ARCHIVES & INFOS - DISPARITION DE LA PETITE FILLE : FIONA -- AFFAIRE 2013.

INFO : ALERTE - DISPARITION -- FIONA

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INFOS SUPPLEMENTAIRES SUR CETTE AFFAIRE.

NOUVELLE DEPLORABLE,INADMISSIBLE, DRAMATIQUE ET DEPLORABLE

, DISPARITION DE FIONA.

Disparition Fiona : la fillette de 5 ans aurait reçu un coup de pied et une gifle Par Jennifer Larcher, publié le 13 octobre 2013 à 15h02 24matins > Actualité > Fiona > Disparition Fiona : la fillette de 5 ans aurait reçu un coup de pied et une gifle Partager cet article Facebook Twitter Newsletter Suivez nous Facebook : Pour en savoir plus Fiona Fiona est décédée entre le samedi 11 et le dimanche 12 mai selon Cécile Bourgeon et Berkane Maklouf.

Ce dernier a apporté des précisions.

Pour voir , d'autres infos , concernant FIONA, voir , la même Rubrique : Lettre I INFOS FIONA et DIVERS 2014.

PRIONS POUR CETTE ADORABLE PETITE FILLE ; ET QUE LES COUPLABLES SOIT PUNIS .

9 février 2014 : Dimanche de la Santé

« Sur un chemin de confiance »

admin 29 janvier 2014

« Sur un chemin de confiance » est le thème choisit pour le dimanche de la santé[1] (9 février).

Il me fait penser à tous ces chemins de vie – imprévus et difficiles – que la maladie, la vieillesse ou le handicap, obligent à parcourir et qui demandent beaucoup de confiance : Il faut faire confiance au chirurgien (et à l’anesthésiste !) avant de passer sur la table d’opération…

Il faut faire confiance (à soi-même, à la société, aux médecins… ) lorsqu’il est question d’accueillir un enfant malade ou handicapé…

Il faut faire confiance pour accepter qu’une personne du SEM (Service Évangélique des Malades) vienne me visiter chez moi…

Il faut faire confiance pour accepter d’être aider dans ce que je pouvais faire seul(e) avant… Il faut faire confiance, lorsqu’un nouvel accro de santé oblige à quitter son « chez soi » pour entrer en EHPAD [2] …

Il faut faire confiance en Dieu, quand on est touché par la maladie, malgré la maladie… certains le manifestent en demandant à recevoir le sacrement de l’onction des malades, ou en recevant régulièrement la communion en dehors de la messe.

Il faut faire confiance en Dieu une dernière fois et pour de bon, lorsque la mort est à envisager pour soi… « Avez-vous peur ? » demanda-t-on à Saint-Vincent de Paul. « J’ai confiance », répondit-il. Certains témoignent de cette confiance qui traverse la mort, en recevant le Viatique[3].

Ce n’est pas toujours évident de faire confiance. Toute relation est basée sur la confiance, mais elle demande du temps pour se construire. Elle peut-être mise à mal. La relation de soin est peut-être – plus qu’une autre – une relation et un chemin de confiance : parce que l’un est plus vulnérable que l’autre.

La vulnérabilité appelle à la confiance, elle appelle à prendre soin, mais à condition d’accepter de reconnaître notre propre vulnérabilité humaine dans celle de l’autre.

Tous les débats de société autour des personnes vulnérables (en début ou fin de vie, l’accueil des personnes handicapées, le coût de la santé…) peuvent se résumer en une question : est-ce que la personne vulnérable fait encore partie à part entière de la communauté humaine que nous voulons former ?

La tentation est de vouloir former une communauté de « bien-portants », sans faiblesses, sans tares ; illusoire sans doute, mais surtout inhumaine puisque dépourvu du vrai souci de l’autre (tel qu’il est, c’est à dire vulnérable, et à certains moments de sa vie particulièrement).

Il n’y aurait pas de meilleur moyen pour faire douter de la confiance que chacun (et en premier les personnes malades ou handicapées) peut avoir dans la société que nous formons. Avec ce thème, le dimanche de la santé nous invite à nous tenir et à avancer – avec les plus vulnérables – sur un chemin de confiance, et de vie.

Père Arnaud Laganier

Délégué épiscopal de la Pastorale de la Santé

 MARCHE BLANCHE EN HOMMAGE A  FIONA . 

Disparition Fiona : la fillette de 5 ans aurait reçu un coup de pied et une gifle

Par Jennifer Larcher, publié le 13 octobre 2013 à 15h02 24matins > Actualité > Fiona >

Disparition Fiona : la fillette de 5 ans aurait reçu un coup de pied et une gifle

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Pour en savoir plus

Fiona Fiona est décédée entre le samedi 11 et le dimanche 12 mai selon Cécile Bourgeon et Berkane Maklouf. Ce dernier a apporté des précisions. Dans la cadre de la disparition de Fiona, Cécile Bourgeon a été réentendue et n’a pas pu retrouver le corps de l’enfant.

Berkane Maklouf a également été réinterrogé par les forces de l’ordre et par le biais de son avocat il a apporté quelques précisions. La Montagne relaye dans une vidéo les propos du beau-père de Fiona grâce à Maitre Mohamed Khalifar. Dans un premier temps, il révèle que Cécile Bourgeon a exercé des violences la veille du décès, à savoir « des coups de pied y compris et des coups au niveau de la tête ». Berkane Maklouf précise qu’il n’est pas médecin légiste, mais, « à son sens, les violences ne sont pas la cause du décès ».

Selon une source judiciaire dont les propos ont été relayés par La Montagne, l’enfant aurait « reçu un coup de pied aux fesses et une gifle ». Fiona était sur la banquette arrière Pour le beau-père de Fiona, il y aurait d’autres causes du décès et estime que l’autopsie du corps pourrait les révéler. Il ne redoute pas cet examen selon avocat qui apporte également sa version sur la localisation du corps de l’enfant. Il précise que son client était sur le siège passager et que Cécile Bourgeon conduisait.

Il était « préoccupé dans ce véhicule par ce sac qui était sur la banquette arrière et son esprit était focalisé sur cette situation ». Berkane Maklouf n’a donc pas porté attention à la direction que prenait Cécile Bourgeon le dimanche 12 mai. Une confrontation Berkane Maklouf a également évoqué le cas de sa compagne, il estime qu’elle est totalement dépassée par cette affaire : « elle fait un état de confusion mental ».

Le beau-père de Fiona lui demande de collaborer pleinement avec les enquêteurs pour que le corps de l’enfant soit retrouvé. Les versions sont donc différentes puisque la mère de la petite Fiona charge Berkane Maklouf. Elle a révélé lors de son audition que son compagnon avait porté un violent coup à la tête de la fillette. Maître Mohamed Khalifar estime tout comme son client qu’une confrontation est nécessaire.

Pour l’instant, il n’y a pas de date qui a été communiquée. 

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   TOUT SIMPLEMENT,INADMISSIBLE ETINTOLERABLE . ILN'Y A PAS DE MOTS POUR EXPRIMER CES ACTESINDIGNES .

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** PENSONS A FIONA. **

 ALERTE  - DISPARITION --  FIONA 

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