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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La statue de Notre-Dame de Bonsecours, en bois polychrome du 16° siècle.
La basilique comprend deux chapelles latérales : la chapelle de la Vierge, la plus riche, et la chapelle de saint Joseph
La chapelle de la Vierge, cœur de notre sanctuaire, occupe le fond de la sous-aile à droite du sanctuaire (à gauche pour les fidèles ).
L’autel est adossé au mur qui détermine par un plan droit la basse nef septentrionale. Il se compose d’un tombeau placé en avant du muret d’un retable pris dans celui-ci. Le tombeau est un carré porté par deux marches de marbre : quatre colonnes torses, en bronze fondu et doré, en supportent la table. Le retable est formé par une série d’arcatures soutenues par plusieurs panneaux taillés dans la pierre (décorés de quatre-feuilles peints ).
Au milieu, sur un piédestal, la statue miraculeuse de Notre-Dame de Bon-Secours est portée par un groupe d’anges qui se cachent sous son manteau. La robe et le manteau de la Vierge Marie et ceux de l’Enfant-Jésus varient selon l’ordre des fêtes, de même que leurs couronnes
Durant le mois de mai, qui est le mois de Marie, la statue est avancée jusqu’au muret
L’origine de la basilique est liée à un pélerinage marial qui, depuis plus d’un millénaire, a rassemblé des pélerins de plus en plus nombreux au mont Thuringe. On retrouve le résumé de son historique sur une plaque de marbre accrochée au mur de son porche : dès 1034, une chapelle existait sous le nom de Notre-Dame de Bonsecours, et appartenait aux seigneurs de Pavilly, propriétaires du Mesnil-Esnard, qui la cédèrent aux religieux du prieuré Saint-Lô de Rouen (bulle du Pape Urbain III de 1186).
En 1332, cette chapelle est remplacée par une église paroissiale détruite en 1473 par les troupes de Charles le Téméraire, duc de Bourgogne.
Elle sera ensuite reconstruite et restaurée pendant plusieurs siècles jusqu’en 1840, date de construction de la basilique actuelle par l’abbé Godefroy. A noter que, ruinée par la Révolution de 1789, elle conserve cependant sa pièce la plus importante et la plus vénérée : la statue de Notre-Dame de Bonsecours, en bois polychrome du 16° siècle.
L’abbé Godefroy, né à Falaise en 1799, sera à l’origine de la reconstruction complète de la Basilique après sa nomination à Blosville en 1838. Après de nombreux problèmes administratifs et surtout financiers , il a réussi à poser la première pierre , après avoir réuni tous les fonds nécessaires à cette construction, le 4 mars 1840, en présence de l’archevêque de Rouen, le cardinal prince de Croy. Ce sera ensuite la construction du chœur en 1842, de la nef un an plus tard avec le portail et la tour.
La bénédiction générale de tout l’édifice aura lieu en octobre 1844.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La statue de Notre-Dame de Bonsecours, en bois polychrome du 16° siècle.
La basilique comprend deux chapelles latérales : la chapelle de la Vierge, la plus riche, et la chapelle de saint Joseph
La chapelle de la Vierge, cœur de notre sanctuaire, occupe le fond de la sous-aile à droite du sanctuaire (à gauche pour les fidèles )L’autel est adossé au mur qui détermine par un plan droit la basse nef septentrionale. Il se compose d’un tombeau placé en avant du muret d’un retable pris dans celui-ci. Le tombeau est un carré porté par deux marches de marbre : quatre colonnes torses, en bronze fondu et doré, en supportent la table. Le retable est formé par une série d’arcatures soutenues par plusieurs panneaux taillés dans la pierre (décorés de quatre-feuilles peints ).
Au milieu, sur un piédestal, la statue miraculeuse de Notre-Dame de Bon-Secours est portée par un groupe d’anges qui se cachent sous son manteau. La robe et le manteau de la Vierge Marie et ceux de l’Enfant-Jésus varient selon l’ordre des fêtes, de même que leurs couronnes.
Durant le mois de mai, qui est le mois de Marie, la statue est avancée jusqu’au muret.
L’origine de la basilique est liée à un pélerinage marial qui, depuis plus d’un millénaire, a rassemblé des pélerins de plus en plus nombreux au mont Thuringe. On retrouve le résumé de son historique sur une plaque de marbre accrochée au mur de son porche : dès 1034, une chapelle existait sous le nom de Notre-Dame de Bonsecours, et appartenait aux seigneurs de Pavilly, propriétaires du Mesnil-Esnard, qui la cédèrent aux religieux du prieuré Saint-Lô de Rouen (bulle du Pape Urbain III de 1186).
En 1332, cette chapelle est remplacée par une église paroissiale détruite en 1473 par les troupes de Charles le Téméraire, duc de Bourgogne.
Elle sera ensuite reconstruite et restaurée pendant plusieurs siècles jusqu’en 1840, date de construction de la basilique actuelle par l’abbé Godefroy. A noter que, ruinée par la Révolution de 1789, elle conserve cependant sa pièce la plus importante et la plus vénérée : la statue de Notre-Dame de Bonsecours, en bois polychrome du 16° siècle.
L’abbé Godefroy, né à Falaise en 1799, sera à l’origine de la reconstruction complète de la Basilique après sa nomination à Blosville en 1838. Après de nombreux problèmes administratifs et surtout financiers , il a réussi à poser la première pierre , après avoir réuni tous les fonds nécessaires à cette construction, le 4 mars 1840, en présence de l’archevêque de Rouen, le cardinal prince de Croy. Ce sera ensuite la construction du chœur en 1842, de la nef un an plus tard avec le portail et la tour.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La basilique néo-gothique, voulue par l'abbé Victor Godefroy, a été construite sur l'emplacement de l'ancienne église, devenue vétuste et trop petite, par l'architecte Jacques-Eugène Barthélémy de 1840 à 1844. Elle fut la première église de style gothique à être construite au XIXe siècle.
La première pierre fut posée le 4 mai 1840 par le Cardinal-Prince Guillaume de Cröy, archevêque de Rouen
Il s'agissait de la construction du choeur puisque la vieille église demeurait provisoirement debout à l'emplacement de la nef actuelle. Le choeur à peine livré au culte le 15 août 1842, il fallait entreprendre la construction de la nef et pour celà, supprimer l'ancienne église. Après plusieurs résistances, l'année 1843 vit l'achèvement de la nef, l'édification du portail principal et de la tour. Au mois d'octobre 1844, l'abbé Hippolyte Join-Lambert procéda à la bénédiction générale.
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La Basilique est classée Monument Historique
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La basilique néo-gothique, voulue par l'abbé Victor Godefroy, a été construite sur l'emplacement de l'ancienne église, devenue vétuste et trop petite, par l'architecte Jacques-Eugène Barthélémy de 1840 à 1844. Elle fut la première église de style gothique à être construite au XIXe siècle.
La première pierre fut posée le 4 mai 1840 par le Cardinal-Prince Guillaume de Cröy, archevêque de Rouen
Il s'agissait de la construction du choeur puisque la vieille église demeurait provisoirement debout à l'emplacement de la nef actuelle. Le choeur à peine livré au culte le 15 août 1842, il fallait entreprendre la construction de la nef et pour celà, supprimer l'ancienne église. Après plusieurs résistances, l'année 1843 vit l'achèvement de la nef, l'édification du portail principal et de la tour. Au mois d'octobre 1844, l'abbé Hippolyte Join-Lambert procéda à la bénédiction générale.
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La Basilique est classée Monument Historique
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La chapelle Sainte-Thérèse et Sainte-Jeanne-d’Arc
La chapelle Sainte-Thérèse et Sainte-Jeanne-d’Arc se situe au fond du bas-côté sud de la Basilique (côté droit quand on regarde le chœur). Comme son nom l’indique, vous y trouverez une statue de sainte Jeanne d’Arc, et une statue de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. Vous pourrez également y admirer un magnifique Christ en Croix, ainsi que des ex-voto.
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
Le baptistére
Le baptistère est formé d’une cuve en marbre blanc, ornée des symboles “animaliers” des quatre évangélistes (l’homme pour saint Matthieu, le lion pour saint Marc, le bœuf pour saint Luc et l’aigle pour saint Jean). Les fonts sont recouverts d’un lourd couvercle de cuivre repoussé représentant six célèbres baptêmes :
Pour soulever le couvercle et le faire tourner, on utilise une potence de fer forgé.
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
Le baptistére
Le baptistère est formé d’une cuve en marbre blanc, ornée des symboles “animaliers” des quatre évangélistes (l’homme pour saint Matthieu, le lion pour saint Marc, le bœuf pour saint Luc et l’aigle pour saint Jean). Les fonts sont recouverts d’un lourd couvercle de cuivre repoussé représentant six célèbres baptêmes :
Pour soulever le couvercle et le faire tourner, on utilise une potence de fer forgé.
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La chapelle de saint Joseph
La chapelle de saint Joseph fait pendant à la chapelle de la Vierge (le fond de la sous-aile, à gauche du sanctuaire i.e. à droite pour les fidèles), moins richement ornée mais de même style.
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.