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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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La Basilique Notre Dame de Bonsecours
Sainte Jeanne D'arc
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La grille en fer forgé de la chapelle de la Vierge a été réalisée vers 1850 par le ferronnier d'art Pierre François Marie Boulanger auteur des remarquables pentures du portail central de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
La basilique possède une collection complète de vitraux de la verrerie Gsell de Choisy-le-Roi (1844) parmi lesquels le vitrail proche des fonts baptismaux, que le Frère Philippe Bransiet, supérieur général des Frères des Écoles chrétiennes, offrit pour commémorer le passage à Bonsecours de Jean-Baptiste de La Salle
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La grille en fer forgé de la chapelle de la Vierge a été réalisée vers 1850 par le ferronnier d'art Pierre François Marie Boulanger auteur des remarquables pentures du portail central de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
La basilique possède une collection complète de vitraux de la verrerie Gsell de Choisy-le-Roi (1844) parmi lesquels le vitrail proche des fonts baptismaux, que le Frère Philippe Bransiet, supérieur général des Frères des Écoles chrétiennes, offrit pour commémorer le passage à Bonsecours de Jean-Baptiste de La Salle
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La grille en fer forgé de la chapelle de la Vierge a été réalisée vers 1850 par le ferronnier d'art Pierre François Marie Boulanger auteur des remarquables pentures du portail central de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
La basilique possède une collection complète de vitraux de la verrerie Gsell de Choisy-le-Roi (1844) parmi lesquels le vitrail proche des fonts baptismaux, que le Frère Philippe Bransiet, supérieur général des Frères des Écoles chrétiennes, offrit pour commémorer le passage à Bonsecours de Jean-Baptiste de La Salle
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La grille en fer forgé de la chapelle de la Vierge a été réalisée vers 1850 par le ferronnier d'art Pierre François Marie Boulanger auteur des remarquables pentures du portail central de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
La basilique possède une collection complète de vitraux de la verrerie Gsell de Choisy-le-Roi (1844) parmi lesquels le vitrail proche des fonts baptismaux, que le Frère Philippe Bransiet, supérieur général des Frères des Écoles chrétiennes, offrit pour commémorer le passage à Bonsecours de Jean-Baptiste de La Salle
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La chaire
La chaire, sculptée par Fulconis, a été installée en 1860. Sa finesse est remarquable.
Elle fut le fruit d’une multiple collaboration : le père Martin présenta un croquis où trois femmes assises figuraient les trois vertus théologales. L’abbé Godefroy refusa “ces trois femmes qu’on voit partout” disait-il, et il réclama quelque chose de plus viril, trois apôtres par exemple. le menuisier Kreyen fournit alors un dessin et le motif devint devint quatre docteurs de l’Église : saint Irénée, saint Thomas d’Aquin, saint Bernard et saint Hilaire
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La chaire
La chaire, sculptée par Fulconis, a été installée en 1860. Sa finesse est remarquable.
Elle fut le fruit d’une multiple collaboration : le père Martin présenta un croquis où trois femmes assises figuraient les trois vertus théologales. L’abbé Godefroy refusa “ces trois femmes qu’on voit partout” disait-il, et il réclama quelque chose de plus viril, trois apôtres par exemple. le menuisier Kreyen fournit alors un dessin et le motif devint devint quatre docteurs de l’Église : saint Irénée, saint Thomas d’Aquin, saint Bernard et saint Hilaire
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
La chaireLa chaire, sculptée par Fulconis, a été installée en 1860. Sa finesse est remarquable.
Elle fut le fruit d’une multiple collaboration : le père Martin présenta un croquis où trois femmes assises figuraient les trois vertus théologales. L’abbé Godefroy refusa “ces trois femmes qu’on voit partout” disait-il, et il réclama quelque chose de plus viril, trois apôtres par exemple. le menuisier Kreyen fournit alors un dessin et le motif devint devint quatre docteurs de l’Église : saint Irénée, saint Thomas d’Aquin, saint Bernard et saint Hilaire
Le mobilier est très soigné. Le bois utilisé demeura, sauf quelques touches d'or, au naturel. C'est qu'un don généreux en nature avait été savamment préparé par le menuisier Leroy qui, après le débit, avait fait macérer les planches de chênes tout un hiver dans la mare communale. La chaire est particulièrement réussie. Elle fut, vers 1860, une oeuvre de longue haleine et le fruit d'une multiple collaboration: le menuisier Kreyenbield fournit le dessin et l'oeuvre a été réalisée par le statuaire Fulconis et l'ornementiste Lavoie. Un ensemble de 42 stalles, exécuté en 1858 par la maison Kreyenbield, de Paris. Le maître autel, oeuvre de métal ciselé, est dû au ciseau de Fulconis, père et fils. Il fut dessiné par l'architecte Barthélémy sur les conseils du père Arthur Martin. Le tabernacle fut offert par Mgr. Louis-Marie-Edmont Blanquart de Bailleul, archevêque de Rouen.
La basilique Notre Dame de Bon-secours est, comme son nom l’indique un lieu de pèlerinage marial qui date du moyen-age; elle a été construite en 1840 par Barthélemy en style néogothique (une des premières en France) mais ses splendeurs sont à l’intérieur :
Elle est entièrement peinte comme l’est encore la sainte chapelle mais comme l’étaient toutes nos cathédrales et ce décor est lumineux et surprenant.
La Basilique Notre Dame de Bonsecours
Il agrandit la boîte expressive pour ajouter 3 jeux au Récit par addition de flancs de chaque côté du sommier. Suite à cette restauration, le 7 novembre 1889, Charles-Marie Widor, alors titulaire à l'église Saint-Sulpice de Paris, donna le concert inaugural. En 1928, la Manufacture d'orgues Cavaillé-Coll Mutin A. Convers & Cie puis par la maison Beuchet-Debierre, de Nantes, en 1954 transforment l'orgue: la progression harmonique est modifiée en Plein-jeu de IV rangs, une Tierce est ajoutée au GO ainsi qu'un Plein-jeu de IV rangs au Récit. L'étendue des claviers passe à 56 notes et celle de la pédale à 30 notes par addition de compléments pneumatiques disposés là où la place le permettait. Lors de l'intervention de 1954, Jean Perroux avait procédé à la réharmonisation de plusieurs jeux. Marcel Dupré donne le récital d'inauguration. En septembre 1997, l'orgue est classé « monument historique ». En 1999-2000, l'orgue est restauré par la Manufacture Jean Renaud-Menoret. L'harmonisation est faite par la Manufacture d'orgue Lacorre et Robert. Le programme des travaux, défini par la Commission supérieure des monuments historiques, a consisté en un retour à l'orgue Cavaillé-Coll de 1889, en maintenant toutefois l'étendue des claviers à 56 notes et celle de la Pédale à 30 notes, ce qui fut réalisé en intégrant les notes supplémentaires dans les sommiers (par gravures intercalées).