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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Vieilles chansons que j'aime

Vieille chanson que j'aime

Vieille chanson que j'aime

 

Valse brune ( 1909)

Ils ne sont pas des gens à valse lente
Les bons rôdeurs qui glissent dans la nuit
Ils lui préfèrent la valse entraînante
Souple, rapide, où l'on tourne sans bruit
Silencieux, ils enlacent leurs belles
Mêlant la cotte avec le cotillon
Légers, légers, ils partent avec elles
Dans un gai tourbillon

{Refrain:}
C'est la valse brune
Des chevaliers de la lune
Que la lumière importune
Et qui recherchent un coin noir
C'est la valse brune
Des chevaliers de la lune
Chacun avec sa chacune
La danse le soir

Ils ne sont pas tendres pour leurs épouses
Et, quand il faut, savent les corriger
Un seul soupçon de leur âme jalouse
Et les rôdeurs sont prêts à se venger
Tandis qu'ils font, à Berthe, à Léonore
Un madrigal en vers de leur façon
Un brave agent, de son talent sonore
Souligne la chanson

{au Refrain}

Quand le rôdeur, dans la nuit, part en chasse
Et qu'à la gorge il saisit un passant
Les bons amis, pour que tout bruit s'efface
Non loin de lui chantent en s'enlaçant
Tandis qu'il pille un logis magnifique
Ou d'un combat il sait sortir vainqueur
Les bons bourgeois, grisés par la musique
Murmurent tous en chœur

{au Refrain}

Vieille chanson que j'aime

Vieille chanson que j'aime

 

Chanson chére a mon coeur
J'attendrai


Refrain
J'attendrai le jour et la nuit
J'attendrai toujours ton retour
J'attendrai car l'oiseau qui s'enfuit
Vient chercher l'oubli dans son nid
Le temps passe et court
En battant tristement
Dans mon coeur trop lourd
Et pourtant j'attendrai ton retour.

- 1 -
Les fleurs pâlissent, le feu s'éteint
L'ombre se glisse dans le jardin
L'horloge tisse des sons très las
Je crois entendre ton pas
Le vent m'apporte des bruits lointains
Guettant ma porte j'écoute en vain
Hélas! plus rien
Plus rien ne vient.

- 2 -
Reviens bien vite, les jours sont froids
Et sans limite les nuits sans toi
Quand on se quitte, on oublie tout
Mais revenir est si doux
Si ma tristesse peut t'émouvoir
Avec tendresse, reviens un soir
Et dans tes bras
Tout renaîtra.

Vieille chanson que j'aime

La  Petite Eglise de Bacouël sur Selle  que je connais trés bien

Paroles: Charles Fallot. Musique: Paul Delmet 1902
Jean Lumière (1934),

La petite église

Je sais une église au fond d'un hameau
Dont le fin clocher se mire dans l'eau
Dans l'eau pure d'une rivière.
Et souvent, lassé, quand tombe la nuit,
J'y viens à pas lents bien loin de tous bruits
Faire une prière.

Des volubilis en cachent l'entrée.
Il faut dans les fleurs faire une trouée
Pour venir prier en lieu saint.
Un calme imposant en saisit tout l'être
Avec le printemps un parfum pénètre,
Muguet et jasmin.

La petite église est simple. Un grand cierge
Brûle dans le soir au pied de la Vierge
Comme une étoile du printemps.
Mais Dieu doit aimer la petite église
Et venir souvent dans l'aube indécise
Bénir ses enfants.

{variante pour ce 3ème couplet:}

La petite église est simple. Un seul cierge
Brûle constamment au pied de la Vierge
Comme un étoile au firmament.
Mais Dieu doit aimer la petite église
Et venir souvent dans l'aube indécise
Bénir ses enfants.

Des oiseaux parfois bâtissent leur nid
Sur la croix de bronze où Jésus souffrit.
Le vieux curé les laisse faire.
Il dit que leur chant est l'hymne divin
Qui monte des chœurs en le claire matin
Vers Dieu notre Père.

Je sais une église au fond d'un hameau
Dont le fin clocher se mire dans l'eau
Dans l'eau pure d'une rivière.
Lorsque je suis las du monde et du bruit,
J'y vais à pas lents quand tombe la nuit
Faire une prière.

J'ai toujours entendu dire que cette chanson avait été écrite sur l'Eglise de Bacouël
lors d'un passage dans la Somme

Vieille chanson que j'aime

Vieille chanson que j'aime

Paroles: Jean-Baptiste Clément. Musique: Antoine Renard 1867

Jean Lumière (1955),

Le temps des cerises

Quand nous en serons au temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur

Mais il est bien court le temps des cerises
Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d'oreilles
Cerises d'amour aux robes pareilles
Tombant sous la feuille en gouttes de sang
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu'on cueille en rêvant

Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d'amour
Evitez les belles
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai pas sans souffrir un jour
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi des chagrins d'amour

J'aimerai toujours le temps des cerises
C'est de ce temps-là que je garde au cœur
Une plaie ouverte
Et Dame Fortune, en m'étant offerte
Ne saura jamais calmer ma douleur
J'aimerai toujours le temps des cerises
Et le souvenir que je garde au cœur

Vieille chanson que j'aime

Vieille chanson que j'aime

Chanson apprise a l'école en 1957

Écrite par Alexandre Desrousseaux (1820-1892), employé aux contributions à la mairie de Lille, eul’ Canchon dormoire paraît en 1853. C’est sous le nom du P’tit quinquin qu’elle connaît le succès.

 

Le p'tit quinquin (L'canchon dormoire) 
                        Berceuse

{ Refrain:}
Dors, Min p'tit quinquin,
Min p'tit pouchin, Min gros rojin
Te m'fras du chagrin
Si te n'dors point ch'qu'à d'main"

Ainsi, l'aut' jour eun' pauv' dintellière,
In amiclotant sin p'tit garchon
Qui d'puis tros quarts d'heure, n'faijot qu'braire?
Tâchot d'linformir par eun' canchon
Ell' li dijot : Min Narcisse,
D'main, t'aras du pain n'épice
Du chuc à gogo
Si t'es sache et qu'te fais dodo !

{au Refrain}

Et si te m'laiche faire eun'bonn'semaine
J'irai dégager tin biau sarrau,
Tin pantalon d'drap, tin giliet d'laine...
Comme un p'tit milord te s'ras farau !
J't'acat'rai, l'jour de l'ducasse
Un porichinell' cocasse,
Un turlututu,
Pour jouer l'air du capiau-pointu...

{au Refrain}

Nous irons dins l'cour Jeannette-à-Vaques
Vir les marionnett's. Comme te riras,
Quand t'intindras dire : "Un doup pou' Jacques !"
Pa' l'porichinell' qui parl' magas
Te li mettras din s'menotte,
Au lieu d' doupe, un rond d'carotte !
It' dira merci !...
Pins' comme nous arons du plaisir !...

{au Refrain}

Et si par hasard sin maite s'fâche,
Ch'est alors Narcisse, que nous rirons !
Sans n'n'avoir invi', j'prindrai m'n air mache
J'li dirai sin nom et ses surnoms,
J'li dirai des faribolles
I m'in répondra des drôles
Infin un chacun
Verra deux pestac' au lieu d'un

{au Refrain}

Allons serr' tes yeux, dors min bonhomme
J'vas dire eun' prière à P'tit Jésus
Pou' qu'i vienne ichi, pindant tin somme,
T'fair'rêver qu'j'ai les mains plein's d'écus,
Pour qu'i t'apporte eun'coquille,
Avec du chirop qui guile
Tout l'long d'tin minton,
Te poulèqu'ras tros heur's de long !...

{au Refrain}

L'mos qui vient, d'Saint'Nicolas ch'est l'fête
Pour sûr, au soir, i viendra t'trouver
It' f'ra un sermon, et t'laich'ra mette
In d'zous du ballot, un grand painnier.
I l'rimplira, si tes sache,
D'séquois qui t'rindront bénache,
San cha, sin baudet
T'invoira un grand martinet

{au Refrain}

Ni les marionnettes, ni l'pain n'épice
N'ont produit d'effet. Mais l'martinet
A vit' rappajé l' petit Narcisse,
Qui craignot d'vir arriver l'baudet
Il a dit s'canchon dormoire...
S'mèr' l'a mis dins s'n ochennoire :
A r'pris sin coussin,
Et répété vingt fos che r'frain.

{au Refrain}

Vieille chanson que j'aime

Vieille chanson que j'aime

Chanson de Léopold Pingré, composée en 1872
sur l'air des "Pompiers de Nanterre"
Cette chanson évoque la voiture-fourrière des sergents de la ville d'Amiens
chargés de capturer les chiens errants.
Cette cage montée sur deux roues était trainée par un âne.
Il existe deux autres couplets


Maman me la chantait quand j'etais petite

 

 

 

 

L'VOITURE A TCHIENS

France , approche,et sois tout éreilles,
Car ej viens t' canter chés merveilles
D 'einne carette rare qu'on n' voit qu' l' été
Mais dont chatchien est épeuté.
Trois hercules, ein beudet,
Einne etnaille,einne grande nasse,
Quaint tout cho d' vant vous passe,
Oz est forcé d' tranner:

Refrain
El voiture à tchiens, ch' est ein équipage,
Qui foit bien du bruit da tou l' ville d'Amiens,
Quand i passe quéque part, ch' est pis qu'ein orage,
I met su les deints
Et tous chés betes et tous chés geins
Barbets, loulous, rotchets, carlins
reintrez da vos niches,
Filez tertous, muchez-vous bien,
Vlo l' voiture a tchiens !

********** II.**********
Tout l' monde sait avu qu'elle adrèche
I vous gobent ein tchien ein détrèche.
Portaint quéqu'fois, quoiqu' bien malins,
Chés bêtes i sont plus fins qu' chés geins.
Halté-lo, dit ch' nassier ,
Vite, ouvre l' tabatière !
Crac, i tape par derrière
D' Azor qui vient d' filer.

**********III.**********
Ch' est ein coeup d' scène d' ein fin comique
Qui d' rire fait braire el pauv' bourrique,
Quand on voit ch' malheureux péqueux
L' ver sein filet d' ein air moneux.
Chés moutards rigolant,
D' vir qu' il o manqué s' proie
S' ein vont l' tchoeur reimpli d' joie
Sur tous les tons criant:

********** IV**********.
Einfan pour terminer l' histoire
Il est einne cose assez notoire,
Ch' est qu' i s'roit boin d' conseiller
A bien des geins dé' s' foire mus'ler.
Car, vraimeint, einter nous,
Quand ch' fiacre lo vient, sans rire
A grameint o peut dire
Emz amis garde à vous!!

*****************************************

                                                                           

Vieille chanson que j'aime

Vieille chanson que j'aime

Paroles et Musique: Léon Xanrof 1888

note: Cette chanson fût remise au goût du jour sur un tempo swing par Jean Sablon en 1939

Le fiacre

Un fiacre allait, trottinant
Cahin, caha,
Hu, dia, hop là !
Un fiacre allait, trottinant
Jaune, avec un cocher blanc

Derrière les stores baissés
Cahin, caha,
Hu, dia, hop là !
Derrière les stores baissés
On entendait des baisers

Puis une voix disant "Léon !"
Cahin, caha,
Hu, dia, hop là !
Puis une voix disant "Léon !
Pour ... causer, ôte ton lorgnon !"

Un vieux monsieur qui passait
Cahin, caha,
Hu, dia, hop là !
Un vieux monsieur qui passait
S'écrie "Mais on dirait qu' c'est

Ma femme avec un quidam !
Cahin, caha,
Hu, dia, hop là !
Ma femme avec un quidam !"
Y s' lance sur le macadam

Mais y glisse su' l' sol mouillé
Cahin, caha,
Hu, dia, hop là !
Mais y glisse su' l' sol mouillé
Crac ! il est écrabouillé

Du fiacre une dame sort et dit
Cahin, caha,
Hu, dia, hop là !
Du fiacre une dame sort et dit :
"Chouette, Léon ! C'est mon mari !

Y a plus besoin d' nous cacher,
Cahin, caha,
Hu, dia, hop là !
Y a plus besoin d' nous cacher
Donne donc cent sous au cocher !"

j'adore !!...