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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Edouard Manet
La Chanteuse de rue(1862)
La Chanteuse de rue est un tableau réalisé par Édouard Manet en 1862. La modèle fétiche de l'artiste, Victorine Meurent, y est représenté sous les traits d'une chanteuse sortant d'un cabaret à la nuit tombée, tout en croquant quelques cerises.
La scène a été directement inspirée à Manet par une rencontre qu'il fit une nuit avec une femme répondant à la même description. Lui demandant immédiatement de poser pour lui, la jeune femme aurait refusé, et Manet se serait alors exclamé : « Si elle ne veut pas, j'ai Victorine ! ».
Repos
Dès 1852, afin de parfaire ses études de l'art, Edouard Manet décide de voyager pour aller découvrir les maîtres de la peinture dans les musées étrangers. Ainsi en Hollande, il découvre les oeuvres de Frans Hals, mais il voyage aussi en Allemagne, en Italie et en Espagne où il admire les toiles de Vélasquez et de Goya. Au Musée du Louvre qu'il fréquente assidûment, il réalise ses premières peintures en copiant des toiles de Titien, de Tintoret, Daumier, Delacroix ou Courbet. Les premières oeuvres de sa propre inspiration qu'il réalise comme "L'enfant aux Cerises" ou "L'enfant au chien" sont très marquées par l'influence des maîtres espagnols : les scènes sont tirées de la vie de tous les jours. Mais bientôt il crée des tableaux qui choquent et scandalisent mais par le fait même on le remarque
Edouard Manet
Le chemin de fer(1872-1873)
Peinture aux étranges contrastes: des couleurs exquises, une séduisante jeune femme en bleu avec son chien et un livre, une petite fille, joliment vêtue qui observe, et l'arrière-plan bruyant, enfumé et poussiéreux des locomotives et des wagons. La scène se passe juste au-dessus de la voie ferrée de la gare Saint-Lazare, proche de l'atelier de Manet. Malgré son vif désir de devenir le « peintre de la vie moderne », ses relations avec la société est compliquée et passe avant tout par l'art. Il choisit donc l'évocation détournée de la locomotive en la positionnant au second plan. La femme est Victorine Meurent, son modèle du Déjeuner sur l'herbe.
Manet répond par deux très beaux portraits d’une Victorine habillée de pied en cap. Dans La Chanteuse de rue, Manet déguise son modèle en une modeste chanteuse sortant d’un cabaret à la nuit tombée et dégustant étrangement quelques cerises. La Femme au perroquet avec son petit bouquet de violettes, quant à elle, est surtout un clin d’œil à une toile homonyme de Gustave Courbet représentant une femme nue avec un perroquet.
Plus de dix années après la grande époque des scandales, c’est sans doute pour rendre hommage à leur longue relation artistique et [amoureuse qu’Édouard Manet réalise un dernier portrait de Victorine,Le Chemin de fer, où l’ancienne femme libérée s’est métamorphosée en une dame parfaitement respectable tenant compagnie à une petite fille, devant lagare Saint-Lazare. Cette œuvre, marquée par le symbole de la grille en fer, semble tirer un trait sur le passé avec une certaine amertume, et le chat inquisiteur d’Olympialaisse place à un petit chien sagement endormi. Cependant, dès cette époque, la santé de Manet devient précaire.
EDOUARD MANET
L'Enfant aux cerises, 1859
Edouard Manetest considéré comme l’un des plus grands portraitistes du XIXe siècle. Peint en 1859, L’enfant aux cerises figure parmi ses premiers tableaux connus. À noter : les cerises qui tombent le long du muret et qui permettent de constater la notion de temps dans le tableau.
Édouard Manet
Argenteuil (1874)
Édouard Manet réalise des œuvres d’une remarquable variété, allant des portraits de son entourage (famille, amis écrivains et artistes) aux marines et aux lieux de divertissement en passant par les sujets historiques. Toutes vont influencer de façon marquée l’école impressionniste.
Un jour qu’il déambule au musée du Louvre, Manet, par l’intermédiaire de Fantin-Latour, fait la connaissance d’une jeune peintre dont le talent novateur et la beauté mélancolique semblent ne faire qu’un. D’emblée impressionné par Berthe Morisot, Manet la persuade de poser pour lui dans différents tableaux. Outre le remarquable Berthe Morisot au bouquet de violettes, encensé plus tard par Paul Valéry, c’est surtout Le Balcon qui va frapper les esprits. La toile, inspirée des Majas au balcon de Francisco Goya, a été réalisée à la même époque et dans la même intention que le Déjeuner dans l'atelier.
Édouard Manet, malade, fait une cure à Meudon Bellevue en 1880. Il séjourne au sentier des Pierres Blanches où il peindra plusieurs tableaux. Il obtient même un prix au Salon de 1881 et est décoré de la Légion d'honneur par son ami Antonin Proust devenu ministre des Arts : l'attribution est décidée malgré des oppositions fin 1881 et la cérémonie a lieu le 1er janvier 1882.
Affaibli depuis plusieurs années, il s’éteint finalement le 30 avril 1883 à l’âge de cinquante et un ans, des suites d’une ataxie locomotrice résultant elle-même d'une syphilis contractée à Rio. La maladie, outre les nombreuses souffrances et la paralysie partielle des membres qu’elle lui avait causées, a ensuite dégénéré en une gangrène qui a imposé de lui amputer le pied gauche onze jours avant sa mort. L’enterrement a eu lieu le 3 mai 1883 au cimetière de Passy, en présence notamment d’Émile Zola, d'Alfred Stevens, de Claude Monet, d'Edgar Degas et de bien d’autres de ses anciennes connaissances. D’après Antonin Proust, son camarade de toujours, on voyait dans le convoi funèbre « des couronnes, des fleurs, beaucoup de femmes ». Degas, quant à lui, aurait dit alors de Manet qu’« il était plus grand que nous ne pensions »
Manet décrié, insulté, ridiculisé est devenu le chef de file reconnu des « avant-gardistes », et si le peintre a été lié aux acteurs du courant
Le maître laisse plus de quatre cents toiles et d’innombrablespastels,esquisses etaquarelles qui constituent une œuvre picturale majeure à l'influence certaine sur les artistes de son temps comme legroupe des Batignolles et bien au delà : Manet est en effet reconnu internationalement comme l’un des plus importants précurseurs de lapeinture moderne et ses tableaux majeurs sont visibles dans les plus grands musées du monde. C'est en1907, ironie de l’histoire de la peinture, qu'Olympia « refusée » en 1863, entre, 44 ans après sa création, auMusée du Louvre (il est aujourd'hui auMusée d'Orsay). En l’an2000, l’une de ses toiles s’est vendue à plus de vingt millions de dollars.
impressionniste, il est à tort considéré aujourd’hui comme l'un de ses pères, il n'en est qu'un puissant inspirateur autant par ses morceaux de peinture que par ses thèmes de prédilection. Sa manière de peindre soucieuse du réel reste en effet foncièrement différente de celle deClaude Monet ou deCamille Pissarro. Toutefois, certaines de ses œuvres sont proches de l'impressionnisme, c'est le cas de : L'Évasion de Rochefort, Portrait de Claude Monet peignant sur son bateau-atelier à Argenteuil et Une allée dans le jardin de Rueil.
Édouard Manet
Vase de pivoines sur piédouche
Après son deuxième échec au concours du Borda, Manet refuse de s'inscrire aux Beaux-Arts, et il entre avec Antonin Proust, dans l’atelier du peintre Thomas Couture, en 1850, où il reste environ six ans. Manet perdra assez vite confiance en son maître et prend le contrepied de ses enseignements.
Thomas Couture est l’une des figures emblématiques de l’art académique de la seconde moitié du XIXe siècle, avec un attrait marqué pour le monde antique qui lui vaut un immense succès avec son chef- d'œuvre Romains de la décadence au salon de 1847. Élève de Gros et de Delaroche, Couture est alors au sommet de sa gloire et c'est Manet lui-même qui insiste auprès de ses parents pour s'inscrire dans l'atelier du maître.
Manet consacre l’essentiel de ces six années à l’apprentissage des techniques de base de la peinture et à la copie de quelques œuvres de grands maîtres exposées au musée du Louvre, notamment : l’Autoportrait du Tintoret, le Jupiter et Antiope attribué au Titien ou Hélène Fourment et ses enfants, œuvre de Rubens. Il rend également visite à Delacroix auquel il demande la permission de copier La Barque de Dante, alors exposée au musée du Luxembourg
L’indépendance d’esprit de Manet et son obstination à choisir des sujets simples déroute Couture qui pourtant, demande son opinion à son élève sur un de ses propres tableaux : Portrait de Mlle Poinsot[3]. Manet vient de terminer Le Buveur d'absinthe que Couture ne comprend pas et les deux hommes se brouillent. Manet quitte l’atelier Couture en 1856, et il emménage dans son propre local, rue Lavoisier, avec son ami, Albert de Balleroy.
C'est dans cet atelier qu'il peint, en 1859, le portrait intitulé L'Enfant aux Cerises. L'enfant était âgé de 5 ans et Manet l'avait engagé pour laver ses brosses. Il a été retrouvé pendu dans l'atelier par Manet, qui, frappé par ce suicide, s'installe dans un autre local. Cet épisode dramatique inspirera plus tard à Charles Baudelaire un poème : La Corde, qu'il dédie à Édouard Manet.
Après quelques années employées à copier de grands tableaux, c’est au Salon de 1859 que Manet se décide à dévoiler officiellement sa première œuvre, intitulée Le Buveur d'absinthe. La toile, de facture réaliste, dénote l’influence de Gustave Courbet, mais constitue surtout un hommage à celui que Manet a toujours considéré comme « le peintre des peintres », Diego Vélasquez .
Cependant, Le Buveur d'absinthe sera refusé au Salon de 1859. Le jury ne comprend pas cette œuvre qui illustre d'une certaine manière le Vin des chiffonniers de Baudelaire
Le jeune artiste bénéficie pourtant de plusieurs soutiens remarqués, avec notamment Eugène Delacroix, qui assure sa défense auprès du jury, et surtout Charles Baudelaire.
Pour la première fois dans l’histoire du Salon officiel et annuel de Paris, on permet en 1863 aux artistes refusés d’exposer leurs œuvres dans une petite salle annexe à l’exposition principale, où les visiteurs peuvent les découvrir : c’est le fameux Salon des Refusés. Édouard Manet, en y exposant trois œuvres controversées, s’impose comme une figure de l’avant-garde
Édouard Manet
Un bar aux Folies Bergère(1881-1882)
Édouard Manet naît le 23 janvier 1832 au numéro 5 de la rue Bonaparte (à l'époque rue des Petits Augustins), dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés dans une famille de la bourgeoisie parisienne. Son père Auguste, était un haut fonctionnaire au France, ministère de la Justice. Selon les biographes, il occupait le poste de chef de cabinet du garde des Sceaux ou de secrétaire général du Franceministère de la Justice. La mère d'Édouard, Mme Eugénie Désirée Manet (née Fournier) était la fille d’un diplomate affecté à Stockholm et la filleule du Maréchal Bernadotte. Bien qu’élevé dans une famille aux mœurs austères, le jeune Édouard découvre rapidement le monde artistique grâce à l’influence d’un oncle assez excentrique, le capitaine Édouard Fournier, qui fait apprécier les grands maîtres à ses neveux Édouard et son frère Eugène dans les galeries du musée du Louvre
À l’âge de douze ans, Édouard Manet est envoyé au collège Rollin (aujourd’hui le lycée Jacques-Decour), au pied de la butte Montmartre. Il a notamment pour professeur d’histoire le jeune Henri Wallon, dont l'Amendement allait plus tard constituer la pierre angulaire de la Troisième République. Les performances scolaires de Manet semblent avoir été décevantes : le jeune garçon se montre régulièrement dissipé, assez peu appliqué et fait même parfois preuve d’insolence. Son camarade Antonin Proust rapporte par exemple une altercation du futur peintre révolté avec Wallon au sujet d’un texte de Diderot sur la mode : le jeune homme se serait exclamé qu’« il faut être de son temps, faire ce que l’on voit sans s’inquiéter de la mode ». Manet agrémente à cette époque la plupart de ses cahiers de caricatures.
Manet obtient des résultats convenables au collège Rollin, bien que les études ne l'intéressent pas. Mais il refuse de s'inscrire à la faculté de droit malgré les pressions de son père, et il demande à entrer dans la marine après de pénibles débats en famille. Mais il échoue au concours du Borda, et le 9 décembre 1848 il s'embarque comme pilotin sur le bateau école « Le Havre et Guadeloupe »,à destination de Rio de Janeiro. En 1849, Manet se présente de nouveau au concours du Borda et échoue de nouveau, mais il revient avec, dans ses bagages, une multitude de dessins devant lesquels son père se rend à l'évidence : Édouard est un artiste. On lui laissera choisir sa voie
Son séjour au Brésil lui a donné un goût certain pour l’exotisme. L'influence de ce voyage est perceptible dans nombre de ses œuvres, notamment dans son Olympia considérée par Jules Claretie comme « une odalisque au ventre jaune, ignoble modèle ramassé je ne sais où (...)
Ses voyages en bateau lui ont inspiré nombre de paysages marins parmi lesquels : Le Combat du Kearsarge et de l'Alabama (1864), L'arrivée à Boulogne du Kearsarge( 1864), Le Steam-boat, marine ou Vue de mer, temps calme (1864-1865), La jetée de Boulogne (1869)
Edouard Manet
Madame Manet au piano, 1868
Madame Edouard Manet était pianiste, elle donna des leçons à la famille Manet et c’est ainsi qu’elle fut séduite par le jeune Edouard, et elle accompagna les derniers jours de Baudelaire en lui jouant des oeuvres de Wagner.
Edouard Manet
Le joueur de fifre (1866)
Le fifre est un tableau réalisé par le peintre Édouard Manet en 1866, et resté célèbre en raison de ses couleurs vives et contrastées. Le thème de la toile, de même que la posture du personnage, s'inspirent explicitement des portraits de nains et de bouffons autrefois réalisés par Diego Vélasquez. Cette œuvre fut appelée La carte à jouer.
Le refus du Joueur de fifre au Salon de Paris de 1866 sera l'occasion pour le jeune écrivain Émile Zola de publier un article retentissant dans L’Événement, dans lequel il prenait la défense du tableau. L’année suivante, Zola alla jusqu’à consacrer une étude biographique et critique très fouillée à Édouard Manet, afin de permettre la « défense et illustration » de sa peinture, qu’il qualifiait de « solide et forte » et associait – peut-être à tort – au naturalisme
Edouard Manet
Berthe Morisot à l'éventail 1872
D'un geste gracieux, Berthe déploie un éventail devant son visage et fixe le spectateur à travers ses tiges. "La femme aux éventails" de Manet représente Nina De Callias, figure clé de la vie de bohème des années 1870. Anatole France, Paul Verlaine, Stéphane Mallarné et tant d'autres étaient des habitués du salon de la célèbre pianiste. Manet la représente ainsi, éclectique dans ses vêtements hispano-algériens, avec cette expression impertinente et interrogative.