Le Mont Saint-Michel

 Dans l'escalier du Grand Degré

Pour accéder au parvis de l'église abbatiale, le visiteur doit gravir, s'il passe par la grande rue, 281 marches.

La grande Rue : Rue principale du Mont, elle tourne autour du rocher pour mener le visiteur au pied du grand degré extérieur. L'été, l'ascension de la rue se fait, entre les boutiques de marchands de souvenirs, au milieu d'une foule compacte et cosmopolite. Il devient dans ces conditions très difficile de'apprécier les constructions bordant cette rue et mieux vaut la quitter sans regrets. Alors, emprunte les venelles et autres passages désertés par les touristes avides de bimbeloteries permet de se replonger dans une époque où la beauté des choses nous fait oublier les vicissitudes de la vie actuelle.

Escalier des Remparts : La construction de l'escalier des remparts achève au XVème siècle la défense du Mont Saint Michel. En effet, il permet la communication d'une tour à l'autre. Celles-ci n'étant plus isolées, les soldats peuvent rapidement y accéder et défendre les zones où l'ennemi concentre ses forces.

Le Mont Saint-Michel

 Dans l'escalier du Grand Degré

 Escalier de dentelle : L'unique passage pour accéder au clocher est cet escalier dit de dentelle du fait des sculptures de sa rampe de granit. Il est aménagé sur un arc boutant, ce qui explique sa faible largeur. Les personnes sujettes au vertige, ou ne désirant suivre la visite conférence, peuvent regarder l'escalier de la tour Boucle d'où il est parfaitement visible.

Tour des Corbins : Située à l'angle sud-est de la mervelle, la tour des Corbins, de forme octogonale, renferme un escalier faisant communiquer entre elles la salle de l'aumônerie, réservée aux pauvres, la salle des Hôtes, réservée aux seigneurs et autres hôtes de marque, enfin le réfectoire réservé aux religieux.

Le Mont Saint-Michel

 L'eglise paroissiale Saint Pierre 

Statue de sainte Jeanne d'Arc, à l'entrée de l'église

 L’église paroissiale Saint-Pierre a toujours été l’église paroissiale des habitants du Mont. En cela, elle s’est toujours distinguée de l’abbaye. 

 L’église a gardé quelques vestiges du XIe siècle, dans ses piliers, mais dune manière générale, elle appartient aux XVe et XVIe siècles. Sa nef ne possède qu’un seul bas-côté, ce qui décentre son chœur vers la gauche. Munie dun petit clocher, elle est riche de beaux objets cultuels : un vitrail du XVe siècle, un gisant médiéval décapité, un autel et son retable à colonnes daté de 1660, des fonts baptismaux primitifs du XIIIe siècle; une Vierge à l’Enfant et une Éducation de la Vierge (Sainte Anne enseignant à Marie) des XVe ‑ XVIe siècles. Enfin, une copie de la statue de saint Michel.

L’église Saint-Pierre, qui est encore entourée de son cimetière, est inscrite depuis 1909 à linventaire supplémentaire des monuments historiques .Église Saint-Pierre Bâtie dans son état actuel au XV° et XVI° siècle, elle remonte au premier temps du christianisme sur le Mont.

Le Mont Saint-Michel

Le Mont Saint-Michel : c’est aussi un village…

Trois millions de personnes viennent chaque année visiter la « merveille de l’Occident ». Sur le Mont, la plupart se contente de suivre la Grande Rue, artère principale du village jalonnée de musées, magasins de souvenirs, restaurants, hôtels... Mais le Mont Saint- Michel ne se réduit pas à cela :

 C’est une commune avec sa mairie au-dessus de la porte du Roi.

 Le bureau de poste est installé depuis 1935 à l’emplacement de l’hôtel Saint-Michel (abattu en 1906). C’est là que la mère Poulard a fait cuire ses premières omelettes avant de s’installer dans l’auberge actuelle.

 Les maisons n’ont pas de numéro. Elles portent des noms anciens (« La queue du renard », « La truie qui file »...).

 L’office de tourisme est en lieu et place du corps de garde des Bourgeois, où les habitants de la paroisse venaient faire le gué et assurer la surveillance du Mont.

 L’église Saint-Pierre enjambe la ruelle qui se trouve sous son autel. Petite et modeste, elle conserve quelques objets d’art religieux. Elle abrite aussi des réalisations issues des ateliers de sculpture sur bois à l’heure où l’abbaye était une prison.

 L’école, ouverte jusque dans les années 1970. On peut toujours y voir le préau.

- Les visiteurs affluent chaque jour au Mont : de 2 347 en janvier à 17 388 en août (moyenne quotidienne). Au total, ils sont 3 millions sur l’année dont un tiers visite l’Abbaye. Ils restent 3h10 en moyenne et 75 % sont français;

- L’INSEE recense 39 habitants sur la commune du Mont (2011). A l’année, les « Montois » sont moins d’une vingtaine : 5 ou 6 moines, 7 ou 8 moniales, le curé, un moine retraité, l’administrateur de l’abbaye, une commerçante à la retraite...

- Depuis 1920, l’eau courante circule sur le Mont. Elle passe sous la digue. Par le passé, chacun devait se rendre aux citernes de l’Abbaye où il avait droit à un seau d’eau par jour.

- Pas de voiture dans les petites ruelles escarpées du Mont, c’est un fenwick qui livre les restaurants et boutiques

Le Mont Saint-Michel

 Le Mont Saint-Michel : c’est aussi un village…

Trois millions de personnes viennent chaque année visiter la « merveille de l’Occident ». Sur le Mont, la plupart se contente de suivre la Grande Rue, artère principale du village jalonnée de musées, magasins de souvenirs, restaurants, hôtels... Mais le Mont Saint- Michel ne se réduit pas à cela :

 C’est une commune avec sa mairie au-dessus de la porte du Roi.

 Le bureau de poste est installé depuis 1935 à l’emplacement de l’hôtel Saint-Michel (abattu en 1906). C’est là que la mère Poulard a fait cuire ses premières omelettes avant de s’installer dans l’auberge actuelle.

 Les maisons n’ont pas de numéro. Elles portent des noms anciens (« La queue du renard », « La truie qui file »...).

 L’office de tourisme est en lieu et place du corps de garde des Bourgeois, où les habitants de la paroisse venaient faire le gué et assurer la surveillance du Mont.

 L’église Saint-Pierre enjambe la ruelle qui se trouve sous son autel. Petite et modeste, elle conserve quelques objets d’art religieux. Elle abrite aussi des réalisations issues des ateliers de sculpture sur bois à l’heure où l’abbaye était une prison.

 L’école, ouverte jusque dans les années 1970. On peut toujours y voir le préau.

- Les visiteurs affluent chaque jour au Mont : de 2 347 en janvier à 17 388 en août (moyenne quotidienne). Au total, ils sont 3 millions sur l’année dont un tiers visite l’Abbaye. Ils restent 3h10 en moyenne et 75 % sont français;

- L’INSEE recense 39 habitants sur la commune du Mont (2011). A l’année, les « Montois » sont moins d’une vingtaine : 5 ou 6 moines, 7 ou 8 moniales, le curé, un moine retraité, l’administrateur de l’abbaye, une commerçante à la retraite...

- Depuis 1920, l’eau courante circule sur le Mont. Elle passe sous la digue. Par le passé, chacun devait se rendre aux citernes de l’Abbaye où il avait droit à un seau d’eau par jour.

- Pas de voiture dans les petites ruelles escarpées du Mont, c’est un fenwick qui livre les restaurants et boutiques

Le Mont Saint-Michel

 Le Mont Saint-Michel : c’est aussi un village…

Trois millions de personnes viennent chaque année visiter la « merveille de l’Occident ». Sur le Mont, la plupart se contente de suivre la Grande Rue, artère principale du village jalonnée de musées, magasins de souvenirs, restaurants, hôtels... Mais le Mont Saint- Michel ne se réduit pas à cela :

 C’est une commune avec sa mairie au-dessus de la porte du Roi.

 Le bureau de poste est installé depuis 1935 à l’emplacement de l’hôtel Saint-Michel (abattu en 1906). C’est là que la mère Poulard a fait cuire ses premières omelettes avant de s’installer dans l’auberge actuelle.

 Les maisons n’ont pas de numéro. Elles portent des noms anciens (« La queue du renard », « La truie qui file »...).

 L’office de tourisme est en lieu et place du corps de garde des Bourgeois, où les habitants de la paroisse venaient faire le gué et assurer la surveillance du Mont.

 L’église Saint-Pierre enjambe la ruelle qui se trouve sous son autel. Petite et modeste, elle conserve quelques objets d’art religieux. Elle abrite aussi des réalisations issues des ateliers de sculpture sur bois à l’heure où l’abbaye était une prison.

 L’école, ouverte jusque dans les années 1970. On peut toujours y voir le préau.

- Les visiteurs affluent chaque jour au Mont : de 2 347 en janvier à 17 388 en août (moyenne quotidienne). Au total, ils sont 3 millions sur l’année dont un tiers visite l’Abbaye. Ils restent 3h10 en moyenne et 75 % sont français;

- L’INSEE recense 39 habitants sur la commune du Mont (2011). A l’année, les « Montois » sont moins d’une vingtaine : 5 ou 6 moines, 7 ou 8 moniales, le curé, un moine retraité, l’administrateur de l’abbaye, une commerçante à la retraite...

- Depuis 1920, l’eau courante circule sur le Mont. Elle passe sous la digue. Par le passé, chacun devait se rendre aux citernes de l’Abbaye où il avait droit à un seau d’eau par jour.

- Pas de voiture dans les petites ruelles escarpées du Mont, c’est un fenwick qui livre les restaurants et boutiques

Le Mont Saint-Michel

 Le Mont Saint-Michel : c’est aussi un village…

Trois millions de personnes viennent chaque année visiter la « merveille de l’Occident ». Sur le Mont, la plupart se contente de suivre la Grande Rue, artère principale du village jalonnée de musées, magasins de souvenirs, restaurants, hôtels... Mais le Mont Saint- Michel ne se réduit pas à cela :

 C’est une commune avec sa mairie au-dessus de la porte du Roi.

 Le bureau de poste est installé depuis 1935 à l’emplacement de l’hôtel Saint-Michel (abattu en 1906). C’est là que la mère Poulard a fait cuire ses premières omelettes avant de s’installer dans l’auberge actuelle.

 Les maisons n’ont pas de numéro. Elles portent des noms anciens (« La queue du renard », « La truie qui file »...).

 L’office de tourisme est en lieu et place du corps de garde des Bourgeois, où les habitants de la paroisse venaient faire le gué et assurer la surveillance du Mont.

 L’église Saint-Pierre enjambe la ruelle qui se trouve sous son autel. Petite et modeste, elle conserve quelques objets d’art religieux. Elle abrite aussi des réalisations issues des ateliers de sculpture sur bois à l’heure où l’abbaye était une prison.

 L’école, ouverte jusque dans les années 1970. On peut toujours y voir le préau.

- Les visiteurs affluent chaque jour au Mont : de 2 347 en janvier à 17 388 en août (moyenne quotidienne). Au total, ils sont 3 millions sur l’année dont un tiers visite l’Abbaye. Ils restent 3h10 en moyenne et 75 % sont français;

- L’INSEE recense 39 habitants sur la commune du Mont (2011). A l’année, les « Montois » sont moins d’une vingtaine : 5 ou 6 moines, 7 ou 8 moniales, le curé, un moine retraité, l’administrateur de l’abbaye, une commerçante à la retraite...

- Depuis 1920, l’eau courante circule sur le Mont. Elle passe sous la digue. Par le passé, chacun devait se rendre aux citernes de l’Abbaye où il avait droit à un seau d’eau par jour.

- Pas de voiture dans les petites ruelles escarpées du Mont, c’est un fenwick qui livre les restaurants et boutiques

Le Mont Saint-Michel

 Le Mont Saint-Michel : c’est aussi un village…

Trois millions de personnes viennent chaque année visiter la « merveille de l’Occident ». Sur le Mont, la plupart se contente de suivre la Grande Rue, artère principale du village jalonnée de musées, magasins de souvenirs, restaurants, hôtels... Mais le Mont Saint- Michel ne se réduit pas à cela :

 C’est une commune avec sa mairie au-dessus de la porte du Roi.

 Le bureau de poste est installé depuis 1935 à l’emplacement de l’hôtel Saint-Michel (abattu en 1906). C’est là que la mère Poulard a fait cuire ses premières omelettes avant de s’installer dans l’auberge actuelle.

 Les maisons n’ont pas de numéro. Elles portent des noms anciens (« La queue du renard », « La truie qui file »...).

 L’office de tourisme est en lieu et place du corps de garde des Bourgeois, où les habitants de la paroisse venaient faire le gué et assurer la surveillance du Mont.

 L’église Saint-Pierre enjambe la ruelle qui se trouve sous son autel. Petite et modeste, elle conserve quelques objets d’art religieux. Elle abrite aussi des réalisations issues des ateliers de sculpture sur bois à l’heure où l’abbaye était une prison.

 L’école, ouverte jusque dans les années 1970. On peut toujours y voir le préau.

- Les visiteurs affluent chaque jour au Mont : de 2 347 en janvier à 17 388 en août (moyenne quotidienne). Au total, ils sont 3 millions sur l’année dont un tiers visite l’Abbaye. Ils restent 3h10 en moyenne et 75 % sont français;

- L’INSEE recense 39 habitants sur la commune du Mont (2011). A l’année, les « Montois » sont moins d’une vingtaine : 5 ou 6 moines, 7 ou 8 moniales, le curé, un moine retraité, l’administrateur de l’abbaye, une commerçante à la retraite...

- Depuis 1920, l’eau courante circule sur le Mont. Elle passe sous la digue. Par le passé, chacun devait se rendre aux citernes de l’Abbaye où il avait droit à un seau d’eau par jour.

- Pas de voiture dans les petites ruelles escarpées du Mont, c’est un fenwick qui livre les restaurants et boutiques

Le Mont Saint-Michel

 Le village du Mont-Saint-Michel : la grande rue

La maison des Artichauts

La maison enjambant la grande rue est l'annexe d'un hôtel . Elle s'appelle la maison de l'artichaut car elle est entièrement recouverte de bois de châtaignier, ce qui rappelle vaguement la disposition des feuilles d'un artichaut.

 Au XVIème siècle, l'agrandissement en surface au sol des habitations devint difficile principalement aux abords de la grande rue. A cette époque, les propriétaires de "La Lycorne" afin d'augmenter la surface locative de leur hôtellerie, construisirent un petit bâtiment en bois jeté transversalement au dessus de la rue.

Le Mont Saint-Michel

 Le village du Mont-Saint-Michel

La grande rue