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Date de création : 29.05.2008
Dernière mise à jour : 08.01.2020
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*Un poème & "Voici venir Pâques fleuries"*

Publié à 23:59 par marieandree Tags : rose gif image background centerblog sur anges neige

 

Voici venir 

 Pâques fleuries,

Et devant les confiseries

Les petits vagabonds s’arrêtent, envieux.

Ils lèchent leurs lèvres de rose

Tout en contemplant quelque chose

Qui met de la flamme à leurs yeux. 

 

Leurs regards avides attaquent

Les magnifiques œufs de Pâques

Qui trônent, orgueilleux, dans les grands magasins,

Magnifiques, fermes et lisses,

Et que regardent en coulisse

Les poissons d’avril, leurs voisins.

Les uns sont blancs comme la neige.

Des copeaux soyeux les protègent.

Leurs flancs sont faits de sucre.

 

 

Et l’on voit, à côté,

D’autres, montrant sur leurs flancs sombres

De chocolat brillant dans l’ombre,

De tout petits anges sculptés. 

 

Les uns sont petits et graciles,

Il semble qu’il serait facile

D’en croquer plus d’un à la fois ;

Et d’autres, prenant bien leurs aises,

Unis, simples, pansus, obèses,

S’étalent comme des bourgeois.

Tous sont noués de faveurs roses.

 

 

On sent que mille bonnes choses

Logent dans leurs flancs spacieux

L’estomac et la poche vides,

Les pauvres petits, l’œil avide,

Semblent les savourer des yeux.

Marcel Pagnol

 

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*Pâques & Dimanche de Pâques & Bon dimanche de Pâques*

 

** BONJOUR **

 

 

Dimanche de Pâques 

Livre des Actes des Apôtres 10,34a.37-43.

En ces jours-là, quand Pierre arriva à Césarée chez un centurion de l’armée romaine, il prit la parole et dit : « Vous savez ce qui s’est passé à travers tout le pays des Juifs, depuis les commencements en Galilée, après le baptême proclamé par Jean : Jésus de Nazareth, Dieu lui a donné l’onction d’Esprit Saint et de puissance. Là où il passait, il faisait le bien et guérissait tous ceux qui étaient sous le pouvoir du diable, car Dieu était avec lui. » Et nous, nous sommes témoins de tout ce qu’il a fait dans le pays des Juifs et à Jérusalem. Celui qu’ils ont supprimé en le suspendant au bois du supplice, Dieu l’a ressuscité le troisième jour. Il lui a donné de se manifester, non pas à tout le peuple, mais à des témoins que Dieu avait choisis d’avance, à nous qui avons mangé et bu avec lui après sa résurrection d’entre les morts. Dieu nous a chargés d’annoncer au peuple et de témoigner que lui-même l’a établi Juge des vivants et des morts. C’est à Jésus que tous les prophètes rendent ce témoignage : Quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon de ses péchés. »

Psaume 118(117),1.2.16-17.22-23.

Rendez grâce au Seigneur : Il est bon ! Éternel est son amour ! Oui, que le dise Israël : Éternel est son amour ! « Le bras du Seigneur se lève, le bras du Seigneur est fort ! » Non, je ne mourrai pas, je vivrai pour annoncer les actions du Seigneur. La pierre qu'ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre d'angle : c'est là l'œuvre du Seigneur, la merveille devant nos yeux.

Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens 3,1-4.

Frères, si vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les réalités d’en haut : c’est là qu’est le Christ, assis à la droite de Dieu. Pensez aux réalités d’en haut, non à celles de la terre. En effet, vous êtes passés par la mort, et votre vie reste cachée avec le Christ en Dieu. Quand paraîtra le Christ, votre vie, alors vous aussi, vous paraîtrez avec lui dans la gloire.

 

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 20,1-9.

Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était encore les ténèbres. Elle s’aperçoit que la pierre a été enlevée du tombeau. Elle court donc trouver Simon-Pierre et l’autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l’a déposé. » Pierre partit donc avec l’autre disciple pour se rendre au tombeau. Ils couraient tous les deux ensemble, mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. En se penchant, il s’aperçoit que les linges sont posés à plat ; cependant il n’entre pas. Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau ; il aperçoit les linges, posés à plat, ainsi que le suaire qui avait entouré la tête de Jésus, non pas posé avec les linges, mais roulé à part à sa place. C’est alors qu’entra l’autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut. Jusque-là, en effet, les disciples n’avaient pas compris que, selon l’Écriture, il fallait que Jésus ressuscite d’entre les morts.

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

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Commentaire du jour : Homélie attribuée à saint Jean Chrysostome

« Entre dans la joie de ton Maître » (Mt 25,23)

Commentaire du jour

Homélie attribuée à saint Jean Chrysostome (v. 345-407), prêtre à Antioche puis évêque de Constantinople, docteur de l'Église Liturgie orthodoxe de Pâques

« Entre dans la joie de ton Maître » (Mt 25,23)

Que tout homme pieux et ami de Dieu jouisse de cette belle et lumineuse fête ! Que tout serviteur fidèle entre avec allégresse dans la joie de son Seigneur ! (Mt 25,23) Celui qui a porté le poids du jeûne, qu'il vienne maintenant toucher sa récompense. Celui qui a travaillé depuis la première heure, qu'il reçoive aujourd'hui le juste salaire (Mt 20,1s).

Celui qui est venu après la troisième heure, qu'il célèbre cette fête dans l'action de grâces. Celui qui est arrivé après la sixième heure, qu'il n'ait aucune crainte, il ne sera pas lésé. Si quelqu'un a tardé jusqu'à la neuvième heure, qu'il approche sans hésiter. S'il en est un qui a traîné jusqu'à la onzième heure, qu'il n'ait pas honte de sa tiédeur, car le Maître est généreux, il reçoit le dernier comme le premier..., il fait miséricorde à celui-là, et comble celui-ci. Il donne à l'un, il fait grâce à l'autre...

Ainsi donc, entrez tous dans la joie de votre Maître ! Premiers et derniers..., riches et pauvres..., les vigilants comme les oisifs..., vous qui avez jeûné et vous qui n'avez pas jeûné, réjouissez-vous aujourd'hui. Le festin est prêt, venez donc tous (Mt 22,4). Le veau gras est servi, que personne ne s'en aille affamé.

Jouissez tous du banquet de la foi, venez puiser au trésor de la miséricorde. Que nul ne déplore sa pauvreté, car le Royaume est apparu pour tous ; que nul ne se lamente de ses fautes, car le pardon a jailli du tombeau ; que nul ne craigne la mort, car la mort du Sauveur nous en a libérés. Il a détruit la mort, celui que la mort avait étreint, il a dépouillé l'enfer, celui qui est descendu aux enfers... Isaïe l'avait prédit en disant : « L'enfer fut consterné lorsqu'il t'a rencontré » (14,9).

L'enfer est rempli d'amertume..., car il a été terrassé ; humilié, car il a été mis à mort ; effondré, car il a été anéanti. Il s'est emparé d'un corps et s'est trouvé devant Dieu ; il a saisi la terre et a rencontré le ciel ; il a pris ce qu'il voyait, et il est tombé à cause de l'Invisible.

« Ô mort, où est ton aiguillon ? Enfer, où est ta victoire ? » (1Co 15,55).

Christ est ressuscité et tu as été terrassé ! Christ est ressuscité et les démons sont tombés ! Christ est ressuscité et les anges sont dans la joie ! Christ est ressuscité et voici que règne la vie ! Christ est ressuscité et il n'est plus de morts dans les tombeaux, car le Christ, ressuscité des morts, est devenu les prémices de ceux qui se sont endormis. À lui gloire et puissance dans les siècles des siècles ! Amen.

 

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Alleluia! Joyeuses Pâques!

 

 

 

 

*La Veillée Pascale § Pâques.*

 

 

 

 

Le samedi saint (Veillée Pascale)

Livre de l'Exode 14,15-31.15,1a.

En ces jours-là, le Seigneur dit à Moïse : « Pourquoi crier vers moi ? Ordonne aux fils d’Israël de se mettre en route ! Toi, lève ton bâton, étends le bras sur la mer, fends-la en deux, et que les fils d’Israël entrent au milieu de la mer à pied sec. Et moi, je ferai en sorte que les Égyptiens s’obstinent : ils y entreront derrière eux ; je me glorifierai aux dépens de Pharaon et de toute son armée, de ses chars et de ses guerriers. Les Égyptiens sauront que je suis le Seigneur, quand je me serai glorifié aux dépens de Pharaon, de ses chars et de ses guerriers. » L’ange de Dieu, qui marchait en avant d’Israël, se déplaça et marcha à l’arrière. La colonne de nuée se déplaça depuis l’avant-garde et vint se tenir à l’arrière, entre le camp des Égyptiens et le camp d’Israël. Cette nuée était à la fois ténèbres et lumière dans la nuit, si bien que, de toute la nuit, ils ne purent se rencontrer. Moïse étendit le bras sur la mer. Le Seigneur chassa la mer toute la nuit par un fort vent d’est ; il mit la mer à sec, et les eaux se fendirent. Les fils d’Israël entrèrent au milieu de la mer à pied sec, les eaux formant une muraille à leur droite et à leur gauche. Les Égyptiens les poursuivirent ; tous les chevaux de Pharaon, ses chars et ses guerriers entrèrent derrière eux jusqu’au milieu de la mer. Aux dernières heures de la nuit, le Seigneur observa, depuis la colonne de feu et de nuée, l’armée des Égyptiens, et il la frappa de panique. Il faussa les roues de leurs chars, et ils eurent beaucoup de peine à les conduire. Les Égyptiens s’écrièrent : « Fuyons devant Israël, car c’est le Seigneur qui combat pour eux contre nous ! » Le Seigneur dit à Moïse : « Étends le bras sur la mer : que les eaux reviennent sur les Égyptiens, leurs chars et leurs guerriers ! » Moïse étendit le bras sur la mer. Au point du jour, la mer reprit sa place ; dans leur fuite, les Égyptiens s’y heurtèrent, et le Seigneur les précipita au milieu de la mer. Les eaux refluèrent et recouvrirent les chars et les guerriers, toute l’armée de Pharaon qui était entrée dans la mer à la poursuite d’Israël. Il n’en resta pas un seul. Mais les fils d’Israël avaient marché à pied sec au milieu de la mer, les eaux formant une muraille à leur droite et à leur gauche. Ce jour-là, le Seigneur sauva Israël de la main de l’Égypte, et Israël vit les Égyptiens morts sur le bord de la mer. Israël vit avec quelle main puissante le Seigneur avait agi contre l’Égypte. Le peuple craignit le Seigneur, il mit sa foi dans le Seigneur et dans son serviteur Moïse. Alors Moïse et les fils d’Israël chantèrent ce cantique au Seigneur :

Livre de l'Exode 15,1b.2.3-4.5-6.17-18.

Je chanterai pour le Seigneur ! Éclatante est sa gloire : il a jeté dans la mer cheval et cavalier ! Ma force et mon chant, c’est le Seigneur : il est pour moi le salut. Il est mon Dieu, je le célèbre ; j’exalte le Dieu de mon père. Le Seigneur est le guerrier des combats ; son nom est « Le Seigneur ». Les chars du Pharaon et ses armées, il les lance dans la mer. L’élite de leurs chefs a sombré dans la mer Rouge. L’abîme les recouvre : ils descendent, comme la pierre, au fond des eaux. Ta droite, Seigneur, magnifique en sa force, ta droite, Seigneur, écrase l’ennemi. Tu les amènes, tu les plantes sur la montagne, ton héritage, le lieu que tu as fait, Seigneur, pour l’habiter, le sanctuaire, Seigneur, fondé par tes mains. Le Seigneur régnera pour les siècles des siècles.

Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 6,3b-11.

Frères, nous tous qui par le baptême avons été unis au Christ Jésus, c’est à sa mort que nous avons été unis par le baptême. Si donc, par le baptême qui nous unit à sa mort, nous avons été mis au tombeau avec lui, c’est pour que nous menions une vie nouvelle, nous aussi, comme le Christ qui, par la toute-puissance du Père, est ressuscité d’entre les morts. Car, si nous avons été unis à lui par une mort qui ressemble à la sienne, nous le serons aussi par une résurrection qui ressemblera à la sienne. Nous le savons : l’homme ancien qui est en nous a été fixé à la croix avec lui pour que le corps du péché soit réduit à rien, et qu’ainsi nous ne soyons plus esclaves du péché. Car celui qui est mort est affranchi du péché. Et si nous sommes passés par la mort avec le Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui. Nous le savons en effet : ressuscité d’entre les morts, le Christ ne meurt plus ; la mort n’a plus de pouvoir sur lui. Car lui qui est mort, c'est au péché qu'il est mort une fois pour toutes ; lui qui est vivant, c'est pour Dieu qu'il est vivant. De même, vous aussi, pensez que vous êtes morts au péché, mais vivants pour Dieu en Jésus Christ.

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 28,1-10.

Après le sabbat, à l’heure où commençait à poindre le premier jour de la semaine, Marie Madeleine et l’autre Marie vinrent pour regarder le sépulcre. Et voilà qu’il y eut un grand tremblement de terre ; l’ange du Seigneur descendit du ciel, vint rouler la pierre et s’assit dessus. Il avait l’aspect de l’éclair, et son vêtement était blanc comme neige. Les gardes, dans la crainte qu’ils éprouvèrent, se mirent à trembler et devinrent comme morts. L’ange prit la parole et dit aux femmes : « Vous, soyez sans crainte ! Je sais que vous cherchez Jésus le Crucifié. Il n’est pas ici, car il est ressuscité, comme il l’avait dit. Venez voir l’endroit où il reposait. Puis, vite, allez dire à ses disciples : “Il est ressuscité d’entre les morts, et voici qu’il vous précède en Galilée ; là, vous le verrez.” Voilà ce que j’avais à vous dire. » Vite, elles quittèrent le tombeau, remplies à la fois de crainte et d’une grande joie, et elles coururent porter la nouvelle à ses disciples. Et voici que Jésus vint à leur rencontre et leur dit : « Je vous salue. » Elles s’approchèrent, lui saisirent les pieds et se prosternèrent devant lui. Alors Jésus leur dit : « Soyez sans crainte, allez annoncer à mes frères qu’ils doivent se rendre en Galilée : c’est là qu’ils me verront. »

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

Commentaire du jour : Saint Hésychius « Voici la nuit où le Christ, brisant les liens de la mort, s'est relevé, victorieux » (Exultet)

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Le samedi saint (Veillée Pascale)

Commentaire du jour Saint Hésychius (?-v. 451), moine, prêtre 1ère homélie pour Pâques, 1.5-6 (trad. cf SC 187, p. 63s ; rev.)

« Voici la nuit où le Christ, brisant les liens de la mort, s'est relevé, victorieux » (Exultet)

Le ciel brille quand il est éclairé par le chœur des étoiles, et l'univers brille plus encore quand se lève l'étoile du matin. Mais cette nuit resplendit maintenant moins de l'éclat des astres que de sa joie devant la victoire de notre Dieu et Sauveur. « Gardez courage, dit-il en effet, moi, je suis vainqueur du monde » (Jn 16,33).

Après cette victoire de Dieu sur l'ennemi invisible, nous aussi nous remporterons certainement la victoire sur les démons. Demeurons donc près de la croix de notre salut, afin de cueillir les premiers fruits des dons de Jésus. Célébrons cette nuit sainte avec des flambeaux sacrés ; faisons monter une musique divine, chantons une hymne céleste. Le « Soleil de justice » (Ml 3,20), notre Seigneur Jésus Christ, a illuminé ce jour pour le monde entier, il s'est levé au moyen de la croix, il a sauvé les croyants...

Notre assemblée, mes frères, est une fête de victoire, la victoire du Roi de l'univers, fils de Dieu. Aujourd'hui le diable a été défait par le Crucifié et toute l'humanité est remplie de joie par le Ressuscité... Ce jour crie : « Aujourd'hui, j'ai vu le Roi du ciel, ceint de lumière, monter au-dessus de l'éclair et toute clarté, au-dessus du soleil et des eaux, au-dessus des nuées »...

Il a été caché d'abord dans le sein d'une femme, puis au sein de la terre, sanctifiant d'abord ceux qui sont engendrés, ensuite rendant la vie par sa résurrection à ceux qui sont morts, car « voilà que souffrance, douleur d'enfantement et gémissement se sont enfuis » (Is 35,10)...

Aujourd'hui, par ce Ressuscité, le paradis est ouvert, Adam est rendu à la vie, Ève est consolée, l'appel est entendu, le Royaume est préparé, l'homme est sauvé, le Christ est adoré. Il a foulé aux pieds la mort, a fait prisonnier ce tyran, a dépouillé le séjour des morts. Il monte aux cieux, victorieux comme un roi, glorieux comme un chef..., et il dit à son Père : « Me voici, ô Dieu, avec les enfants que tu m'as donnés » (He 2,13). Gloire à lui, maintenant et dans les siècles des siècles.

 

 

Glorious - Exultet (Lyrics)

Tout près de toi Marie de Jean-Claude Gianadda

 

*Livre de l'Exode & Bon samedi saint*

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Livre de l'Exode

15,1b.2.3-4.5-6.17-18.

Je chanterai pour le Seigneur !

Éclatante est sa gloire :

il a jeté dans la mer cheval et cavalier !

Ma force et mon chant, c’est le Seigneur :

il est pour moi le salut.

Il est mon Dieu, je le célèbre ;

j’exalte le Dieu de mon père.

Le Seigneur est le guerrier des combats ;

son nom est « Le Seigneur ».

Les chars du Pharaon et ses armées,

il les lance dans la mer.

L’élite de leurs chefs a sombré dans la mer Rouge.

L’abîme les recouvre : ils descendent,

comme la pierre, au fond des eaux.

Ta droite, Seigneur, magnifique en sa force, ta droite,

Seigneur, écrase l’ennemi.

Tu les amènes, tu les plantes sur la montagne, ton héritage,

le lieu que tu as fait, Seigneur, pour l’habiter,

le sanctuaire, Seigneur, fondé par tes mains.

Le Seigneur régnera pour les siècles des siècles.

 

 

 

*Bonjour, quelques animaux et Pâques & Bon samedi*

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B O N J O U R 

 

 

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*La Semaine Sainte *

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BON LUNDI SAINT

Psaume 27(26),1.2.3.13-14.

Le Seigneur est ma lumière et mon salut ; de qui aurais-je crainte ?

Le Seigneur est le rempart de ma vie ; devant qui tremblerais-je ?

Si des méchants s'avancent contre moi pour me déchirer, ce sont eux, mes ennemis, mes adversaires, qui perdent pied et succombent.

Qu'une armée se déploie devant moi, mon cœur est sans crainte ; que la bataille s'engage contre moi, je garde confiance.

Mais, j'en suis sûr, je verrai les bontés du Seigneur sur la terre des vivants.

« Espère le Seigneur, sois fort et prends courage ; espère le Seigneur. »

 

BON MARDI SAINT

Psaume 71(70),1-2.3.5a.6.15ab.17.

En toi, Seigneur, j'ai mon refuge : garde-moi d'être humilié pour toujours.

Dans ta justice, défends-moi, libère-moi, tends l'oreille vers moi, et sauve-moi.

Sois le rocher qui m'accueille, toujours accessible ; tu as résolu de me sauver : ma forteresse et mon roc, c'est toi !

Seigneur mon Dieu, tu es mon espérance, toi, mon soutien dès avant ma naissance, tu m'as choisi dès le ventre de ma mère ; tu seras ma louange toujours !

Ma bouche annonce tout le jour tes actes de justice et de salut ;

Mon Dieu, tu m'as instruit dès ma jeunesse, jusqu'à présent, j'ai proclamé tes merveilles.

 

 

BON MERCREDI SAINT

Psaume 69(68),8-10.21-22.31.33-34.

C'est pour toi que j'endure l'insulte, que la honte me couvre le visage : je suis un étranger pour mes frères, un inconnu pour les fils de ma mère.

L'amour de ta maison m'a perdu ; on t'insulte, et l'insulte retombe sur moi.

L'insulte m'a broyé le cœur, le mal est incurable ; j'espérais un secours, mais en vain, des consolateurs, je n'en ai pas trouvé.

À mon pain, ils ont mêlé du poison ; quand j'avais soif, ils m'ont donné du vinaigre.

Et je louerai le nom de Dieu par un cantique, je vais le magnifier, lui rendre grâce.

Les pauvres l'ont vu, ils sont en fête : « Vie et joie, à vous qui cherchez Dieu ! »

Car le Seigneur écoute les humbles, il n'oublie pas les siens emprisonnés.

 

BON JEUDI SAINT

Psaume 116(115),12-13.15-16ac.17-18.

Comment rendrai-je au Seigneur tout le bien qu'il m'a fait ?

J'élèverai la coupe du salut, j'invoquerai le nom du Seigneur.

Il en coûte au Seigneur de voir mourir les siens !

Ne suis-je pas, Seigneur, ton serviteur, moi, dont tu brisas les chaînes ?

Je t'offrirai le sacrifice d'action de grâce, j'invoquerai le nom du Seigneur.

Je tiendrai mes promesses au Seigneur, oui, devant tout son peuple.

 

 

TRIDUUM PASCAL (1er jour).

 

Jeudi 13 avril ‐ Jeudi Saint : Sainte Cène à 19h au Centre Saint Paul à Villefontaine.

« Jésus ayant aimé les siens qui étaient dans le monde les aima jusqu’au bout »

Dans la célébration de ce soir, Jésus va prendre soin de ses disciples, en leur lavant les pieds,

il exprime pour chacun l’amour particulier dont il est l’objet.

Ce matin avec Jésus je désire aimer jusqu’au bout.

Je choisis dès mon lever de prendre soin de moi, de ma maison,

des autres que je vais rencontrer,

rendre un service à quelqu’un en particulier.

 

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*Les Pensées du 8 au 14 Avril § O.M.A.&Agréable journée*

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La pensée du jour & vendredi 14 avril 2017  

« Tous les êtres et les objets qui nous entourent peuvent nous aider, mais nous ne devons jamais compter absolument sur eux. Puisqu’ils sont extérieurs à nous, il arrive qu’ils ne soient pas toujours à notre disposition ; un moment ils sont là, et le moment suivant ils sont ailleurs, ou bien quelqu’un peut venir nous les prendre. Le véritable disciple de la Science initiatique a appris à chercher en lui-même ce dont il a besoin pour vivre dans la plénitude, car c’est dans son âme et dans son esprit que Dieu a déposé toutes les richesses. Et puisqu’elles sont là en lui, elles restent sa propriété. Bien sûr, l’exploration du monde intérieur est une entreprise de longue haleine qui demande des efforts quotidiens, mais rien d’autre ne peut véritablement combler le disciple. La nourriture qu’il prend dans les régions sublimes de l’âme et de l’esprit le rassasie pendant des jours et des jours. Et rien ni personne ne peut lui enlever cette sensation d’espace et d’éternité.»

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

La pensée du jour & jeudi 13 avril 2017

l’Hostie - sa valeur symbolique est renforcée par l’attitude du fidèle

L’hostie que le chrétien reçoit à la messe au moment de la communion a pour fonction de rappeler le pain que, lors du dernier repas qu’il fit avec ses disciples, Jésus leur donna en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. » Puisqu’elle a, à peu près, la même composition que le pain, l’hostie matériellement n’apporte rien de plus qu’une toute petite bouchée de pain, mais elle a reçu une fonction symbolique : elle représente le corps du Christ. À cette hostie, le prêtre, par sa bénédiction, communique des énergies spirituelles, et le fidèle qui la reçoit doit, lui, se pénétrer de sa signification sacrée. Alors, en définitive, n’est-ce pas au fidèle que revient le rôle le plus important ? C’est lui qui, par son attitude intérieure, peut effacer ce qu’a apporté la bénédiction du prêtre, ou au contraire le renforcer par le respect, la considération qu’il accorde à l’hostie.

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

 

 

 La pensée du jour & mercredi 12 avril 2017

 « Si nous sommes sur la terre, il y a une raison, sinon les Seigneurs des Destinées auraient pu nous envoyer ailleurs… Les régions ne manquent pas dans l’univers qui sont certainement d’agréables lieux de villégiature. En réalité, le meilleur endroit où aller est le soleil. Vous direz : « Le soleil ? Mais on serait brûlé ! » Bien sûr, si vous y alliez avec votre corps physique. Mais qui a dit que vous deviez y aller avec votre corps physique ? Le corps physique est adapté à la vie sur la terre. Pour aller sur les autres planètes ou dans le soleil, vous avez d’autres corps, d’autres véhicules. Il existe différentes formes de vie dans l’univers qui correspondent à différents aspects de la matière. Et si nous ne pouvons pas aller dans le soleil avec notre corps physique, nous pouvons y aller au moins avec notre âme et notre esprit. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov 

 

La pensée du jour & mardi 11 avril 2017

« Parce que les conséquences de leurs façons de penser et d’agir ne sont pas immédiates, les humains discernent rarement ce qui a causé leurs malheurs. Quand ils s’abandonnent aux désordres intérieurs ou commettent des actes répréhensibles, il est rare que des catastrophes leur tombent aussitôt sur la tête ; ils se sentent comme avant… et parfois même mieux qu’avant ! Pourquoi l’Intelligence cosmique a-t-elle ainsi arrangé les choses ? Pour donner à l’être humain le temps et les possibilités de prendre conscience de ses erreurs et de les réparer. Au lieu de laisser jouer immédiatement la loi des causes et des conséquences, dans sa sagesse, dans son amour elle lui fait crédit, elle lui laisse le temps de réfléchir et de rectifier sa conduite. Un homme transgresse certaines règles de la vie sociale : par exemple, il ne déclare pas exactement ses revenus sur sa feuille d’impôts. C’est quelques mois ou quelques années après que le fisc lui demandera des comptes, et en attendant la venue du jugement, il est encore temps pour lui de s’acquitter de sa dette. Il en est de même dans la vie intérieure, et cette possibilité de réviser, de corriger, qui a été laissée à l’homme, est un aspect de la sagesse et de l’amour divins. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

 

 La pensée du jour & lundi 10 avril 2017

 « Vous aspirez à la liberté ? Alors, quoi qu’il vous arrive, ne vous laissez pas troubler ni décourager, mais faites en sorte que votre esprit reprenne peu à peu la maîtrise de la situation. Car seul l’esprit est véritablement libre, il plane au-dessus des événements. Quand vous redonnez sa place à l’esprit en vous, quelque chose vous dit qu’aucun obstacle, aucune épreuve ne peut vous faire perdre votre équilibre, votre paix, votre amour, au contraire. Et puisque les expériences lumineuses que vous avez faites auparavant vous ont appris les valeurs sur lesquelles vous pouvez compter, accrochez-vous à ces expériences, ne mettez pas en doute ce que vous avez vécu de beau et de grand, emportez-le comme un viatique sur ce chemin difficile que vous devez parcourir. Quand la tourmente sera passée, vous vous rendrez compte que ces épreuves, qui auraient pu vous faire perdre courage, vous ont au contraire renforcé. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

 

La pensée du jour & dimanche 9 avril 2017

la Gratitude, critère d’un amour véritable -

Pour la majorité des humains Pour la majorité des humains, aimer signifie demander, exiger, réclamer. Eh oui, traduction littérale ! C’est ainsi qu’ils se conduisent vis-à-vis du Seigneur, et ils font de même vis-à-vis des personnes qu’ils prétendent aimer : ils les poursuivent de leurs exigences et, quoi qu’elles leur donnent, ils sont toujours insatisfaits. Alors, vous voulez un critère pour savoir si vous aimez réellement un être ? Si vous n’avez rien à lui réclamer, si votre seul désir est de le remercier et de remercier le Ciel seulement parce que cet être est là, parce qu’il existe, oui, seulement parce qu’il existe, vous pouvez être sûr que vous l’aimez. Sinon, appelez vos sentiments du nom que vous voudrez, mais en tout cas ce n’est pas de l’amour.

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

 La pensée du jour & samedi 8 avril 2017

 « Pourquoi a-t-on présenté le Seigneur occupé jour et nuit à surveiller les humains et à noter dans un petit carnet les fautes qu’ils sont en train de commettre, ouvertement ou dans le secret ? En réalité, le Seigneur ne s’occupe pas des fautes des humains. Disons qu’Il passe son temps dans des festins, se nourrissant de nectar et d’ambroisie, et tous les anges se réjouissent avec Lui en chantant et en jouant de leurs instruments de musique. Alors, direz-vous, qu’arrive-t-il quand nous commettons des fautes ?… C’est très simple. Si les humains ont eu l’idée de fabriquer des machines à enregistrer, c’est que des machines analogues existent déjà dans la nature, donc en eux-mêmes aussi. Et ces « machines » enregistrent leurs pensées, leurs sentiments et leurs actes. Quand ils dépassent les limites dans quelque domaine que ce soit, un mécanisme se déclenche, et ils perdent quelque chose, soit dans le plan physique, soit dans le plan du sentiment, soit dans celui de la pensée. Et c’est cela la punition. Ce n’est pas Dieu qui nous punit. Au contraire, Dieu est toujours prêt à nous recevoir dans les festins célestes. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

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*Le vendredi saint & "La Passion du Christ" § Bon vendredi*

 

Evangile de Jésus Christ selon saint Jean 18,1-40.19,1-42.

En ce temps-là, après le repas, Jésus sortit avec ses disciples et traversa le torrent du Cédron ; il y avait là un jardin, dans lequel il entra avec ses disciples. Judas, qui le livrait, connaissait l’endroit, lui aussi, car Jésus et ses disciples s’y étaient souvent réunis. Judas, avec un détachement de soldats ainsi que des gardes envoyés par les grands prêtres et les pharisiens, arrive à cet endroit. Ils avaient des lanternes, des torches et des armes.

Alors Jésus, sachant tout ce qui allait lui arriver, s’avança et leur dit : « Qui cherchez-vous ? » Ils lui répondirent : « Jésus le Nazaréen. » Il leur dit : « C’est moi, je le suis. » Judas, qui le livrait, se tenait avec eux. Quand Jésus leur répondit : « C’est moi, je le suis », ils reculèrent, et ils tombèrent à terre. Il leur demanda de nouveau : « Qui cherchez-vous ? » Ils dirent : « Jésus le Nazaréen. » Jésus répondit : « Je vous l’ai dit : c’est moi, je le suis. Si c’est bien moi que vous cherchez, ceux-là, laissez-les partir. »

Ainsi s’accomplissait la parole qu’il avait dite : « Je n’ai perdu aucun de ceux que tu m’as donnés ». Or Simon-Pierre avait une épée ; il la tira, frappa le serviteur du grand prêtre et lui coupa l’oreille droite. Le nom de ce serviteur était Malcus. Jésus dit à Pierre : « Remets ton épée au fourreau. La coupe que m’a donnée le Père, vais-je refuser de la boire ? » Alors la troupe, le commandant et les gardes juifs se saisirent de Jésus et le ligotèrent.

Ils l’emmenèrent d’abord chez Hanne, beau-père de Caïphe qui était grand prêtre cette année-là. Caïphe était celui qui avait donné aux Juifs ce conseil : « Il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple. » Or Simon-Pierre, ainsi qu’un autre disciple, suivait Jésus. Comme ce disciple était connu du grand prêtre, il entra avec Jésus dans le palais du grand prêtre. Pierre se tenait près de la porte, dehors. Alors l’autre disciple – celui qui était connu du grand prêtre – sortit, dit un mot à la servante qui gardait la porte, et fit entrer Pierre. Cette jeune servante dit alors à Pierre : « N’es-tu pas, toi aussi, l’un des disciples de cet homme ? »

Il répondit : « Non, je ne le suis pas ! » Les serviteurs et les gardes se tenaient là ; comme il faisait froid, ils avaient fait un feu de braise pour se réchauffer. Pierre était avec eux, en train de se chauffer. Le grand prêtre interrogea Jésus sur ses disciples et sur son enseignement. Jésus lui répondit : « Moi, j’ai parlé au monde ouvertement. J’ai toujours enseigné à la synagogue et dans le Temple, là où tous les Juifs se réunissent, et je n’ai jamais parlé en cachette. Pourquoi m’interroges-tu ? Ce que je leur ai dit, demande-le à ceux qui m’ont entendu.

Eux savent ce que j’ai dit. » À ces mots, un des gardes, qui était à côté de Jésus, lui donna une gifle en disant : « C’est ainsi que tu réponds au grand prêtre ! » Jésus lui répliqua : « Si j’ai mal parlé, montre ce que j’ai dit de mal ? Mais si j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? » Hanne l’envoya, toujours ligoté, au grand prêtre Caïphe. Simon-Pierre était donc en train de se chauffer. On lui dit : « N’es-tu pas, toi aussi, l’un de ses disciples ? »

Pierre le nia et dit : « Non, je ne le suis pas ! » Un des serviteurs du grand prêtre, parent de celui à qui Pierre avait coupé l’oreille, insista : « Est-ce que moi, je ne t’ai pas vu dans le jardin avec lui ? » Encore une fois, Pierre le nia. Et aussitôt un coq chanta. Alors on emmène Jésus de chez Caïphe au Prétoire. C’était le matin. Ceux qui l’avaient amené n’entrèrent pas dans le Prétoire, pour éviter une souillure et pouvoir manger l’agneau pascal.

Pilate sortit donc à leur rencontre et demanda : « Quelle accusation portez-vous contre cet homme ? » Ils lui répondirent : « S’il n’était pas un malfaiteur, nous ne t’aurions pas livré cet homme. » Pilate leur dit : « Prenez-le vous-mêmes et jugez-le suivant votre loi. » Les Juifs lui dirent : « Nous n’avons pas le droit de mettre quelqu’un à mort. » Ainsi s’accomplissait la parole que Jésus avait dite pour signifier de quel genre de mort il allait mourir.

Alors Pilate rentra dans le Prétoire ; il appela Jésus et lui dit : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus lui demanda : « Dis-tu cela de toi-même, ou bien d’autres te l’ont dit à mon sujet ? » Pilate répondit : « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres t’ont livré à moi : qu’as-tu donc fait ? » Jésus déclara : « Ma royauté n’est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n’est pas d’ici. » Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? »

Jésus répondit : « C’est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix. » Pilate lui dit : « Qu’est-ce que la vérité ? » Ayant dit cela, il sortit de nouveau à la rencontre des Juifs, et il leur déclara : « Moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. Mais, chez vous, c’est la coutume que je vous relâche quelqu’un pour la Pâque : voulez-vous donc que je vous relâche le roi des Juifs ? »

Alors ils répliquèrent en criant : « Pas lui ! Mais Barabbas ! »

Or ce Barabbas était un bandit. Alors Pilate fit saisir Jésus pour qu’il soit flagellé. Les soldats tressèrent avec des épines une couronne qu’ils lui posèrent sur la tête ; puis ils le revêtirent d’un manteau pourpre. Ils s’avançaient vers lui et ils disaient : « Salut à toi, roi des Juifs ! » Et ils le giflaient. Pilate, de nouveau, sortit dehors et leur dit : « Voyez, je vous l’amène dehors pour que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » Jésus donc sortit dehors, portant la couronne d’épines et le manteau pourpre.

Et Pilate leur déclara : « Voici l’homme. » Quand ils le virent, les grands prêtres et les gardes se mirent à crier : « Crucifie-le ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Prenez-le vous-mêmes, et crucifiez-le ; moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » Ils lui répondirent : « Nous avons une Loi, et suivant la Loi il doit mourir, parce qu’il s’est fait Fils de Dieu. » Quand Pilate entendit ces paroles, il redoubla de crainte. Il rentra dans le Prétoire, et dit à Jésus : « D’où es-tu ? » Jésus ne lui fit aucune réponse.

Pilate lui dit alors : « Tu refuses de me parler, à moi ? Ne sais-tu pas que j’ai pouvoir de te relâcher, et pouvoir de te crucifier ? » Jésus répondit : « Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi si tu ne l’avais reçu d’en haut ; c’est pourquoi celui qui m’a livré à toi porte un péché plus grand. » Dès lors, Pilate cherchait à le relâcher ; mais des Juifs se mirent à crier : « Si tu le relâches, tu n’es pas un ami de l’empereur. Quiconque se fait roi s’oppose à l’empereur. » En entendant ces paroles, Pilate amena Jésus au-dehors ; il le fit asseoir sur une estrade au lieu dit le Dallage – en hébreu : Gabbatha.

C’était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure, environ midi. Pilate dit aux Juifs : « Voici votre roi. » Alors ils crièrent : « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Vais-je crucifier votre roi ? » Les grands prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que l’empereur. » Alors, il leur livra Jésus pour qu’il soit crucifié. Ils se saisirent de Jésus.

Et lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha. C’est là qu’ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu. Pilate avait rédigé un écriteau qu’il fit placer sur la croix ; il était écrit : « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs. »

Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l’endroit où l’on avait crucifié Jésus était proche de la ville, et que c’était écrit en hébreu, en latin et en grec. Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate : « N’écris pas : “Roi des Juifs” ; mais : “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs”. » Pilate répondit : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit. » Quand les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses habits ; ils en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi la tunique ; c’était une tunique sans couture, tissée tout d’une pièce de haut en bas.

Alors ils se dirent entre eux : « Ne la déchirons pas, désignons par le sort celui qui l’aura. » Ainsi s’accomplissait la parole de l’Écriture : ‘Ils se sont partagé mes habits ; ils ont tiré au sort mon vêtement.’ C’est bien ce que firent les soldats. Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui.

Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l’Écriture s’accomplisse jusqu’au bout, Jésus dit : « J’ai soif. » Il y avait là un récipient plein d’une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d’hysope, et on l’approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « Tout est accompli. » Puis, inclinant la tête, il remit l’esprit. Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes.

Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec Jésus. Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau. Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique ; et celui-là sait qu’il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez. Cela, en effet, arriva pour que s’accomplisse l’Écriture : ‘Aucun de ses os ne sera brisé.’

Un autre passage de l’Écriture dit encore : ‘Ils lèveront les yeux vers celui qu’ils ont transpercé.’ Après cela, Joseph d’Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Joseph vint donc enlever le corps de Jésus. Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver Jésus pendant la nuit – vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d’aloès pesant environ cent livres.

Ils prirent donc le corps de Jésus, qu’ils lièrent de linges, en employant les aromates selon la coutume juive d’ensevelir les morts. À l’endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin et, dans ce jardin, un tombeau neuf dans lequel on n’avait encore déposé personne. À cause de la Préparation de la Pâque juive, et comme ce tombeau était proche, c’est là qu’ils déposèrent Jésus.

 

*Bonjour, Betty Boop & Bon vendredi § Bonnes Pâques*

Publié à 23:59 par marieandree Tags : humour dieu photos chez bonne moi centerblog image mer blog sur

 

HUMOUR §§ BLAGUE

 Deux dames du club du troisième âge prennent le thé devant des petits gâteaux.

- Alors, quoi de neuf depuis la dernière fois qu'on s'est vues ... ?

- Oh, tu sais ce Monsieur Martin qui vient tout juste d'emménager à côté de chez moi et qui s'est inscrit tout de suite à notre club, eh bien hier soir, nous sommes sortis ensemble. Il est arrivé sur le pas de ma porte avec un bouquet de roses à la main. Ensuite, comme un vrai gentleman, il m'a emmenée au restaurant et nous avons pris un plateau de fruits de mer. Puis, toujours en gentleman, il m'a invité à prendre un verre au piano-bar. Sur le coup de minuit, il m'a raccompagnée jusque chez moi, toujours avec la manière. Là, je n'ai pas voulu le laisser repartir comme ça, alors je l'ai invité à rentrer prendre un dernier verre.À ce moment-là, il s'est approché de moi et m'a arraché tous mes vêtements, il m'a tiré de force sur le lit et m'a fait subir les pires outrages !...

- Oh Mon Dieu, répond l'autre, et dire qu'il m'a donné rendez-vous ce soir ! Qu'est-ce que tu crois que je dois faire ?

- Ben, si j'étais toi, je mettrais des vieux vêtements ...

 

 

A tous et toutes, bon Vendredi ;

 Et, bonne fin de semaine.

 

 

 

 

 

 

*Bonjour, Bon jeudi & Soleil et beau temps & biz.*

Publié à 23:59 par marieandree Tags : centerblog image gif france bonjour argent belle femme sur humour

 

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 ** BLAGUES  §§

 HUMOUR  **

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Évasion fiscale ...

Deux banquiers suisses se rencontrent dans une rue de Genève :

– Bonjour, cher ami, mais savez-vous donc ce qui est arrivé à notre confrère Philomène ?

– Philomène ? De la Banque centrale ? Non ! Que lui est-il arrivé ?

– Il est devenu fou, on a dû l’interner.

– Mais ce n’est pas possible ! Et comment s’en est-on aperçu ?

– Il plaçait son argent en France !

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Sur un vol pour New York, le chef de cabine se dirige vers une femme blonde assise en première classe en lui demandant de se déplacer en classe économique, puisqu’elle n’avait pas un ticket de première classe.

La blonde répond :

« Je suis blonde, je suis belle, je vais à New York, et je ne bouge pas ! »

Pour éviter de se disputer avec un client, le chef de cabine fait part de la situation au copilote et lui demande de régler le problème en lui parlant. Il va parler à la blonde, en lui demandant de quitter la première classe.

De nouveau, la blonde répond :

« Je suis blonde, je suis belle, je vais à New York, et je ne bouge pas ! »

Le copilote retourne dans le cockpit et demande au capitaine ce qu’il devrait faire. Le capitaine lui répond :

« Je suis marié à une blonde, ne vous inquiétez pas, je sais comment m’y prendre ! »

Il va en première classe, et dit quelque chose tout bas à l’oreille de la blonde.

Elle se lève immédiatement et court en classe économique en râlant toute seule :

« Mais pourquoi personne ne m’a rien dit ! »

Surpris, le chef de cabine et le copilote demandent au capitaine ce qu’il a dit pour réussir à la convaincre de changer de siège.

Et là il répond :

« Je lui ai dit que la première classe n’allait pas à New York ».