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BISOUS &
très beau blog. magnifiques images. bisous
bon samedi.
Par Anonyme, le 24.07.2021
bonne fête de l'ascension et du ramadan
Par Anonyme, le 13.05.2021
j'adore
Par Anonyme, le 05.04.2021
très bonne application
Par Anonyme, le 05.04.2021
*mamieeeeeeeee eeeeeeeeeeeeee eeeeeeeeeeeeee eeeeeeeeeeeeee eee*
ta visite m'a fait super plaisir
je te re s
Par *coxi*, le 04.01.2021
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BONJOUR §
Date de création : 29.05.2008
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08.01.2020
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Le 1er Mai, très bientôt.
Ces créations ci-dessous, sont Cadeaux pour vous.
Prenez ce qui vous plait.
** M U S I Q U E E T D A N S E **
Si ma créa vous plait, servez-vous §
C'est KDO &
RAIGN - Don't Let Me Go - @iamRAIGN
Frederic Francois - Je t'aime a l'italienne.avi
Le mois de Mai § Le mois de Marie.
http://saintpothin.fr/Prier-le-chapelet-au-cours-du-moi
************************************
Le mois de mai commence par la fête de Saint Joseph
et se termine par la fête de la Visitation.
Au coeur de cette rencontre Elisabeth s’exclame :
"Comment ai-je ce bonheur que la mère de mon Seigneur vienne jusuqu’à moi ...
Tu es bénie entre toutes les femmes ...
C’est pourquoi nous aimons plus particulièrement nous tourner
vers celle qui est notre Mère au cours de ce mois ...
Prière à Notre-Dame de la paix
Maintenant et à l’heure de notre mort Sainte Marie,
Mère de Dieu, Prie pour nous tous,
maintenant qu’ils sont morts
Les miens et ceux des autres,
Ceux qui furent aimés
Et ceux qu’on a tués
Ceux qui avaient du bien
Et ceux qui n’avaient rien
Ceux qui n’ont pas souffert
Et ceux qui ont crié
Ceux qui étaient trop jeunes
Et ceux qui étaient las
Ceux qui ont vécu droit
Et ceux qui ont fauté
Ceux qui laissent un nom
Et ceux que l’on oubliera
Ceux qui ont fait du bien
Ceux qui ont fait du tort
Ceux pour lesquels on prie
Et ceux que l’on oublie
Ceux que je peux nommer
Et ceux que tu connais Vierge Marie, vois tes fils ;
A partir de cette heure-là
Qu’ils soient auprès de Dieu
Avec toi, Amen.
Cest le mois de Marie-2.WMV
Troisième dimanche de Pâques
Année A
Livre des Actes des Apôtres 2,14.22b-33.
Le jour de la Pentecôte, Pierre, debout avec les onze autres Apôtres, éleva la voix et leur fit cette déclaration : « Vous, Juifs, et vous tous qui résidez à Jérusalem, sachez bien ceci, prêtez l’oreille à mes paroles.
Il s’agit de Jésus le Nazaréen, homme que Dieu a accrédité auprès de vous en accomplissant par lui des miracles, des prodiges et des signes au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes.
Cet homme, livré selon le dessein bien arrêté et la prescience de Dieu, vous l’avez supprimé en le clouant sur le bois par la main des impies.
Mais Dieu l’a ressuscité en le délivrant des douleurs de la mort, car il n’était pas possible qu’elle le retienne en son pouvoir.
En effet, c’est de lui que parle David dans le psaume : ‘Je voyais le Seigneur devant moi sans relâche : il est à ma droite, je suis inébranlable. C’est pourquoi mon cœur est en fête, et ma langue exulte de joie ; ma chair elle-même reposera dans l’espérance : tu ne peux m’abandonner au séjour des morts ni laisser ton fidèle voir la corruption. Tu m’as appris des chemins de vie, tu me rempliras d’allégresse par ta présence.’
Frères, il est permis de vous dire avec assurance, au sujet du patriarche David, qu’il est mort, qu’il a été enseveli, et que son tombeau est encore aujourd’hui chez nous.
Comme il était prophète, il savait que Dieu lui avait juré de faire asseoir sur son trône un homme issu de lui. Il a vu d’avance la résurrection du Christ, dont il a parlé ainsi : ‘Il n’a pas été abandonné à la mort, et sa chair n’a pas vu la corruption.’
Ce Jésus, Dieu l’a ressuscité ; nous tous, nous en sommes témoins. Élevé par la droite de Dieu, il a reçu du Père l’Esprit Saint qui était promis, et il l’a répandu sur nous, ainsi que vous le voyez et l’entendez. »
Psaume 16(15),1-2a.5.7-8.9-10.11.
Garde-moi, mon Dieu : j'ai fait de toi mon refuge.
J'ai dit au Seigneur : « Tu es mon Dieu !
Seigneur, mon partage et ma coupe :
de toi dépend mon sort. »
Je bénis le Seigneur qui me conseille :
même la nuit mon cœur m'avertit.
Je garde le Seigneur devant moi sans relâche ;
il est à ma droite :
je suis inébranlable.
Mon cœur exulte, mon âme est en fête,
ma chair elle-même repose en confiance :
tu ne peux m'abandonner à la mort
ni laisser ton ami voir la corruption.
Tu m'apprends le chemin de la vie :
devant ta face, débordement de joie !
À ta droite, éternité de délices !
Première lettre de saint Pierre Apôtre 1,17-21.
Si vous invoquez comme Père celui qui juge impartialement chacun selon son œuvre, vivez donc dans la crainte de Dieu, pendant le temps où vous résidez ici-bas en étrangers.
Vous le savez : ce n’est pas par des biens corruptibles, l’argent ou l’or, que vous avez été rachetés de la conduite superficielle héritée de vos pères ; mais c’est par un sang précieux, celui d’un agneau sans défaut et sans tache, le Christ.
Dès avant la fondation du monde, Dieu l’avait désigné d’avance et il l’a manifesté à la fin des temps à cause de vous. C’est bien par lui que vous croyez en Dieu, qui l’a ressuscité d’entre les morts et qui lui a donné la gloire ; ainsi vous mettez votre foi et votre espérance en Dieu.
Evangile du jour
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 24,13-35.
Le même jour (c’est-à-dire le premier jour de la semaine), deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem, et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé. Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient, Jésus lui-même s’approcha, et il marchait avec eux.
Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître. Jésus leur dit : « De quoi discutez-vous en marchant ? »
Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes. L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit : « Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem qui ignore les événements de ces jours-ci. » Il leur dit : « Quels événements ? »
Ils lui répondirent : « Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth, cet homme qui était un prophète puissant par ses actes et ses paroles devant Dieu et devant tout le peuple : comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré, ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié. Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël.
Mais avec tout cela, voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé. À vrai dire, des femmes de notre groupe nous ont remplis de stupeur.
Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau, elles n’ont pas trouvé son corps ; elles sont venues nous dire qu’elles avaient même eu une vision : des anges, qui disaient qu’il est vivant.
Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau, et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ; mais lui, ils ne l’ont pas vu. »
Il leur dit alors : « Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire tout ce que les prophètes ont dit ! Ne fallait-il pas que le Christ souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? »
Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes, il leur interpréta, dans toute l’Écriture, ce qui le concernait. Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant d’aller plus loin.
Mais ils s’efforcèrent de le retenir : « Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse. » Il entra donc pour rester avec eux.
Quand il fut à table avec eux, ayant pris le pain, il prononça la bénédiction et, l’ayant rompu, il le leur donna. Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs regards.
Ils se dirent l’un à l’autre : « Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous, tandis qu’il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? » À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem. Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons, qui leur dirent : « Le Seigneur est réellement ressuscité : il est apparu à Simon-Pierre. » À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route, et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux à la fraction du pain.
Troisième dimanche de Pâques
Commentaire du jour
Saint Grégoire le Grand (v. 540-604), pape et docteur de l'Église Homélie 23 ; PL 76, 1182 (trad. Orval rev.) « N'oubliez pas l'hospitalité »
Deux disciples faisaient route ensemble. Ils ne croyaient pas, et cependant ils parlaient du Seigneur. Soudain celui-ci est apparu, mais sous des traits qu'ils n'ont pas pu reconnaître...
Ils l'invitent à partager leur gîte, comme on le fait avec un voyageur... Ils apprêtent donc la table, ils présentent la nourriture, et Dieu, qu'ils n'avaient pas reconnu dans l'explication de l'Écriture, ils le découvrent dans la fraction du pain.
Ce n'est donc pas en écoutant les préceptes de Dieu qu'ils ont été illuminés, mais en les accomplissant : « Ce ne sont pas ceux qui écoutent la Loi qui seront justes devant Dieu, mais ceux qui mettent la Loi en pratique qui seront justifiés » (Rm 2,13).
Si quelqu'un veut comprendre ce qu'il a entendu, qu'il se hâte de mettre en pratique ce qu'il en a déjà pu saisir. Le Seigneur n'a pas été reconnu pendant qu'il parlait ; il a daigné se manifester lorsqu'on lui a offert à manger. Aimons donc l'hospitalité, frères très chers ; aimons pratiquer la charité.
Paul affirme à ce sujet : « Persévérez dans la charité fraternelle. N'oubliez pas l'hospitalité, car c'est grâce à elle que quelques-uns, à leur insu, ont reçu chez eux des anges » (He 13,1 ;Gn 18,1s).
Pierre dit aussi : « Pratiquez l'hospitalité les uns envers les autres, sans murmurer » (1P 4,9). Et la Vérité elle-même nous déclare : « J'étais un étranger, et vous m'avez recueilli »...
« Ce que vous avez fait au plus petit d'entre les miens, nous dira le Seigneur au jour du jugement, c'est à moi que vous l'avez fait » (Mt 25,35.40)...
Et malgré cela, nous sommes si paresseux devant la grâce de l'hospitalité !
Mesurons, mes frères, la grandeur de cette vertu. Recevons le Christ à notre table, afin de pouvoir être reçus à son festin éternel. Donnons maintenant l'hospitalité au Christ présent dans l'étranger, afin qu'au jugement nous ne soyons pas comme des étrangers qu'il ne connaît pas (Lc 13,25), mais nous reçoive comme des frères dans son Royaume.
A tous et toutes, bons dimanche et week-end.
http://www.journee-mondiale.com/les-journees-mondiales.htm
avril 1er avril : Journée internationale de la blague
2 avril : Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme
2 avril : Journée internaionale du livre pour enfants
2 avril : Journée mondiale de batailles d'oreillers
4 avril : Journée internationale de la sensibilisation au problème des mines et de l'assistance à la lutte antimines
5 avril : Journée mondiale du travail invisible
6 avril : Journée mondiale du sport pour le développement et la paix
7 avril : Journée Internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda
7 avril : Journée Mondiale de la santé
8 avril : Journée internationale des Roms
11 avril : Journée Mondiale de la maladie de Parkinson
12 avril : Journée internationale du vol spatial habité
15 avril : Journée Mondiale de l'Art
16 avril : Journée Mondiale du cirque
16 avril : Journée Mondiale contre l'esclavage des enfants
16 avril : Disquaire day
16 avril : Journée mondiale de la voix
17 avril : Journée Mondiale de l'hémophilie
17 avril : Journée Mondiale des luttes paysannes
18 avril : Journée internationale des monuments et des sites
18 avril : Journée mondiale des radio amateurs
21 avril : Journée Mondiale des adjointes administratives et secrétaires
22 avril : Journée Mondiale de la Terre
23 avril : Journée Mondiale du livre et du droit d'auteur
24 avril : Journée Mondiale de la photographie au Sténopé
24 avril : Fashion Revolution Day
24 avril : Journée Mondiale des animaux dans les laboratoires
25 avril : Journée Mondiale pour la sauvegarde du lien parental
25 avril : Journée Mondiale du paludisme
26 avril : Journée Mondiale de la propriété intellectuelle
28 avril : Journée Mondiale sur la sécurité et la santé au travail
29 avril : Journée Internationale de la danse
30 avril : Journée de la non-violence éducative
30 avril : Journée Internationale du Jazz
30 avril : Journée Mondiale des Mobilités et de l'Accessibilité
BONJOUR,
Coucou amical, pour vous souhaiter, bons samedi , dimanche et week-end.
AMITIES
SPIRITUALITÉ
Pourquoi mai est-il le « mois de Marie » ?
Pas moins de cinq mois de l'année sont spécifiquement consacrés à la Sainte Vierge, dont celui que nous venons de commencer.
Exceptés février et avril, tous les mois de l’année sont consacrés au Christ, à saint Joseph ou à sa la Vierge Marie.
La dédicace d’un mois à une dévotion particulière est une forme de piété populaire relativement récente dont on ne trouve guère l’usage général avant le XVIIIe siècle.
Avec mai, août, septembre, octobre et décembre, pas moins de cinq mois de l’année sont consacrés à la piété mariale.
Janvier est le mois du Saint Nom de Jésus, depuis son approbation par le pape Léon XIII en 1902 ;
Mars, né à Viterbe (Italie), est le mois de saint Joseph, depuis son approbation par le pape Pie IX le 12 juin 1855 ;
Mai, le plus ancien et le plus connu des mois consacrés, est, officiellement depuis 1724, le mois de Marie ;
Juin est le mois du Sacré-Coeur depuis 1873 ; née au couvent des Oiseaux de Paris en 1833 et encouragée par Mgr de Quelen, archevêque de la capitale, cette dévotion fut approuvée par Pie IX quarante ans plus tard ;
Juillet est le mois du Précieux Sang depuis son approbation par Pie IX en 1850 ; Août est le mois du Cœur Immaculé de Marie ;
Septembre est le mois de Notre-Dame des Douleurs, depuis son approbation par Pie IX en 1857 ;
Octobre est le mois du Rosaire. Né en Espagne, il a d’abord été approuvé par le pape Pie IX le 28 juillet 1868 avant d’être officiellement demandé par Léon XIII en 1883 ;
Novembre est le mois des Âmes du Purgatoire depuis son approbation par Léon XIII en 1888 ;
Décembre est le mois de l’Immaculée Conception.
« Le mois de mai nous encourage à penser à elle et à en parler d’une façon particulière. C’est en effet son mois. Le temps de l’Année liturgique et ce mois de mai nous invitent à ouvrir nos cœurs à Marie d’une façon toute spéciale »
Jean Paul II, audience générale du 2 mai 1979.
Arrivé en France à la veille de la Révolution Le Dictionnaire encyclopédique de Marie de Pascal-Raphaël Ambrogi, nous apprend que le « mois de Marie » est le plus ancien de ces mois consacrés.
Dans l’Antiquité, mai est considéré comme défavorable au mariage et c’est pour cette raison qu’il aurait été choisi comme période pour célébrer la Sainte Vierge. Le « mois de Marie » voit le jour à Rome avant de se diffuser dans les États pontificaux, de convertir l’Italie tout entière et enfin l’ensemble de l’Église catholique.
Que le pape François, un jésuite, ait décidé le 13 octobre 2013 de consacrer le monde au Cœur immaculé de Marie n’est pas très étonnant : la promotion du « mois de Marie » doit en effet beaucoup aux Jésuites italiens qui publient de nombreux ouvrages sur le sujet au début du XVIIIe siècle.
Le « mois de Marie » atteint la France à la veille de la Révolution. La vénérable Louise de France, fille de Louis XV et prieure du carmel de Saint-Denis, fait traduire certains ouvrages jésuites et devient une zélée propagatrice de cette dévotion mariale. Cet usage prend un caractère général après son approbation officielle par Pie VII et son enrichissement d’indulgences par le Saint-Siège le 21 novembre 1815.
Le clergé constitutionnel français s’oppose alors farouchement à cette dévotion et certains évêques en sont même des adversaires résolus. Un autel à Marie, orné de fleurs et de lumières, dans chaque maison Si les Jésuites semblent bien avoir été les initiateurs du « mois de Marie », les Camilliens revendiquent l’honneur de l’avoir inauguré dans sa forme actuelle, en 1784, dans l’église de la Visitation de Ferrare.
Pour certains, les Jésuites n’ont fait que codifier des pratiques plus anciennes en recommandant que, la veille du 1er mai, dans chaque maison, on dresse un autel à Marie, orné de fleurs et de lumières, devant lequel, chaque jour du mois, la famille se réunirait pour prier en l’honneur de la Sainte Vierge avant de tirer au sort un billet qui indiquerait la vertu à mettre en application le lendemain.
Si cette pratique est aujourd’hui tombée en désuétude, rien n’interdit de la remettre au goût du jour… ou de voir même plus grand en participant à cette initiative d’un groupe de jeunes de quadriller la France afin de fleurir toutes les statues de la Vierge Marie pendant le mois de mai : « Près de chez vous il y a des statues de la Vierge, des autels de dévotion abandonnés, une Vierge oubliée sur le bord d’une route de campagne…
Notre objectif est de n’épargner aucune Vierge afin de rendre grâce à celle qui veille sur la France ». Rappelons que, depuis le 10 février 1638, la France est officiellement consacrée à la Sainte Vierge suite au vœu prononcé par le roi Louis XIII. Profitons de ce mois qui lui est dédié pour remercier la Mère du Sauveur de sa puissante protection et remettre, avec confiance et espérance, l’avenir de notre Patrie entre ses douces mains.
Source du présent Document :
http://fr.aleteia.org/2016/05/03/pourquoi-mai-est-il-le-mois-de-marie/
La pensée du jour & samedi 29 avril 2017
« À la moindre contrariété, voici chez la plupart des gens tout un mécanisme intérieur qui se met en marche : n’importe quelle occasion leur est bonne pour ruminer des pensées et des sentiments d’agacement, de colère, d’hostilité, de révolte. Tout ce que font les autres est jugé en fonction de leurs propres désirs, de leurs propres attentes, et alors gare à eux s’ils ne répondent pas à ces attentes ! Non seulement on leur en veut, mais on leur prête toutes sortes d’intentions malveillantes. On ne se demande pas si ces personnes étaient occupées, retenues ailleurs, si elles avaient des soucis, si elles étaient malades, si dans leur situation leur conduite était peut-être justifiée. Pourquoi se poser de pareilles questions ? On préfère interpréter leur comportement comme des affronts personnels. Les humains iront beaucoup mieux quand ils se rendront compte que ce ne sont pas les autres qui leur font le plus de mal, mais eux-mêmes, parce qu’ils ne cessent d’écouter leur nature inférieure. Cette nature inférieure, tellement névralgique, qui à la moindre occasion se nourrit d’idées fausses et de croyances erronées, c’est d’elle qu’ils doivent avant tout se méfier. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
La pensée du jour & vendredi 28 avril 2017
« Celui qui ne se révolte pas contre les difficultés et les épreuves, mais au contraire les accepte en s’efforçant de les comprendre et d’en tirer des leçons, celui-là libère les puissances de son âme et de son esprit. Après un certain temps, il se rend compte que ces épreuves ont produit quelque chose de magnifique en lui. Combien de personnes disent qu’elles se sentent attirées par l’alchimie ! Eh bien, c’est cela le véritable travail alchimique. Le jour où vous le comprendrez, vous arriverez à tirer de la matière brute, noire, informe de la souffrance, une matière précieuse, chatoyante, irisée, resplendissant de mille couleurs. Puisque la souffrance est inévitable, autant apprendre comment travailler avec elle ; sinon vous ressemblerez à des chantiers laissés à l’abandon : lorsque vous voudrez vous exprimer, vous ne saurez pas de quels matériaux vous servir, et vous ne connaîtrez rien de cette vie de l’âme et de l’esprit, de son immensité, de ses profondeurs, de ses sommets. Seul celui qui sait souffrir peut devenir créateur. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
La pensée du jour & jeudi 27 avril 2017
« La vue, l’ouïe, l’odorat, le goût, le toucher nous donnent une bonne connaissance de la réalité matérielle. Mais les cinq sens ont des prolongements dans le monde psychique et, pour celui qui a appris à les exercer, ils sont utiles aussi dans ses relations avec les autres. Les yeux lui permettent d’interpréter certains détails imperceptibles du comportement. Les oreilles, au-delà même des paroles prononcées, analysent les intonations d’une voix, même au téléphone. L’odorat perçoit les odeurs des émanations psychiques et le goût en décèle les saveurs. Quant au toucher, il suffit de serrer la main d’une personne pour être immédiatement renseigné sur son caractère, car dans un serrement de main l’être s’exprime tout entier. Combien de gens regrettent de n’avoir pas su se montrer perspicaces face aux personnes qu’ils rencontrent ! Ils ont surestimé les unes, sous-estimé les autres… Pourquoi ? Parce qu’ils sont toujours trop pressés de porter des jugements. Ils se prononcent d’après une première impression et souvent comme ça les arrange. Désormais, il faut être moins pressé, plus prudent, plus réfléchi, en sachant que même s’il est difficile de connaître les humains, les cinq sens bien exercés nous fournissent déjà quelques indications. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
La pensée du jour & mercredi 26 avril 2017
« Il est dit dans le Zend-Avesta que lorsque Zarathoustra demanda au dieu Ahoura Mazda comment se nourrissait le premier homme, celui-ci lui répondit : « Il mangeait du feu et buvait de la lumière. » Pourquoi ne devons-nous pas apprendre, nous aussi, à manger du feu et à boire de la lumière pour revenir vers la perfection du premier homme ? Vous direz que ce n’est pas possible. Si, c’est possible. Vous assistez au lever du soleil : attendez le premier rayon en restant vigilant, attentif… Dès que ce premier rayon apparaît, pensez que vous l’absorbez. Au lieu seulement de regarder le soleil, vous le buvez, vous le mangez, et vous imaginez que cette lumière qui est vivante se propage dans toutes les cellules de vos organes, qu’elle les purifie, les renforce, les vivifie. Non seulement cet exercice vous aide à vous concentrer, mais vous sentez tout votre être frémir et s’éclairer, car vous êtes arrivé à vraiment absorber la lumière… »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
La pensée du jour & mardi 25 avril 2017
« Ne donnez jamais votre cœur, il vous appartient, et personne n’a le droit d’en disposer à votre place. Si vous donnez votre cœur à quelqu’un, vous n’en avez plus, l’autre en a deux, et que fera-t-il avec deux cœurs ? Il va laisser tomber le vôtre. Nous disons en Bulgarie qu’on ne peut pas porter deux pastèques sous le même bras. Donc, à un moment ou à un autre, celui à qui vous avez donné votre cœur peut le laisser tomber. Alors, vous pousserez des cris : « Mon cœur est brisé ! » Et si vous allez vous plaindre au Ciel, il vous répondra : « C’est de ta faute, pourquoi l’as-tu donné ? Tu devais le garder pour toi. » « Oui, mais je l’aime, je l’aime ! » « C’est entendu, tu l’aimes, mais tu pouvais lui donner ta tendresse, ton amour, tes chansons… et garder ton cœur pour toi. » Et ne croyez pas que ces précautions soient uniquement valables pour le cœur. La nature nous a donné aussi un corps, une intelligence, une volonté. Celui qui est sage les garde pour lui, mais il en distribue les fruits, c’est-à-dire ses pensées, ses sentiments, son activité, son travail. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
BONJOUR
LES 7 FONDEMENTS DE LA TRADITION AMÉRINDIENNE
Nombreux sont les ouvrages qui, depuis quelques années, nous introduisent à l’univers aussi riche que méconnu de la tradition amérindienne. Cela n’est certes pas étranger à l’évolution de nos propres préoccupations ; notre intérêt pour une spiritualité plus globale, associé à un souci environnemental ont, tout à coup, mis en évidence la culture et la sagesse amérindienne.
Nous réalisons, un peu inopinément, que ce que nous cherchions à instaurer comme nouvelle spiritualité ou comme nouvelle approche avec l’environnement, trouvait ses sources dans l’héritage amérindien.
Il n’en fallait pas plus pour que tout ce qui touche, de près ou de loin, à l’interrelation existant entre tous les éléments de la nature et de l’univers, mais aussi à l’interrelation entre chaque être humain et ce même univers, inspire chacun d’entre nous qui souhaitons assumer autrement sa nature humaine.
Mais, tant de choses furent dites et écrites, parfois erronées, qu’une fois encore on nous a obligé à emprunter les chemins de travers, alors que la tradition amérindienne est pourtant quelque chose que nous pouvons tous comprendre ; mieux, que nous pouvons tous appliquer dans notre quotidien.
Voici les 7 fondements de cette tradition qui, étrangement - c’est probablement ce qui lui donne toute son intensité - sont toujours d’actualité dans notre vie moderne. Il est bon de se les rappeler.
1 * L’AIR.
L’air, aussi appelé le souffle ou le vent, est sans conteste le premier fondement de cette tradition. Non seulement l’air est partout autour de nous, mais, sans lui il n’y a pas de vie possible. C’est notre premier lien avec l’univers, et c’est le dernier à s’éteindre au moment de notre mort terrestre ; à notre dernier souffle, notre esprit s’envole. Pour les amérindiens, c’est là, la meilleure preuve que nous sommes une partie, si petite soit elle, de cette chose vivante qu’on appelle l’univers.
2 * LES ESPRITS.
Rien ne se perd, rien ne se crée, et c’est la raison pour laquelle les amérindiens croient tant aux esprits des ancêtres qu’ils considèrent, ni plus ni moins, comme étant la semence de notre propre chair. Il importe peu qu’on ne sache pas exactement qui ils sont, d’où et comment ils viennent, ou comment nous les rencontrons ou les ressentons. Ce qui importe c’est, qu’aujourd’hui, ils nous font ressentir leur présence et qu’ils nous guident vers le chemin à suivre. Croire en eux, c’est croire en nous.
LES POINTS CARDINAUX.
Les points cardinaux - nord, sud, est, ouest - de même que le haut et le bas, sont autant d’enseignements pour le chemin que nous avons à suivre et les directions que nous avons à emprunter. Les phases du soleil et de la lune et la direction des vents y sont aussi associées. C’est à partir des points cardinaux, des références qu’on y attache, que s’organisent les cérémonies et les rituels qui sont au coeur de la culture et de la tradition.
4 * LA TERRE.
Dans la tradition amérindienne, nous ne faisons qu’emprunter la terre où nous vivons, laquelle n’appartient de droit qu’au Créateur, appelé Manitou, Grand Manitou ou Grand Esprit. De là, d’ailleurs, l’importance de bien l’entretenir, afin de la remettre, en bon état, aux générations à venir, de façon à ce qu’elles aussi puissent en profiter et la remettre ensuite aux générations qui suivront. Les amérindiens l’appellent la Terre Mère, car elle est la Mère de tout ce qui vit sur la terre.
5 * LE CYCLE.
Dans la tradition amérindienne, tout est lié de façon circulaire et/ou cyclique ; de là, d’ailleurs, le fameux mandala de la vie. Du moment de notre naissance, à celui de notre mort, nous ne faisons qu’accomplir un parcours qui nous ramène à notre point de départ (de là aussi la notion de l’esprit des anciens qui nous rejoint). La vie, dans la tradition amérindienne, est tributaire du Cercle sacré de la vie, dont elle n’est qu’un élément ; il faut y ajouter la forme et le mouvement de la terre, du soleil, de la lune et autres planètes. Sans compter que tout ce qui est significatif est aussi cyclique ; les jours et les nuits se succèdent, les saisons se suivent et reviennent invariablement, les oiseaux migrent, les poissons fraient ; l’homme n’échappe pas à cette règle : il vit et meurt, et revient en esprit auprès des siens.
6 * LA PRIÈRE.
Les prières amérindiennes sont aussi courtes que simples et elles n’ont pas pour but l’obtention de choses matérielles, de biens, ou même d’un nouvel amour, mais, simplement une bonne santé, une bonne vie. Plus encore, dans cette tradition, on prie d’abord pour les autres, ensuite seulement on prie pour soi ; voilà qui est révélateur de l’interrelation entre les hommes. D’ailleurs, quiconque enfreint ces règles simples, selon cette même tradition, ne trouve que la mort et l’errance dans un monde vide et stérile, et ce, jusqu’à ce que quelqu’un prie pour lui et sauve son âme.
7 * LE NOM.
Vous ne trouverez pas de Pierre, Paul, Jean, Jacques, ou autre nom subitement devenu à la mode, car les amérindiens ne prennent pas les noms à la légère. Il leur est habituellement donné en l’honneur d’un parent ou d’un ami récemment disparu, d’un rêve ou d’une vision, d’une expérience de guerre ou encore par un homme-médecine un chaman ou après une maladie. À l’âge de la puberté, ils s’isolent généralement pour une période de trois à sept jours, sans nourriture et sans eaux afin de découvrir quel sera leur nom d’adulte (la quête de vision). Tout cela, parce que le nom, selon cette tradition, leur permettra de trouver leur propre chemin.
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A tous et toutes, je vous souhaite une bonne semaine.
Si ma créa vous plait, prenez & C'est KDO -
AMITIES.
UN POEME "FEERIE" §§
BROCELIANDE
A tous et toutes, bon Lundi.