Le Mont Saint-Michel

 Le village du Mont-Saint-Michel

Logis du Roi

 Passé le seuil de la porte du Roi qui date de 1435 , le visiteur se trouve sous un passage voûté servant de corps de garde. Au dessus de ce passage se situe le logis du roi : c'est dans ces pièces qu'est aujourd'hui aménagée la Mairie du Mont

La porte Notre-Dame

 La quatrième est ultime porte de protection de la ville donne directement sur la grande rue. Au dessus de cette porte, dans une niche, une statue de la Vierge rappelle qui Louis D'Estouteville mit la ville sus la protection de Marie.

Le Mont Saint-Michel

 Le village du Mont-Saint-Michel

Pont-levis entrée au village

Le Mont Saint-Michel

De l’eau pour la soif

La vasque en forme de coquille Saint-Jacques située à l’entrée du Mont-Saint-Michel avec, au dessus, l’indication « Lavage de pieds interdit ».

Le  Mont Saint Michel

La Merveille et ses trois étages,vue de la terrasse du Saut -Gaultier

L’abbaye gothique, communément appelée la Merveille, est construite au nord de l’église abbatiale au début du XIIIe siècle. Elle est constituée de deux corps de bâtiments accolés l’un à l’autre. Toujours à cause des contraintes topographiques liées au Mont, cet ensemble est édifié sur trois niveaux, avec des salles de plus en plus belles, légères et abouties au fur et à mesure de l’ascension. Le premier niveau comprend l’Aumônerie, le Cellier. À l’étage supérieur se trouvent la salle des hôtes, la salle des chevaliers. Enfin, le dernier niveau est composé du réfectoire et du cloître, magnifique jardin suspendu avec délicatesse entre le ciel et la mer. À l’extérieur, cet ensemble à flanc de rocher est soutenu par de puissants contreforts situés au nord

Le  Mont Saint Michel

La Merveille et ses trois étages,vue de la terrasse du Saut -Gaultier

L’abbaye gothique, communément appelée la Merveille, est construite au nord de l’église abbatiale au début du XIIIe siècle. Elle est constituée de deux corps de bâtiments accolés l’un à l’autre. Toujours à cause des contraintes topographiques liées au Mont, cet ensemble est édifié sur trois niveaux, avec des salles de plus en plus belles, légères et abouties au fur et à mesure de l’ascension. Le premier niveau comprend l’Aumônerie, le Cellier. À l’étage supérieur se trouvent la salle des hôtes, la salle des chevaliers. Enfin, le dernier niveau est composé du réfectoire et du cloître, magnifique jardin suspendu avec délicatesse entre le ciel et la mer. À l’extérieur, cet ensemble à flanc de rocher est soutenu par de puissants contreforts situés au nord

Le Mont Saint Michel

Le cloître

Le cloître de l'abbaye du Mont Saint Michel, commencé par Thomas des Chambres et terminé en 1228, par Raoul de Villedieu et une oeuvre d'art unique au monde dans son genre, par l'intérêt de sa structure et sa décoration. 

Ce qui ressort tout d'abord de l'examen du plan, c'est le désir de donner au cloître la plus grande étendue possible, surtout en largeur. On remarque dans la galerie Sud, les deux travées d'arcatures géminées qui contiennent le lavatorium où les moines procédaient à la cérémonie du lavement de pieds. Dans cette même galerie, des soupiraux donnent de la lumière aux salles inférieures. La galerie Nord et percée de de petites baies donnant vue sur la mer dans la direction de Tombelaine. Du côté Ouest, trois belles ouvertures étaient destinées à mettre en communication le cloître avec une salle du Chapitre qui ne fut jamais construite et à l'angle Nord-Ouest, une porte donne sur le Chartrier (lieux ou était conservé les documents administratifs de l'abbaye). Enfin à l'Est s'ouvre une porte donnant accès au réfectoire.
Le génie des concepteurs du cloître tient dans la disposition des colonettes placées en quinconce et formant ainsi une suite de trépieds soutenant ainsi plus aisément le poid de la voute. Ces colonnettes, en granitelle, ont été restituées à la fin du XIXème siècle par l'architecte Edouard Corroyer.
La pierre de Caen des arcades (écoinçons) à permis la réalisation d'un riche décor sculpté aux feuillages décoratif pour la plupart mais en face des portes des salles environnant le cloître, suivant la coutume monastique, un crucifix est figuré. Il existes d'autres écoinçons remarquables comme, les armes de l'archevéché de Rouen tenue par un agneau une scéne de vendange, ou la première représentation connue de Saint François d'Assise . Sur la frise au dessus des écoinçons, les sculpteurs cloître ont laissé leurs visages . Le cloître était entièrement décoré de peinture qui à hélas aujourd'hui disparue, les quelques traces de peintures visiblent aujourd'hui sont celle d'une sommaire réfection effectuée au XVIIème siècle.

Le Mont Saint Michel

Le cloître

Le cloître de l'abbaye du Mont Saint Michel, commencé par Thomas des Chambres et terminé en 1228, par Raoul de Villedieu et une oeuvre d'art unique au monde dans son genre, par l'intérêt de sa structure et sa décoration. 

Ce qui ressort tout d'abord de l'examen du plan, c'est le désir de donner au cloître la plus grande étendue possible, surtout en largeur. On remarque dans la galerie Sud, les deux travées d'arcatures géminées qui contiennent le lavatorium où les moines procédaient à la cérémonie du lavement de pieds. Dans cette même galerie, des soupiraux donnent de la lumière aux salles inférieures. La galerie Nord et percée de de petites baies donnant vue sur la mer dans la direction de Tombelaine. Du côté Ouest, trois belles ouvertures étaient destinées à mettre en communication le cloître avec une salle du Chapitre qui ne fut jamais construite et à l'angle Nord-Ouest, une porte donne sur le Chartrier (lieux ou était conservé les documents administratifs de l'abbaye). Enfin à l'Est s'ouvre une porte donnant accès au réfectoire.
Le génie des concepteurs du cloître tient dans la disposition des colonettes placées en quinconce et formant ainsi une suite de trépieds soutenant ainsi plus aisément le poid de la voute. Ces colonnettes, en granitelle, ont été restituées à la fin du XIXème siècle par l'architecte Edouard Corroyer.
La pierre de Caen des arcades (écoinçons) à permis la réalisation d'un riche décor sculpté aux feuillages décoratif pour la plupart mais en face des portes des salles environnant le cloître, suivant la coutume monastique, un crucifix est figuré. Il existes d'autres écoinçons remarquables comme, les armes de l'archevéché de Rouen tenue par un agneau une scéne de vendange, ou la première représentation connue de Saint François d'Assise . Sur la frise au dessus des écoinçons, les sculpteurs cloître ont laissé leurs visages . Le cloître était entièrement décoré de peinture qui à hélas aujourd'hui disparue, les quelques traces de peintures visiblent aujourd'hui sont celle d'une sommaire réfection effectuée au XVIIème siècle.

Le Mont Saint Michel

Le cloître

Le cloître de l'abbaye du Mont Saint Michel, commencé par Thomas des Chambres et terminé en 1228, par Raoul de Villedieu et une oeuvre d'art unique au monde dans son genre, par l'intérêt de sa structure et sa décoration. 

Ce qui ressort tout d'abord de l'examen du plan, c'est le désir de donner au cloître la plus grande étendue possible, surtout en largeur. On remarque dans la galerie Sud, les deux travées d'arcatures géminées qui contiennent le lavatorium où les moines procédaient à la cérémonie du lavement de pieds. Dans cette même galerie, des soupiraux donnent de la lumière aux salles inférieures. La galerie Nord et percée de de petites baies donnant vue sur la mer dans la direction de Tombelaine. Du côté Ouest, trois belles ouvertures étaient destinées à mettre en communication le cloître avec une salle du Chapitre qui ne fut jamais construite et à l'angle Nord-Ouest, une porte donne sur le Chartrier (lieux ou était conservé les documents administratifs de l'abbaye). Enfin à l'Est s'ouvre une porte donnant accès au réfectoire.
Le génie des concepteurs du cloître tient dans la disposition des colonettes placées en quinconce et formant ainsi une suite de trépieds soutenant ainsi plus aisément le poid de la voute. Ces colonnettes, en granitelle, ont été restituées à la fin du XIXème siècle par l'architecte Edouard Corroyer.
La pierre de Caen des arcades (écoinçons) à permis la réalisation d'un riche décor sculpté aux feuillages décoratif pour la plupart mais en face des portes des salles environnant le cloître, suivant la coutume monastique, un crucifix est figuré. Il existes d'autres écoinçons remarquables comme, les armes de l'archevéché de Rouen tenue par un agneau une scéne de vendange, ou la première représentation connue de Saint François d'Assise . Sur la frise au dessus des écoinçons, les sculpteurs cloître ont laissé leurs visages . Le cloître était entièrement décoré de peinture qui à hélas aujourd'hui disparue, les quelques traces de peintures visiblent aujourd'hui sont celle d'une sommaire réfection effectuée au XVIIème siècle.

Le Mont Saint Michel

Le cloître

Le cloître de l'abbaye du Mont Saint Michel, commencé par Thomas des Chambres et terminé en 1228, par Raoul de Villedieu et une oeuvre d'art unique au monde dans son genre, par l'intérêt de sa structure et sa décoration. 

Ce qui ressort tout d'abord de l'examen du plan, c'est le désir de donner au cloître la plus grande étendue possible, surtout en largeur. On remarque dans la galerie Sud, les deux travées d'arcatures géminées qui contiennent le lavatorium où les moines procédaient à la cérémonie du lavement de pieds. Dans cette même galerie, des soupiraux donnent de la lumière aux salles inférieures. La galerie Nord et percée de de petites baies donnant vue sur la mer dans la direction de Tombelaine. Du côté Ouest, trois belles ouvertures étaient destinées à mettre en communication le cloître avec une salle du Chapitre qui ne fut jamais construite et à l'angle Nord-Ouest, une porte donne sur le Chartrier (lieux ou était conservé les documents administratifs de l'abbaye). Enfin à l'Est s'ouvre une porte donnant accès au réfectoire.
Le génie des concepteurs du cloître tient dans la disposition des colonettes placées en quinconce et formant ainsi une suite de trépieds soutenant ainsi plus aisément le poid de la voute. Ces colonnettes, en granitelle, ont été restituées à la fin du XIXème siècle par l'architecte Edouard Corroyer.
La pierre de Caen des arcades (écoinçons) à permis la réalisation d'un riche décor sculpté aux feuillages décoratif pour la plupart mais en face des portes des salles environnant le cloître, suivant la coutume monastique, un crucifix est figuré. Il existes d'autres écoinçons remarquables comme, les armes de l'archevéché de Rouen tenue par un agneau une scéne de vendange, ou la première représentation connue de Saint François d'Assise . Sur la frise au dessus des écoinçons, les sculpteurs cloître ont laissé leurs visages . Le cloître était entièrement décoré de peinture qui à hélas aujourd'hui disparue, les quelques traces de peintures visiblent aujourd'hui sont celle d'une sommaire réfection effectuée au XVIIème siècle.

Le Mont Saint Michel

Le cloître

Le cloître de l'abbaye du Mont Saint Michel, commencé par Thomas des Chambres et terminé en 1228, par Raoul de Villedieu et une oeuvre d'art unique au monde dans son genre, par l'intérêt de sa structure et sa décoration. 

Ce qui ressort tout d'abord de l'examen du plan, c'est le désir de donner au cloître la plus grande étendue possible, surtout en largeur. On remarque dans la galerie Sud, les deux travées d'arcatures géminées qui contiennent le lavatorium où les moines procédaient à la cérémonie du lavement de pieds. Dans cette même galerie, des soupiraux donnent de la lumière aux salles inférieures. La galerie Nord et percée de de petites baies donnant vue sur la mer dans la direction de Tombelaine. Du côté Ouest, trois belles ouvertures étaient destinées à mettre en communication le cloître avec une salle du Chapitre qui ne fut jamais construite et à l'angle Nord-Ouest, une porte donne sur le Chartrier (lieux ou était conservé les documents administratifs de l'abbaye). Enfin à l'Est s'ouvre une porte donnant accès au réfectoire.
Le génie des concepteurs du cloître tient dans la disposition des colonettes placées en quinconce et formant ainsi une suite de trépieds soutenant ainsi plus aisément le poid de la voute. Ces colonnettes, en granitelle, ont été restituées à la fin du XIXème siècle par l'architecte Edouard Corroyer.
La pierre de Caen des arcades (écoinçons) à permis la réalisation d'un riche décor sculpté aux feuillages décoratif pour la plupart mais en face des portes des salles environnant le cloître, suivant la coutume monastique, un crucifix est figuré. Il existes d'autres écoinçons remarquables comme, les armes de l'archevéché de Rouen tenue par un agneau une scéne de vendange, ou la première représentation connue de Saint François d'Assise . Sur la frise au dessus des écoinçons, les sculpteurs cloître ont laissé leurs visages . Le cloître était entièrement décoré de peinture qui à hélas aujourd'hui disparue, les quelques traces de peintures visiblent aujourd'hui sont celle d'une sommaire réfection effectuée au XVIIème siècle.