Moulin a vent

Moulin a vent -Moulin de Kerbroué - La Turballe- Loire Atlantique

Le moulin est construit en 1746au lieu-dit des Quatre Routes  Il s'appelle tour à tour moulin neuf de Trescalan, par opposition à un moulin plus ancien, moulin de Mincrom, du nom de la parcelle où il est construit, avant de prendre son nom actuel de Kerbroué. La date de 1700, gravée sur le linteau de la fenêtre du second étage, n'atteste pas de la construction du moulin à cette date, ses caractéristiques technologiques et architecturales étant postérieures. Le moulin a donc pu être construit en réutilisant les pierres d'un moulin plus ancien bâti en 1700 sur le même site ou à proximité. Cette pratique est en effet courante, surtout concernant les pierres qui doivent assurer le maintien de la structure .

À sa construction, il appartient au seigneur de Lauvergnac. Sous l'Ancien Régime, les fermiers vivant à trois kilomètres à la ronde ont l'obligation de donner leur blé à moudre au moulin, qui prélève 1/16^e des quantités au bénéfice du seigneur. Le meunier et le boulanger prélèvent également une quote-part en rémunération de leurs services. 

En 1810, le meunier rachète le moulin, qui à son origine est plus bas que le moulin actuel et nécessite que le meunier déplace les ailes en fonction de l'orientation et de la force du vent. Modernisé en 1893, il est rehaussé d'un étage, pourvu d'une deuxième paire de meules et équipé du système Berton. Un moulinet d'orientation à l'arrière de la toiture permet la mise au vent automatique.

Les meuniers successifs y moulent orge et froment pendant cinq générations. Le dernier d'entre eux, Fernand Nogues, né au village de Trévéré, perpétue la tradition jusqu'en 1969, date à laquelle les ailes s'arrêtent. Le mouli n utilise ensuite un broyeur mécanique jusqu'en 1977 avant son arrêt définitif. Il était le dernier en activité sur la commune1.

Le moulin désaffecté se dégrade par manque d'entretien et en 1999, la municipalité le rachète et entreprend sa restauration. La nouvelle toiture est notamment mise en place le 4 mars 2003. En 2004, la municipalité confie la gestion du moulin à l'association « Au Gré des Vents » culture et patrimoine de La Turballe . Il est remis en service le 4 octobre 2004 par le meunier Guy Perraud et peut de nos jours moudre le grain pour en extraire la farine grâce à 52 m² de voilure, un rouet, une lanterne, un gros fer entraînant le trieur, la meule la bluterie, le tout sur quatre niveaux .

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Moulin a vent -Moulin de Kervoyal   à Damgan dans le Morbihan - Bretagne

Le nom d'un lieu-dit voisin, Goh Velin, qui signifie « vieux moulin », conserve le souvenir d'un premier moulin. La construction du moulin actuel remonte au XVIIe siècle. La légende raconte qu'une nuit, alors qu'il fuyait les révolutionnaires, le chef chouan Cadoudal s'y réfugia. Au début du XXe siècle, il est rehaussé afin d'être modernisé, et c'est dans les années 1960 qu'il cesse de fonctionner. Outre sa fonction de moulin à vent, l'édifice nouvellement restauré servait d'amer avec, dessiné sur sa tour, un grand carré blanc.

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Moulin a vent -Moulin de Saint Jacut  les Pins - Morbihan - Bretagne

Moulin  communal, il fut construit par une grande famille de meuniers, en 1870 (2 dates sont restées gravées sur une poutre de la charpente de la toiture de l’édifice ; ainsi que sur l’ancien arbre des ailes). Il a été rénové par la commune, après avoir été délaissé dans un premier temps ; puis remis en valeur pour une résidence secondaire par des passionnés de patrimoine). L’installation d’ailes (fixes), en 2005, donne à l’édifice une belle allure, et lui permet d’être visible de loin. A l’intérieur, les mécanismes d’origine ont disparu. 
Il subsiste le grand rouet avec quelques alluchons. Le cerne du moulin, avec ses repères (saignées) pour s’aider à faire pivoter la queue du moulin (le guivre) existe toujours.

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Moulin a vent -Moulin de  Craca à Plouézec - Bretagne

 Ce moulin date de 1844 et a été reconstruit entre 1994 à 1996  et de 1999 à 2001. Il domine la baie de Paimpol d'où partaient les goélettes des pêcheurs de morues vers l'Islande.  Pour un temps, privé de ses ailes en 2007, l'association du moulin était en  attente du budget nécessaire pour leur rénovation. Depuis le printemps 2008, le budget bouclé, il a retrouvé fière allure. A son sommet trône  une goélette en guise de girouette.  .

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Moulin a vent -Moulin des Rabouilléres- Longeville  sur Mer-Vendée

Le moulin des Rabouillères est coiffé d'une toiture tournante dont la charpente et la couverture pèsent une quinzaine de tonnes. Il est composé d'un rez-de-chaussée percé de deux portes diamétralement opposées (pour pouvoir entrer ou sortir, quelle que soit la position des ailes), et de deux étages avec fenêtres. À l'intérieur, chacune des meules actionnées par les ailes accuse un poids de deux tonnes.

Seul rescapé des quinze moulins à vent que la commune a comptés, et dernier à avoir été en activité, le moulin des Rabouillères a fonctionné jusqu'en 1962. Il est parfois appelé moulin de Bots pias, Bots pias étant le surnom donné à son dernier meunier, Maurice Raynaud, en raison des sabots plats qu'il utilisait pour se déplacer.

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Moulin a vent -Moulin des Rabouilléres- Longeville  sur Mer-Vendée

Le moulin des Rabouillères est coiffé d'une toiture tournante dont la charpente et la couverture pèsent une quinzaine de tonnes. Il est composé d'un rez-de-chaussée percé de deux portes diamétralement opposées (pour pouvoir entrer ou sortir, quelle que soit la position des ailes), et de deux étages avec fenêtres. À l'intérieur, chacune des meules actionnées par les ailes accuse un poids de deux tonnes.

Seul rescapé des quinze moulins à vent que la commune a comptés, et dernier à avoir été en activité, le moulin des Rabouillères a fonctionné jusqu'en 1962. Il est parfois appelé moulin de Bots pias, Bots pias étant le surnom donné à son dernier meunier, Maurice Raynaud, en raison des sabots plats qu'il utilisait pour se déplacer.

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Moulin a vent -Moulins de Faugéres-Hérault

Perché sur une éminence à 400 mètres d'altitude, ce moulin-tour domine le village de Faugères. Bien exposé à la tramontane, le site, d'où l'on peut apercevoir la mer, comportait trois moulins.
Il y a quelques années, les "Trois tours" n'était que ruine. Datant du XVIème siècle, les moulins à céréales de Faugères ont été abandonnés en 1849 à la suite du départ des meuniers de l'époque. A partir de 1990, sous l'impulsion de la Présidente de l'association de sauvegarde des Hauts Cantons, la remise en valeur du site est lancée. L'un des moulins est restauré à l'identique. La première tour sert d'accueil aux visiteurs, celle du centre, à l'origine habitation du meunier, héberge le gardien, qui reçoit le public à la belle saison . C'est un très beau moulin-tour, à ailes à toiles, en état de fonctionnement. Il fait de la mouture que les visiteurs peuvent emporter en guise de souvenir. Les autres tours ont été, elles aussi, soigneusement restaurées.

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Moulin a vent -Moulins de  Calon-Montagne -Gironde

Le site de Calon ne compte pas moins de cinq tours d'anciens moulins à vent, sur le plateau planté en partie de vignes.
L'un des moulins partiellement restauré par le propriétaire viticulteur a retrouvé ses ailes à toiles.
Une autre tour a été aménagée en plate-forme panoramique qui ménage une belle vue sur cet ensemble unique.
On peut rêver en se promenant au temps où tous ces moulins viraient au vent.

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Moulin a vent -Moulins de la Villette -Courriéres-Nord pas de Calais

Modèle réduit du moulin pivot d'Avekapelle en Belgique (province de Flandre occidentale).

Mr Broutin l'a édifié en 1996 dans son jardin du 245 route d'Harnes (visible de la rue).

Ce moulin peut produire de la farine.

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Moulin a vent -Moulin des Trois Riviéres à Sainte Luce-Martinique

Il est situé sur la route qui mène dans le sud de la Martinique. Elément du patrimoine sucrier et rhumier de la Martinique, le moulin à vent marque l'entrée de l'habitation Trois Rivières à Sainte-Luce. Il est depuis décembre 2005 le plus récent élément touristique qu'offre le site. Totalement restauré, il rappelle l'histoire de la fabrication du premier pro-duit d'exportation de la Marti-nique, le sucre. C'est par le broyage de la canne, à l'aide de ses trois cylindres que le sucre était extrait de la canne. C'est un moulin typique des îles, avec son fût tronconique et ses ailes à toiles actionnant les cylindres. 
Mais ce qu'offre le moulin restauré de Trois-Rivières, c'est non seulement l'histoire d'une activité qui fut essentielle sur l'île, mais aussi le rappel de ce que furent alors ces grandes plantations autour desquelles la vie s'organisait pour des milliers d'hommes et de femmes. De fait, la rénovation de cet élément permet de connaître l'histoire de Trois Rivières qui a appartenu à Nicolas Fouquet, surintendant des finances de Louis XIV.