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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Hymne à l'amour
Paroles: Léon Durocher. Musique: Gustave Goublier 1949 -Chanté par Editht Piaf
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour inond'ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes
J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour la vie t'arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu'on s'aime
Dieu réunit ceux qui s'aiment
Roses de Picardie
Composée par Haydn Wood (1882-1959) en 1916 pour un auditoire avant tout britannique, la chanson Roses de Picardie a eu aussitôt un succès fulgurant, au point de devenir populaire en France dès 1918.
Une légende, tenace autant que charmante, veut que cette chanson ait été écrite en Picardie pendant la Première Guerre mondiale par un officier anglais amoureux d'une veuve de guerre française. Il n'en est rien : son auteur, Frederick Edward Weatherly (1848-1929), avocat et poète anglais, courait alors les palais de justice dans le Sud-Ouest de l'Angleterre et fréquentait les bureaux des éditeurs de musique.
En quelques mois, le succès est foudroyant : John Mc Cormack, Mario Lanza, Mado Robin, Mathé Altéry, Fernandel, Jack Lantier, Tino Rossi, Ray Ventura, Ernst Pike, Sidney Bechet, Frank Sinatra, André Dassary, The Platters, Yves Montand... plus de 300 artistes l'ont interprété dans le monde entier. La chanson a traversé les modes.
Les Roses de Picardie sont redevenues populaires en France avec la sortie de L'Été meurtrier avec Isabelle Adjani.
De ses grands yeux de saphir clair
Aux reflets changeants de la mer,
Colinette regarde la route,
Va rêvant, tressaille, écoute.
Car au loin, dans le silence,
Monte un chant enivrant toujours.
Tremblante, et sans défense
Devant ce premier chant d'amour
{Refrain:}
Des roses s'ouvrent en Picardie,
Essaimant leurs arômes si doux
Dès que revient l'avril attiédi,
Il n'en est de pareilles à vous !
Nos chemins pourront être un jour écartés
Et les roses perdront leurs couleurs,
L'une, au moins gardera pour moi sa beauté,
C'est la fleur que j'enferme en mon cœur !
A jamais sur l'aile du temps,
Depuis lors ont fui les ans
Mais il lit dans ses yeux la tendresse,
Ses mains n'ont que des caresses.
Colinette encor voit la route
Qui les a rapprochés un jour,
Quand monta vers son cœur en déroute
Cette ultime chanson d'amour
{au Refrain}
La Violetera de Saint Granier
Pour rendre plus jolie
Toute la vie,
Pour que tout s´harmonise
Se poétise,
Des fleurs suffisent.
Sans aucun artifice,
Elles ravissent
Et rajeunissent :
Beaux Señors et Señoritas
Des doigts de la Carmencita
Acceptez ces violettes.
C´est du bonheur qu´on achète
Le bon Dieu vous le rendra!
Señors pour vos Señoritas,
Prenez-moi les fleurs que voilà,
Pour faire éclore un sourire,
Pour parler sans rien se dire,
rien ne vaut ma violetta!
Votre robe, Madame,
Je le proclame,
Vous fait une silhouette
Vraiment coquette
Mais incomplète,
Il vous faut, je le jure,
A la ceinture
Une parure :
Ô ma belle Señorita,
Des doigts de la Carmencita
Acceptez ma violette
Au ton de votre toilette
Je sens qu´elle se mariera!
Ô mes belles Señoritas.
Beaux Señors, et Señoritas
Des doigts de la Carmencita
S´envolent à l´aveuglette
Ses dernières violettes,
Prenez-moi les fleurs que voilà,
Et puis glissez-les, coquettes,
Au creux de vos gorgerettes
Votre amant les enviera!
Monsieur a l´air morose,
J´en sais la cause.
Il est sans compagnie
Sans une amie
Et il s´ennuie!
Car la vie sans tendresse,
Et sans caresse,
Quelle tristesse
Beau Señor sans Señorita
Des doigts de la Carmencita
Acceptez cette fleurette.
Ce soir dans votre chambrette
D´amour elle vous parlera!
A défaut de Señorita
Embrassez la fleur que voilà.
Qui sait! peut-être qu´en rêve
Avant que la nuit s´achève
En femme elle se changera!
Monsieur quelle impatience,
Quelle insistance!
Tout comme les personnes
- Ca vous étonne -
Les fleurs se donnent,
Bien qu´elles soient à vendre.
Il faut attendre
Pour me les prendre
Heureux qui les recevra!
Beaux Señors et Señoritas
C´est fini, mais songez que la
Plus belle vendeuse de violettes
Ne peut - et je le regrette -
Vous donner que ce qu´elle a!
Chanson que j'ai apprise a l'école
Le retour du marin, ou Brave marin
Brave marin revient de guerre,
Tout doux.
Brave marin revient de guerre,
Tout doux.
Tout mal chaussé, tout mal vêtu :
" Brave marin, d'où reviens-tu ?
Tout doux.
- Madame, je reviens de guerre,
Tout doux.
- Madame, je reviens de guerre,
Tout doux.
- Qu'on apporte ici du vin blanc
Que le marin boive en passant ! "
Tout doux.
Brave marin se met à boire,
Tout doux.
Brave marin se met à boire,
Tout doux.
Se mit à boire et à chanter.
Et la belle hôtesse à pleurer.
Tout doux.
" Qu'avez-vous donc, Dame l'hôtesse ?
Tout doux.
Qu'avez-vous donc, Dame l'hôtesse ?
Tout doux.
Regrettez-vous votre vin blanc,
Que le marin boit en passant ? "
Tout doux.
" C'est pas mon vin que je regrette.
Tout doux.
C'est pas mon vin que je regrette.
Tout doux.
Mais c'est la mort de mon mari.
Monsieur, vous ressemblez à lui ! "
Tout doux.
" Ah ! Dites-moi, Dame l'hôtesse,
Tout doux.
Ah ! Dites-moi, Dame l'hôtesse,
Tout doux.
Vous aviez de lui trois enfants.
En voilà quatre à présent ! "
Tout doux.
"- J'ai tant reçu de ses nouvelles,
Tout doux.
- J'ai tant reçu de ses nouvelles,
Tout doux.
Qu'il était mort et enterré,
Que je me suis remariée. "
Tout doux.
Brave marin vida son verre.
Tout doux.
Brave marin vida son verre.
Tout doux.
Sans remercier, tout en pleurant
S'en retourna à son bâtiment.
Tout doux.
J'ai chanté la Paimpolaise en 1959 lors d'un concert
d'anciens élèves à Prouzel dans mon village natal
Paroles: Théodore Botrel. Musique: Eugène Feautrier 1895
Théodore Botrel
La Paimpolaise
note: Chanson des pêcheurs d'Islande
Quittant ses genêts et sa lande
Quand le Breton se fait marin
En allant aux pêches d'Islande
Voici quel est le doux refrain
Que le pauvre gars
Fredonne tout bas
"J'aime Paimpol et sa falaise
Son église et son Grand Pardon
J'aime surtout la Paimpolaise
Qui m'attend au pays breton"
Quand leurs bateaux quittent nos rives
Le curé leur dit "Mes bons fieux
Priez souvent monsieur saint Yves
Qui nous voit, des cieux toujours bleus"
Et le pauvre gars
Fredonne tout bas
"Le ciel est moins bleu, n'en déplaise
A saint Yvon, notre Patron,
Que les yeux de ma Paimpolaise
Qui m'attend au pays breton !"
Le brave Islandais, sans murmure
Jette la ligne et le harpon
Puis, dans un relent de saumure
Il s'affale dans l'entrepont
Et le pauvre gars
Soupire tout bas
"Je serais bien mieux à mon aise
Devant un joli feu d'ajonc
A côté de la Paimpolaise
Qui m'attend au pays breton !"
Mais souvent l'océan qu'il dompte
Se réveillant lâche et cruel
Le jour venu, quand on se compte
Bien des noms manquent à l'appel
Et le pauvre gars
Fredonne tout bas
"Pour aider la marine anglaise
Comme il faut plus d'un moussaillon
J'en f'rons deux à ma Paimpolaise
En rentrant au pays breton !"
Puis, quand la vague le désigne
L'appelant de sa grosse voix
Le brave Islandais se résigne
En faisant un signe de croix
Et le pauvre gars,
Quand vient le trépas
Serrant la médaille qu'il baise,
Glisse dans l'océan sans fond
En songeant à la Paimpolaise
Qui l'attend au pays breton !
V'là l'bon vent (Derrière chez nous y a un étang) 18éme siécle
.Derrière chez nous y a un étang,
trois beaux canards s'y vont nageant.
Y en a deux noirs, y en a un blanc.
V'là l'bon vent, v'là l'joli vent,
v'là l'bon vent, ma mie m'appelle.
V'là l'bon vent, v'là l'joli vent,
v'là l'bon vent, ma mie m'attend.
Le fils du roi s'en va chassant
avec son grand fusil d'argent;
mire le noir et tue le blanc.
V'là l'bon vent ... (etc.)
O fils du roi, tu es méchant
d'avoir tué mon canard blanc.
Par-dessous l'aile il perd son sang.
V'là l'bon vent ... (etc.)
Par les yeux lui sort des diamants
et par le bec l'or et l'argent.
Toutes ses plumes s'envolent au vent.
V'là l'bon vent ... (etc.)
Trois dames s'en vont les ramassant.
C'est pour en faire un lit de camp
pour y coucher tous les passants.
V'là l'bon vent ... (etc.)
Apprise a l'école pour une fête de fin d'année
Chanson apprise a l'école pour une fête de fin d'année (1953)
Paroles et Musique: Frédéric Bérat 1835
Ma Normandie
Quand tout renaît à l'espérance,
Et que l'hiver fuit loin de nous,
Sous le beau ciel de notre France
Quand le soleil revient plus doux,
Quand la nature est reverdie,
Quand l'hirondelle est de retour,
J'aime à revoir ma Normandie,
C'est le pays qui m'a donné le jour.
J'ai vu les lacs de l'Helvétie
Et ses chalets et ses glaciers ;
J'ai vu le ciel de l'Italie,
Et Venise et ses gondoliers ;
En saluant chaque patrie,
Je me disais : "Aucun séjour
N'est plus beau que ma Normandie,
C'est le pays qui m'a donné le jour."
Il est un âge dans la vie
Où chaque rêve doit finir,
Un âge où l'âme recueillie
A besoin de se souvenir :
Lorsque ma muse refroidie
Aura fini ses chants d'amour,
J'irai revoir ma Normandie,
C'est le pays qui m'a donné le jour.
Chanson apprise a l'école ( 1952)
Bergeronnette
Pauvre petit oiseau des champs,
Inconstante bergeronnette.
Qui voltiges, vive et coquette,
Et qui siffles tes jolis chants ;
Bergeronnette si gentille,
Qui tournes autour du troupeau.
Par les prés sautille, sautille,
Et mire-toi dans le ruisseau !
Vas, dans tes gracieux caprices,
Becqueter la pointe des fleurs,
Ou poursuivre, au pied des génisses,
Les mouches aux vives couleurs.
Reprends tes jeux, bergeronnette,
Bergeronnette au vol léger ;
Nargue l'épervier qui te guette !
Je suis là pour te protéger ;
Si haut qu'il soit, je puis l'abattre...
Petit oiseau, chante !... et demain,
Quand je marcherai, viens t'ébattre,
Près de moi, le long du chemin.
C'est ton doux chant qui me console,
Je n'ai point d'autre amis que toi !
Bergeronnette, vole, vole,
Bergeronnette, devant moi !...
Chanson apprise a l'école en 1956
Venise et Bretagne (1934)
Si Venise la belle a d'immenses lagunes
Des masques de velours des poignards des palais
Bretagne n'as-tu pas des paysannes brunes
Et tes fils chevelus et tes champs de genêts
{Refrain:}
Oh qu'elle est belle ma Bretagne
Sous son ciel gris il faut la voir
Elle est plus belle que l'Espagne
Qui ne s'éveille que le soir
Elle est plus belle que Venise
Qui mire son front dans les eaux
Ah qu'il est doux de sentir la brise
Qui vient du large avec les flots
La brise
Qui vient du large avec les flots
Avez vous admiré son océan qui gronde
Ses falaises ses bois ses bruyères en fleurs
Ses longs genêts dorés dans la gorge profonde
Quand l'humide matin les baigne de ses fleurs
{au Refrain:}