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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Les chapelles absidiales
Les chapelles absidiales sont toutes dotées de baies très allongées, à deux lancettes surmontées de trois trilobes. Les deux chapelles les plus proches de la partie rectangulaire du chœur possèdent deux baies, la chapelle axiale, de loin la plus vaste, en a sept. Les quatre restantes ont trois baies. Ces chapelles sont très élevées ; elles ont la même hauteur que les bas-côtés du chœur et de la nef, c'est à dire près de 20 mètres d'élévation (à titre de comparaison, le vaisseau principal des grandes cathédrales gothiques de Laon, de Sens ou de Bruxelles ont une hauteur de plus ou moins 25 mètres). La chapelle des catéchismes située en dehors de la cathédrale La chapelle de sainte Theudosie s'appelait jadis chapelle de saint Augustin La chapelle de saint François d'Assise, anciennement chapelle saint Nicaise La chapelle du Sacré-Cœur, anciennement appelée chapelle de saint Jacques le majeur La chapelle de la Vierge ou chapelle de la petite paroisse. Chapelle Notre-Dame de Pitié : statue de la Vierge Douloureuse Le retable baroque surmontant l'autel de la chapelle saint Joseph. Au centre, la statue du saint est due à Aimé et Louis Duthoit. Chapelle de saint Sébastien : statue de saint Roch et de son chien Chapelle Notre-Dame du Puy La chapelle Saint-Pierre-et-Paul La chapelle de saint Eloi :la chapelle de saint Éloi est avant tout une antichambre menant à la chapelle des Macchabées et au trésor de la cathédrale. En photo; la Chapelle Notre-Dame de Pitié : statue de la Vierge Douloureuse
La cathédrale et en particulier la statue d'un ange pleureur est devenue mondialement connue lors de la Seconde Guerre mondiale, lorsque de nombreux soldats américains, passant par Amiens, ont voulu écrire à leur famille pour leur donner de leurs nouvelles. En effet, la seule carte postale disponible représentait cet ange pleureur dont l'image a ainsi voyagé jusqu'en Amérique, dotée de surcroît d'une valeur symbolique forte puisque l'ange pouvait symboliser l'innocence pleurant de l'horreur de la guerre qu'ont connue ces soldats. Face à cette sculpture se trouve une chapelle avec des ex-voto de soldats et les drapeaux anglais, américain et néo-zélandais
Le grand orgue
La cathédrale d'Amiens possède un orgue de 57 jeux. Il a été construit en 1936 par Roethinger à partir de l'orgue d'Aristide Cavaillé-Coll qui a fortement souffert durant la première guerre mondiale. Le buffet de cet instrument date du XVe siècle
Considéré comme l'un des plus beaux de France,il est composé de trois claviers (Positif de dos basé sur une Montre de 8', Grand Orgue basé sur une Montre de 16' et un Bourdon de 16', Récit expressif basé sur un Quintaton de 16') et d'un pédalier (basé sur un Bourdon de 32'). Les claviers ont une tessiture de 56 notes et la pédale compte 32 notes. La tribune du grand orgue est construite chêne, et repose sur de culs-de-lampe.
Le chevet de la cathédrale d'Amiens frappe par sa grande élégance, et la puissance de sa construction. Il est constitué de trois étages de fenêtres et d'une série de structures de soutien : contreforts et arcs-boutants. Le tout est richement orné de gâbles, de statues, de gargouilles et de pinacles abondamment travaillés. La verticalité largement prédominante de tous ces éléments donne l'impression d'un puissant élancement vers le ciel.
Au centre, le félin à ailes de chauve-souris, juché au sommet d'un contrefort sur un piédestal soutenu par un sympathique corbeau, est une chimère et non pas une gargouille. En contrebas on voit plusieurs fort belles gargouilles situées au niveau de la partie déclive de la galerie qui court à gauche. (Chevet de la cathédrale - toiture de la chapelle rayonnante du Sacré-Cœur)
Élevée en 1288 par l'évêque Guillaume de Mâcon, la première flèche connut une fin tragique en 1528. Le 15 juillet un violent orage déclencha un incendie qui la détruisit totalement Rapidement, les dons affluèrent pour la reconstruction et même le roi François Ier aida en permettant que le bois nécessaire à l'édification de la nouvelle flèche soit prélevé en la forêt de Neuville-en-Hez qui était propriété royale. Le travail, dont l'objet était d'élever une flèche en bois recouverte de plomb, fut confié à Louis Cardon de Cottenchy, secondé par un modeste charpentier de village, Simon Tanneau, responsable de l'édification de la flèche de bois. C'est Jean Pigard qui réalisa la flèche de plomb. Les travaux s'achevèrent en 1533 et il fallut encore une année pour dorer le plomb. Construite en bois de chêne et recouverte de plomb, c'est actuellement la plus ancienne flèche en bois connue. Au total, 71 tonnes de plomb sont utilisées dans la flèche ; l'épaisseur moyenne de métal est de trois millimètres. Son poids total est de 500 tonnes. Le bois utilisé est du bois de chêne. Sa hauteur, au-dessus du faîtage de l'édifice jusqu'à la pomme qui se trouve près du sommet, était de 47 mètres avant la restauration effectuée au XIXe siècle par Eugène Viollet-le-Duc; elle n'est plus aujourd'hui que de 45 mètres.
Les tours sont d'inégale hauteur. Leur dernier étage est de style et de décoration très différents. Tandis que le sommet de la tour sud est encore de style rayonnant, celui de la tour nord, achevé 36 ans plus tard, est un bel exemple de style gothique flamboyant. Elles sont toutes deux flanquées d'une petite tourelle quadrangulaire, nichée entre les deux contreforts latéraux et faisant corps avec la tour. Ces tourelles abritent chacune un escalier à vis permettant d'atteindre les premiers étages des tours, et sont surmontées d'un élégant toit pyramidal fort bien décoré. Sur la face sud de la tour sud, au niveau du contrefort occidental, on peut voir un cadran solaire, surmonté de la statue d'un ange. Cette tour fut achevée en 1366.
Portail Mére Dieu (portail de la vierge)
Le portail méridional de la façade occidentale, appelé portail de la Mère-Dieu, est consacré à la Vierge. Au tympan, on trouve au registre inférieur une série de six personnages de l'Ancien testament, les ancêtres de la Vierge. La mort et l'assomption de la Vierge sont représentés au niveau du registre moyen, et enfin on assiste à son Couronnement au paradis, au registre supérieur
Au trumeau se trouve une grande statue de la Vierge foulant le Mal, représenté sous la forme d'un animal fantastique griffu à tête humaine. Elle est figurée dans une attitude très statique, ce qui est la marque des statues inspirées du modèle chartrain (c'est-à-dire du modèle de la cathédrale de Chartres).
Les statues qui ornent les ébrasements des piédroits latéraux sont particulièrement remarquables : à droite, groupées deux à deux, elles représentent trois épisodes importants de la vie de la Vierge Marie : l'Annonciation, la Visitation et la Présentation de Jésus au Temple. A gauche, de l'extérieur vers l'intérieur, on trouve la reine de Saba, le roi Salomon, le roi Hérode le Grand puis les trois rois mages.
Le portail Saint Firmin
Au dessus des portes, les sculptures du tympan représente l'arrivée à Amiens des restes (reliques) de saint Firmin.
Le portail septentrional est consacré à saint Firmin, lequel est représenté au trumeau. Le tympan du portail relate l'histoire de la découverte du corps du saint.De chaque côté du portail se trouvent six grandes statues ; la plupart d'entre elles représentent des saints dont les reliques étaient exposés chaque année au-dessus du maître-autel. Sur le piédroit de gauche, on peut voir de gauche à droite sainte Ulphe, un ange déroulant une banderole, saint Acheul (martyr), saint Ache (martyr lui aussi), un ange et saint Honoré, ancien évêque de la ville. Du côté droit se trouvent successivement les statues de saint Firmin le confesseur (Firmin II évêque de la ville), saint Domice, saint Fuscien (martyr), saint Warlus et saint Luxor
Le portail central du jugement dernier
Le grand portail central ou portail du Jugement dernier, encore appelé parfois portail du Beau Dieu, est entouré de deux autres portails plus petits : celui de la Mère-Dieu, à droite au sud, et celui de saint Firmin à gauche.
Le tympan au-dessus du grand portail est décoré d'une représentation du Jugement dernier, lorsqu’à la fin des temps, selon la tradition chrétienne, les morts ressuscitent puis sont jugés par le Christ. Ce tympan est subdivisé en trois registres.
Au niveau inférieur du tympan, les ressuscités sortent de leurs tombeaux au son de la trompette. L'archange saint Michel et sa balance sont présents au milieu d'eux pour peser les âmes. Au bas de la scène, un démon essaie de tricher en faisant pencher l'un des plateaux de son côté.
Au registre intermédiaire, les damnés sont séparés des élus et, entièrement nus, poussés par des démons, se dirigent vers la gueule d'un monstre, le Léviathan.
Au registre supérieur, le Christ sur son trône, les mains levées, le torse dénudé afin de montrer ses blessures, est entouré de la Vierge et de saint Jean qui agenouillés intercèdent en faveur du salut des âmes, ainsi que d'anges qui portent les instruments de la Passion.
La représentation de l'enfer et du paradis se trouve dans les claveaux inférieurs des voussures du tympan. Au paradis, on voit d'abord les âmes recueillies dans le giron d'Abraham19. Elles se dirigent ensuite vers une cité qui représente la Jérusalem céleste.
L'enfer tel que représenté est fort semblable à celui de Notre-Dame de Paris. On peut y voir une marmite et des cavaliers nus juchés sur des chevaux cabrés. Ils évoquent l'Apocalypse.