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et je chante « happy birthday to you »
bonhe urs à gogo !
sincèremen t vôtre.
m.p.
Par Séverine Roi, le 21.05.2025
eh beh jérémy tu fais!!!!
Par Anonyme, le 12.04.2025
je l'aime beaucoup
Par Anonyme, le 31.03.2025
c est vraiment l exemple d un guide spirituel pour soi meme
Par Anonyme, le 16.03.2025
trop mignon
Par Anonyme, le 24.02.2025
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Sainte Brigitte de Kildare Abbesse en Irlande
Brigitte, née vers 453, est la Sainte patronne d'Irlande. Grande amie des pauvres, elle a fondé des monastères et fait des miracles partout dans le pays. Encore toute jeune fille, elle a converti un vieux seigneur païen en lui fabriquant une croix avec des ajoncs qui couvraient le sol de la maison. Quinze siècles plus tard, les Irlandais construisent toujours cette petite croix et vous en trouverez dans la plupart des foyers irlandais, y compris chez les Irlandais en France.
Issue d’une noble famille du Leinster, probablement convertie par saint Patrick, Brigitte, jeune Irlandaise de 16 ans, reçut le voile des vierges des mains de l’évêque Macaille. Sept ou huit jeunes filles prirent le voile en même temps et se placèrent sous sa conduite. Son humilité et son désir d’avancer dans la vie évangélique attirèrent dans son couvent de nouvelles recrues. Elles priaient pour l’évangélisation de l’Irlande. Le rayonnement de Brigitte fut tel qu’elle érigea de nombreux couvents, dont le plus célèbre est celui de Kildare, où elle mourut le 1er février 523. Une vénération extraordinaire entoura sa mémoire, non seulement en Irlande, mais dans toute l’Eglise occidentale. C’est sans doute Landévennec qui propagea son culte en Bretagne dès le haut Moyen Age.
Sainte Brigitte de Suède
Veuve, fondatrice de l'ordre du Saint-Sauveur
Elle appartenait, ainsi que son mari Urf Gudmarson, à la première noblesse de Suède. Elle alla se fixer à Rome à la mort de son mari. Sa fille sainte Catherine la rejoignit l'année suivante et elles vécurent désormais ensemble. Favorisée de grâces extraordinaires, elle suivait à la lettre le saint Évangile, pratiquant la pauvreté, mendiant même sous le porche des églises afin de récolter le mépris des passants. A une princesse romaine qui lui reprochait de ne pas savoir garder son rang, elle répondit: "Jésus s'est abaissé sans avoir eu votre autorisation." Les papes s'étaient alors réfugiés en Avignon. Elle les harcelait pour qu'ils reviennent à Rome. Au début de 1372, elle partit pour la Terre Sainte avec une escorte armée. Ce furent les quinze mois les plus beaux de sa vie, disait-elle. Elle avait fondé l'ordre des Brigittines qui existe encore en Suède sur les bords du lac de Vadstena.
Sainte Brigitte de Suède
(1302-1373)
Brigitte de Suède était la fille ainée de la deuxième femme de son père, Birger Persson,homme de loi, l’un des plus puissants personnages du royaume de Suède, et grand propriétaire terrien. Elle fut favorisée de quelques visions pendant son enfance, dont une dramatique vision de Jésus Crucifié: Brigitte n’avait pas dix ans. Dès lors la Croix sera l’élément central de ses méditations.
Elle avait douze ans à la mort de sa mère. En 1316, âgée de quatorze ans, elle fut mariée à Ulf Gudmarson d’Ulfasa, de cinq ans son aîné. De ce mariage naquirent huit enfants (quatre fils et quatre filles) dont cinq atteindront l’âge adulte. Après la mort de son mari en 1344, Brigitte distribua ses biens à ses héritiers et aux pauvres, et s’en alla vivre une vie austère à Alvastra dans un petit logement situé près du monastère cistercien où Ulf avait vécu ses dernières années. C’est là que le Seigneur commença ses entretiens avec celle dont il voulait faire son épouse.
Plus tard Brigitte fut amenée à fonder un nouvel ordre religieux l’Ordre du Saint Sauveur. Mais Brigitte n’était pas destinée à vivre une vie cachée dans un monastère: le Seigneur lui assignait une mission de prophète et de prédicateur.
En 1349 Brigitte quitta la Suède, qu’elle ne reverra plus, pour aller à Rome, espérant y trouver le pape afin de faire approuver le nouvel ordre religieux, et surtout, de le convaincre de rentrer à Rome. Mais ni Clément VI, ni Innocent VI, ne répondront pas aux appels pressants de Brigitte: ils mourront en Avignon.
En 1350, sa fille Catherine, qui sera elle aussi canonisée, rejoignit sa mère à Rome, là où Brigitte rédigea ses lettres, ses Révélations et les quinze célèbres oraisons de la Passion. En 1367 enfin, le pape Urbain V revint à Rome, mais pour trois ans seulement.
C’est Catherine de Sienne qui reprendra le flambeau de Brigitte après la mort de cette dernière, et verra le retour définitif de la papauté à Rome, en 1377.
Agée de 70 ans, en 1371, Brigitte, sur l’ordre du Seigneur, entreprend un pèlerinage en Terre Sainte. Le voyage de retour en 1373 fut long et difficile et Brigitte mourut à Rome le 23 juillet 1373. Elle fut canonisée par Boniface IX en 1391, et la véracité de ses révélations fut reconnue par le Concile de Constance en 1415
Sainte Bénédicte Cambiagio Frassinello
En Bénédicte Cambiagio Frassinello, l'Église nous donne l'exemple d'une Sainte qui fut à la fois épouse, religieuse et fondatrice. Elle se laissa conduire par l'Esprit à travers ses différentes expériences: celle du mariage, celle d'éducatrice et celle de la consécration religieuse jusqu'à créer un Institut qu'elle a dirigé, cas unique dans l'hagiographie chrétienne, avec la collaboration généreuse et discrète de son mari.
Bénédicte Cambiagio est née dans la région de Gênes en 1791. Ses parents lui donnent une profonde éducation chrétienne. À l'âge de 20 ans elle a une forte expérience intérieure qui fait grandir son amour pour la prière et la pénitence et son désir de tout abandonner pour se consacrer entièrement à Dieu. Mais ses parents s'opposent à ce projet et le 7 février 1816 elle se marie avec Jean Baptiste Frassinello. Après deux ans de mariage marqués par un approfondissement spirituel des deux époux, ils décident d'un commun accord de vivre comme frère et sœur. Ils s'occupent alors d'une des sœurs de Bénédicte atteinte d'un cancer. Et tous les deux se vouent généreusement à l'accueil et à l'éducation humaine et chrétienne des jeunes filles pauvres et abandonnées. L'œuvre de Bénédicte s'insère dans la vie sociale de Pavie à un moment où l'institution scolaire est perçue comme véritable source de bien-être. Bénédicte est la première femme de la ville et de la région qui a compris ce besoin; elle unit à l'enseignement scolaire, la catéchèse et la formation au travail.
Son dévouement perpétuel grandit par sa ferveur eucharistique, par sa contemplation du Crucifié et par sa certitude que Dieu seul est son soutien et sa défense. Avec une confiance illimitée dans la bonté du Seigneur, elle s'abandonne à sa 'Providence aimante' et elle dit: "Lorsque Dieu veut une chose, il ne manque jamais d'accorder les moyens opportuns." Durant sa vie les expériences mystiques vont se multiplier particulièrement pendant les fêtes liturgiques sans néanmoins la détourner de ses engagements quotidiens.
À Ronco Scrivia elle fonde l'école pour les jeunes filles du peuple et l'Institut des “Sœurs Bénédictines de la Providence”, elle en écrit les Règlement et Constitution. Tout ceci révèle le développement de son charisme en étendant à toutes les jeunes filles l'éducation, l'instruction et la formation chrétienne; L'institut se développe rapidement.
Le 21 mars 1858, Bénédicte meurt à Ronco Scrivia exactement au jour et à l'heure qu'elle avait prévu. Notons comment sa montée au ciel se fait sous les auspices de Saint Benoît, car elle s'appelait Bénédicte, elle avait fondé des Bénédictines et elle meurt le jour de la fête de Saint Benoît, plus exactement de son 'passage' glorieux au ciel (transitus). Jean Paul II l'a béatifiée en 1987 et canonisée en 2002.
Sainte Lucie de Syracuse
Vierge et martyre en Sicile
Vierge et martyre à Syracuse, elle est victime de la persécution de Dioclétien en 304. Son nom même évoque la lumière, mais sa vie reste dans l'ombre. Elle fut très populaire et son culte remonte aux premiers siècles. Il s'étendit jusqu'en Scandinavie, en particulier en Suède où la fête païenne de la lumière et des mauvais esprits qui luttent contre elle, a été remplacée par la fête de sainte Lucie. A cette date, ce sont les longues nuits de l'hiver nordique. Nous connaissons aussi de longues nuits dans les doutes de notre foi. La rédaction de sa "passion" date du 5ème voire du 6ème siècle et beaucoup de détails y sont légendaires : enfermée dans un lieu de prostitution, elle sut résister à toute avance ; attelée à deux bœufs pour l'écarteler, ils ne purent bouger ; mise sur un bûcher, les flammes s'éloignèrent d'elle. Ses reliques vénérées à Syracuse ont été transportées d'abord à Constantinople et actuellement à Venise.
Mémoire de sainte Lucie, vierge et martyre à Syracuse en Sicile, vers 300. Tant qu’elle vécut, elle garda sa lampe allumée pour aller au-devant de l’Époux et, conduite à la mort pour le Christ, elle mérita d’entrer avec lui dans la salle des noces et de posséder la lumière qui n’a pas de fin.
Sainte Lucie
Lucie vient de 'lux', la lumière ou de 'Lucis via' qui signifie Chemin des Lumières.
Lucie, vierge de Syracuse (Sicile), alla sur la tombe de Sainte Agathe accompagnée de sa mère qui souffrait depuis quatre ans d'une perte de sang. Après avoir touché le tombeau elle guérit aussitôt de sa maladie. En guise de remerciements, Lucie distribua tous ses biens aux pauvres.
Cela irrita son fiancé, qui dénonça Lucie, lui reprocha d'être chrétienne et de violer les édits des Césars.
Comme le fiancé ne parvenait pas à oublier les beaux yeux de Lucie, elle s'arracha les yeux et les lui fit parvenir dans un plat. On la représente portant ses yeux d'une main et tenant dans l'autre la palme des martyrs.
Plus tard ses yeux sont réapparus à la suite de ce don et c'est ainsi que les tableaux la montrent.
Le consul Pascasius voulut l'emmener dans un lieu de débauche, mais mille hommes et mille paires de boeufs ne purent la faire bouger. Les amis du Consul finirent par enfoncer une épée dans la gorge de Lucie qui néanmoins ne perdit pas la parole: "Je vous annonce, dit-elle, que la paix est rendue à l'Eglise, car Maximilien vient de mourir aujourd'hui, et Dioclétien est chassé de son royaume : et de même que ma soeur Agathe a été établie la protectrice de la ville de Catane, de même j'ai été établie la gardienne de Syracuse". Elle ne mourut qu'en l'an 310.
Elle est considérée comme martyr et patronne protectrice des yeux. Elle est invoquée pour soigner les maladies des yeux.
Saint Jean-Marie Vianney Curé d'Ars
Jean-Marie Vianney a grandi en pleine période de troubles révolutionnaires, c'est à dire aussi de persécution religieuse. Ainsi, Jean-Marie recevra sa première communion dans la clandestinité. Le jeune campagnard, qui n'a jamais fréquenté l'école, voudrait devenir prêtre mais son père est réticent. A vingt ans, il commence ses premières études, mais il est si peu doué pour les études que le séminaire de Lyon, où il a fini par entrer, décide de le renvoyer. Il parvient quand même à se présenter à l'ordination sacerdotale à Grenoble. Après un premier ministère à Ecully, il est nommé curé dans une petite paroisse de 230 habitants: Ars, à 40 km de Lyon. Il y restera jusqu'à sa mort. Sa bonté, la joie dont il rayonne, ses longues heures de prière devant le Saint-Sacrement, impressionnent peu à peu ses paroissiens. Pour écouter, réconforter et apaiser chacun, il reste jusqu'à seize ou dix huit heures par jour au confessionnal. Pendant les dernières années de sa vie, jusqu'à 100.000 pèlerins viendront chaque année pour entendre une parole de réconfort et de paix de la part de ce curé ignorant de tout, mais non pas du cœur des hommes ni de celui de Dieu. Complètement donné à sa tâche pastorale, épuisé, il aura ce mot vers la fin de sa vie: «Qu'il fait bon de mourir quand on a vécu sur la croix». Il est exaucé le 4 août 1859 quand il meurt à l'âge de 74 ans
Le cardinal Barbarin a publié un décret élevant la mémoire liturgique du saint curé d'Ars, célébrée le 4 août, au rang de fête à l'intérieur du diocèse de Lyon. C'est une manière d'honorer de façon particulière saint Jean-Marie Vianney, que le pape Benoît XVI donne comme saint patron à tous les prêtres du monde, à l'occasion du 150e anniversaire de sa mort
Mémoire de saint Jean-Marie Vianney, prêtre. Curé de la paroisse d’Ars, au diocèse de Belley, pendant plus de quarante ans, jusqu’à sa mort en 1859, il accomplit son ministère d’une manière admirable par sa prédication, sa prière continue et son exemple de pénitence. Chaque jour, il catéchisait enfants et adultes, réconciliait les pénitents, et une telle charité, puisée dans la sainte Eucharistie comme à sa source, resplendissait en lui qu’on venait de loin rechercher ses conseils, et qu’il conduisit à Dieu, avec sagesse, un grand nombre de personnes
Saint Jean-Marie Vianney, curé d'Ars
Saint Jean-Marie Baptiste Vianney est né le 8 mai 1786 près de Lyon. Dès l'age de 17 ans il choisit de répondre à l'appel du Bon Dieu désirant "gagner des âmes au Bon Dieu". Il ne put répondre à cet appel que deux ans plus tard, son père s'y opposant. En 1815 il est ordonné prêtre et en 1818 il est envoyé à Ars où, par sa prédication, sa prière et sa manière de vivre il réveille la foi de ses paroissiens. Très rapidement sa réputation de confesseur se répand ce qui attire de nombreux pélérin.
SAINT MARTIN DE TOURS, 1600 ANS DE VENERATION
Saint Martin de Tours est vénéré depuis 16 siècles dans nos régions.
Fêté le 11 novembre, date de sa mise au tombeau, c'était autrefois un jour férié.
Près de 4.000 églises lui sont dédiées en France et pas loin de 450 en Belgique dont plus de 250 rien qu'en Wallonie, sans compter les multiples chapelles
Pourquoi ce saint a-t-il pris une telle importance pendant le quatrième siècle de notre ère ?
Revoyons ensemble son histoire.
Saint Martin de Tours
Saint Martin est né en 316 à Sabaria, aujourd'huiSzombathely en Pannonie (Hongrie),
qui sait peut-être au hasard d'une garnison de son père, tribun militaire.
Il fut élevé à Pavie et s'enrôla dans l'armée par obligation.
L'imagerie populaire l'a immortalisé dans le geste de pitié et d'amour qu'il accomplit lors d'un hiver aux portes d'Amiens vers l'an 338 et que nous décrit Sulpice Sévère, son contemporain:
"C'est ainsi qu'un jour où il n'avait sur lui que ses armes et un simple manteau de soldat, au milieu d'un hiver qui sévissait plus rigoureusement que de coutume, à tel point que bien des gens succombaient à la violence du gel, il rencontre à la porte d'Amiens un pauvre nu:
ce misérable avait beau supplier les passants d'avoir pitié de sa misère, ils passaient tous leur chemin.
L'homme rempli de Dieu comprit donc que ce pauvre lui était réservé, puisque les autres ne lui accordaient aucune pitié.
Mais que faire ?
Il n'avait rien que la chlamyde dont il était habillé: il avait en effet déjà sacrifié tout le reste pour une bonne œuvre semblable.
Ainsi, saisissant l'arme qu'il portait à la ceinture,
il partage sa chlamyde en deux,
en donne un morceau au pauvre et se rhabille avec le reste.
En vérité, le Seigneur se souvenait de ses paroles, lui qui avait proclamé jadis:
"Chaque fois que vous avez fait quelque chose pour l'un des ces tout petits, c'est pour moi que vous l'avez fait",
quand il déclara avoir été vêtu en la personne de ce pauvre.
Et pour confirmer son témoignage en faveur d'une si bonne oeuvre, il daigna se faire voir dans le même habit que le pauvre avait reçu. Cette vision n'exalta pas un orgueil tout humain chez notre bienheureux, mais il reconnut dans son œuvre la bonté de Dieu, et comme il avait dix-huit ans, il s'empressa de se faire baptiser.