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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Les stalles
Réalisées en bois blond de chêne, les stalles de Notre-Dame d'Amiens représentent le plus grand chef-d'œuvre d'ébénisterie jamais réalisé sur terre (avec celles de la cathédrale de Tolède), et jamais égalé depuis. De style flamboyant, elles ont été conçues par les maîtres huchiers Arnould Boulin, Antoine Avernier et Alexandre Huet.
Elles mettent en scène plus de 4000 personnages et elles furent exécutées en 11 ans, de 1508 à 1519. Elles étaient au nombre de 120 à l'origine, elles sont 110 aujourd'hui, dont 62 hautes et 48 basses. Les deux stalles maîtresses étaient réservées au roi et au doyen du chapitre. Ces dernières sont uniques en leur genre, car surmontées d'une énorme dentelle de bois qui s'élève à pas moins de treize mètres cinquante du sol. Sur la stalle réservée au roi, se sont assis notamment Louis XII, François Ier, Henri IV, puis aussi Napoléon Ier et le président de Gaulle.
Techniquement la perfection de ces stalles est telle que l'œil ne peut pour ainsi dire y déceler la moindre trace d'assemblage. Il n'y a ici ni clous, ni vis, ni chevilles ; rien que des tenons et des mortaises.
À lui seul ce chef-d'œuvre justifie une visite à la cathédrale. Quoique de style gothique flamboyant, cette œuvre magistrale incorpore déjà des éléments Renaissance. Sur les miséricordes et sur les rampants, une multitude de personnages sculptés aux visages bien typés, retracent les évènements principaux décrits dans l'Ancien Testament, depuis la création de l'homme jusqu'au roi David.
Les stalles
Réalisées en bois blond de chêne, les stalles de Notre-Dame d'Amiens représentent le plus grand chef-d'œuvre d'ébénisterie jamais réalisé sur terre (avec celles de la cathédrale de Tolède), et jamais égalé depuis. De style flamboyant, elles ont été conçues par les maîtres huchiers Arnould Boulin, Antoine Avernier et Alexandre Huet.
Elles mettent en scène plus de 4000 personnages et elles furent exécutées en 11 ans, de 1508 à 1519. Elles étaient au nombre de 120 à l'origine, elles sont 110 aujourd'hui, dont 62 hautes et 48 basses. Les deux stalles maîtresses étaient réservées au roi et au doyen du chapitre. Ces dernières sont uniques en leur genre, car surmontées d'une énorme dentelle de bois qui s'élève à pas moins de treize mètres cinquante du sol. Sur la stalle réservée au roi, se sont assis notamment Louis XII, François Ier, Henri IV, puis aussi Napoléon Ier et le président de Gaulle.
Techniquement la perfection de ces stalles est telle que l'œil ne peut pour ainsi dire y déceler la moindre trace d'assemblage. Il n'y a ici ni clous, ni vis, ni chevilles ; rien que des tenons et des mortaises.
À lui seul ce chef-d'œuvre justifie une visite à la cathédrale. Quoique de style gothique flamboyant, cette œuvre magistrale incorpore déjà des éléments Renaissance. Sur les miséricordes et sur les rampants, une multitude de personnages sculptés aux visages bien typés, retracent les évènements principaux décrits dans l'Ancien Testament, depuis la création de l'homme jusqu'au roi David.
Les stalles
Réalisées en bois blond de chêne, les stalles de Notre-Dame d'Amiens représentent le plus grand chef-d'œuvre d'ébénisterie jamais réalisé sur terre (avec celles de la cathédrale de Tolède), et jamais égalé depuis. De style flamboyant, elles ont été conçues par les maîtres huchiers Arnould Boulin, Antoine Avernier et Alexandre Huet.
Elles mettent en scène plus de 4000 personnages et elles furent exécutées en 11 ans, de 1508 à 1519. Elles étaient au nombre de 120 à l'origine, elles sont 110 aujourd'hui, dont 62 hautes et 48 basses. Les deux stalles maîtresses étaient réservées au roi et au doyen du chapitre. Ces dernières sont uniques en leur genre, car surmontées d'une énorme dentelle de bois qui s'élève à pas moins de treize mètres cinquante du sol. Sur la stalle réservée au roi, se sont assis notamment Louis XII, François Ier, Henri IV, puis aussi Napoléon Ier et le président de Gaulle.
Techniquement la perfection de ces stalles est telle que l'œil ne peut pour ainsi dire y déceler la moindre trace d'assemblage. Il n'y a ici ni clous, ni vis, ni chevilles ; rien que des tenons et des mortaises.
À lui seul ce chef-d'œuvre justifie une visite à la cathédrale. Quoique de style gothique flamboyant, cette œuvre magistrale incorpore déjà des éléments Renaissance. Sur les miséricordes et sur les rampants, une multitude de personnages sculptés aux visages bien typés, retracent les évènements principaux décrits dans l'Ancien Testament, depuis la création de l'homme jusqu'au roi David.
Les stalles
Réalisées en bois blond de chêne, les stalles de Notre-Dame d'Amiens représentent le plus grand chef-d'œuvre d'ébénisterie jamais réalisé sur terre (avec celles de la cathédrale de Tolède), et jamais égalé depuis. De style flamboyant, elles ont été conçues par les maîtres huchiers Arnould Boulin, Antoine Avernier et Alexandre Huet.
Elles mettent en scène plus de 4000 personnages et elles furent exécutées en 11 ans, de 1508 à 1519. Elles étaient au nombre de 120 à l'origine, elles sont 110 aujourd'hui, dont 62 hautes et 48 basses. Les deux stalles maîtresses étaient réservées au roi et au doyen du chapitre. Ces dernières sont uniques en leur genre, car surmontées d'une énorme dentelle de bois qui s'élève à pas moins de treize mètres cinquante du sol. Sur la stalle réservée au roi, se sont assis notamment Louis XII, François Ier, Henri IV, puis aussi Napoléon Ier et le président de Gaulle.
Techniquement la perfection de ces stalles est telle que l'œil ne peut pour ainsi dire y déceler la moindre trace d'assemblage. Il n'y a ici ni clous, ni vis, ni chevilles ; rien que des tenons et des mortaises.
À lui seul ce chef-d'œuvre justifie une visite à la cathédrale. Quoique de style gothique flamboyant, cette œuvre magistrale incorpore déjà des éléments Renaissance. Sur les miséricordes et sur les rampants, une multitude de personnages sculptés aux visages bien typés, retracent les évènements principaux décrits dans l'Ancien Testament, depuis la création de l'homme jusqu'au roi David.
Les deux extrémités orientales du déambulatoire extérieur sont également aménagées en chapelles.
À l'extrémité nord de cette allée extérieure du déambulatoire se trouve la chapelle Notre-Dame de Pitié qui comprend un autel baroque surmonté d'une statue de la Vierge Marie douloureuse et suppliante. Un glaive lui transperce le cœur. Elle occupe une vaste niche au sein d'un haut retable bordé de colonnes torsadées typiquement baroques. Au sommet : une série d'angelots et divers personnages. Le tout, très luxueux, est fait en marbres de diverses couleurs.
Au sud, également à l'extrémité du déambulatoire extérieur, on peut voir la chapelle saint Joseph, anciennement chapelle saint Charles Borromée.
Les chapelles absidiales sont toutes dotées de baies très allongées, à deux lancettes surmontées de trois trilobes. Les deux chapelles les plus proches de la partie rectangulaire du chœur possèdent deux baies, la chapelle axiale, de loin la plus vaste, en a sept. Les quatre restantes ont trois baies.
Ces chapelles sont très élevées ; elles ont la même hauteur que les bas-côtés du chœur et de la nef, c'est à dire près de 20 mètres
De gauche (côté nord) à droite, on trouve :
La première chapelle donne accès d'une part, du côté gauche, à un escalier à vis permettant d'accéder aux niveaux supérieurs, et d'autre part à une vaste chapelle appelée chapelle des catéchismes située en dehors de la cathédrale.
La deuxième chapelle ou chapelle de saint Jean-Baptiste fut décorée de 1775 à 1779 par Jacques-Firmin Vimeux
La chapelle de sainte Theudosie s'appelait jadis chapelle de saint Augustin. C'est en 1853 que l'évêque d'Amiens, monseigneur de Salinis, ramena de Rome les reliques provenant des catacombes, d'Aurelia Teudosia présumée Amiénoise.
La quatrième chapelle ou chapelle axiale est appelée chapelle de la Vierge ou chapelle de la petite paroisse. C'est la plus grande et la plus longue des chapelles absidiales (15 mètres 25 cm de profondeur).
La chapelle suivante, la cinquième, est la chapelle du Sacré-Cœur, anciennement appelée chapelle de saint Jacques le majeur. Elle contient un superbe autel en bronze, œuvre de l'orfèvre parisien Placide Poussielgue-Rusand. Elle renferme aussi les drapeaux des armées alliées qui ont défendu Amiens en 1918.
La chapelle de saint François d'Assise, anciennement chapelle saint Nicaise, fut décorée de 1775 à 1779 pour un chanoine par Jacques-Firmin Vimeux
La dernière des sept chapelles, située à l'extrême sud du rond-point, porte le nom de chapelle de saint Éloi. Elle est fort étonnante, car elle affiche sur ses murs les représentations picturales des sibylles
Les huit sibylles représentées sont Agripa, Persique, Tiburtine, Lybiqua, Europe, Phrygienne, Érythrée et Cumane.
Mais la chapelle de saint Éloi est avant tout une antichambre menant à la chapelle des Macchabées et au trésor de la cathédrale.
La nef possède onze chapelles latérales, six au nord et cinq au sud. Elles n'étaient pas prévues dans le projet initial, mais la nécessité de leur construction se fit sentir dès la fin du XIIIe siècle. Leur édification date des années 1290 à 1375. Les plus anciennes se situent à l'est, les plus récentes à l'ouest.
Les chapelles latérales sud
La chapelle Saint-Christophe reçut sa décoration actuelle en 1762.
Chapelle Notre-Dame de Foy ou chapelle de l'Annonciation
La troisième chapelle sud de la nef est la chapelle de l'Assomption, anciennement chapelle Saint-Nicolas
La chapelle Saint-Étienne appelée aussi chapelle Saint-Laurent :
Enfin la chapelle Sainte-Marguerite semble être la plus ancienne des chapelles latérales de la nef. Elle fut construite en 1292 .
Les chapelles latérales nord
La première chapelle est la chapelle Saint-Jean-Baptiste ou chapelle du Sauveur. Construite en 1375
La deuxième chapelle, édifiée à la même époque est connue sous le nom de chapelle Notre-Dame de Bon Secours. Elle contient une Vierge à l'enfant,
La chapelle du Saint-Sauveur s'appelait autrefois chapelle Saint-Michel.
La chapelle Saint-Honoré, contient une sculpture de saint Honoré exécutée en 1780
La chapelle Notre-Dame de la Paix s'appelait jadis chapelle Saint-Louis.
Enfin la sixième chapelle ou chapelle Saint-Firmin, ex-chapelle Sainte-Agnès
Le zodiaque de la cathédrale d'Amiens est un ensemble de bas-reliefs situé sur les soubassements de la grande façade de la cathédrale Notre-Dame au niveau du portail Saint-Firmin (portail nord, de gauche). Il se présente comme une série de médaillons, sculptés sous forme de quatre-feuilles, et présente un calendrier agraire qui établit une correspondance entre les signes du zodiaque et les travaux des mois. Les sculptures se lisent par paire de dessins superposés, la représentation supérieure étant le signe zodiacal, et le dessin inférieur représentant les travaux du mois correspondant.
L'ensemble de ces sculptures, souvent remarquablement bien conservées, date du début de la construction de la cathédrale gothique, c'est-à-dire entre 1220 et 1230 (règne de Louis VIII). Il est couramment appelé calendrier picard. Les personnages représentés travaillent à la campagne, ce qui se comprend, étant donnée l'importante prédominance du monde rural à l'époque. Les personnages figurant au niveau des travaux des champs portent des vêtements différents d'après les saisons.
Le zodiaque de la cathédrale d'Amiens est un ensemble de bas-reliefs situé sur les soubassements de la grande façade de la cathédrale Notre-Dame au niveau du portail Saint-Firmin (portail nord, de gauche). Il se présente comme une série de médaillons, sculptés sous forme de quatre-feuilles, et présente un calendrier agraire qui établit une correspondance entre les signes du zodiaque et les travaux des mois. Les sculptures se lisent par paire de dessins superposés, la représentation supérieure étant le signe zodiacal, et le dessin inférieur représentant les travaux du mois correspondant.
L'ensemble de ces sculptures, souvent remarquablement bien conservées, date du début de la construction de la cathédrale gothique, c'est-à-dire entre 1220 et 1230 (règne de Louis VIII). Il est couramment appelé calendrier picard. Les personnages représentés travaillent à la campagne, ce qui se comprend, étant donnée l'importante prédominance du monde rural à l'époque. Les personnages figurant au niveau des travaux des champs portent des vêtements différents d'après les saisons.
Cadran solaire de la cathédrale
Sur l'un des contreforts de la tour sud-est, un cadran orné d'une grande statue d'ange date de la fin du XIIIe siècle, et la statue a été restaurée par les frères Duthoit, en 1860. Ce cadran est appelé canonial, car il a cette particularité d'indiquer les horaires des messes.