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bonhe urs à gogo !
sincèremen t vôtre.
m.p.
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eh beh jérémy tu fais!!!!
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Les trois rois |
Trois rois sont venus équitation de lointain,
Melchior et Gaspar et Baltasar ;
Trois hommes sages hors de l'est étaient eux,
Et ils ont voyagé par nuit et ils ont dormi par jour,
Pour leur guide était un beau, merveilleux tient le premier rôle. Le tenir le premier rôle était si beau, grand et clair,
Que tout autre tient le premier rôle du ciel
Est devenue une brume blanche dans l'atmosphère,
Et par ceci ils ont su que venir était près
Du prince prévu dans la prophétie. Trois cercueils ils ont concerné le leur seller-cintre,
Trois cercueils d'or avec des clefs d'or ;
Leurs robes longues étaient de soie cramoisie avec des rangées
Des cloches et les grenades et les furbelows,
Leurs turbans aiment les amande-arbres de floraison. Et ainsi les trois rois sont montés dans l'ouest,
Par le crépuscule de la nuit, de la colline finie et du vallon,
Et parfois ils ont incliné la tête avec la barbe sur le sein,
Et parfois parlé, comme ils ont fait une pause pour se reposer,
Avec le peuple ils se sont bien réunis à un certain bord de la route. « De l'enfant qui naît, » a dit Baltasar,
Les « bonnes gens, je vous prie, nous dis les nouvelles ;
Pour nous dans l'est avons vu le sien tenir le premier rôle,
Et sont montés rapidement, et sont montés loin,
Pour trouver et adorer le roi des juifs. « Et les personnes répondues, « vous demandez en vain ;
Nous savons sans roi mais Herod le grand ! «
Ils ont pensé que les hommes sages étaient des hommes aliénés,
Comme ils ont stimulé leurs chevaux à travers la plaine,
Comme des cavaliers dans la rapidité, qui ne peut pas attendre. Et quand ils sont venus à Jérusalem,
Herod le grand, qui avait entendu cette chose,
Envoyé pour les hommes sages et interrogé leur ;
Et dit, « aller vers le bas à Bethlehem,
Et m'apporter les tidings de ce nouveau roi. « Ainsi ils sont montés loin ; et le tenir le premier rôle se tenait toujours,
Le seul dans le gris du matin ;
Oui, il s'est arrêté --il se tenait toujours de sa propre volonté libre,
Bethlehem fini droit sur la colline,
La ville de David, où le Christ est né. Et les trois rois sont montés par la porte et la garde,
Par la rue silencieuse, jusqu'à ce que leurs chevaux aient tourné
Et henni comme ils sont entrés dans le grand auberge-yard ;
Mais les fenêtres étaient fermées, et les portes ont été barrées,
Et seulement une lumière dans le stable brûlé. Et bercé là dans le foin parfumé,
Dans le ciel rendu doux par le souffle du kine,
Le petit enfant dans la configuration de mangeoire,
L'enfant, celui serait roi pendant un jour
D'un humain de royaume pas, mais deviner. Sa mère Mary de Nazareth
Observation reposée près de son endroit du repos,
Observant même l'écoulement de son souffle,
Pour la joie de la vie et la terreur de la mort
Ont été mélangés ensemble dans son sein. Ils ont étendu leurs offres à ses pieds :
L'or était leur hommage à un roi,
L'encens, avec son bonbon à odeur,
Était pour le prêtre, le Paraclete,
La myrrhe pour le corps enterrant. Et la mère s'est demandée et a cintré sa tête,
Et reposé aussi toujours comme statue de pierre,
Son coeur a été préoccupé pourtant soulagé,
Se rappelant ce que l'ange avait indiqué
D'un règne sans fin et du trône de David. Alors les rois sont montés hors de la porte de ville,
Avec un cliquetis des hoofs dans la rangée fière ;
Mais ils sont allés pas de nouveau à Herod le grand,
Pour eux ont su sa méchanceté et ont craint sa haine,
Et retourné à leurs maisons par une autre manière.
Henry Wadsworth Longfellow
À Noël Temps
Il n'y a rien comme Noël
Et bois profondément dans la neige
Pour nous inciter à se rappeler
Le cher il y a bien longtemps.
Vers le bas la route lasse de la vie,
Les années passent le dossier simple,
Mais profondément dans nous tous
Vit un peu d'enfant.
La même merveille essoufflée
Inonde au-dessus de nous quand
Les cieux gris perdent des flocons de neige
Cette danse dans le vent.
Fumée se courbant des cheminées,
Une vitre blanche,
Et cher retour de pensées
Et les vieilles joies demeurent.
Le tintement des cloches de traîneau
À travers une nuit immobile,
Un foyer chaud et ombragé
À qui braises brûlent lumineux.
Un Afghan coloré
Jeté au-dessus d'une chaise,
Le houx vert s'est enlaceré
En bas de la longueur d'un escalier.
L'église illuminée par des bougies
Et les cloches d'or indiquent
Des chapitres chaque coeur
Se rappelle tellement bien.
Ah, là n'est rien comme Noël
Et bois profondément dans la neige
Pour nous inciter à se rappeler
Le cher il y a bien longtemps.
Grace E. Easley
Le Sapin Bleu
Je suis né en Norvège, dans ce pays si froid,
Où l’hiver sous la neige, le sapin reste roi.
Sous ma grande ramure, les oiseaux s’abritaient,
Les écureuils gourmands, de mes fruits subsistaient.
Après la nuit d’hiver, le soleil arrivait,
Fier de mon habit vert, heureux je rayonnais.
Le temps m’était compté, j’étais en fin de vie,
Étant sélectionné, un jour on m’abattit.
Un garçon était le sujet d'inquiétudes constantes de ses parents.
Les symptômes alarmant augmentaient:convulsions, signes d'arrêt de croissance intellectuelle.
Je me confierai en Toi. Un jour, son père surprit l'enfant en train de prier; et cette prière pathétique qu'il entendit lui donna une lueur d'espérance. « Tu sais Jésus, comme mon papa et ma maman sont déçus de moi. |
![]() | Le Progrès. Le père décida de procurer à son enfant un changement d'air et lui fit faire un voyage... |
Le Témoignage. Des années après, le père,reconnaissant, a put rendre ce témoignage : « A l'école préparatoire universitaire, mon fils fut choisi comme président par ses camarades. Et, plus tard, quand eut lieu un certain congrès mondial, c'est mon fils qui fut choisi comme vice-président.
|
Dieu avait la réponse. Il est maintenant l'un des principaux médecins spécialistes, connu dans le monde entier... cet enfant idiot qui un jour, dit à son Dieu qu'il se confiait en Lui... |
Légende sur Noël
LES SABOTS
Coutume qui vient de l'Allemagne.Une légende allemande raconte que depuis longtemps,
la nuit de Noël, les pauvres gens mettaient leurs sabots
devant leur porte. Pendant la nuit, les riches généreux
partageaient leurs biens et déposaient des cadeaux dans les sabots
. Noël devenait ainsi une fête de partage.
Les cadeaux des rois mages
- "Je t'apporte l'or, dit le premier, parce que tu es le roi
des rois".
- "Je t'apporte l'encens, dit le second, parce que tu seras
adoré de tous".
- "Je t'apporte la myrrhe, dit le troisième d'une voix triste, pour embaumer ton corps. Car, hélas, ta vie sera brève..."
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Noël, cette grande fête chrétienne, a remplacé d'autres manifestations qui se déroulaient chaque année, à la même période, dans toute l'Europe.
À Rome, entre le 17 et le 24 décembre, régnait un grand désordre: les esclaves commandaient leurs maîtres, qui devaient les servir à table. On nettoyait les maisons, que l'on décorait de houx et de sapins. Un roi de la fête était choisi parmi les jeunes soldats
Fêtes pré chrétiennes
En France et dans quelques régions d'Europe, on célébrait au Moyen Âge la fête des fous Elle se déroulait le jour de Noël ou dans la semaine suivante. Cette folle mise en scène tournait en dérision les dignitaires de l'Église et leurs préceptes. La foule déguisée, portait des masques, des habits sacerdotaux mis à l'envers, parcourait la ville et offrait une cruelle satire de l'Église: parodie de messe, danses et chants paillards, blasphèmes… interdite à plusieurs reprises, cette fête cessa définitivement au XVe siècle.
Au Moyen Âge, la fête des fous et la fête de l'âne furent très populaires.
La fête des fous
La fête des fous était célébrée le jour de Noël le 25 décembre, ou le jour de l'An ou de l'Épiphanie. Elle rappelait les Saturnales romaines. C'était un temps de liberté où les domestiques devenaient les maîtres et les maîtres les domestiques. En cette seule journée, les valeurs établies de la société étaient renversées et la religion était tournée en dérision
La fête de l'âne
La fête de l'âne était célébrée dans certaines villes la veille de Noël ou au cours des secondes vêpres le 25 décembre : en souvenir de la fuite
en Égypte, une jeune fille tenant un enfant dans ses bras pénétrait dans une église à dos d'âne. Pendant la messe, toutes les prières se terminaient alors par "hi-han". L'Église a rapidement interdit ces célébrations qui prenaient un caractère obscène.
![]() | Le Noël du Petit Ramoneur Mais bah! je ris du froid, car c'est cette nuit même que le petit Noël viendra |
Puis l'enfant s'endormit.
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Jean, c'était son nom, se rendormit.
Son rêve fut différent suite à sa plainte.
L'enfant de la crèche"Jésus" entendit sa prière.
Et voici ce qu'Il lui dit:
Ramon!: «Si tu me demandes de remplir ton coeur
«Et que tu me fait une place
«Je te conduirai, je serai ton Sauveur et ton guide,
«Et ton coeur sera rempli à déborder
«Et tu tu verras les merveilles de la crèche
«Cadeau envoyé par le Père Céleste
«Pour toi pour l'éternité»
Ramon se réveilla tout joyeux .
Et depuis ce jour, il souhaite à tous un
Les petites souris du grenier
« Pip ! pip ! » fit une petite souris en apparaissant au même instant, et une autre la suivait.
Elles flairèrent le sapin et furetèrent dans ses branches.
- Il fait terriblement froid , dit la petite souris. Sans quoi on serait bien ici, n'est-ce pas, vieux sapin?
- Je ne suis pas vieux du tout, répondit le sapin. Il y en a beaucoup de bien plus vieux que moi.
- D'où viens-tu donc ? demanda la souris, et qu'est-ce que tu as à raconter ?
Elles étaient horriblement curieuses. |
As-tu été dans le garde-manger ?
- Je ne connais pas ça, dit l'arbre, mais je connais la forêt où brille le soleil, où l'oiseau chante.
Et il parla de son enfance. Les petites souris n'avaient jamais rien entendu de semblable. Elles écoutaient de toutes leurs oreilles.
- Tu en as vu des choses ! Comme tu as été heureux !
- Moi ! dit le sapin en songeant à ce que lui-même racontait. Oui, au fond, c'était bien agréable.
Mais, ensuite, il parla du soir de Noël où il avait été garni de gâteaux et de lumières.
- Oh ! dirent encore les petites souris, comme tu as été heureux, vieux sapin.
- Mais je ne suis pas vieux du tout, ce n'est que cet hiver que j'ai quitté ma forêt ; je suis dans mon plus bel âge, on m'a seulement replanté dans un tonneau.
- Comme tu racontes bien, dirent les petites souris.
|
« C'était vraiment de bons moments, pensait-il. Mais ils peuvent revenir, ils peuvent revenir !
Il avait raconté l'histoire de...
Dumpe-le-Ballot qui était tombé du haut des escaliers, pour aller sauver sa princesse ; peut-être en aurai-je une aussi. » Il se souvenait d'un petit bouleau qui poussait là-bas, dans ... là-bas, dans la forêt, et qui avait été pour lui une véritable petite princesse.
- Qui est Dumpe-le-Ballot ? demandèrent les petites souris.
Alors le sapin raconta toute l'histoire, il se souvenait de chaque mot ; un peu plus, les petites souris grimpaient jusqu'en haut de l'arbre, de plaisir.
La nuit suivante, les souris étaient plus nombreuses encore, et le dimanche il vint même deux rats, mais ils déclarèrent que le conte n'était pas amusant du tout, ce qui fit de la peine aux petites souris ; de ce fait, elles-mêmes
l'apprécièrent moins.
- Eh bien , merci, dirent les rats en rentrant chez eux. Les souris finirent par s'en aller aussi, et le sapin soupirait.
- C'était un vrai plaisir d'avoir autour de moi ces petites souris agiles, à écouter ce que je racontais.
C'est fini, ça aussi, mais maintenant, je saurai
goûter les plaisirs quand on me ressortira. Mais quand ?
Ce fut un matin, des gens arrivèrent et remuèrent tout dans le grenier.
Ils déplacèrent les caisses, tirèrent l'arbre en avant. Bien sûr, ils le jetèrent un peu durement à terre, mais un valet le traîna vers l'escalier où le jour éclairait.
Les garçons jouaient dans la cour, le plus jeune portait sur la poitrine l'étoile d'or qui avait orné l'arbre au soir le plus heureux de sa vie.
Ce soir était fini, l'arbre était fini, et l'histoire, aussi, finie, finie comme toutes les histoires.
Plante sacrée pour la plupart des anciennes peuplades de l'Europe, symbole de l'immortalité parce qu'il reste vert et vivant quand les arbres qui le portent semblent morts, le gui a toujours été étroitement mêlé à la magie et à la thérapeutique.
Lorsque deux amoureux s'embrassent sous une feuille de gui dans le temps des Fêtes, on dit que cela ne pourra que leur être bénéfique, et doivent en théorie se marier ou partager une vie de couple longue et heureuse !
Cela vient probablement du fait qu'anciennement les druides considéraient le gui comme une plante sacrée, qu'ils appelaient d'ailleurs " rameau d'or ", qu'ils étaient les seuls à pouvoir cueillir.
On lui attribuait, entre autres pouvoirs, celui de guérir la maladie et la stérilité.
Le gui symbolise la paix, la santé et le bonheur.
On disait que des ennemis qui se rencontraient sous une branche de gui jetaient les armes, se saluaient et faisaient la trêve jusqu'au lendemain.
Mais, dans certaines régions d'Europe, la tradition du baiser sous la branche de gui doit s'accompagner de certaines précautions. En effet, quand des amoureux se sont embrassés sous une branche de gui, ils doivent la faire brûler la douzième nuit suivante, sinon ils se querelleront avant la fin de l'année.