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Bourses aux jouets : la crise et quelques valeurs sûres

Publié à 18:00 par nounouduveron Tags : assitants maternels nounou avoine verez handicapés

Bourses aux jouets : la crise et quelque valeurs sûres

25/11/2013A Saint-Avertin : 120 emplacements, et une soixantaine de refus. - A Saint-Avertin : 120 emplacements, et une soixantaine de refus.

 

Les bourses aux jouets fleurissent aux quatre coins du département : elles attirent parents, grands-parents et assistantes maternelles.

Les bourses aux jouets entrent dans le vif du sujet. Rien que pour le week-end qui vient de s'écouler, on en comptait au moins une quinzaine dans le département. Souvent couplées avec des bourses aux vêtements d'enfants et à la puériculture.

A Villandry, par exemple c'est l'association de parents d'élèves (Apev) qui s'y collait, en se limitant volontairement à 35 exposants. Parmi ceux-ci, Sandra et Cindy relèvent quelques tendances. La première, ce n'est pas une surprise, est évidemment la motivation économique : les parents cherchent des jouets à des prix très bas. « Si c'est trop cher, ça reste », constate Cindy, en montrant un beau flipper d'enfant dont personne, à 14 h 30, n'a encore voulu pour 20 €. Si les papas se laisseraient volontiers tenter, sourit Sandra, « les mamans font plus attention ».
Pour certains exposants, c'est une opération blanche : ils réinvestissent immédiatement les bénéfices sur les stands des voisins : « On renouvelle les jeux et la garde-robe. »
Dans ce contexte, quelques objets tirent leur épingle du jeu : c'est le grand retour des livres (on les croyait jetés aux oubliettes de l'histoire) et les Playmobil, eux, s'arrachent dès l'ouverture.
Changement de dimension à Saint-Avertin, où c'est le Casas (club de tir à l'arc) qui est à la manœuvre : là on passe à 120 emplacements, « mais on a dû en refuser une soixantaine », regrette Gaëtan Robin, président du club.
Là, Laurence a constaté, elle aussi, un engouement marqué pour les livres et les jeux de société, mais vraiment pas pour les jeux éducatifs, alors qu'elle a passé son samedi après-midi à refaire les puzzles en bois.
Attention, les enfants, je vais maintenant vous livrer un secret : le Père Noël, c'est papa et maman, et même qu'ils se fournissent à la bourse aux jouets : c'est Bernadette qui me l'a dit, car hier, elle en a vu défiler des parents. Mais pas seulement : « Beaucoup de grands-parents en prévision des jours où ils vont garder les petits, et aussi beaucoup d'assistantes maternelles. »
Pour elle, pas de doute : « La crise est passée par là. » Mais elle y voit un motif d'optimisme : « Peut-être que ça va favoriser une prise de conscience chez les gens et changer leur façon de consommer. »

 D'autres bourses aux jouets auront lieu les prochains week-ends : on annonce déjà celle du 30 novembre au centre social du Morier à Joué-lès-Tours, ou celle de l'AS Jocondien basket le 15 décembre à la galerie des Atlantes à La Riche.

l’objet

La Barbie, toujours culte

Difficile d'imaginer une bourse aux jouets sans Barbie : des blondes (surtout), mais aussi quelques brunes, voire même des poupées ethniques (plus rares et donc plus chères). Sans compter les accessoires, et les imitations (honnies par les spécialistes).
Si ce sont les petites filles qui les cèdent, ce sont souvent des adultes qui les rachètent : nostalgie, esprit de collection, frustration de mamans qui n'ont eu que des garçons…
En tout cas, j'en connais une qui m'a donné 20 € quand elle a su que j'allais « couvrir » les bourses aux jouets : « Si t'en trouves une… »
J'en ai rapporté trois : mission accomplie.

 

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