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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Palais de la Bénédictine
Le Palais est un mélange d'extravagance et de tradition. Il a été commandé par Alexandre-Prosper Le Grand qui était un grand passionné d'art. Il voulait créer un espace hybride mêlant l'art et l'industrie et également ancrer sa liqueur dans une tradition monastique locale.
Le Palais a été dessiné par l'architecte Camille Albert, architecte originaire des Hautes-Alpes, et qui avait compris à la fois le souhait d'Alexandre Le Grand et la tradition architecturale locale. Les travaux commencèrent en 1882, et il fut inauguré une première fois en 1888. Mais, dévasté quatre ans plus tard par un incendie, il fut alors reconstruit dans sa forme actuelle, dans une architecture mêlant style néo-gothique et style néo-renaissance, caractéristique de l'éclectisme, tendance de l'historicisme qui traverse tout le XIXe siècle, avant l'émergence de l'art nouveau auquel le style du palais fait également référence. Le fils du grand architecte Viollet-Leduc, Adolphe, journaliste, visitant l'édifice s'était montré lui-même impressionné
Le Palais est à la fois le lieu de production de la liqueur Bénédictine et un musée, sans rapport avec l'abbaye bénédictine de Fécamp. Une salle raconte l'histoire de la liqueur et une autre rassemble les quelque 600 contrefaçons dont fut victime la Bénédictine, une des liqueurs les plus copiées au monde. Les plantes sont présentées sous la verrière du Jardin des essences.
Dans la partie plus classique, le musée possède une grande collection d'art des XIVe, XVe et XVIe siècles, en partie issue des collections personnelles du fondateur Alexandre Le Grand. Il existe également une galerie d'expositions d'art contemporain ouverte au public.
La musée est composé de salles dédiées à l’art ancien et médiéval dont de nombreux éléments proviennent de l'ancienne abbaye. Elles renferment diverses collections d’émaux et d’ivoires, la bibliothèque provient en partie de l’abbatial de Fécamp, une collection de ferronneries, des peintures, pour la plupart sur bois, attribuées à des artistes français, italiens, allemands et flamands.
La pièce centrale est la salle des Abbés, dont l’intérêt principal réside dans son vitrail, représentant l’accueil du roi François Ier par les moines de Fécamp en 1534 et les statues de certains abbés qui ont marqué l'abbaye de Fécamp
La salle des Epices est consacrée en partie aux différentes plantes et épices rentrant dans la composition de la Bénédictine. Bien que la recette exacte de cette liqueur soit tenue secrète, on connaît les ingrédients qui la composent : 27 plantes et épices, détaillées sur un présentoir. Au-dessous de cette salle se trouvent la distillerie et les caves, où est élaborée puis conservée la Bénédictine, mais la mise en bouteille n'a plus lieu dans ces murs.
La dernière salle se trouve au rez-de-chaussée, l’« espace contemporain » : une grande salle d'exposition qui accueille les plus grands artistes de notre temps, à côté le bar et la véranda permettant de goûter aux produits, puis la boutique
Palais de la Bénédictine
Le Palais est un mélange d'extravagance et de tradition. Il a été commandé par Alexandre-Prosper Le Grand qui était un grand passionné d'art. Il voulait créer un espace hybride mêlant l'art et l'industrie et également ancrer sa liqueur dans une tradition monastique locale.
Le Palais a été dessiné par l'architecte Camille Albert, architecte originaire des Hautes-Alpes, et qui avait compris à la fois le souhait d'Alexandre Le Grand et la tradition architecturale locale. Les travaux commencèrent en 1882, et il fut inauguré une première fois en 1888. Mais, dévasté quatre ans plus tard par un incendie, il fut alors reconstruit dans sa forme actuelle, dans une architecture mêlant style néo-gothique et style néo-renaissance, caractéristique de l'éclectisme, tendance de l'historicisme qui traverse tout le XIXe siècle, avant l'émergence de l'art nouveau auquel le style du palais fait également référence. Le fils du grand architecte Viollet-Leduc, Adolphe, journaliste, visitant l'édifice s'était montré lui-même impressionné
Le Palais est à la fois le lieu de production de la liqueur Bénédictine et un musée, sans rapport avec l'abbaye bénédictine de Fécamp. Une salle raconte l'histoire de la liqueur et une autre rassemble les quelque 600 contrefaçons dont fut victime la Bénédictine, une des liqueurs les plus copiées au monde. Les plantes sont présentées sous la verrière du Jardin des essences.
Dans la partie plus classique, le musée possède une grande collection d'art des XIVe, XVe et XVIe siècles, en partie issue des collections personnelles du fondateur Alexandre Le Grand. Il existe également une galerie d'expositions d'art contemporain ouverte au public.
La musée est composé de salles dédiées à l’art ancien et médiéval dont de nombreux éléments proviennent de l'ancienne abbaye. Elles renferment diverses collections d’émaux et d’ivoires, la bibliothèque provient en partie de l’abbatial de Fécamp, une collection de ferronneries, des peintures, pour la plupart sur bois, attribuées à des artistes français, italiens, allemands et flamands.
La pièce centrale est la salle des Abbés, dont l’intérêt principal réside dans son vitrail, représentant l’accueil du roi François Ier par les moines de Fécamp en 1534 et les statues de certains abbés qui ont marqué l'abbaye de Fécamp
La salle des Epices est consacrée en partie aux différentes plantes et épices rentrant dans la composition de la Bénédictine. Bien que la recette exacte de cette liqueur soit tenue secrète, on connaît les ingrédients qui la composent : 27 plantes et épices, détaillées sur un présentoir. Au-dessous de cette salle se trouvent la distillerie et les caves, où est élaborée puis conservée la Bénédictine, mais la mise en bouteille n'a plus lieu dans ces murs.
La dernière salle se trouve au rez-de-chaussée, l’« espace contemporain » : une grande salle d'exposition qui accueille les plus grands artistes de notre temps, à côté le bar et la véranda permettant de goûter aux produits, puis la boutique
Palais de la Bénèdictine
Salle Renaissance
La Salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement.
Palais de la Bénèdictine
Salle Renaissance
La Salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement.
Horloge Hollandaise avec cadran astronomique marquant les jours ,les mois et les différentes phases de la lune
Palais de la Bénèdictine
Salle Renaissance
La Salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement.
Cabinet à abatttant et à tiroirs peints et dorés ( fin16 éme siécle)
Palais de la Bénèdictine
Salle Renaissance
La Salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement.
Palais de la Bénèdictine
Salle Renaissance
La Salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement.
Palais de la Bénèdictine
Salle Renaissance
Collection de ferronnerie provenant des chateaux de la Loire
La Salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement.
Palais de la Bénèdictine
Salle Renaissance
Collection de ferronnerie provenant des chateaux de la Loire
La Salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement.
Palais de la Bénèdictine
Salle Renaissance
Collection de ferronnerie provenant des chateaux de la Loire
La Salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement.