Source : anousdeux04.centerblog.net sur centerblog.

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POESIE DE NOEL. 

La nuit avant Noël

Twas la nuit avant Noël, quand tout par la maison

pas une créature remuait, ne pas égaliser une souris ;

Les bas ont été accrochés par la cheminée avec le soin,

dans les espoirs que la rue Nicholas bientôt serait là ;

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Les enfants ont été nichés tout douillettement dans leurs lits,

alors que les visions des sucre-prunes dansaient

dans des leurs têtes ;

Et la maman dans son 'foulard, et l'I dans mon chapeau,

s'étaient juste installés pour d'un long le somme hiver,

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Quand dehors sur la pelouse là a surgi un tel cliquetis,

j'ai jailli du lit pour voir ce qui était la matière.

Loin à la fenêtre j'ai volé comme un flash,

ai déchiré ouvert les obturateurs et les ai jeté

vers le haut de la ceinture.

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La lune sur le sein de la neige nouveau-tombée

a donné l'éclat du midi

aux objets ci-dessous,

Quand, ce qui à mon se demander observe devrait apparaître,

mais un traîneau miniature, et le renne huit minuscule,

Avec un petit vieux conducteur, si animé et rapide,

j'ai su dans un moment où ce doit être rue Nick.

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Plus rapide que des aigles ses coursers ils sont venus,

et il a sifflé, et a crié, et les a appelés de nom ;

« Maintenant, DASHER ! maintenant, DANSEUR !

maintenant, PRANCER et VIXEN ! Sur, COMÈTE !

sur le CUPIDON ! sur, DONNER et BLITZEN !

Jusqu'au dessus du porche !

jusqu'au dessus du mur !

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Maintenant tiret parti ! tiret loin ! tiret loin tout !

« En tant que feuilles sèches

qui avant l'ouragan

sauvage volent,

quand elles rencontrent un obstacle, bâti au ciel

Ainsi jusqu'au toit les coursers qu'elles ont volés,

avec le traîneau plein des jouets, et de la rue Nicholas aussi.

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Et puis, dans un scintillement, j'ai entendu sur le toit caracoler

et tripoter de chaque petit sabot.

Pendant que je dessinais dans ma main,

et tournais autour, en bas de la rue de cheminée

Nicholas est venu avec une limite.

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Il a été habillé tous en fourrure, de sa tête à son pied,

et ses vêtements tous ont été ternis

avec les cendres et la suie ;

Un paquet de jouets qu'il avait jetés sur le sien en arrière,

et il a ressemblé à une ouverture juste de marchand

ambulant son paquet.

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Ses yeux -- comment ils ont scintillé !

ses fossettes comment joyeux !

Ses joues étaient comme les roses,

son nez comme une cerise !

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Sa petite bouche drôle a été élaborée comme un arc,

et la barbe de son menton était aussi blanche que la neige ;

Le tronçon d'une pipe qu'il s'est tenue fortement

dans des ses dents,

et la fumée elle a encerclé sa tête comme une guirlande ;

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Il a eu un large visage et un petit ventre rond, celui a secoué,

quand il a ri comme un bowlful de la gelée.

Il était potelé et laisse tomber, un vieil elfe gai droit,

et j'ai ri quand je l'ai vu, malgré me ;

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Cligne de l'oeil de son oeil et une torsion de sa tête,

m'a bientôt donné pour savoir que je n'ai eu rien à redouter ;

Il a parlé pas un mot,

mais est allé directement à son travail,

et a rempli tous bas ;

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alors tourné avec une secousse,

Et étendant son doigt de côté de son nez,

et donnant un signe d'assentiment, vers le haut

de la cheminée il s'est levé ;

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Il a jailli à son traîneau, à son équipe a donné sifflent,

et loin ils tous ont volé comme le bas d'un chardon.

Mais je l'ai entendu hurler, avant qu'il ait chassé de la vue,

« NOËL HEUREUX À TOUS, ET À TOUT L'A BONNE NUIT ! »

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Clarke clément Moore