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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Sainte Hélène
L’impératrice Hélène mourut pieusement vers 329, à Nicomédie et sa dépouille, d'abord déposée à Constantinople, fut déposée à Rome dans un mausolée magnifique que Constantin fit construire sur la via Lavicana. Le sarcophage de sainte Hélène est aujourd'hui au musée du Vatican. Le moine Altmannus raconte que, vers 840, un de ses confrères de l'abbaye de Hautvillers (Marne) qui était allé en pèlerinage à Rome y déroba le tronc embaumé de sainte Hélène, exposé dans l'église des saints Marcellin et Pierre, près du mausolée de porphyre, et le rapporta dans son abbaye où, dès lors, on célébra, le 7 février, la fête de la translation des reliques de sainte Hélène. Quand, en 1791, les révolutionnaires détruisirent la châsse de sainte Hélène, un moine déroba les reliques pour les confier au curé de Ceffonds qui, avant de mourir, les légua aux Chevaliers du Saint-Sépulcre, prétendument fondés par sainte Hélène, lesquels les déposèrent dans leur église parisienne de Saint-Leu-Saint-Gilles où ils se réunissent.
SAINTE CATHERINE de SIENNE
Vierge
(1347-1380)
Catherine, l'une des saintes les plus merveilleuses qui aient paru sur la terre, naquit à Sienne, de parents vertueux, mais qui pourtant, chose incroyable, se firent longtemps ses persécuteurs et entravèrent, autant qu'il leur fut possible, sa vocation religieuse.
Dès l'âge de cinq ans, elle ne montait les escaliers de la maison paternelle qu'à genoux, récitant l'Ave Maria à chaque degré. Vers cette époque, elle eut une apparition de Notre-Seigneur, qui lui révéla tous les secrets de la vie parfaite.
Un jour, l'admirable enfant, se prosternant dans sa chambre, pria la très Sainte Vierge de lui donner Son divin Fils pour Époux, et dès lors elle ne songea qu'à la vie religieuse, qui passionnait noblement son âme. Comme ses parents voulaient la marier, Dieu leur fit comprendre par différents signes extraordinaires que leur fille devait rester vierge; malgré tout, ils persistèrent à la retenir dans le monde.
Catherine ne se découragea pas; elle se fit comme une cellule au fond de son coeur, où elle trouvait toujours son Bien-Aimé. C'est alors que commença pour elle une vie de telles austérités, que les Vies des Saints nous offrent peu de pareils exemples: disciplines, chassis de fer, cilice, privation de nourriture et de sommeil, elle n'ignora rien de tous ces martyres volontaires; elle en vint à ne dormir qu'une demi-heure en deux nuits, ce fut la mortification qui lui coûta le plus.
C'était une lutte continuelle entre la mère et la fille, la tendresse de l'une voulant éviter à l'autre ce martyre de chaque jour, la passion de la souffrance chez l'une rendant inutile l'humaine compassion de l'autre.
De guerre lasse, il fallut enfin laisser partir au couvent cette fille si chérie et si longtemps maltraitée: Catherine entra chez les religieuses de Saint-Dominique. Dès lors sa vie devint de plus en plus étonnante.
Elle eut quelques tentations pénibles pour son âme angélique; le Sauveur, pour la récompenser de la victoire, lui apparut couvert des ignominies de Sa Passion:
"Où étiez-Vous donc, Seigneur, pendant ce terrible combat?
-- Ma fille, J'étais dans ton coeur, et Je Me réjouissais de ta fidélité."
Dans une de Ses apparitions, le Sauveur ôta le coeur de la poitrine de Sa servante et mit le Sien à sa place. Une autre fois, elle reçut les stigmates du divin Crucifié. Souvent, au moment de la Communion, l'Hostie s'échappait des mains du prêtre pour voler vers la bouche de Catherine. Sa vie entière fut un miracle.
Dieu permit qu'elle exerçât une immense influence sur son époque, et qu'elle contribuât pour beaucoup à la cessation du grand schisme d'Occident. Elle mourut à l'âge de trente-trois ans.
Sainte Catherine de Sienne
Sainte Catherine de Sienne Dominicaine, Docteur de l'Eglise (+ 1380)
Catherine Benincasa,naquit à Sienne en 1347. Benjamine d'une famille très nombreuse (24 frères et soeurs) entend très jeune l'appel à se consacrer à Dieu. A seize ans, elle devient tertiaire dominicaine, tout en vivant sa vie d'austérité et de prière au milieu de sa famille. Elle fait voeu de virginité, mais le petit groupe des amis qui l'écoutent et la soutiennent (les Caterini) l'appelle "maman". Ascèse et oraison la font vivre en étroite union avec la Christ, tout en se préoccupant des réalités de la vie. Elle vient en aide aux pauvres et aux malades de Sienne, elle écrit aux grands de son temps.
Son principal souci est l'unité de l'Eglise. Sans complexe, elle écrit au Pape, alors en Avignon, une lettre brûlante où elle le presse de revenir à Rome. Elle ira même le chercher. Lorsque la chrétienté occidentale sera divisée entre plusieurs papes, elle soutiendra Urbain VI et déploiera des trésors d'activité et de diplomatie pour rassembler l'Eglise autour de lui.
Elle prend aussi partie dans les luttes où s'affrontent les villes italiennes. Elle, la recluse de Sienne, voyage inlassablement comme médiatrice dans le nord de l'Italie et le sud de la France. Pourtant cette activité débordante n'est pas le tout de sainte Catherine. Ce n'est que la face apparente d'une intense vie mystique, avec des extases durant lesquelles ses disciples, émerveillés, copient les prières qui s'échappent de ses lèvres.
Son "Dialogue", qui est aussi un des classiques de la langue italienne, retrace ces entretiens enflammés avec le Christ, qu'elle rejoignit à 33 ans, dans la vision béatifique.
Elle a été proclamée docteur de l'Eglise en 1970.
Elle est copatronne de l'Europe: "Elle entra avec un regard sûr et des paroles de feu dans le vif des problèmes sociaux et politiques qui ont déchiré l'Europe de son époque." (Jean Paul II 1999)
Sainte-Catherine de Sienne est la patronne des infirmières. Elle est invoquée par les personnes qui craignent de subir un échec.
Sainte Veronique
"Le linge de Véronique ne devrait pas être confondu avec le Mandylion, linge que le Christ aurait envoyé au roi Abgar d'Edesse : le premier représente le Christ de la Passion, couronné d'épines; le second est l'image non faite de main d'homme qui a probablement inspiré les premières icônes du Christ, comme la Sainte Face (12è s.) conservée à la cathédrale de Laon. Vous pouvez consulter : P. Sendler Egon. Les mystères du Christ, les icônes de la liturgie. Desclée de Brouwer, 2001, p. 25-26. Ouspensky Leonide, La théologie de l'icône dans l'Eglise orthodoxe, Cerf, 1980, p. 29."
Sainte Veronique ou Bérénice.
Femme ayant essuyé le visage du Christ montant au Golgotha
Sainte Veronique ou Bérénice.
La dévotion du "Chemin de la Croix" évoque le souvenir de cette femme qui aurait bravé la foule hostile pour essuyer le visage du Christ pendant sa Passion, recueillant ainsi sur son linge la Sainte Face. Plusieurs légendes sont à l'origine de ce récit:
- Le nom de Véronique qui en grec, vera icona, veut dire : l'icône authentique.
- Le linge que, dit-on, le Christ aurait envoyé au roi d'Edesse, Abgar, avec son image. A quoi la piété occidentale ajoute un élément de la quête du Graal, ou même en faisant de Véronique, l'épouse de Zachée, avec qui elle serait venue jusqu'à Soulac et Amadour.
Laissons notre piété se tourner seulement vers ces femmes qui pleuraient durant la Passion du Seigneur et à qui Jésus a dit qu'elles feraient mieux de pleurer sur elles et Jérusalem.
Saint Marc l’Évangéliste, un des soixante dix disciples et rédacteur d’un des quatre Évangiles, naquit en Libye, trois ans après la naissance du Christ, de parents juifs qui s’établirent plus tard en Palestine. La maison de Saint Marc était celle où Jésus se réunissait avec les Apôtres et où Il célébra avec eux la Pâque. C’est aussi dans sa maison que les Apôtres étaient réunis lorsque le Saint Esprit descendit le jour de la Pentecôte. Ainsi la maison de Saint Marc est bien connue dans toutes les Églises Apostoliques comme la première église du monde.
Marc fut le premier à être envoyé en Égypte, et prêcha l’Évangile dont il établit des Églises, d’abord à Alexandrie même. Dès le début, dans ce pays, le nombre des croyants, hommes et femmes, fut si grand et leur manière de vivre si conforme à la sagesse et si ardente, que Philon jugea digne de mettre par écrit leurs exercices, leurs assemblées, leurs repas communs et tout le reste de la conduite de leur vie.
La date exacte de l’arrivée de Saint Marc à Alexandrie n’est pas connue mais a été l’objet de longs débats entre historiens. Eusèbe de Césarée lui date l’arrivé de Saint Marc dans la ville phare de l’antiquité à 45, elle serait vraisemblablement situé entre 43 et 44. La tradition rapporte de son côté, qu’après avoir évangélisé le Pentapole et la Libye, Saint Marc arrive à Alexandrie en 61, ce qui pourrait tout autant être juste.
Une chose est sûre, Saint Marc vint à Alexandrie après de longs voyages et à son arrivée dans la métropole égyptienne, sa sandale se déchira. Il entreprit donc de la faire recoudre chez un cordonnier local.
Marc entra donc dans la boutique d’Annianus le cordonnier, et lui remit son soulier endommagé. Annianus entreprit aussitôt le nécessaire et tandis qu’il s’affairait, il se blessa gravement et s’évanouit en criant : « Dieu Unique, aide-moi. »
Saint Marc comprit l’appel divin et remercia le Seigneur. Il pria sur Annianus en disant : « Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, un seul Dieu Vivant à jamais, guéris la main de cet homme pour que Ton Nom soit glorifié. »25 Annianus guéri immédiatement et stupéfait, il invita Marc chez lui aspirant à connaître le Dieu Unique.
Ainsi Marc, bâtit à Alexandrie la première église copte dans la maison du cordonnier. Il ordonna alors Annianus évêque. Il leur apprit la Sainte Messe en langue grecque, puis parcourant et évangélisant l’Égypte entière, la traduisit en copte. La Messe de Saint Marc fut alors transmise oralement de génération en génération jusqu’à Saint Cyrille Le Grand qui la mit par écrit. Elle est priée encore de nos jours dans l’Église Copte pendant la messe dite de Saint Cyrille.
Saint Marc partit alors rendre visite à ses fils dans la foi du Pentapole, comme il le leur avait permis, puis revint à Alexandrie en 64, affermir les fondations de la foi.
À son retour, après les martyrs de Saint Pierre et Saint Paul à Rome, il continua à diriger l’Église avec tant d’abnégation et de vigueur que les résultats furent impressionnants, rendant jaloux les adeptes de Sérapis, statue que divinisaient les alexandrins.
Si nous ne connaissons pas exactement en quelle année Saint Marc arriva sur les bords du Nil, nous connaissons au contraire assez parfaitement la date et les circonstances de sa mort.
Il arriva, qu’au jour de Pâques en l’année 68, les païens fêtèrent Sérapis en même temps que les chrétiens fêtèrent la résurrection de notre bon Sauveur. Les premiers, bouillonnant de jalousie, profitèrent de l’occasion pour subtiliser Saint Marc et le faire souffrir. Il mourut de leurs mains en martyr le 29 Barmoudah.
Près du tombeau de Saint Marc furent ensevelis tous les patriarches qui lui ont succédé jusqu’à Saint Pierre, le dernier des martyrs en 311.
La mort de Saint Marc eut lieu à la fin du règne de l’empereur Néron, qui le premier, fit gravement souffrir les chrétiens jusqu’au martyr. Sous son règne moururent en martyrs, Pierre et Paul à Rome et Jacques, le frère du Seigneur, à Jérusalem. Annianus succéda à Saint Marc sur le siège épiscopal.
On raconte qu’au IVe siècle, lorsqu’avec Constantin l’empire devint chrétien, les chrétiens d’Alexandrie abattirent la statue de Sérapis. Les rats et les cafards qui en sortirent eurent raison des derniers païens égyptiens.
Entre 815 et 828 selon les estimations, des pécheurs vénitiens volèrent les reliques de Saint Marc et les transportèrent à Venise. Elles furent entreposées dans la célèbre et magnifique cathédrale Saint Marc. Le pape de Rome Paul VI rétrocédera des éléments du corps à Sa Sainteté le Pape Cyril VI d’Alexandrie en 1975 à la demande de ce dernier.
Saint Marc
Saint Marc Un des quatre évangélistes
Les Églises d’Orient et d’Occident célèbrent aujourd’hui la fête de l’évangéliste Marc.
Jean, dit aussi Marc, était cousin de Barnabé, et les premiers chrétiens se réunissaient dans la maison de sa mère pour prier, selon le témoignage de Luc (Ac 12,12). Vers l’an 44 Marc accompagna Paul et Barnabé à Chypre et en Pamphilie, leur premier voyage missionnaire. Il abandonna Paul, qui lui reprocha ouvertement son refus de le suivre, mais se rachètera en restant aux côtés de l’Apôtre durant sa détention à Rome. Marc fut aussi disciple de Pierre qui, dans sa première Lettre, l’appelle « mon fils » ; il en fut l’interprète. Pour consentir à la requête des chrétiens de Rome, il mit par écrit la prédication de Pierre, recueillant soigneusement tous ses souvenirs des paroles et des faits du Seigneur ; il inaugurait ainsi le genre littéraire des Évangiles. Pour certains, on peut l’identifier avec le jeune homme qui s’enfuit nu après l’arrestation de Jésus.
La liturgie copte appelle Marc « le témoin des souffrances du Fils unique ». Dans son Évangile, en effet, il fixe son regard sur le mystère du Serviteur souffrant, en qui est cachée la gloire du Fils de l’homme, sans jamais cacher la grande incompréhension que Jésus rencontra, durant sa vie, de la part de ses propres disciples.
Les dernières années de la vie de Marc sont partiellement voilées de mystère. Eusèbe rapporte qu’il se retira en Egypte et posa les fondements de l’Église d’Alexandrie. À Alexandrie, Marc aurait subi le martyre à une date inconnue. Selon la tradition, son corps fut transporté à Venise en 828. En 1968, une de ses reliques fut remise par le cardinal Urbani au pape d’Alexandrie Cyrille VI, pour marquer ainsi le commencement du dialogue entre Église copte et Église catholique après des siècles d’hostilités et d’incompréhension.
Saint Marc
Saint Marc Un des quatre évangélistes
Comme il parlait encore, survint Judas, l’un des Douze, avec une troupe armée d’épées et de bâtons, qui venait de la part des grands prêtres, des scribes et des anciens. Celui qui le livrait avait convenu avec eux d’un signal : « Celui à qui je donnerai un baiser, avait-il dit, c’est lui ! Arrêtez-le et emmenez-le sous bonne garde. » Sitôt arrivé, il s’avance vers lui et lui dit : « Rabbi !» Et il lui donna un baiser. Les autres mirent la main sur lui et l’arrêtèrent. L’un de ceux qui était là tira l’épée, frappa le serviteur du grand prêtre et lui emporta l’oreille. Prenant la parole, Jésus leur dit : « Comme pour un bandit, vous êtes partis avec des épées et des bâtons pour vous saisir de moi ! Chaque jour j’étais parmi vous dans le Temple à enseigner et vous ne m’avez pas arrêté. Mais c’est pour que les Écrituress soient accomplies. » Et tous l’abandonnèrent et prirent la fuite. Un jeune homme le suivait, n’ayant qu’un drap sur le corps. On l’arrête, mais lui, lâchant le drap, s’enfuit tout nu.
(Mc 14,43-52)
Né vers 480- 490 en Nursie, en Ombrie , Benoît était le fils d’un Noble Romain, et la tradition, qu’accepte Saint Béde , fait de Scolastique sa sœur jumelle. Son enfance se déroula à Rome, où il vivait avec ses parents et allait à l’école jusqu'à ce qu'il aborde des études plus élevées. Alors « livrant ses livres, et abandonnant la maison de ses parents et la richesse, avec à l’esprit de seulement servir Dieu, il cherchait quelques lieux où il pourrait atteindre son saint désir ; et de ce fait il partit de Rome, instruit avec l’ignorance et meublée avec de la sagesse. »
Il y a beaucoup d’opinions différentes sur l’âge de Benoît à ce moment-là. Il était généralement admis qu'il avait quatorze ans, mais une étude attentive démontre qu’il doit avoir moins de dix-neuf ou vingt ans. Il était assez mûr, étant au milieu de ses études littéraires, pour comprendre le véritable sens et la valeur des vies dissolues et licencieuses de ses compagnons, et d’avoir lui même été profondément affecté par l'amour d'une femme .Il était capable de penser toutes ces choses en comparaison avec la vie enseignée dans l' Evangile, et il a choisi ce dernier. Il était encore fort jeune, mais il n’était pas un enfant.
Si nous acceptons la date de 480 pour sa naissance, nous pouvons fixer la date de 500 pour l’abandon de sa maison et la fin de ses études
Saint Benoît se retira donc à Effide .Le livre II des Dialogues de Grégoire le grand (repris entre autres au moyen-âge par la" Legende dorée) raconte qu'arrivée là, sa nourrice, qui l'avait accompagné, cassa un crible qu'on lui avait prêté et qui lui servait à tamiser le froment. Chagrinée, elle se mit à pleurer. Benoît alors rassembla les parties brisées et fit une prière, le crible fût miraculeusement reconstitué. Ce serait le premier miracle du saint.
Il mourut en 547.