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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Palais de la Bénèdictine- Fécamp

Palais de la Bénédictine

Publié à 17:27 par lusile17 Tags : france collection création dieu dessous livre fleur concours
Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

 

Vestiges de l'ancien Jubé de l'Abbaye de la Bénédictine de Fécamp

Pierres sculptées XVI° siécle .Le Jubé a été detruit en 1802.

 

Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.

 Dom Bernardo Vincelli  aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.

L'une d'elle était renommée dans toute la région .

Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.

 Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.

 Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais

Le breuvage aurait été  retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.

Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».

La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade

Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine.

Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».

La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.

Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.

 

 



Palais de la Bénédictine

Publié à 17:27 par lusile17 Tags : france collection création dieu dessous livre fleur concours
Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

 

Vestiges de l'ancien Jubé de l'Abbaye de la Bénédictine de Fécamp

Pierres sculptées XVI° siécle .Le Jubé a été detruit en 1802.

 

Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.

 Dom Bernardo Vincelli  aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.

L'une d'elle était renommée dans toute la région .

Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.

 Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.

 Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais

Le breuvage aurait été  retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.

Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».

La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade

Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine.

Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».

La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.

Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.

 

 



Palais de la Bénédictine

Publié à 17:27 par lusile17 Tags : france création dieu dessous livre fleur concours monde art livres collection
Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

Le palais Bénédictine est un édifice mêlant les styles néo-gothique et néo-renaissance, construit à la fin du XIXe siècle C'est dans cet édifice à l'architecture éclectique d'inspiration gothique-renaissance, qu'est élaborée depuis plus d'un siècle la liqueur Bénédictine.

Le monument, inauguré en 1888, vous propose de découvrir outre un palais hors du commun, une collection d'art ancien, des plantes et épices du monde entier, une distillerie et des caves,et des expositions d'art moderne. Vous pourrez visiter également le cabinet des manuscrits présentant des livres d'heures, des enluminures des XVème et XVIème siècles ainsi que des chartes de l'Abbaye de Fécamp des XIème et XIIème siècles.

Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.

 Dom Bernardo Vincelli  aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.

L'une d'elle était renommée dans toute la région .

Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.

 Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.

 Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais

Le breuvage aurait été  retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.

Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».

La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade

Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine( 1882).

Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».

La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.

Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.

 

 



Palais de la Bénédictine

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Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

Le palais Bénédictine est un édifice mêlant les styles néo-gothique et néo-renaissance, construit à la fin du XIXe siècle C'est dans cet édifice à l'architecture éclectique d'inspiration gothique-renaissance, qu'est élaborée depuis plus d'un siècle la liqueur Bénédictine.

Le monument, inauguré en 1888, vous propose de découvrir outre un palais hors du commun, une collection d'art ancien, des plantes et épices du monde entier, une distillerie et des caves,et des expositions d'art moderne. Vous pourrez visiter également le cabinet des manuscrits présentant des livres d'heures, des enluminures des XVème et XVIème siècles ainsi que des chartes de l'Abbaye de Fécamp des XIème et XIIème siècles.

Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.

 Dom Bernardo Vincelli  aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.

L'une d'elle était renommée dans toute la région .

Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.

 Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.

 Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais

Le breuvage aurait été  retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.

Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».

La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade

Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine( 1882).

Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».

La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.

Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.

 

 



Palais de la Bénédictine

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Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

Le palais Bénédictine est un édifice mêlant les styles néo-gothique et néo-renaissance, construit à la fin du XIXe siècle C'est dans cet édifice à l'architecture éclectique d'inspiration gothique-renaissance, qu'est élaborée depuis plus d'un siècle la liqueur Bénédictine.

Le monument, inauguré en 1888, vous propose de découvrir outre un palais hors du commun, une collection d'art ancien, des plantes et épices du monde entier, une distillerie et des caves,et des expositions d'art moderne. Vous pourrez visiter également le cabinet des manuscrits présentant des livres d'heures, des enluminures des XVème et XVIème siècles ainsi que des chartes de l'Abbaye de Fécamp des XIème et XIIème siècles.

Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.

 Dom Bernardo Vincelli  aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.

L'une d'elle était renommée dans toute la région .

Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.

 Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.

 Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais

Le breuvage aurait été  retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.

Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».

La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade

Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine( 1882).

Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».

La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.

Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.

 

 



Palais de la Bénédictine

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Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

Le palais Bénédictine est un édifice mêlant les styles néo-gothique et néo-renaissance, construit à la fin du XIXe siècle C'est dans cet édifice à l'architecture éclectique d'inspiration gothique-renaissance, qu'est élaborée depuis plus d'un siècle la liqueur Bénédictine.

Le monument, inauguré en 1888, vous propose de découvrir outre un palais hors du commun, une collection d'art ancien, des plantes et épices du monde entier, une distillerie et des caves,et des expositions d'art moderne. Vous pourrez visiter également le cabinet des manuscrits présentant des livres d'heures, des enluminures des XVème et XVIème siècles ainsi que des chartes de l'Abbaye de Fécamp des XIème et XIIème siècles.

Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.

 Dom Bernardo Vincelli  aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.

L'une d'elle était renommée dans toute la région .

Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.

 Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.

 Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais

Le breuvage aurait été  retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.

Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».

La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade

Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine( 1882).

Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».

La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.

Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.

 

 



Palais de la Bénédictine

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Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

Le palais Bénédictine est un édifice mêlant les styles néo-gothique et néo-renaissance, construit à la fin du XIXe siècle C'est dans cet édifice à l'architecture éclectique d'inspiration gothique-renaissance, qu'est élaborée depuis plus d'un siècle la liqueur Bénédictine.

Le monument, inauguré en 1888, vous propose de découvrir outre un palais hors du commun, une collection d'art ancien, des plantes et épices du monde entier, une distillerie et des caves,et des expositions d'art moderne. Vous pourrez visiter également le cabinet des manuscrits présentant des livres d'heures, des enluminures des XVème et XVIème siècles ainsi que des chartes de l'Abbaye de Fécamp des XIème et XIIème siècles.

Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.

 Dom Bernardo Vincelli  aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.

L'une d'elle était renommée dans toute la région .

Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.

 Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.

 Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais

Le breuvage aurait été  retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.

Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».

La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade

Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine( 1882).

Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».

La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.

Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.

 

 



Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

 

Le Palais est un mélange d'extravagance et de tradition. Il a été commandé par Alexandre-Prosper Le Grand qui était un grand passionné d'art. Il voulait créer un espace hybride mêlant l'art et l'industrie et également ancrer sa liqueur dans une tradition monastique locale.

Le Palais a été dessiné par l'architecte Camille Albert, architecte originaire des Hautes-Alpes, et qui avait compris à la fois le souhait d'Alexandre Le Grand et la tradition architecturale locale. Les travaux commencèrent en 1882, et il fut inauguré une première fois en 1888. Mais, dévasté quatre ans plus tard par un incendie, il fut alors reconstruit dans sa forme actuelle, dans une architecture mêlant style néo-gothique et style néo-renaissance, caractéristique de l'éclectisme, tendance de l'historicisme qui traverse tout le XIXe siècle, avant l'émergence de l'art nouveau auquel le style du palais fait également référence. Le fils du grand architecte Viollet-Leduc, Adolphe, journaliste, visitant l'édifice s'était montré lui-même impressionné

Le Palais est à la fois le lieu de production de la liqueur Bénédictine et un musée, sans rapport avec l'abbaye bénédictine de Fécamp. Une salle raconte l'histoire de la liqueur et une autre rassemble les quelque 600 contrefaçons dont fut victime la Bénédictine, une des liqueurs les plus copiées au monde. Les plantes sont présentées sous la verrière du Jardin des essences.

Dans la partie plus classique, le musée possède une grande collection d'art des XIVe, XVe et XVIe siècles, en partie issue des collections personnelles du fondateur Alexandre Le Grand. Il existe également une galerie d'expositions d'art contemporain ouverte au public.

La musée est composé de salles dédiées à l’art ancien et médiéval dont de nombreux éléments proviennent de l'ancienne abbaye. Elles renferment diverses collections d’émaux et d’ivoires, la bibliothèque provient en partie de l’abbatial de Fécamp, une collection de ferronneries, des peintures, pour la plupart sur bois, attribuées à des artistes français, italiens, allemands et flamands.

La pièce centrale est la salle des Abbés, dont l’intérêt principal réside dans son vitrail, représentant l’accueil du roi François Ier par les moines de Fécamp en 1534 et les statues de certains abbés qui ont marqué l'abbaye de Fécamp

 

La salle des Epices est consacrée en partie aux différentes plantes et épices rentrant dans la composition de la Bénédictine. Bien que la recette exacte de cette liqueur soit tenue secrète, on connaît les ingrédients qui la composent : 27 plantes et épices, détaillées sur un présentoir. Au-dessous de cette salle se trouvent la distillerie et les caves, où est élaborée puis conservée la Bénédictine, mais la mise en bouteille n'a plus lieu dans ces murs.

 

La dernière salle se trouve au rez-de-chaussée, l’« espace contemporain » : une grande salle d'exposition qui accueille les plus grands artistes de notre temps, à côté le bar et la véranda permettant de goûter aux produits, puis la boutique



Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

 

Le Palais est un mélange d'extravagance et de tradition. Il a été commandé par Alexandre-Prosper Le Grand qui était un grand passionné d'art. Il voulait créer un espace hybride mêlant l'art et l'industrie et également ancrer sa liqueur dans une tradition monastique locale.

Le Palais a été dessiné par l'architecte Camille Albert, architecte originaire des Hautes-Alpes, et qui avait compris à la fois le souhait d'Alexandre Le Grand et la tradition architecturale locale. Les travaux commencèrent en 1882, et il fut inauguré une première fois en 1888. Mais, dévasté quatre ans plus tard par un incendie, il fut alors reconstruit dans sa forme actuelle, dans une architecture mêlant style néo-gothique et style néo-renaissance, caractéristique de l'éclectisme, tendance de l'historicisme qui traverse tout le XIXe siècle, avant l'émergence de l'art nouveau auquel le style du palais fait également référence. Le fils du grand architecte Viollet-Leduc, Adolphe, journaliste, visitant l'édifice s'était montré lui-même impressionné

Le Palais est à la fois le lieu de production de la liqueur Bénédictine et un musée, sans rapport avec l'abbaye bénédictine de Fécamp. Une salle raconte l'histoire de la liqueur et une autre rassemble les quelque 600 contrefaçons dont fut victime la Bénédictine, une des liqueurs les plus copiées au monde. Les plantes sont présentées sous la verrière du Jardin des essences.

Dans la partie plus classique, le musée possède une grande collection d'art des XIVe, XVe et XVIe siècles, en partie issue des collections personnelles du fondateur Alexandre Le Grand. Il existe également une galerie d'expositions d'art contemporain ouverte au public.

La musée est composé de salles dédiées à l’art ancien et médiéval dont de nombreux éléments proviennent de l'ancienne abbaye. Elles renferment diverses collections d’émaux et d’ivoires, la bibliothèque provient en partie de l’abbatial de Fécamp, une collection de ferronneries, des peintures, pour la plupart sur bois, attribuées à des artistes français, italiens, allemands et flamands.

La pièce centrale est la salle des Abbés, dont l’intérêt principal réside dans son vitrail, représentant l’accueil du roi François Ier par les moines de Fécamp en 1534 et les statues de certains abbés qui ont marqué l'abbaye de Fécamp

 

La salle des Epices est consacrée en partie aux différentes plantes et épices rentrant dans la composition de la Bénédictine. Bien que la recette exacte de cette liqueur soit tenue secrète, on connaît les ingrédients qui la composent : 27 plantes et épices, détaillées sur un présentoir. Au-dessous de cette salle se trouvent la distillerie et les caves, où est élaborée puis conservée la Bénédictine, mais la mise en bouteille n'a plus lieu dans ces murs.

 

La dernière salle se trouve au rez-de-chaussée, l’« espace contemporain » : une grande salle d'exposition qui accueille les plus grands artistes de notre temps, à côté le bar et la véranda permettant de goûter aux produits, puis la boutique



Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

Palais de la Bénédictine

 

Le Palais est un mélange d'extravagance et de tradition. Il a été commandé par Alexandre-Prosper Le Grand qui était un grand passionné d'art. Il voulait créer un espace hybride mêlant l'art et l'industrie et également ancrer sa liqueur dans une tradition monastique locale.

Le Palais a été dessiné par l'architecte Camille Albert, architecte originaire des Hautes-Alpes, et qui avait compris à la fois le souhait d'Alexandre Le Grand et la tradition architecturale locale. Les travaux commencèrent en 1882, et il fut inauguré une première fois en 1888. Mais, dévasté quatre ans plus tard par un incendie, il fut alors reconstruit dans sa forme actuelle, dans une architecture mêlant style néo-gothique et style néo-renaissance, caractéristique de l'éclectisme, tendance de l'historicisme qui traverse tout le XIXe siècle, avant l'émergence de l'art nouveau auquel le style du palais fait également référence. Le fils du grand architecte Viollet-Leduc, Adolphe, journaliste, visitant l'édifice s'était montré lui-même impressionné

Le Palais est à la fois le lieu de production de la liqueur Bénédictine et un musée, sans rapport avec l'abbaye bénédictine de Fécamp. Une salle raconte l'histoire de la liqueur et une autre rassemble les quelque 600 contrefaçons dont fut victime la Bénédictine, une des liqueurs les plus copiées au monde. Les plantes sont présentées sous la verrière du Jardin des essences.

Dans la partie plus classique, le musée possède une grande collection d'art des XIVe, XVe et XVIe siècles, en partie issue des collections personnelles du fondateur Alexandre Le Grand. Il existe également une galerie d'expositions d'art contemporain ouverte au public.

La musée est composé de salles dédiées à l’art ancien et médiéval dont de nombreux éléments proviennent de l'ancienne abbaye. Elles renferment diverses collections d’émaux et d’ivoires, la bibliothèque provient en partie de l’abbatial de Fécamp, une collection de ferronneries, des peintures, pour la plupart sur bois, attribuées à des artistes français, italiens, allemands et flamands.

La pièce centrale est la salle des Abbés, dont l’intérêt principal réside dans son vitrail, représentant l’accueil du roi François Ier par les moines de Fécamp en 1534 et les statues de certains abbés qui ont marqué l'abbaye de Fécamp

 

La salle des Epices est consacrée en partie aux différentes plantes et épices rentrant dans la composition de la Bénédictine. Bien que la recette exacte de cette liqueur soit tenue secrète, on connaît les ingrédients qui la composent : 27 plantes et épices, détaillées sur un présentoir. Au-dessous de cette salle se trouvent la distillerie et les caves, où est élaborée puis conservée la Bénédictine, mais la mise en bouteille n'a plus lieu dans ces murs.

 

La dernière salle se trouve au rez-de-chaussée, l’« espace contemporain » : une grande salle d'exposition qui accueille les plus grands artistes de notre temps, à côté le bar et la véranda permettant de goûter aux produits, puis la boutique