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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.
Abbaye d'Hautecombe
Abbaye royale d'Hautecombe est une abbaye en activité située dans la commune de Saint-Pierre-de-Curtille sur la rive occidentale du lac du Bourget, en Savoie. Elle a été fondée en 1125 par Amédée de Lausanne, avec l'aide du comte Amédée III de Savoie et l'appui de Bernard de Clairvaux, et construite durant le xiie siècle par des moines cisterciens. Elle est particulièrement connue pour être la nécropole de la Maison de Savoie (comtes de Savoie, leur famille, et quelques membres de la famille ducale de Savoie) puis de quelques-uns des rois et reines d'Italie.
Après une période particulièrement active et prospère jusqu'au début du xve siècle, l'abbaye, comme nombre d'autres maisons religieuses à cette époque, tombe sous le régime de la commende (gestion des biens matériels par une personne extérieure à l'abbaye), et la piété de la vie religieuse s'en ressent fortement. Les vocations se font graduellement moins nombreuses jusqu'auxviiie siècle, et la vocation de nécropole est complètement perdue. La Révolution française (qui agrège la Savoie indépendante à la France sous le nom dedépartement du Mont-Blanc) chasse les rares derniers moines et détruit une partie de l'édifice.
L'abbaye revient dans le royaume de Sardaigne après le congrès de Vienne et est restaurée par la volonté de Charles-Félix de Savoie et de Marie-Christine de Bourbon-Siciles au début du xixe siècle, travaux menés sous la conduite de l'architecte Ernesto Melano, et à nouveau confiée aux cisterciens à partir de 1826 ; elle retrouve sa fonction de tombeau des souverains avec l'inhumation du couple royal.
L'annexion de la Savoie ne modifie pas le régime de l'abbaye, qui appartient à une fondation privée fondée par Charles-Félix et dirigée par l'abbé de la communauté religieuse qui occupe les lieux. Bien que relativement épargnée par la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, l'abbaye fait face à une crise après la Première Guerre mondiale, qui amène le remplacement des cisterciens par des moines bénédictins de 1922 à 1992. Durant la Seconde Guerre mondiale, Hautecombe héberge un temps des religieux polonais, mais ceux-ci sont arrêtés par la Gestapo dans l'enceinte de l'abbaye.
À la fin des années 1980, les bénédictins décident de quitter ce lieu, devenu trop touristique. Ils partent pour l'abbaye Notre-Dame de Ganagobie et demandent à la communauté du Chemin Neuf de venir les remplacer ; elle accepte en 1992. Cette communauté s’inspire à la fois de la spiritualité de saint Ignace de Loyola et de l’expérience du renouveau charismatique, et utilise en particulier cette abbaye comme maison de formation théologique.
Abbaye Notre-Dame de Triors
L'abbaye Notre-Dame de Triors, fondée au XXe siècle, est une abbaye bénédictinede la congrégation de Solesmes située à Triors dans le département de la Drôme.
Elle a été fondée le 6 octobre 1984 à Triors par des moines venus de l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault. Les quatorze premiers moines s'installent dès août 1984 dans un château du xviiie siècle qui est légué à la congrégation de Solesmes par la dernière propriétaire. De grands travaux commencent à partir du début des années 1990 pour transformer le prieuré en véritable abbaye bénédictine. L'abbatiale, commencée en 1990 et achevée en 1993 est dédicacée à l'Immaculée Conception le 5 octobre 1996.
Le prieuré de Triors est alors érigé en abbaye en 1994 et le premier abbé de Triors, Dom Hervé Courau, reçoit la bénédiction de l'évêque de Valence, Mgr Didier Léon Marchand, cette même année.
Appartenant à la congrégation de Solesmes, l'abbaye a gardé les traditions liturgiques grégoriennes et dès 1988 a profité de l'indult envers le rite de Saint Pie V. Elle dépend à ce titre de la Commission pontificale « Ecclesia Dei » depuis 1988. L'abbaye a réalisé une discographie grégorienne complète de l'ensemble du cycle temporal du calendrier liturgique catholique.
Abbaye Notre-Dame de Triors
L'abbaye Notre-Dame de Triors, fondée au XXe siècle, est une abbaye bénédictinede la congrégation de Solesmes située à Triors dans le département de la Drôme.
Elle a été fondée le 6 octobre 1984 à Triors par des moines venus de l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault. Les quatorze premiers moines s'installent dès août 1984 dans un château du xviiie siècle qui est légué à la congrégation de Solesmes par la dernière propriétaire. De grands travaux commencent à partir du début des années 1990 pour transformer le prieuré en véritable abbaye bénédictine. L'abbatiale, commencée en 1990 et achevée en 1993 est dédicacée à l'Immaculée Conception le 5 octobre 1996.
Le prieuré de Triors est alors érigé en abbaye en 1994 et le premier abbé de Triors, Dom Hervé Courau, reçoit la bénédiction de l'évêque de Valence, Mgr Didier Léon Marchand, cette même année.
Appartenant à la congrégation de Solesmes, l'abbaye a gardé les traditions liturgiques grégoriennes et dès 1988 a profité de l'indult envers le rite de Saint Pie V. Elle dépend à ce titre de la Commission pontificale « Ecclesia Dei » depuis 1988. L'abbaye a réalisé une discographie grégorienne complète de l'ensemble du cycle temporal du calendrier liturgique catholique.
Abbaye Notre-Dame de Triors
L'abbaye Notre-Dame de Triors, fondée au XXe siècle, est une abbaye bénédictinede la congrégation de Solesmes située à Triors dans le département de la Drôme.
Elle a été fondée le 6 octobre 1984 à Triors par des moines venus de l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault. Les quatorze premiers moines s'installent dès août 1984 dans un château du xviiie siècle qui est légué à la congrégation de Solesmes par la dernière propriétaire. De grands travaux commencent à partir du début des années 1990 pour transformer le prieuré en véritable abbaye bénédictine. L'abbatiale, commencée en 1990 et achevée en 1993 est dédicacée à l'Immaculée Conception le 5 octobre 1996.
Le prieuré de Triors est alors érigé en abbaye en 1994 et le premier abbé de Triors, Dom Hervé Courau, reçoit la bénédiction de l'évêque de Valence, Mgr Didier Léon Marchand, cette même année.
Appartenant à la congrégation de Solesmes, l'abbaye a gardé les traditions liturgiques grégoriennes et dès 1988 a profité de l'indult envers le rite de Saint Pie V. Elle dépend à ce titre de la Commission pontificale « Ecclesia Dei » depuis 1988. L'abbaye a réalisé une discographie grégorienne complète de l'ensemble du cycle temporal du calendrier liturgique catholique.