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et je chante « happy birthday to you »
bonhe urs à gogo !
sincèremen t vôtre.
m.p.
Par Séverine Roi, le 21.05.2025
eh beh jérémy tu fais!!!!
Par Anonyme, le 12.04.2025
je l'aime beaucoup
Par Anonyme, le 31.03.2025
c est vraiment l exemple d un guide spirituel pour soi meme
Par Anonyme, le 16.03.2025
trop mignon
Par Anonyme, le 24.02.2025
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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St Philippe apôtres
Saint Philippenaquit à Bethsaïde, sur les bords du lac de Tibériade, comme les saints Pierre et André. Saint Clément d'Alexandrie, suivant une tradition ancienne, l'identifie au jeune homme qui demande la permission d'aller enterrer son père avant de suivre Jésus qui répond de laisser les morts ensevelir les morts
Selon l'évangile de saint Jean, on peut supposer qu'il fut d'abord un disciple du Baptiste avant d'être appelé par Jésus à qui il conduit Nathanaël (Barthélemy) ; c'est à lui que Jésus s'adresse avant la première multiplication des pains et c'est à lui que se présentent les païens approcher le Seigneur; enfin, pendant la Cène, il demande à Jésus de montrer le Père.
La tradition nous apprend qu'il prêcha aux Scythes et qu'il mourut très vieux à Hiérapolis (Phrygie) où, selon Eusèbe de Césarée qui cite Polycrate, il fut enterré. Clément d'Alexandrie prétend qu'il mourut de mort naturelle alors que d'autres disent qu'il fut martyrisé sous Domitien ou sous Trajan (lapidé puis crucifié).
L’apôtre Philippe est généralement représenté jeune ; il porte souvent la croix de son supplice et, parfois, des pains qui rappellent son rôle de la multiplication des pains. Parce qu’il porte un nom grec et qu’il est natif de Bethsaïde, on l’associe à André.
Philipe, le disciple du Christ. Un disciple dont la fidélité ne fut jamais remise en question.
La Vierge Marie ,Saint Jacques et Saint Pilippe Pendant des siècles, Saint Philippe et Saint Jacques ont été fêtés au 1er mai, jour où leurs reliques furent transférées dans la basilique romaine des douze apôtres. Récemment, ils ont laissé leur place à l'humble saint Josephpour réconforter les travailleurs. |
SSSSSSSSSaint Saint Jacques le mineur Jacques le mineuraSaint Jacques le mineurint Jacques lSaint Jacques, appelé le Mineur pour le distinguer de Jacques le Majeur, frère de saint Jean, était né à Cana, en Galilée; il était de la tribu de Juda et cousin de Notre-Seigneur selon la chair. La tradition affirme qu'il ressemblait au Sauveur, et que les fidèles aimaient à regarder en lui une vivante image de leur Maître remonté dans le Ciel. Jacques eut un frère, Apôtre comme lui, nommé Jude, et ses deux autres frères, Joseph et Simon, furent disciples de Jésus.
Après la Pentecôte, quand les Apôtres se partagèrent le monde, Jacques se fixa à Jérusalem, pour la conversion spéciale des Juifs. Son autorité était très grande dans l'Église primitive, et, au concile de Jérusalem, c'est lui qui, le premier après saint Pierre, prit la parole. Il nous reste de lui une belle Épître.
Les conversions nombreuses et éclatantes opérées par son ministère lui suscitèrent des ennemis. Les princes des Juifs le firent monter sur la terrasse du temple et lui dirent: "Juste, nous avons confiance en toi; parle et dis-nous la vérité sur Jésus!" Le saint Apôtre s'écria: "Pourquoi m'interrogez-vous sur le Christ? Il siège dans les Cieux à la droite de la Majesté divine, et un jour Il reviendra sur les nuées du Ciel." La foule approuvait ces paroles; mais les chefs, jaloux, précipitèrent le vieillard du haut en bas. Brisé dans sa chute, le martyr trouve encore la force de se mettre à genoux et de prier Dieu pour ses bourreaux, en répétant la parole du Sauveur: "Seigneur, pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font." Un foulon l'étendit mort d'un coup de levier sur la tête.
A Compostelle est vénéré l'Apôtre Jacques le Majeur, l'aîné des 2 fils de Zébédé dont le plus jeune est Jean l'évangéliste. Jésus les a appelés "fils du tonnerre" sans doute pour leur caractère fougueux. Leur mère avait demandé à Jésus de les faire siéger à sa gauche et à sa droit dans son royaume. Jacques accompagné de son frère Jean et de Pierre a assisté à la transfiguration de Jésus sur le mont Thabor. Jacques a été décapité à Jérusalem en l'an 44 par le roi Hérode Agrippa..
L'autre Jacques dit le Mineur (le plus jeune) et son frère Jude étaient les fils d'Alphée, frère de Joseph, époux de Marie, donc cousins de Jésus. Jacques le Mineur fut le premier évêque de Jérusalem où il est mort martyre en l'an 62.
Après la mort - résurrection et ascension de Jésus et la Pentecôte, Jacques serait parti avec des compagnons en Espagne évangéliser la Galice mais sans grand succès. Après son martyre à Jérusalem, ses compagnons auraient déposé son corps dans une barque qu'un ange guida jusque sur la côte de Galice à Padron. Ses compagnons placèrent son corps sur une pierre qui se façonna en sarcophage. Ils enterrèrent celui-ci en un lieu secret qui tomba dans l'oubli.
Au IXème siècle, un ermite, Pelayo, est instruit par en songe de l'endroit où repose le saint. Une étoile le guida et s'arrêta dans un champ (campus stellae qui donna son nom à Compostelle) où il trouva le sarcophage. L'évêque du lieu, Teodemi, authentifia le cops de St. Jacques et son tombeau commença à attirer les pèlerins.
Sainte Faustine Kowalska
Apôtre de la miséricorde du Christ
1905-1938
Sainte Faustine a reçu du Christ une mission : faire connaître aux hommes sa divine miséricorde. Pour cela il lui parle et lui demande d’écrire tout ce qu’il dit. Elle devient ainsi secrétaire et apôtre de la miséricorde de Dieu. Découverte d’une vie cachée. « Ma fille, fais ce qui est en ton pouvoir pour étendre la vénération de ma miséricorde, je suppléerai à ce qui te manque. Dis à l’humanité douloureuse de se blottir dans mon cœur miséricordieux et je la comblerai de paix.Dis, ma fille, que je suis l’amour et la miséricorde même. » C’est à une toute jeune religieuse, sœur Faustine, que Jésus confie cette mission de se faire l’apôtre de sa miséricorde. Elle est très simple et sans instruction, mais sa vie intérieure est profonde. Née Hélène Kowalska, elle voit le jour le 25 août 1905 dans le village de Glogowiec, non loin de Lodz, en Pologne. Elle est la troisième de dix enfants. Ses parents, Marianna et Stanislaw Kowalski, modestes agriculteurs, la font baptiser le lendemain dans l’église paroissiale et l’élèvent dans une foi profonde. Son enfance est marquée par un amour de la prière, une obéissance remarquable, ainsi qu’une grande sensibilité à la misère des hommes. Hélène est décrite comme une enfant « humble, silencieuse, prête à faire tout travail et à aider tout le monde, […] en même temps joyeuse et toujours souriante ». A sept ans, Hélène entend pour la première fois en son âme la voix qui l’appelle à une vie religieuse. Mais ses parents ne sont pas d’accord. Elle essaie donc d’étouffer cette voix intérieure. A neuf ans, elle vit profondément sa première communion et restera toute sa vie sensible à la présence du Dieu vivant dans l’eucharistie. Après quelques années d’école, elle s’engage, à l’adolescence, comme servante dans des familles aisées pour gagner sa vie. Toujours dévorée par son appel à la vie religieuse qui se fait de plus en plus pressant, elle essuie un nouveau refus de ses parents, faute d’argent pour lui constituer un trousseau. Cependant, exhortée par une vision du Christ souffrant, elle part finalement, sans saluer sa famille, pour Varsovie où, le 1er août 1925, elle rejoint la congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la Miséricorde.
Sainte Faustine Kowalska
Apôtre de la miséricorde du Christ
1905-1938
Devenue à vingt ans sœur Marie-Faustine du Très Saint Sacrement, elle passe treize années dans plusieurs couvents de la communauté. Sa congrégation, vouée au soutien des femmes et jeunes filles repenties ainsi qu’à l’éducation, est divisée entre sœurs directrices et sœurs coadjutrices. Ces dernières, dont fait partie sœur Faustine, sont chargées des travaux de ménage et d’intendance. Dans les diverses maisons où l’obéissance l’appelle, elle remplit tour à tour les modestes charges de cuisinière, jardinière, puis tourière (sœur chargée de la porterie et des relations avec l’extérieur du couvent). Toujours dévouée, calme, équilibrée, accomplissant strictement et pieusement ses exercices de piété, elle édifie par son exemple ceux qui la connaissent. Mais beaucoup ignorent le feu qui la dévore. Au couvent, sœur Faustine reçoit des grâces extraordinaires : elle a des visions, des révélations et le don de prophétie. Elle explique : « Ces dons ne sont que des ornements de l’âme, mais ils ne constituent ni le contenu, ni la perfection. Ma sainteté et ma perfection consistent en une étroite union de ma volonté avec celle de Dieu » jeune religieuse a de longues conversations avec le Christ, qu’elle retranscrit fidèlement dans son Petit Journal, à la demande de Jésus lui-même, puis de ses confesseurs et avec la permission de sa supérieure. Elle décrit aussi l’union intime de son âme avec Dieu. « Je ne suis qu’Amour et Miséricorde. Il n’y a pas de misère qui puisse se mesurer à Ma Miséricorde, ni en venir à bout puisqu’au moment de se communiquer, elle s’amplifie. L’âme qui fait confiance à Ma Miséricorde est la plus heureuse car Je prends Moi-même soin d’elle. » Le soir du 22 février 1931, premier dimanche de carême, le Christ lui apparaît dans sa cellule, au couvent de Plock : il est « vêtu de blanc, une main levée, comme pour bénir et l’autre posée sur la poitrine. De sa robe entr’ouverte sur le Cœur sortaient deux flots de rayons, l’un rouge, l’autre pâle. En silence, je contemplais le Seigneur, mon âme était remplie de crainte, mais aussi d’une grande joie. Au bout d’un moment, le Seigneur Jésus me dit : « Peins une image pareille à ce modèle et signe : Jésus, j’ai confiance en Vous ! Je désire que cette image soit vénérée tout d’abord dans votre chapelle, puis dans le monde entier. Je promets à ceux qui la vénéreront qu’ils ne périront pas. Je leur promets dès ce monde la victoire sur l’ennemi, mais surtout à l’heure de la mort, je les défendrai Moi-même, comme ma gloire. » Ces rayons, l’un rouge, l’autre pâle, ce sont l’eau et le sang que l’évangéliste saint Jean a vu sortir du côté du Christ après sa mort sur la croix .Ils représentent les flots d’amour dont Jésus veut inonder l’humanité, le don gratuit et infini de sa miséricorde.
Très rapidement, sœur Faustine est atteinte de la tuberculose. Malade, affaiblie, elle demeure sereine, souriante et joyeuse. Unie à Jésus, elle fait offrande de sa vie, dans la souffrance, pour sauver les âmes du péché. Elle meurt à Cracovie le 5 octobre 1938, âgée à peine de trente-trois ans. Seuls ses supérieurs et ses confesseurs successifs sont alors au courant de sa mission. Son procès de béatification est ouvert à Cracovie, dans son diocèse, en 1965, puis à Rome en 1968 et clos en 1992. Le pape Jean-Paul II la proclame sainte le 30 avril 2000 à Rome. Ses reliques reposent au sanctuaire de la Miséricorde divine de Lagiewniki, dans la banlieue de Cracovie, dans la chapelle du couvent de la congrégation des sœurs de la Vierge de la Miséricorde, où se trouve le tableau de Jésus miséricordieux.
Sainte Marie-Madeleine de Pazzi
carmélite et auteur mystique
(1566-1607
Le 25 mai 2007, a été célébré le quatrième centenaire de la mort de Sainte Marie-Madeleine (1566-1607), carmélite florentine et maîtresse de vie spirituelle. Sa réputation de sainteté auprès du peuple et du clergé était telle que les procès pour sa béatification commencèrent très tôt, dès 1611. Elle fut proclamée bienheureuse par Urbain VIII le 8 mai 1626, et canonisée le 28 avril 1669 par Clément IX.
SAINTE MARIE-MADELEINE de PAZZI
Vierge, Carmélite
(1566-1607
Sainte Marie-Madeleine de Pazzi, l'une des fleurs les plus suaves qui aient embaumé les jardins du Carmel, naquit à Florence. Dès l'âge de sept ans, à l'école du Ciel, elle était formée à l'oraison, et elle paraissait presque un prodige de mortification. Toute une nuit elle porta une couronne d'épines sur sa tête, avec des douleurs inexprimables, pour imiter son Amour crucifié. Chaque fois que sa mère avait communié, l'enfant s'approchait d'elle et ne pouvait plus la quitter, attirée par la douce odeur de Jésus-Christ.
A partir de sa Première Communion, elle fut prête à tous les sacrifices, et c'est dès lors qu'elle fit à Jésus le voeu de n'avoir jamais d'autre époux que Lui. Aussi, quand plus tard, son père voulut la marier: "Je livrerais plutôt, s'écria-t-elle, ma tête au bourreau que ma chasteté à un homme."
La sainte épouse du Christ entra au Carmel, parce qu'on y communiait presque tous les jours. Dès lors sa vie est un miracle continuel; elle ne vit que d'extases, de ravissements, de souffrances, d'amour. Pendant cinq années, elle fut assaillie d'affreuses tentations; son arme était l'oraison, durant laquelle elle s'écriait souvent; "Où êtes-Vous, mon Dieu, où êtes-Vous?" Un jour, tentée plus fortement qu'à l'ordinaire, elle se jeta dans un buisson d'épines, d'où elle sortit ensanglantée, mais victorieuse.
SAINTE MARIE-MADELEINE de PAZZI
Vierge, Carmélite
(1566-1607)
Elle avait tant de plaisir à proférer ces mots: "La Volonté de Dieu!" qu'elle les répétait continuellement, disant à ses soeurs: "Ne sentez-vous pas combien il est doux de nommer la Volonté de Dieu?" Un jour, ravie en extase, elle alla par tout le couvent en criant: "Mes soeurs, oh! que la Volonté de Dieu est aimable!" Il plut à Dieu de la crucifier longtemps par des douleurs indicibles, qui la clouaient sur son lit, dans un état d'immobilité en même temps que de sensibilité extraordinaire. Loin de demander soulagement, elle s'écriait bien souvent: "Toujours souffrir et ne jamais mourir!"
Son coeur était un brasier ardent consumé par l'amour. Quinze jours avant sa mort, elle dit: "Je quitterai le monde sans avoir pu comprendre comment la créature peut se résoudre à commettre un péché contre son Créateur." Elle répétait souvent: "Si je savais qu'en disant une parole à une autre fin que pour l'amour de Dieu, je dusse devenir plus grande qu'un Séraphin, je ne le ferais jamais." Près de mourir, ses dernières paroles à ses soeurs furent celles-ci: "Je vous prie, au nom de Notre-Seigneur, de n'aimer que Lui seul!"