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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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SAINT JOACHIM
Père de la très Sainte Vierge Marie
Joachim, de la tribu de Juda et de l'antique famille de David, était pasteur de brebis à Nazareth. Stolan, père de sainte Anne, lui donna sa pieuse fille en mariage. Les deux époux vécurent dans la crainte du Seigneur et dans la pratique des bonnes oeuvres. Ils firent trois parts de leurs biens: l'une était destinée au temple et aux ministres de la religion; ils répandaient la seconde dans le sein des pauvres; la dernière servait aux besoins de la famille. Cependant le bonheur n'était pas dans ce ménage: l'épouse de Joachim était stérile.
Depuis vingt ans ils priaient Dieu de les délivrer d'un tel opprobre, lorsqu'ils se rendirent, suivant leur coutume, à la ville sainte pour la fête des Tabernacles. Les enfants d'Israël y venaient offrir des sacrifices à Jéhovah, et le grand-prêtre Ruben immolait leurs victimes. Joachim se présenta à son tour. Il portait un agneau; Anne le suivait, la tête voilée, le coeur plein de soupirs et de larmes.
Le grand-prêtre, en les apercevant monter les degrés du temple, n'eut pour eux que des paroles de mépris et de reproche: "Vous est-il permis, leur dit-il, de présenter votre offrande au Seigneur, vous qu'Il n'a pas jugés dignes d'avoir une postérité? Ne savez-vous pas qu'en Israël l'époux qui n'a pas la gloire d'être père est maudit de Dieu?" Et en présence du peuple il repoussa leur offrande.
Joachim ne voulut point revenir à Nazareth avec les témoins de son opprobre. Leur présence eût augmenté sa douleur. Anne retourna seule dans sa demeure. Pour lui, il se retira dans une campagne voisine de Jérusalem, où des bergers gardaient ses troupeaux. Le calme silencieux de la vie pastorale, le spectacle touchant de la nature, apportèrent quelque soulagement à la blessure de son coeur. Qui n'a jamais senti que la solitude le rapproche de Dieu?
Un jour qu'il se trouvait seul dans les champs, l'Ange Gabriel se tint debout devant lui. Joachim se prosterna, tremblant de peur: "Ne crains pas, dit le messager céleste, je suis l'Ange du Seigneur, et c'est Dieu Lui-même qui m'envoie. Il a prêté l'oreille à ta prière, tes aumônes sont montées en Sa présence. Anne, ton épouse, mettra au monde une fille; vous la nommerez Marie et vous la consacrerez à Dieu dans le temps; le Saint-Esprit habitera dans son âme dès le sein de sa mère et Il opérera en elle de grandes choses. Après ces mots, l'Ange disparut.
Joachim vit bientôt se réaliser la prédiction de l'Archange. De son côté, il fut fidèle aux ordres du Seigneur: sa fille reçut le nom de Marie, et, à trois ans, il la confia aux pieuses femmes qui élevaient dans le temple de Jérusalem les jeunes filles consacrées au Seigneur. Elle y vivait depuis huit ans sous le regard de Dieu lorsque Joachim mourut chargé de mérites et de vertus.
Anne, son épouse, le fit ensevelir dans la vallée de Josaphat, non loin du jardin de Gethsémani, où elle devait le rejoindre un an plus tard.
Sainte Anne et Saint Joachim, parents de la Vierge Marie.
Les Evangiles ne mentionnent pas les noms des parents de la Vierge. Les traditions à leur sujet proviennent d’un écrit apocryphe : le protoévangile de saint Jacques.
Le culte de sainte Anne a grandi dans le rayonnement de celui de Marie. C’est à Jérusalem, dans la basilique de "Sainte Marie, où elle est née", que saint Jean Damascène célébrait au 8e siècle les aïeux de Jésus. Tout naturellement, cette basilique allait devenir l’église Sainte-Anne-des-Croisés.
Son culte connut une assez large diffusion en Occident entre le 12e et le 15e siècle, mais il devait prendre un nouvel essor au 17e siècle à la suite des apparitions de la Mère de la Vierge Marie à Yves Nicolazic sur la lande d’Auray en Bretagne, en 1623. Missionnaires et marins bretons ne tardèrent pas à le répandre en Nouvelle-France. Les origines du pèlerinage à Sainte-Anne-de-Beaupré remontent à 1658. Le document qui raconte les premières guérisons, obtenues à Beaupré par l’intercession de la Sainte, a été inséré dans les Relations des Jésuites. Depuis 1876, sainte Anne est la patronne de la Province civile et ecclésiastique de Québec. Enfin, l’art la représente traditionnellement apprenant à lire à sa fille dans la Bible, ou bien saluant saint Joachim à la Porte d’Or. (D’après le site du Carmel)
Sainte Anne, qui est la mère de la Vierge Marie, premier "tabernacle" qui accueillit Jésus, est la patronne des Compagnons Menuisiers et Ebénistes.
Sainte Anne mére de Marie
Marie est présentée dans les évangiles comme une jeune fille de Nazareth, fiancée de Joseph dont les ascendants sont longuement énumérés dans la généalogie du Seigneur.
Les quatre Évangiles, entièrement tournés vers la Bonne Nouvelle du Christ, sa vie, ses paroles et sa Résurrection, ne font nulle mention de la famille de Marie, sans doute fixée aussi à Nazareth.
La tradition, dès les premiers siècles, appellent les parents de la Vierge Marie, Joachim ("Dieu accorde") et Anne ("La Grâce - la gracieuse").
L'imagination des auteurs des Évangiles apocryphes en fait un couple discret, mais il était bien réel et il a su accueillir, éduquer Marie et l'éveiller dans la grâce toute spéciale qui était la sienne, et qu'ils ignoraient.
Le culte de sainte Anne apparaît dès le 6ème siècle dans certaines liturgies orientales et, au 8ème siècle dans les liturgies d'Occident. Son culte est généralisé avant la fin du XIVe siècle.
Sainte Anne est souvent représentée apprenant à lire à sa fille dans le livre de la Bible. Une icône russe, image gracieuse de l'amour conjugal, immortalise le baiser qu'ils se donnèrent lorsqu'ils apprirent la conception de Marie. C'est ainsi qu'ils ont participé au mystère de l'Incarnation.
La Bretagne, après la découverte d'une statue miraculeuse, dans le champ du Bocéno,lui a construit une basilique à Sainte-Anne d'Auray, et en a fait sa "patronne". Les marins par le fait même l'ont choisie comme protectrice.
Sainte Anne est la patronne de la province de Québec. Tous les diocèses du Canada ont au moins une église dédiée à Sainte Anne.
Sainte Gemma Galgani
Gemma était très familière avec les Anges, puisqu’elle voyait et parlait à son propre Ange Gardien. La mission la plus importante de cet Ange avec Gemma concernait son perfectionnement spirituel. Une fois son Ange Gardian lui a demandé d’écrire mot à mot ce qu’il disait. Après lui avoir demandé de prendre plume et papier, lui debout et elle assise au bureau devant lui, il a commencé : «
Souviens-toi, mon enfant, que celui qui aime vraiment Jésus parle peu et endure beaucoup. Je t’ordonne, de la part de Jésus, de ne jamais donner ton opinion, sauf quand on te la demande ; de ne jamais maintenir ton opinion, mais de te taire immédiatement. Quand tu as commis une faute, accuse-toi toi-même sans attendre que les autres le fassent... Souviens-toi de garder tes yeux et pense que les yeux mortifiés posséderont les beautés du ciel. »
Sainte Gemma Galgani
Sainte Gemma était toujours vêtue très modestement. Sa robe était la plus simple, et consistait d’un vêtement en laine noire, avec une cape de la même couleur et de même matière, et d’un chapeau noir en paille. Pas de poignet, pas de collier, pas d’ornements de quelque genre que ce soit, ni même des fleurs ou un ornement pour son chapeau. C’était sa seule façon de s’habiller, en hiver ou en été, les jours de fête ou les jours ordinaires, et elle ne s’habillait jamais d’une autre façon.
Dans son journal, Sainte Gemma a écrit : « Une fois, je me souviens bien, on m’a donné une montre en or et, comme j’étais vaniteuse, j’avais hâte de la porter pour sortir... Quand je suis rentrée et que j’ai commencé à l’enlever, j’ai vu un ange (qui, comme je le sais maintenant, était mon Ange Guardien) qui a dit très sérieusement : « Souviens-toi que les ornements précieux d’une fiancée du Christ ne sont que les épines et la croix ». « ... Après une réflexion... j’ai fait cette proposition : pour l’amour de Jésus et pour Lui plaire, je ne la porterai plus jamais, et je ne parlerai plus non plus des choses qui mènent à la vanité. J’avais encore une bague à mon doigt : j’ai enlevé même cela et à partir de ce jour-là je n’ai plus jamais porté rien de ce genre. »
Sainte Gemma Galgani
Sainte Gemma avait une énorme dévotion envers la Sainte Eucharistie. Elle a écrit un jour à son Directeur Spirituel : « Si vous pouviez voir, sentir et réaliser combien Jésus me donne de beaux dons. Je vous dis, Père, qu’il n’y a pas une seule minute où je ne ressens. Sa chère présence ; Il se révèle toujours plus aimant. Aujourd’hui pendant la Communion, Il était presque blagueur ; Il a dit : « Regarde, Gemma, J’ai dans mon cœur une petite fille que j’aime beaucoup et qui m’aime beaucoup, elle me demande toujours de l’amour et de la pureté, et Moi qui suis l’Amour même et la Pureté même, j’ai déposé sur elle autant de ces trésors qu’une créature humaine peut avoir. J’ai toujours gardé la pureté du cœur de cet enfant comme le cœur choisi par le Divin Époux lui-même, et je l’ai préservée comme un lys immaculé du paradis dans Mon pur amour. »
Sainte Gemma Galgani
1878-1903
Sainte Gemma Galgani naquit le 12 mars 1878, à Camigliana, en Italie. Sa mère tuberculeuse pressentant sa fin s'efforçait de diriger ses enfants vers Dieu. A peine âgée de trois ans, la petite Gemma était demi-pensionnaire à l'école. Aussi, dès l'âge de cinq ans la fillette savait lire l'office de la Sainte Vierge et y mettait tout son cœur. Dieu marqua cette enfant de prédilection du sceau de Sa croix. Dès ses huit ans, elle perdit sa chère mère. A cet âge, son plus ardent désir était de communier, mais la coutume ne le permettait pas. Voyant qu'elle dépérissait à vue d'œil, son confesseur lui donna une autorisation spéciale et c'est avec joie qu'elle put s'approcher de la Sainte Table. A partir de ce moment, Gemma prit la résolution de se tenir toujours en présence de Dieu. La tuberculose dont moururent sa mère, son frère (séminariste) et son père avait déjà atteint Gemma dès l'âge de vingt ans. Orpheline, elle fut placée dans une famille amie où elle fut traitée comme une fille de la maison, et où elle pouvait mener dans le monde une vie cachée dans le Christ. de mars 1899, après plusieurs neuvaines à Saint Gabriel de l'Addolorata,ce Saint lui apparut et par l’intercession de Sainte Marguerite Marie Alacoque,la guérit miraculeusement. Délivrée de son mal, Gemma tient à réaliser le grand désir de sa vie : devenir religieuse passioniste. Hélas ! Ses démarches sont repoussées. Le 8 juin 1899, Gemma Galgani reçoit les stigmates de Notre Seigneur et son Ange Gardien lui apparait régulièrement. Ils s'entretenaient comme de vrais amis.
Sainte Gemma Galgani
1878-1903
La voie de sa sanctification se dessine de plus en plus clairement. « Regarde, ma fille, et apprends comment on aime. Vois-tu cette croix, ces épines et ces clous, ces chairs livides, ces meurtrissures, ces plaies ? Tout est l'œuvre de l'amour, et de l'amour infini. Voilà jusqu'à quel point Je t'ai aimée. Veux-tu M'aimer vraiment ? Apprends d'abord à souffrir: la souffrance apprend à aimer », lui dit Jésus la veille de la solennité du Sacré Cœur. Sainte Gemma raconte sa vision:« Ses plaies étaient ouvertes, mais il n'en sortait pas du sang, il en jaillissait des flammes ardentes. En un clin d'œil, ces flammes touchèrent mes mains, mes pieds et mon cœur. Je me sentis mourir... ». En même temps que les ravissements la faisaient vivre dans un état d'union extatique, la souffrance ne la quittait pas. Gemma participait aux douleurs du Christ. Elle connut Sa sueur de Sang, Son couronnement d'épines et Ses stigmates. Le démon la harcelait, la rouait de coups. Gemma souffrait tout en esprit de réparation. À peine âgée de 22 ans, Gemma avait déjà éprouvé des souffrances inimaginables. Au cours de la dernière maladie qui la terrassa, elle apprit d'une manière surnaturelle par Notre Seigneur, qu'avant de voir s'ouvrir le ciel, il lui faudrait passer encore par un déchirant calvaire en expiation des péchés commis dans le sacerdoce :« J'ai besoin d'une expiation immense, particulièrement pour les péchés et les sacrilèges dont Je Me vois outragé par les ministres du sanctuaire. Si je n'avais égards aux anges qui entourent Mes autels, combien J'en foudroierais sur place ! ». Les tourments qu'elle endura pendant plusieurs mois furent indicibles, mais sa patience ne faiblit point. Elle s'offrait continuellement en victime d'holocauste.Son amour inconditionnel de Dieu lui permettait de dépasser le "scandale du mal" et de la souffrance. Gemma mourut sur les traces de son "Époux de sang" le 11 avril 1903, un samedi saint. Pie X signa le 2 octobre 1903 le décret de fondation du monastère Passionite de Lucques où repose maintenant le corps de la sainte. Pie XI, le 14 mai 1933, déclara bienheureuse Gemma Galgani. Elle fut canonisée par Pie XII le 2 mai 1940.
Sainte Gemma Galgani
L'ange gardien de Gemma lui apparaissait régulièrement. Ils se parlaient comme de vrais amis. La pureté et l'innocence de Gemma ont dû attirer à ses côtés cet ange glorieux venu du Paradis. Gemma et son ange aux ailes déployées ou agenouillé auprès d'elle récitaient alternativement des prières ou des psaumes. En méditant sur la Passion de notre Seigneur, son ange la guidait dans ce mystère en lui fournissant les plus sublimes réflexions. Son ange gardien lui a parlé une fois de l'agonie du Christ en ces termes :
"Regarde ce que Jésus a souffert pour l'homme. Contemple ses blessures une par une. C'est l'amour qui les a toutes ouvertes. Vois combien le péché est excécrable (horrible), car pour l'expier il faut tant de douleur et tant d'amour."