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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg
L'abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg est fondée vers 660 par des nobles austrasiens sur une île de laLauter. Une charte apocryphe attribue cette fondation au roi Dagobert.
L'abbaye a été richement pourvue et a donc été considérée comme une des abbayes les plus riches du Saint-Empire romain germanique.
Elle fut malheureusement détruite en grande partie sous la Révolution pour être utilisée comme magasin à fourrage. Elle devient en 1803 l'église paroissiale catholique.
Les vitraux du chœur et les rosaces datent du 13e siècle.
La grande couronne dorée de la croisée, dérobée à la Révolution, est aujourd'hui remplacée par un lustre.
L’ancien cloître, côté nord, ne fut jamais achevé, mais on le dit " le plus beau de toute la vallée du Rhin ". De grandes dalles funéraires, tombes des abbés du 14e et 15e siècle, y sont visibles.
Derrière la sacristie se trouve une chapelle romane de 1033, aujourd’hui désacralisée.
La tour carrée, côté Sous-Préfecture, est un vestige de l'abbatiale romane, construite vers 1070.
Une immense fresque représente St Christophe tenant l'enfant Jésus dans ses bras entre la chapelle droite et le chœur. Elle fut découverte et restaurée récemment. Et avec ses 11 à 12 mètres de haut, c'est le personnage peint le plus grand de France.
L'architecture de l'église est quant à elle typiquement gothique. Bâtie en grès, elle est dotée d'un clocher carré. Cependant on y trouve encore une chapelle romane du XIe siècle. Enfin, une série de dalles funéraires s'étale dans le cloître situé au nord, indiquant les tombeaux des abbés des XIVe et XVe siècles.
Abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg
L'abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg est fondée vers 660 par des nobles austrasiens sur une île de laLauter. Une charte apocryphe attribue cette fondation au roi Dagobert.
L'abbaye a été richement pourvue et a donc été considérée comme une des abbayes les plus riches du Saint-Empire romain germanique.
Elle fut malheureusement détruite en grande partie sous la Révolution pour être utilisée comme magasin à fourrage. Elle devient en 1803 l'église paroissiale catholique.
Les vitraux du chœur et les rosaces datent du 13e siècle.
La grande couronne dorée de la croisée, dérobée à la Révolution, est aujourd'hui remplacée par un lustre.
L’ancien cloître, côté nord, ne fut jamais achevé, mais on le dit " le plus beau de toute la vallée du Rhin ". De grandes dalles funéraires, tombes des abbés du 14e et 15e siècle, y sont visibles.
Derrière la sacristie se trouve une chapelle romane de 1033, aujourd’hui désacralisée.
La tour carrée, côté Sous-Préfecture, est un vestige de l'abbatiale romane, construite vers 1070.
Une immense fresque représente St Christophe tenant l'enfant Jésus dans ses bras entre la chapelle droite et le chœur. Elle fut découverte et restaurée récemment. Et avec ses 11 à 12 mètres de haut, c'est le personnage peint le plus grand de France.
L'architecture de l'église est quant à elle typiquement gothique. Bâtie en grès, elle est dotée d'un clocher carré. Cependant on y trouve encore une chapelle romane du XIe siècle. Enfin, une série de dalles funéraires s'étale dans le cloître situé au nord, indiquant les tombeaux des abbés des XIVe et XVe siècles.
Abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg
L'abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg est fondée vers 660 par des nobles austrasiens sur une île de laLauter. Une charte apocryphe attribue cette fondation au roi Dagobert.
L'abbaye a été richement pourvue et a donc été considérée comme une des abbayes les plus riches du Saint-Empire romain germanique.
Elle fut malheureusement détruite en grande partie sous la Révolution pour être utilisée comme magasin à fourrage. Elle devient en 1803 l'église paroissiale catholique.
Les vitraux du chœur et les rosaces datent du 13e siècle.
La grande couronne dorée de la croisée, dérobée à la Révolution, est aujourd'hui remplacée par un lustre.
L’ancien cloître, côté nord, ne fut jamais achevé, mais on le dit " le plus beau de toute la vallée du Rhin ". De grandes dalles funéraires, tombes des abbés du 14e et 15e siècle, y sont visibles.
Derrière la sacristie se trouve une chapelle romane de 1033, aujourd’hui désacralisée.
La tour carrée, côté Sous-Préfecture, est un vestige de l'abbatiale romane, construite vers 1070.
Une immense fresque représente St Christophe tenant l'enfant Jésus dans ses bras entre la chapelle droite et le chœur. Elle fut découverte et restaurée récemment. Et avec ses 11 à 12 mètres de haut, c'est le personnage peint le plus grand de France.
L'architecture de l'église est quant à elle typiquement gothique. Bâtie en grès, elle est dotée d'un clocher carré. Cependant on y trouve encore une chapelle romane du XIe siècle. Enfin, une série de dalles funéraires s'étale dans le cloître situé au nord, indiquant les tombeaux des abbés des XIVe et XVe siècles.
Abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg
L'abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg est fondée vers 660 par des nobles austrasiens sur une île de laLauter. Une charte apocryphe attribue cette fondation au roi Dagobert.
L'abbaye a été richement pourvue et a donc été considérée comme une des abbayes les plus riches du Saint-Empire romain germanique.
Elle fut malheureusement détruite en grande partie sous la Révolution pour être utilisée comme magasin à fourrage. Elle devient en 1803 l'église paroissiale catholique.
Les vitraux du chœur et les rosaces datent du 13e siècle.
La grande couronne dorée de la croisée, dérobée à la Révolution, est aujourd'hui remplacée par un lustre.
L’ancien cloître, côté nord, ne fut jamais achevé, mais on le dit " le plus beau de toute la vallée du Rhin ". De grandes dalles funéraires, tombes des abbés du 14e et 15e siècle, y sont visibles.
Derrière la sacristie se trouve une chapelle romane de 1033, aujourd’hui désacralisée.
La tour carrée, côté Sous-Préfecture, est un vestige de l'abbatiale romane, construite vers 1070.
Une immense fresque représente St Christophe tenant l'enfant Jésus dans ses bras entre la chapelle droite et le chœur. Elle fut découverte et restaurée récemment. Et avec ses 11 à 12 mètres de haut, c'est le personnage peint le plus grand de France.
L'architecture de l'église est quant à elle typiquement gothique. Bâtie en grès, elle est dotée d'un clocher carré. Cependant on y trouve encore une chapelle romane du XIe siècle. Enfin, une série de dalles funéraires s'étale dans le cloître situé au nord, indiquant les tombeaux des abbés des XIVe et XVe siècles.
Abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg
L'abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Wissembourg est fondée vers 660 par des nobles austrasiens sur une île de laLauter. Une charte apocryphe attribue cette fondation au roi Dagobert.
L'abbaye a été richement pourvue et a donc été considérée comme une des abbayes les plus riches du Saint-Empire romain germanique.
Elle fut malheureusement détruite en grande partie sous la Révolution pour être utilisée comme magasin à fourrage. Elle devient en 1803 l'église paroissiale catholique.
Les vitraux du chœur et les rosaces datent du 13e siècle.
La grande couronne dorée de la croisée, dérobée à la Révolution, est aujourd'hui remplacée par un lustre.
L’ancien cloître, côté nord, ne fut jamais achevé, mais on le dit " le plus beau de toute la vallée du Rhin ". De grandes dalles funéraires, tombes des abbés du 14e et 15e siècle, y sont visibles.
Derrière la sacristie se trouve une chapelle romane de 1033, aujourd’hui désacralisée.
La tour carrée, côté Sous-Préfecture, est un vestige de l'abbatiale romane, construite vers 1070.
Une immense fresque représente St Christophe tenant l'enfant Jésus dans ses bras entre la chapelle droite et le chœur. Elle fut découverte et restaurée récemment. Et avec ses 11 à 12 mètres de haut, c'est le personnage peint le plus grand de France.
L'architecture de l'église est quant à elle typiquement gothique. Bâtie en grès, elle est dotée d'un clocher carré. Cependant on y trouve encore une chapelle romane du XIe siècle. Enfin, une série de dalles funéraires s'étale dans le cloître situé au nord, indiquant les tombeaux des abbés des XIVe et XVe siècles.
Abbaye de Loc-Dieu
L'abbaye de Loc-Dieu est une abbaye cistercienne située à Martiel, (Aveyron)
Commencée en 1159 en style roman, elle fut achevée en 1189 par les architectes bourguignons de son abbaye-mère Pontigny déjà familiers avec le gothique. Alors que les bas-côtés, voutés de plein cintre, sont encore purement romans, le chœur au chevet à pans coupés est lui nettement gothique. L’attention portée à l’acoustique par les moines est révélée par l’implantation de nombreux trous de résonance dans les voutes. L’église a traversé sans dommage les siècles et se présente aujourd’hui dans sa pureté originelle, fidèle à la tradition cistercienne, où simplicité et dépouillement n’excluent pas la beauté. Ici pas de sculptures, de vitraux colorés, de peintures susceptibles de détourner l’attention due à la prière. La pierre ocre apparaît dans toute sa splendeur travaillée par la main de l’homme, rehaussée par la lumière du soleil car l’église est à toutes heures baignée par les rayons du soleil qui explosent sur la couleur de la pierre. Pureté des formes, austérité du décor pour la méditation.
Le cloitre gothique reconstruit au xve siècle, il remplace le premier cloître brûlé par les troupes anglaises. Le style y est dépouillé et massif conformément à l’esprit cistercien. Il ne reste plus que trois ailes au cloître (Est, Sud et Ouest). Au niveau du jardin central se trouve le puits, tandis que sur le Côté Est s’ouvre la salle capitulaire du xiiie siècle. Elle présente trois travées largement ouvertes sur le cloître. Les ailes Sud et Ouest du cloître ont été surmontées d’une galerie couverte dont les ouvertures en arcs surbaissés annoncent déjà la Renaissance.
Abbaye de Loc-Dieu
L'abbaye de Loc-Dieu est une abbaye cistercienne située à Martiel, (Aveyron)
Commencée en 1159 en style roman, elle fut achevée en 1189 par les architectes bourguignons de son abbaye-mère Pontigny déjà familiers avec le gothique. Alors que les bas-côtés, voutés de plein cintre, sont encore purement romans, le chœur au chevet à pans coupés est lui nettement gothique. L’attention portée à l’acoustique par les moines est révélée par l’implantation de nombreux trous de résonance dans les voutes. L’église a traversé sans dommage les siècles et se présente aujourd’hui dans sa pureté originelle, fidèle à la tradition cistercienne, où simplicité et dépouillement n’excluent pas la beauté. Ici pas de sculptures, de vitraux colorés, de peintures susceptibles de détourner l’attention due à la prière. La pierre ocre apparaît dans toute sa splendeur travaillée par la main de l’homme, rehaussée par la lumière du soleil car l’église est à toutes heures baignée par les rayons du soleil qui explosent sur la couleur de la pierre. Pureté des formes, austérité du décor pour la méditation.
Le cloitre gothique reconstruit au xve siècle, il remplace le premier cloître brûlé par les troupes anglaises. Le style y est dépouillé et massif conformément à l’esprit cistercien. Il ne reste plus que trois ailes au cloître (Est, Sud et Ouest). Au niveau du jardin central se trouve le puits, tandis que sur le Côté Est s’ouvre la salle capitulaire du xiiie siècle. Elle présente trois travées largement ouvertes sur le cloître. Les ailes Sud et Ouest du cloître ont été surmontées d’une galerie couverte dont les ouvertures en arcs surbaissés annoncent déjà la Renaissance.
Abbaye de Loc-Dieu
L'abbaye de Loc-Dieu est une abbaye cistercienne située à Martiel, (Aveyron)
Commencée en 1159 en style roman, elle fut achevée en 1189 par les architectes bourguignons de son abbaye-mère Pontigny déjà familiers avec le gothique. Alors que les bas-côtés, voutés de plein cintre, sont encore purement romans, le chœur au chevet à pans coupés est lui nettement gothique. L’attention portée à l’acoustique par les moines est révélée par l’implantation de nombreux trous de résonance dans les voutes. L’église a traversé sans dommage les siècles et se présente aujourd’hui dans sa pureté originelle, fidèle à la tradition cistercienne, où simplicité et dépouillement n’excluent pas la beauté. Ici pas de sculptures, de vitraux colorés, de peintures susceptibles de détourner l’attention due à la prière. La pierre ocre apparaît dans toute sa splendeur travaillée par la main de l’homme, rehaussée par la lumière du soleil car l’église est à toutes heures baignée par les rayons du soleil qui explosent sur la couleur de la pierre. Pureté des formes, austérité du décor pour la méditation.
Le cloitre gothique reconstruit au xve siècle, il remplace le premier cloître brûlé par les troupes anglaises. Le style y est dépouillé et massif conformément à l’esprit cistercien. Il ne reste plus que trois ailes au cloître (Est, Sud et Ouest). Au niveau du jardin central se trouve le puits, tandis que sur le Côté Est s’ouvre la salle capitulaire du xiiie siècle. Elle présente trois travées largement ouvertes sur le cloître. Les ailes Sud et Ouest du cloître ont été surmontées d’une galerie couverte dont les ouvertures en arcs surbaissés annoncent déjà la Renaissance.
Abbaye de Loc-Dieu
L'abbaye de Loc-Dieu est une abbaye cistercienne située à Martiel, (Aveyron)
Commencée en 1159 en style roman, elle fut achevée en 1189 par les architectes bourguignons de son abbaye-mère Pontigny déjà familiers avec le gothique. Alors que les bas-côtés, voutés de plein cintre, sont encore purement romans, le chœur au chevet à pans coupés est lui nettement gothique. L’attention portée à l’acoustique par les moines est révélée par l’implantation de nombreux trous de résonance dans les voutes. L’église a traversé sans dommage les siècles et se présente aujourd’hui dans sa pureté originelle, fidèle à la tradition cistercienne, où simplicité et dépouillement n’excluent pas la beauté. Ici pas de sculptures, de vitraux colorés, de peintures susceptibles de détourner l’attention due à la prière. La pierre ocre apparaît dans toute sa splendeur travaillée par la main de l’homme, rehaussée par la lumière du soleil car l’église est à toutes heures baignée par les rayons du soleil qui explosent sur la couleur de la pierre. Pureté des formes, austérité du décor pour la méditation.
Le cloitre gothique reconstruit au xve siècle, il remplace le premier cloître brûlé par les troupes anglaises. Le style y est dépouillé et massif conformément à l’esprit cistercien. Il ne reste plus que trois ailes au cloître (Est, Sud et Ouest). Au niveau du jardin central se trouve le puits, tandis que sur le Côté Est s’ouvre la salle capitulaire du xiiie siècle. Elle présente trois travées largement ouvertes sur le cloître. Les ailes Sud et Ouest du cloître ont été surmontées d’une galerie couverte dont les ouvertures en arcs surbaissés annoncent déjà la Renaissance.
Abbaye de Loc-Dieu
L'abbaye de Loc-Dieu est une abbaye cistercienne située à Martiel, (Aveyron)
Commencée en 1159 en style roman, elle fut achevée en 1189 par les architectes bourguignons de son abbaye-mère Pontigny déjà familiers avec le gothique. Alors que les bas-côtés, voutés de plein cintre, sont encore purement romans, le chœur au chevet à pans coupés est lui nettement gothique. L’attention portée à l’acoustique par les moines est révélée par l’implantation de nombreux trous de résonance dans les voutes. L’église a traversé sans dommage les siècles et se présente aujourd’hui dans sa pureté originelle, fidèle à la tradition cistercienne, où simplicité et dépouillement n’excluent pas la beauté. Ici pas de sculptures, de vitraux colorés, de peintures susceptibles de détourner l’attention due à la prière. La pierre ocre apparaît dans toute sa splendeur travaillée par la main de l’homme, rehaussée par la lumière du soleil car l’église est à toutes heures baignée par les rayons du soleil qui explosent sur la couleur de la pierre. Pureté des formes, austérité du décor pour la méditation.
Le cloitre gothique reconstruit au xve siècle, il remplace le premier cloître brûlé par les troupes anglaises. Le style y est dépouillé et massif conformément à l’esprit cistercien. Il ne reste plus que trois ailes au cloître (Est, Sud et Ouest). Au niveau du jardin central se trouve le puits, tandis que sur le Côté Est s’ouvre la salle capitulaire du xiiie siècle. Elle présente trois travées largement ouvertes sur le cloître. Les ailes Sud et Ouest du cloître ont été surmontées d’une galerie couverte dont les ouvertures en arcs surbaissés annoncent déjà la Renaissance.