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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Abbaye Saint-Louis-du-Temple
L’abbaye Saint-Louis-du-Temple est un monastère de moniales de confession catholique, de l'ordre des bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement, située dans la commune de Vauhallan et le département de l'Essonne.
Ce monastère a été construit entre 1950 et 1956, mais il est l'héritier d'une longue histoire. Dans un passé récent, il a pris la suite du couvent desBénédictines de la rue Monsieur qui était très connu et a joué un rôle important dans la vie chrétienne et monastique de Paris et de la France tout entière, de même que dans la vie artistique et littéraire .
Le prieuré des « bénédictines du Saint-Sacrement » avait été fondé en 1815 par la princesse Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé - en religion, Mère Marie-Josèphe de la Miséricorde - lors de son retour d'exil. Le roi Louis XVIII fit don au nouveau prieuré d'une partie de la prison du Temple. D'abord installée au Temple - dont est issu le nom de l'abbaye -, la communauté est expulsée en 1848 et s'installe dans l'hôtel particulier du 20 de la rue Monsieur. Après la loi de séparation puis la Première Guerre mondiale, la communauté est expulsée de la rue Monsieur. Élevée au rang d'abbaye en 1932, la communauté s'installe provisoirement à Meudon, puis se fixe définitivement à Vauhallan au hameau de Limon en 1951.
Abbaye Saint-Louis-du-Temple
L’abbaye Saint-Louis-du-Temple est un monastère de moniales de confession catholique, de l'ordre des bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement, située dans la commune de Vauhallan et le département de l'Essonne.
Ce monastère a été construit entre 1950 et 1956, mais il est l'héritier d'une longue histoire. Dans un passé récent, il a pris la suite du couvent desBénédictines de la rue Monsieur qui était très connu et a joué un rôle important dans la vie chrétienne et monastique de Paris et de la France tout entière, de même que dans la vie artistique et littéraire .
Le prieuré des « bénédictines du Saint-Sacrement » avait été fondé en 1815 par la princesse Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé - en religion, Mère Marie-Josèphe de la Miséricorde - lors de son retour d'exil. Le roi Louis XVIII fit don au nouveau prieuré d'une partie de la prison du Temple. D'abord installée au Temple - dont est issu le nom de l'abbaye -, la communauté est expulsée en 1848 et s'installe dans l'hôtel particulier du 20 de la rue Monsieur. Après la loi de séparation puis la Première Guerre mondiale, la communauté est expulsée de la rue Monsieur. Élevée au rang d'abbaye en 1932, la communauté s'installe provisoirement à Meudon, puis se fixe définitivement à Vauhallan au hameau de Limon en 1951.
Abbaye Saint-Louis-du-Temple
L’abbaye Saint-Louis-du-Temple est un monastère de moniales de confession catholique, de l'ordre des bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement, située dans la commune de Vauhallan et le département de l'Essonne.
Ce monastère a été construit entre 1950 et 1956, mais il est l'héritier d'une longue histoire. Dans un passé récent, il a pris la suite du couvent desBénédictines de la rue Monsieur qui était très connu et a joué un rôle important dans la vie chrétienne et monastique de Paris et de la France tout entière, de même que dans la vie artistique et littéraire .
Le prieuré des « bénédictines du Saint-Sacrement » avait été fondé en 1815 par la princesse Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé - en religion, Mère Marie-Josèphe de la Miséricorde - lors de son retour d'exil. Le roi Louis XVIII fit don au nouveau prieuré d'une partie de la prison du Temple. D'abord installée au Temple - dont est issu le nom de l'abbaye -, la communauté est expulsée en 1848 et s'installe dans l'hôtel particulier du 20 de la rue Monsieur. Après la loi de séparation puis la Première Guerre mondiale, la communauté est expulsée de la rue Monsieur. Élevée au rang d'abbaye en 1932, la communauté s'installe provisoirement à Meudon, puis se fixe définitivement à Vauhallan au hameau de Limon en 1951.
Abbaye Saint-Louis-du-Temple
L’abbaye Saint-Louis-du-Temple est un monastère de moniales de confession catholique, de l'ordre des bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement, située dans la commune de Vauhallan et le département de l'Essonne.
Ce monastère a été construit entre 1950 et 1956, mais il est l'héritier d'une longue histoire. Dans un passé récent, il a pris la suite du couvent desBénédictines de la rue Monsieur qui était très connu et a joué un rôle important dans la vie chrétienne et monastique de Paris et de la France tout entière, de même que dans la vie artistique et littéraire .
Le prieuré des « bénédictines du Saint-Sacrement » avait été fondé en 1815 par la princesse Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé - en religion, Mère Marie-Josèphe de la Miséricorde - lors de son retour d'exil. Le roi Louis XVIII fit don au nouveau prieuré d'une partie de la prison du Temple. D'abord installée au Temple - dont est issu le nom de l'abbaye -, la communauté est expulsée en 1848 et s'installe dans l'hôtel particulier du 20 de la rue Monsieur. Après la loi de séparation puis la Première Guerre mondiale, la communauté est expulsée de la rue Monsieur. Élevée au rang d'abbaye en 1932, la communauté s'installe provisoirement à Meudon, puis se fixe définitivement à Vauhallan au hameau de Limon en 1951.
Abbaye Saint-Louis-du-Temple
L’abbaye Saint-Louis-du-Temple est un monastère de moniales de confession catholique, de l'ordre des bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement, située dans la commune de Vauhallan et le département de l'Essonne.
Ce monastère a été construit entre 1950 et 1956, mais il est l'héritier d'une longue histoire. Dans un passé récent, il a pris la suite du couvent desBénédictines de la rue Monsieur qui était très connu et a joué un rôle important dans la vie chrétienne et monastique de Paris et de la France tout entière, de même que dans la vie artistique et littéraire .
Le prieuré des « bénédictines du Saint-Sacrement » avait été fondé en 1815 par la princesse Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé - en religion, Mère Marie-Josèphe de la Miséricorde - lors de son retour d'exil. Le roi Louis XVIII fit don au nouveau prieuré d'une partie de la prison du Temple. D'abord installée au Temple - dont est issu le nom de l'abbaye -, la communauté est expulsée en 1848 et s'installe dans l'hôtel particulier du 20 de la rue Monsieur. Après la loi de séparation puis la Première Guerre mondiale, la communauté est expulsée de la rue Monsieur. Élevée au rang d'abbaye en 1932, la communauté s'installe provisoirement à Meudon, puis se fixe définitivement à Vauhallan au hameau de Limon en 1951.
Abbaye Saint-Louis-du-Temple
L’abbaye Saint-Louis-du-Temple est un monastère de moniales de confession catholique, de l'ordre des bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement, située dans la commune de Vauhallan et le département de l'Essonne.
Ce monastère a été construit entre 1950 et 1956, mais il est l'héritier d'une longue histoire. Dans un passé récent, il a pris la suite du couvent desBénédictines de la rue Monsieur qui était très connu et a joué un rôle important dans la vie chrétienne et monastique de Paris et de la France tout entière, de même que dans la vie artistique et littéraire .
Le prieuré des « bénédictines du Saint-Sacrement » avait été fondé en 1815 par la princesse Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé - en religion, Mère Marie-Josèphe de la Miséricorde - lors de son retour d'exil. Le roi Louis XVIII fit don au nouveau prieuré d'une partie de la prison du Temple. D'abord installée au Temple - dont est issu le nom de l'abbaye -, la communauté est expulsée en 1848 et s'installe dans l'hôtel particulier du 20 de la rue Monsieur. Après la loi de séparation puis la Première Guerre mondiale, la communauté est expulsée de la rue Monsieur. Élevée au rang d'abbaye en 1932, la communauté s'installe provisoirement à Meudon, puis se fixe définitivement à Vauhallan au hameau de Limon en 1951.
Abbaye Saint-Louis-du-Temple
L’abbaye Saint-Louis-du-Temple est un monastère de moniales de confession catholique, de l'ordre des bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement, située dans la commune de Vauhallan et le département de l'Essonne.
Ce monastère a été construit entre 1950 et 1956, mais il est l'héritier d'une longue histoire. Dans un passé récent, il a pris la suite du couvent desBénédictines de la rue Monsieur qui était très connu et a joué un rôle important dans la vie chrétienne et monastique de Paris et de la France tout entière, de même que dans la vie artistique et littéraire .
Le prieuré des « bénédictines du Saint-Sacrement » avait été fondé en 1815 par la princesse Louise-Adélaïde de Bourbon-Condé - en religion, Mère Marie-Josèphe de la Miséricorde - lors de son retour d'exil. Le roi Louis XVIII fit don au nouveau prieuré d'une partie de la prison du Temple. D'abord installée au Temple - dont est issu le nom de l'abbaye -, la communauté est expulsée en 1848 et s'installe dans l'hôtel particulier du 20 de la rue Monsieur. Après la loi de séparation puis la Première Guerre mondiale, la communauté est expulsée de la rue Monsieur. Élevée au rang d'abbaye en 1932, la communauté s'installe provisoirement à Meudon, puis se fixe définitivement à Vauhallan au hameau de Limon en 1951.
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.