des hyacinthes et des mélisses fleurirent et embaumèrent, pour Liseth, la double conque des sabots de bois. Et Liseth, après avoir baisé doucement les boucles blondes du nouveau-né, s'en fut, avec les sabots sur son cœur et de la joie pour toujours .

                                                     Les sabots de Noel

 Vous saurez que , depuis ce temps-là, tous les ,petits enfants du monde mettent leurs sabots dans la cheminée. Et parce qu'Il se souvient de l'attention gentille de la petite pastoure, l'Enfant Jésus, du haut du ciel, continue de remplir de ses bénédictions et de ses présents vos petits sabots de Noël.

 

Poesie-Le Noël de pére Noël

Publié à 19:10 par lusile17 Tags : roman neige 2010 bonne belle enfants nuit travail pensée chien cadeaux
 Poesie-Le Noël de pére Noël

Le Noël de pére Noël

C’était un jour à ne pas mettre un chien dehors.

La neige tombait dru depuis de longues heures. Des flocons s’infiltraient sous la porte et le vent passait par les châssis qui n’étaient plus de première jeunesse.

Le Père Noël boutonna sa chemise jusqu’au dernier bouton en faisant une grimace car avec l’âge, son cou s’était quelque peu ratatiné. Il passa un chaud tricot de laine et ajouta par-dessus un gilet qu’il boutonna également. Il enfila des chaussettes bien épaisses et chaussa ses bottes fourrées. Enfin, il se drapa dans son ample manteau de drap rouge et noua soigneusement son écharpe. Il prit sa paire de gants fourrés et pareillement harnaché, il se regarda dans le miroir accroché dans l’entrée.

- " Tout le monde dit que je suis gros, pas étonnant avec autant de couches - je ressemble à un oignon " Au lieu de le faire rire, cette réflexion eut le don de l’agacer un peu plus.
- " Quelle nuit atroce ! Je serais bien mieux confortablement installé près de ma cheminée et buvant un chocolat chaud fumant ... " Là encore, cette pensée le rembrunit un peu plus et son front se plissa.

Le Père Noël sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Il avait les naseaux gelés et ses yeux pleuraient. Le froid était si vif que les patins du traîneau ne voulaient pas se décoller du sol. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route.

Bien que de fort méchante humeur, le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " et les clochettes se mirent à tintinnabuler. Il s’adressa à Ferdinand :
- " Pourquoi Noël est-il en hiver ? Ce n’est pas un temps pour voyager, il fait si froid, il fait si noir ... Eh ! puis, je ne suis plus de première jeunesse. Il faut changer tout ça. Rien que pour toi, tu risques de te rompre le cou à tout moment. Je crois que je n’ai vraiment pas envie de distribuer mes cadeaux cette année. "

Il avait à peine prononcé cette dernière phrase qu’il arriva à la première maison de sa tournée. Les parois du toit étaient particulièrement abruptes et la glace les avait rendues aussi brillantes qu’un miroir. La cheminée n’était pas très large et Ferdinand se demandait comment le Père Noël allait pouvoir pénétrer à l’intérieur. Timidement, il se hasarda :
- " Si vous ne descendiez pas cette année Père Noël ? "
Le Père Noël lui lança un regard très noir.
- " Mais tu n’y est pas mon pauvre Ferdinand ! Tu ne voudrais pas que je demande que l’on m’ouvre la porte tout de même ... "

Le Père Noël enjamba le rebord et commença à descendre. Il ne put pénétrer que jusqu’à la taille car avec un gilet en plus, le conduit était bien trop étroit pour lui. Il essaya en vain de respirer, de ne pas respirer, de se tirer, de se tordre dans tous les sens ... Rien. Il ne bougea pas d’un millimètre. Déjà des braises atteignaient la semelle de ses bottes. Elles se mirent à roussir en dégageant une épaisse fumée qui le fit tousser. Ferdinand s’approcha et poussa tellement fort que le père Noël et ses cadeaux furent propulsés vers le bas tels un boulet de canon. Le Père Noël se retrouva dans le salon couché sur le dos au beau milieu des cadeaux. En bougonnant, il remplit les souliers des enfants de tous les présents qu’ils avaient demandés et remonta avec beaucoup d’effort le long du conduit en se disant que l’an prochain Noël devra véritablement être à un autre moment. Arrivé sur le toit près de Ferdinand, il lui dit :
-" L’an prochain, nous avancerons la fête de Noël "
Vaguement inquiet, le renne lui demanda entre deux rafales de neige :
-" Ce sera beaucoup plus tôt ? "
-" En juillet, je pense que ce sera la bonne époque juste au moment où la nuit est si douce, si lumineuse... "

Les mois passèrent bien vite et le mois de juillet pointa son nez. Le Père Noël plus affairé que d’ordinaire ne vit pas les jours passer. Le Père Noël avait fait en six mois le travail qu’il effectue d’ordinaire en une année entière et il n’avait pas pris beaucoup de repos.

Le soir du 24 juillet, il demanda à Ferdinand de sortir le chariot à roues. Il ne pouvait pas utiliser son traîneau puisqu’il n’y avait pas de neige... Il rentra pour se préparer. Tout d’abord, il entreprit de se raser. La barbe, c’est bien l’hiver pour avoir chaud mais l’été, rien de tel qu’un bon rasage de frais. Il enfila un jeans, prit dans son armoire son plus beau tee-shirt et chaussa une paire de sandales en cuir. En passant devant le miroir de l’entrée, il ne put s’empêcher de se trouver très bien. Il était très à la mode, très mince et d’une humeur excellente. C’était pensait-il une excellente idée d’avoir changé la date de la fête de Noël.

Il sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route. Le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " Ils arrivèrent sans encombre à la première maison de la tournée. La cheminée était toujours aussi étroite mais il s’y engouffra sans aucun effort. Il se mit bien vite à éternuer à cause de la suie restée dans le conduit et aussi de ses narines qui n’étaient plus protégées par sa moustache. Une fois dans la pièce, il resta très étonné. Rien n’était comme d’habitude. Pas de petits souliers alignés devant la cheminée, pas de sapin de Noël, pas de décoration et surtout pas de petit verre de goutte ni de morceau de bûche de Noël à son intention. La maison était déserte, comme abandonnée. " Mais ce n’est pas possible, pensa le Père Noël, ils n’ont pas pu me faire ça ! à moi ! Ils sont partis en vacances ". Il reprit ses cadeaux et remonta sur le toit où le renne l’attendait.

Il n’était pas en très bonne compagnie, le renne Ferdinand. Des moustiques tournaient tout autour de lui, s’arrêtant de ci, de là pour le piquer un peu. Il n’était pas de très bonne humeur et lorsque le Père Noël apparut, il se mit à se plaindre :
-" L’hiver au moins, il n’y a pas toutes ces bestioles. Regardez comme elles m’ont piqué ! " Son œil était déjà tout enflé et sa queue allait et venait en tous sens pour essayer de les chasser.

Ils firent le tour des maisons mais c’était partout la même chose. Soit, les gens étaient en vacances, soit les enfants ne dormaient pas à cause de la chaleur. Par trois fois, le Père Noël faillit être vu et même la dernière fois, les parents crurent qu’un voleur était entré dans la maison et appelèrent la police. Le Père Noël grimpa sur son chariot à roues et s’enfuit en direction de sa maison. Il allait tellement vite que les cadeaux tombèrent les uns après les autres. Furieux de cette mésaventure, le Père Noël jura qu’on ne l’y reprendrait plus.

Le soir du 24 décembre, il sortit comme d’habitude dans la nuit glacée. Il avait pris ses gants, son gros gilet, sa chemise boutonnée jusqu’au dernier bouton et son ample manteau de drap rouge. Bien qu’il fasse plus froid que d’habitude, le Père Noël n’émit aucune plainte. Le toit de la première maison était toujours aussi pointu et aussi lisse, la cheminée aussi étroite. Il eut bien des difficultés à se laisser glisser jusqu’en bas mais il y parvint. Les petits chaussons étaient alignés devant la cheminée. Un sapin magnifique éclairait la pièce et une multitude de décorations rendaient ce lieu féerique. Il y avait sur la table un petit carton avec écrit en grosses lettres dorées : " POUR LE PERE NOËL " et juste à côté, un belle portion de bûche de Noël et un petit verre de goutte. Il trouva également une lettre tellement gentille qu’en la lisant, il sentit les larmes lui monter aux yeux.

Mon cher petit papa Noël,
Je sais que je ne suis pas toujours très sage.
Je voulais te dire que tu es formidable.
Que malgré la neige et le froid tu viens toujours à la même date.
Je te fais un gros bisou.
Zoe 
"

La remontée lui parut facile. La suie n’entra pas dans ses narines car sa moustache avait repoussé Arrivé sur le toit, Ferdinand ne le vit pas arriver. Il fixait une étoile brillante en rêvant...

-" Tu sais, dit-il à son renne, c’est merveilleux un Noël en décembre.  Jamais je ne voudrais distribuer mes cadeaux à un autre moment." Et comme pour lui dire qu’il avait raison, toutes les cloches des environs se mirent à carillonner et une étoile filante passa au-dessus de la cheminée étroite.

Poésie-La nuit de Noël

Publié à 18:15 par lusile17 Tags : coeur nuit livre divers cadeaux douceur
 Poésie-La nuit de Noël
La nuit de Noël

L'air est glacé, mais la nuit est sereine,
Les astres clairs nagent en un ciel pur ;
J'entends gémir les eaux de la fontaine ;
Le firmament étale son azur.

L'airain battu d'un coup triste et sonore
Seul a troublé le repos de la nuit.
Il est une heure, et moi je veille encore ;
Je veille seul, et le repos me fuit.

Oh ! que de fois le silence nocturne
Prêta son calme à mes songes divers !
Oh ! que de fois ma lampe taciturne
M'a vu rêver, lire, tracer des vers !

Nuit de Noël, derniers jours de l'année,
Oh ! que de jeux, de paix et de plaisirs
Vous rappelez à mon âme fanée !
Et tout a fui sous de nouveaux désirs !

Comme d'un rêve aussi doux que rapide,
Il me souvient de ce bonheur passé.
Bonheur d'enfance, imprévoyant, avide,
Que la raison a si vite effacé...

Il me souvient de ces cadeaux magiques
À mon réveil offerts dès le matin,
Et du foyer, et des plombs fantastiques,
Dont les contours présageaient le destin.

Me disaient-ils que je serais poète,
Victime, hélas ! des désirs de mon coeur ?
Que le chagrin ferait courber ma tête,
Et que jamais je n'en serais vainqueur ?...

*

Déjà la cloche a répété quatre heures ;
Je veille encor, je veille pour chanter.
Un bruit soudain ébranle nos demeures ;
Quelle douceur je trouve à l'écouter !

Quels sons divins, quelle auguste harmonie
L'airain du temple exhale dans les airs !
Comme l'espoir, mon âme rajeunie
Entend vibrer les célestes concerts.

Nuit de Noël, nuit de paix et de joie,
C'est dans ton sein qu'un Sauveur nous est né.
Le coeur soumis qui marche dans ta voie,
Humble et joyeux, n'est pas abandonné.

Ô mon Sauveur, viens éclairer ma route !
Viens me couvrir des ailes de la foi !
Ouvre mon âme et dissipe mon doute ;
Viens, je t'attends et je me livre à toi.

Anecdotes-Au gui l’An Neuf

Publié à 17:49 par lusile17 Tags : 2010
Anecdotes-Au gui l’An Neuf

Au gui l’An Neuf ! …

À Noël, et le jour de l'an à minuit précisément, la tradition, en Europe du nord veut que l'on s'embrasse sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie. La saison voulant que le gui abonde, on en cueillit dès le Moyen Âge pour l'offrir avec ce souhait : « Au gui l'an neuf », formule qui fut remplacée plus tard par « Bon an, mal an, Dieu soit céans » (soit dans la maison). Au XIXe siècle on disait « Bonne et sainte année, le paradis à la fin de vos jours », expression modernisée au XXe siècle en « Bonne et heureuse année ».

Un petit peu plus d'histoire…

Pour célébrer l’An nouveau, vêtus de blanc et à l’aide d’une serpe d’or, les druides coupaient le gui (symbole de l’immortalité) sur les chênes sacrés… Les fruits ne devant pas toucher le sol, les druides les récoltaient dans des grands draps blancs. Aux cris de la formule « Au gui l’An neuf » ils offraient pour souhaiter prospérité et longue vie, une branche de gui aux participants de la cérémonie de l’An nouveau, formule reprise au Moyen-Age et remplacée ensuite par « Bon An, mal An, Dieu soit céans » (comme déjà expliqué ci-dessus). Des feuilles de gui réduites en poudre et portées dans un petit sac autour du cou sont un puissant protecteur contre les maléfices… N’oublions pas que sous les Mérovingiens l’année commençait le premier mars, et que pendant tout le moyen-age le jour de l’An coïncidait avec le jour de Pâques. Il faudra attendre 1564 pour que Charles X impose le premier janvier comme premier jour de l’année. En 1582, le Pape Grégoire XIII instaura le calendrier grégorien, celui que nous utilisons encore… La coutume des étrennes remonte elle à l’époque romaine. S’embrasser le jour de l’An, à minuit précisément, porte bonheur (heur=chance).

Poésie de Noël-Ange bleu, ange blanc

Publié à 17:14 par lusile17 Tags : amour ange bleu coeurs
 Poésie de Noël-Ange bleu, ange blanc

Ange bleu, ange blanc

Ange bleu, ange blanc
Descendez sur la terre
Venez donner aux gens
La vraie joie qu'ils espèrent
Ange bleu, ange blanc.

Ange bleu, ange blanc
Que nos coeurs vous accueillent
Qu'à Noël tous les ans
Nos âmes se recueillent
Ange bleu, ange blanc.

Ange bleu, ange blanc
Unissez vos concerts
À ces refrains d'antan
Qui nous sont toujours chers.
Ange bleu, ange blanc.

Ange bleu, ange blanc
Donnez en ce beau jour
À nos coeurs frémissants
La joie, la paix, l'amour.
Ange bleu, ange blanc.

      Gigi Bastien