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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Le Taj Mahal, qui signifie « Palais de la Couronne », est situé à Âgrâ, au bord de la rivière Yamunâ dans l'État de l'Uttar Pradesh en Inde. C'est un mausolée de marbre blanc construit par l'empereur moghol Shâh Jahân.
Au gui l’An Neuf ! …
À Noël, et le jour de l'an à minuit précisément, la tradition, en Europe du nord veut que l'on s'embrasse sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie. La saison voulant que le gui abonde, on en cueillit dès le Moyen Âge pour l'offrir avec ce souhait : « Au gui l'an neuf », formule qui fut remplacée plus tard par « Bon an, mal an, Dieu soit céans » (soit dans la maison). Au XIXe siècle on disait « Bonne et sainte année, le paradis à la fin de vos jours », expression modernisée au XXe siècle en « Bonne et heureuse année ».
Un petit peu plus d'histoire…
Pour célébrer l’An nouveau, vêtus de blanc et à l’aide d’une serpe d’or, les druides coupaient le gui (symbole de l’immortalité) sur les chênes sacrés… Les fruits ne devant pas toucher le sol, les druides les récoltaient dans des grands draps blancs. Aux cris de la formule « Au gui l’An neuf » ils offraient pour souhaiter prospérité et longue vie, une branche de gui aux participants de la cérémonie de l’An nouveau, formule reprise au Moyen-Age et remplacée ensuite par « Bon An, mal An, Dieu soit céans » (comme déjà expliqué ci-dessus). Des feuilles de gui réduites en poudre et portées dans un petit sac autour du cou sont un puissant protecteur contre les maléfices… N’oublions pas que sous les Mérovingiens l’année commençait le premier mars, et que pendant tout le moyen-age le jour de l’An coïncidait avec le jour de Pâques. Il faudra attendre 1564 pour que Charles X impose le premier janvier comme premier jour de l’année. En 1582, le Pape Grégoire XIII instaura le calendrier grégorien, celui que nous utilisons encore… La coutume des étrennes remonte elle à l’époque romaine. S’embrasser le jour de l’An, à minuit précisément, porte bonheur (heur=chance).
Un garçon était le sujet d'inquiétudes constantes de ses parents.
Les symptômes alarmant augmentaient:convulsions, signes d'arrêt de croissance intellectuelle.
Je me confierai en Toi. Un jour, son père surprit l'enfant en train de prier; et cette prière pathétique qu'il entendit lui donna une lueur d'espérance. « Tu sais Jésus, comme mon papa et ma maman sont déçus de moi. |
Le Progrès. Le père décida de procurer à son enfant un changement d'air et lui fit faire un voyage... |
Le Témoignage. Des années après, le père,reconnaissant, a put rendre ce témoignage : « A l'école préparatoire universitaire, mon fils fut choisi comme président par ses camarades. Et, plus tard, quand eut lieu un certain congrès mondial, c'est mon fils qui fut choisi comme vice-président.
|
Dieu avait la réponse. Il est maintenant l'un des principaux médecins spécialistes, connu dans le monde entier... cet enfant idiot qui un jour, dit à son Dieu qu'il se confiait en Lui... |
Légende sur Noël
LES SABOTS
Coutume qui vient de l'Allemagne.
Une légende allemande raconte que depuis longtemps,
la nuit de Noël, les pauvres gens mettaient leurs sabots
devant leur porte. Pendant la nuit, les riches généreux
partageaient leurs biens et déposaient des cadeaux dans les sabots
. Noël devenait ainsi une fête de partage.
Les cadeaux des rois mages
- "Je t'apporte l'or, dit le premier, parce que tu es le roi
des rois".
- "Je t'apporte l'encens, dit le second, parce que tu seras
adoré de tous".
- "Je t'apporte la myrrhe, dit le troisième d'une voix triste, pour embaumer ton corps. Car, hélas, ta vie sera brève..."
Noël, cette grande fête chrétienne, a remplacé d'autres manifestations qui se déroulaient chaque année, à la même période, dans toute l'Europe.
À Rome, entre le 17 et le 24 décembre, régnait un grand désordre: les esclaves commandaient leurs maîtres, qui devaient les servir à table. On nettoyait les maisons, que l'on décorait de houx et de sapins. Un roi de la fête était choisi parmi les jeunes soldats
Fêtes pré chrétiennes
En France et dans quelques régions d'Europe, on célébrait au Moyen Âge la fête des fous Elle se déroulait le jour de Noël ou dans la semaine suivante. Cette folle mise en scène tournait en dérision les dignitaires de l'Église et leurs préceptes. La foule déguisée, portait des masques, des habits sacerdotaux mis à l'envers, parcourait la ville et offrait une cruelle satire de l'Église: parodie de messe, danses et chants paillards, blasphèmes… interdite à plusieurs reprises, cette fête cessa définitivement au XVe siècle.
Au Moyen Âge, la fête des fous et la fête de l'âne furent très populaires.
La fête des fous
La fête des fous était célébrée le jour de Noël le 25 décembre, ou le jour de l'An ou de l'Épiphanie. Elle rappelait les Saturnales romaines. C'était un temps de liberté où les domestiques devenaient les maîtres et les maîtres les domestiques. En cette seule journée, les valeurs établies de la société étaient renversées et la religion était tournée en dérision
La fête de l'âne
La fête de l'âne était célébrée dans certaines villes la veille de Noël ou au cours des secondes vêpres le 25 décembre : en souvenir de la fuite en Égypte, une jeune fille tenant un enfant dans ses bras pénétrait dans une église à dos d'âne. Pendant la messe, toutes les prières se terminaient alors par "hi-han". L'Église a rapidement interdit ces célébrations qui prenaient un caractère obscène.
Le Noël du Petit Ramoneur Mais bah! je ris du froid, car c'est cette nuit même que le petit Noël viendra |
Puis l'enfant s'endormit.
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|
Jean, c'était son nom, se rendormit.
Son rêve fut différent suite à sa plainte.
L'enfant de la crèche"Jésus" entendit sa prière.
Et voici ce qu'Il lui dit:
Ramon!: «Si tu me demandes de remplir ton coeur
«Et que tu me fait une place
«Je te conduirai, je serai ton Sauveur et ton guide,
«Et ton coeur sera rempli à déborder
«Et tu tu verras les merveilles de la crèche
«Cadeau envoyé par le Père Céleste
«Pour toi pour l'éternité»
Ramon se réveilla tout joyeux .
Et depuis ce jour, il souhaite à tous un
Les petites souris du grenier
« Pip ! pip ! » fit une petite souris en apparaissant au même instant, et une autre la suivait.
Elles flairèrent le sapin et furetèrent dans ses branches.
- Il fait terriblement froid , dit la petite souris. Sans quoi on serait bien ici, n'est-ce pas, vieux sapin?
- Je ne suis pas vieux du tout, répondit le sapin. Il y en a beaucoup de bien plus vieux que moi.
- D'où viens-tu donc ? demanda la souris, et qu'est-ce que tu as à raconter ?
Elles étaient horriblement curieuses. |
As-tu été dans le garde-manger ?
- Je ne connais pas ça, dit l'arbre, mais je connais la forêt où brille le soleil, où l'oiseau chante.
Et il parla de son enfance. Les petites souris n'avaient jamais rien entendu de semblable. Elles écoutaient de toutes leurs oreilles.
- Tu en as vu des choses ! Comme tu as été heureux !
- Moi ! dit le sapin en songeant à ce que lui-même racontait. Oui, au fond, c'était bien agréable.
Mais, ensuite, il parla du soir de Noël où il avait été garni de gâteaux et de lumières.
- Oh ! dirent encore les petites souris, comme tu as été heureux, vieux sapin.
- Mais je ne suis pas vieux du tout, ce n'est que cet hiver que j'ai quitté ma forêt ; je suis dans mon plus bel âge, on m'a seulement replanté dans un tonneau.
- Comme tu racontes bien, dirent les petites souris.
|
« C'était vraiment de bons moments, pensait-il. Mais ils peuvent revenir, ils peuvent revenir !
Il avait raconté l'histoire de...
Dumpe-le-Ballot qui était tombé du haut des escaliers, pour aller sauver sa princesse ; peut-être en aurai-je une aussi. »
Il se souvenait d'un petit bouleau qui poussait là-bas, dans ... là-bas, dans la forêt, et qui avait été pour lui une véritable petite princesse.
- Qui est Dumpe-le-Ballot ? demandèrent les petites souris.
Alors le sapin raconta toute l'histoire, il se souvenait de chaque mot ; un peu plus, les petites souris grimpaient jusqu'en haut de l'arbre, de plaisir.
La nuit suivante, les souris étaient plus nombreuses encore, et le dimanche il vint même deux rats, mais ils déclarèrent que le conte n'était pas amusant du tout, ce qui fit de la peine aux petites souris ; de ce fait, elles-mêmes
l'apprécièrent moins.
- Eh bien , merci, dirent les rats en rentrant chez eux. Les souris finirent par s'en aller aussi, et le sapin soupirait.
- C'était un vrai plaisir d'avoir autour de moi ces petites souris agiles, à écouter ce que je racontais.
C'est fini, ça aussi, mais maintenant, je saurai
goûter les plaisirs quand on me ressortira. Mais quand ?
Ce fut un matin, des gens arrivèrent et remuèrent tout dans le grenier.
Ils déplacèrent les caisses, tirèrent l'arbre en avant. Bien sûr, ils le jetèrent un peu durement à terre, mais un valet le traîna vers l'escalier où le jour éclairait.
Les garçons jouaient dans la cour, le plus jeune portait sur la poitrine l'étoile d'or qui avait orné l'arbre au soir le plus heureux de sa vie.
Ce soir était fini, l'arbre était fini, et l'histoire, aussi, finie, finie comme toutes les histoires.
Plante sacrée pour la plupart des anciennes peuplades de l'Europe, symbole de l'immortalité parce qu'il reste vert et vivant quand les arbres qui le portent semblent morts, le gui a toujours été étroitement mêlé à la magie et à la thérapeutique.
Lorsque deux amoureux s'embrassent sous une feuille de gui dans le temps des Fêtes, on dit que cela ne pourra que leur être bénéfique, et doivent en théorie se marier ou partager une vie de couple longue et heureuse !
Cela vient probablement du fait qu'anciennement les druides considéraient le gui comme une plante sacrée, qu'ils appelaient d'ailleurs " rameau d'or ", qu'ils étaient les seuls à pouvoir cueillir.
On lui attribuait, entre autres pouvoirs, celui de guérir la maladie et la stérilité.
Le gui symbolise la paix, la santé et le bonheur.
On disait que des ennemis qui se rencontraient sous une branche de gui jetaient les armes, se saluaient et faisaient la trêve jusqu'au lendemain.
Mais, dans certaines régions d'Europe, la tradition du baiser sous la branche de gui doit s'accompagner de certaines précautions. En effet, quand des amoureux se sont embrassés sous une branche de gui, ils doivent la faire brûler la douzième nuit suivante, sinon ils se querelleront avant la fin de l'année.
Samuel prenait le train pour la première fois en compagnie de sa cousine Gabrielle. Ils se rendaient à Berthier pour rendre visite à leur grand-mère
Au début Samuel était nerveux et il demandait à Gabrielle plein de question mais elle ne lui répondait pas toujours puisqu'elle lisait son dernier livre d'histoire.
Samuel se mit à regarder les passagers qui arrivaient dans le train.
Un jeune couple monta dans le train. Il ne restait pas beaucoup de places dans le wagon
et l'homme, qui portait une barbe demanda à Samuel si le banc en face de lui était pris et Samuel lui répondit " Oh non monsieur vous pouvez vous asseoir ici " Gabrielle, elle, était toujours plongée dans son livre et n'a même pas levé les yeux vers les nouveaux passagers…Samuel remarqua le gros ventre de la femme du barbu, elle allait avoir un enfant. Il le savait… " Merci jeune homme " lui dit le barbu.
Samuel regarda la femme qui accompagnait le barbu puis s'endormit…
Samuel rêvait qu'il faisait route vers Bethléem et qu'il avait croisé Joseph et sa femme Marie en route vers Bethléem
" Vous allez loin comme cela " leur demandait-il?
Nous allons à Bethléem et cela ne sera pas facile pour Marie qui est enceinte. La loi nous ordonne d'aller nous inscrire pour le recensement à l'autre bout du pays puisque ma famille vient de Bethléem "
" Et vous ne pouvez pas attendre un peu avant? " lui dit Samuel
" On ne peut pas vraiment attendre je pourrais avoir des problèmes après " lui dit Joseph
" C'est pas juste pour vous dans ce cas-là " lui dit Samuel
" Que ce soit juste ou pas on doit se rendre à Bethléem " lui dit Joseph
" Il ne faut pas trop s'en faire lui dit Marie, je suis sûre que nous y arriverons "
Samuel les regardait s'éloigner en se disant que cela allait leur prendre du temps
pour arriver à Bethléem surtout que le petit âne, sur lequel était monté Marie, lui n'allait pas très vite
Samuel entendit un TCHCHCHCHOU! TCHCHCHCHOU! Et il se réveilla.
Samuel ouvrit les yeux et remarqua l'homme barbu et sa femme qui lui souriait gentiment
" Tu t'es endormi mon garçon lui dit la femme, tu dois être fatigué "
Samuel lui a souri et dit " Le bruit que fait le train fait m'endort "
Il y avait un nouveau passager qui était monté dans le train Samuel le regarde attentivement, C'était un gros homme chauve à l'air souriant… Gabrielle était toujours à lire son livre. Samuel se rendormit…
Il se retrouva à nouveau avec Marie et Joseph cette fois ils étaient arrivés à Bethléem. Ils cherchaient partout un endroit pour se loger mais nulle part il n'y avait de la place. Ils s'assirent au pied d'un puits l'air découragés. C'est alors que le gros homme chauve vient au puits. " Vous m'avez l'air bien découragés vous deux, auriez-vous perdu quelque chose? "
" Non lui répondit Joseph mais nous avons cherché un endroit où nous loger sans rien trouver. Ma femme que voici est enceinte et est sur le point d'accoucher "
"A cause du recensement il y a plein de monde ici à Bethléem, j'ai jamais vu autant de monde ici. Il en vient de partout. Vous d'où venez-vous? "
" Nous venons de Nazareth vous connaissez? " dit Joseph Non pas du tout, c'est où cela? dit le gros homme " C'est en Galilée répondit Joseph "
" Aussi bien dire que c'est au bout du monde… Je comprends que vous soyez si fatigués. Allez je vous amène manger et il ne vous en coûtera pas un sous.
Je suis Ozias l'aubergiste " Ozias les amena dans son auberge qui était pleine de monde. Ses employés n'arrêtait pas de l'appeler et Ozias était partout à la fois. " Il nous faudrait plus de bois pour le feu " dit un cuisinier " Oui je m'en occupe " dit Ozias
" Comme vous pouvez le voir leur dit Ozias je suis occupé. Prenez place vous n'avez sûrement pas mangé beaucoup aujourd'hui. Je vais vous préparer un vrai régal " Marie et Joseph mangèrent le succulent repas que leur avait préparé Ozias. " Qu'en dites-vous? " leur dit-il avec son immense sourire
" Très bon leur dit Marie "
" Mais nous cherchons un endroit où loger pour la nuit " dit Joseph
" Je vais essayer d'arranger cela " dit Ozias
Un peu après Ozias revient l'air un peu gêné. " Je vous ai trouvé quelque chose mais c'est juste temporaire pour la nuit prochaine. Il y a, pas loin derrière mon auberge, une grotte qui me sert aussi d'entrepôt pour ma marchandise. Je vais y faire ajouter de la paille pour que cela soit plus chaud et aussitôt que j'ai une place de libre ici à l'auberge, elle sera pour vous "
Ozias s'attendait à ce que Marie et Joseph soient fâchés contre lui mais il fut surpris de les voir sourire. " Au moins c'est un abris dit Joseph "
Ozias les conduit à la grotte et leur organisa tout ce qu'il fallait pour que Marie et Joseph soient le plus confortablement installés et leur envoya une de ses servantes pour voir à ce qu'ils ne manquent de rien.
TCHCHCHCHOU! TCHCHCHCHOU!
Une nouvelle fois Samuel se réveilla au sifflement que faisait le train. Il vit le gros homme de son rêve qui était en réalité un passager du train demander à la femme enceinte si le voyage n'était pas trop fatiguant pour elle, " Oh non, mais ce jeune homme dit-elle en désignant Samuel n'arrête pas de se réveiller au moindre coup de sifflet du train ". " Tu fais un long voyage " dit l'homme à Samuel, " Oui je vais à Berthier " dit Samuel.
" C'est encore loin " lui dit l'homme avec un grand sourire.
Deux autres passagers venaient de monter dans le wagon, tous deux avaient les cheveux très frisés et Samuel se dit : " Ils sont frisés comme de moutons " puis il se rendormit.
Une nouvelle fois il se retrouva à Bethléem dans la grotte qu'occupaient maintenant Marie et Joseph…Un tout petit bébé était dans les bras de Marie " Comme il est beau " dit Marie en le plaçant dans une mangeoire qui remplaçait le berceau où normalement le bébé aurait dû être placé.
Soudain un groupe d'hommes entrèrent dans la grotte…
Excusez-nous de vous déranger dit le plus vieux d'entre eux…
" Entrez, entrez " leur dit Joseph
Les hommes entrèrent et leur racontèrent ce qui c'était passé au début de la nuit.
" Un ange nous est apparu à nous quand nous étions auprès du feu à jaser et il nous a dit qu'ici même un Sauveur nous est né. Vous le reconnaîtrez nous dit-il parce que vous le trouverez couché dans une mangeoire "
" Mais dit Joseph nous venons tout juste de le placer dans cette mangeoire…comment se fait-il qu'un ange à des kilomètres d'ici pouvait vous en avertir " " çà on ne le sait pas reprit un jeune berger mais tout ce que nous savons c'est que les anges nous ont dit de venir ici et que nous les bergers nous les avons écouté parce que nous n'avons pas l'habitude de voir des anges vous pouvez vous en douter "
Les autres bergers se mirent à rire en entendant cela.
Un autre berger prit de la laine qu'il portait dans son sac pour en faire une couverture à l'enfant " De cette façon il aura plus chaud " dit-il.
Les bergers restèrent un certain temps à regarder Jésus tout en souriant puis les quittèrent
TCHCHCHCHOU! TCHCHCHCHOU!
De nouveau Samuel se réveilla en sursaut. Le train arriva une nouvelle fois en gare. Samuel qui commençait à lire, essaya de lire le nom de la gare " Be dit-il, c'est la gare de Bethléem "dit-il encore un peu endormi,
" Non lui dit sa cousine Gabrielle en posant son livre ce n'est pas cela. C'est la gare de Berthier. Tu ne sais pas encore lire comme il faut.
Le jeune couple assis en face d'eux débarquèrent aussi à cette gare et avant qu'ils ne quittent le train…le contrôleur leur souhaita un : Joyeux Noël et le sifflet de la locomotive fit de nouveau un TCHCHCHCHOU! TCHCHCHCHOU!
TCHCHCHCHOU! TCHCHCHCHOU!