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Date de création : 28.05.2009
Dernière mise à jour :
15.08.2012
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Félin câlin
Dehors, les enfants crient. Ils courent.
Je les regarde jouer à « chat ».
Mais que de bruit ! J’aimerais être sourd…
Tout cela me hérisse le poil !
« Gâteau ! Gâteau ! ». Mais, on m’appelle !
De suite, je me lève sur mes pattes…
Du 4 heures, ce n’est que l’appel…
Leur façon de vivre m’épate !
Alors, je fais trois tours sur moi-même,
Pour retrouver ma place toute chaude
La chaleur, c’est ça que j’aime !
C’est ainsi que, souvent, je minaude
Dehors, un enfant me fait signe
C’est un Chinois « C’est ton année ! »
Rien compris ! Mais, je reste digne
Et prend le large sur mon Zodiac !
Qui peut vraiment me comprendre ?
Toujours pas cet idiot de Médor !
Entre ses crocs, il veut me prendre
Mais elle me protège : elle m’adore !
Elle, c’est Bastet, ma maîtresse.
Cette divine petite Egyptienne,
Gentille et belle comme une déesse,
m’adore… Moi aussi, je suis sienne !
Elle approche et je lui souris.
Je saute sur ses cuisses : silence…
Je ronronne, me lèche les babines…
Félin câlin, fais un câlin !
A toi, mon maître, je dédie cette prière:
Donne-moi souvent à manger et à boire; et, quand ma journée de travail est finie, veille à ce que ma litière soit sèche et propre et mon box suffisamment large afin que j'y sois à l'aise.
Chaque jour contrôle mes pieds soigne-moi avec une éponge humide.
Quand je refuse de manger, examine mes dents ; peut-être qu'un ulcère m'empêche de manger.
Comme je ne peux te dire quand j'ai soif, fais-moi boire souvent de l'eau fraîche et propre, même pendant le travail ; ceci m'évitera la colique et autres maladies.
Parle-moi : ta voix est souvent plus efficace que la cravache et les rênes.
Caresse-moi souvent pourque je puisse apprendre à t'aimer et te servir mieux.
Ne me tire pas la tête vers le haut avec le filet, ce qui me cause de grandes douleurs au cou et à la bouche et m'empêche de développer toutes mes forces et de me sauver des chutes.
Ne me coupe pas la queue, me privant ainsi de ma meilleure défense contre les mouches et les taons qui me tourmentent.
Ne tire pas sur les rênes, et dans les montées ne me donne pas de coup de cravaches. Ne me donne pas de coups, ne me bat pas quand je ne comprends pas ce que tu veux, mais essaye que je puisse te comprendre. Si je refuse, assure-toi que le mors et la bride soient en ordre et que je n'ai rien aux pieds qui me fasse mal. Si je m'effarouche, ne me frappe pas, mais pense que cela peut dépendre de l'usage des œillères qui m'empêche de bien voir ou de défauts de ma vue.
Ne m'oblige pas à tirer un poids supérieur à mes possibilités, ni à aller vite sur des rues glissantes. Quand je tombe, sois patient et aide-moi, car je fais de mon mieux pour rester debout; et si je bute, sache que ce n'est pas de ma faute ; n'ajoute pas à mon angoisse d'avoir échappé à in danger le mal de tes coups de cravache qui augmentent ma peur et me rendent nerveux.
Essaye de me mettre à l'abri du soleil. Et quand il fait froid, mets-moi une couverture Sur le dos, non pas quand je travaille, mais quand je suis au repos.
Et enfin, mon bon maître, quand la vieillesse me rendra inutile, ne me condamne pas à mourir de privations et de douleurs sous la férule d'un homme cruel, mais laisse moi mourir de vieillesse, au pré, chez un paysan qui me traitera bien ou dans une pension pour vieux chevaux méritants comme nous en avons ou enlève-moi toi-même la vie, sans me faire souffrir et tu en auras le mérite
Un grand merci à Bullies pour ce très beau kdo en faveur de la défense des animaux, il ne faut ni les abandonner, ni les maltraiter mais bien les aimer.
Le 25 décembre... Ce jour là, ce fut certainement le plus beau jour de ma vie!
Tu es venu, tôt le matin, nous voir moi et mes frères. Nous étions tous dans le panier familial avec maman pas loin pour surveiller tes faits et gestes. Tu as dis à mon papa "ils sont vraiment tous trop mignons!". A ce ton de voix, j'ai tout de suite su que je voulais venir avec toi! Je me suis approché, ma petite bouille toute timide, ma queue qui battait l'air, pour venir lécher tes mains. Je ne sais pas ce qui t'a plu, mais tu as craqué et tu m'as emporté. Dans la voiture j'étais si content... j'allais enfin vivre dans une vraie maison, devenir un grand chien, je serai ton fidèle compagnon! Et puis nous sommes arrivés. Devant moi se dressait un magnifique jardin avec plein de belles fleurs, des lumières ornaient les murs de ton foyer. Je ne savais pas pourquoi, mais j'allais bientôt le découvrir! Tu m'as mis un nœud rouge autour du cou, un chapeau rouge et un joli manteau tout aussi rouge, puis tu m'as emmené. Une petite fille est arrivée en courant et tu as crié "JOYEUX NOËL MA CHÉRIE!". Elle était vraiment contente de m'avoir comme compagnon, mais elle était si petite et si brutale! Souvent, elle me faisait mal en me tirant la queue ou les pattes, en criant trop fort dans mes oreilles, mais je l'aimais et elle aussi m'aimait! J'ai vite pris mes aises dans ta maison et je crois que ça ne t'a pas plu. Chaque jour, je faisais pipi et caca dans ta maison, je jouais avec les belles fleurs de ton jardin, tirais les guirlandes du sapin, mais j'étais si petit, il fallait m'éduquer. Petit à petit, tu oubliais de me donner à manger, de me promener et me câliner comme au début. Heureusement, ta fille te le rappelait souvent... elle était trop petite pour le faire elle- même, et toi, las de ces corvées journalières, tu repoussais toujours ce moment jusqu'à oublier. Mais j'étais heureux car il y avait Cloé, cette petite fille si fragile, si brute mais que j'aimais tant! On passait des heures à jouer ensemble. Deux semaines s'étaient écoulées depuis mon arrivée, je jouais avec ta fille et tu es arrivé, tu as dit à Cloé "et si on allait promener le chien". Je me souviens que tu ne prenais jamais la peine de m'appeler par mon nom, pour toi, j'étais "le chien". Seule Cloé m'avait surnommé "petit cœur" et elle te rapellait souvent mon nom quand, par malheur, tu l'oubliais. Comme promis, nous sommes partis en ballade. Tu as pris la voiture et, après quelques longues minutes de route, nous nous sommes arrêtés à une station essence. Tu as donné des sous à Cloé et tu lui as dit d'aller s'acheter des bonbons. Je l'ai vue s'éloigner jusqu'à ce que tu m'appelles, la porte grande ouverte. Je suis sorti avec toi, content de me dégourdir les pattes. Nous nous sommes éloignés dans la forêt et tu as enroulé ma laisse autour d'un tronc d'arbre. Je t'ai vu partir, tout content, enfin débarrassé d'un poids qui te pesait! J'avais si peur, j'ai pleuré, mais tu semblais ne pas m'entendre, mais, moi, je vous ai entendu... quelle leçon de vie tu as donné à ta fille! Elle est revenue avec des bonbons pleins les mains, comme si ça allait pardonner ton acte! Je me rappelle très bien ce moment: elle a crié mon nom plusieurs fois, puis a couru vers toi en pleurant, "où est tit cœur?" a-t'elle crié "je ne le trouve plus!". Comme un lâche, la seule réponse que tu as trouvée à lui dire était "Je suis désolé, ma chérie, mais il ne t'aimait plus et a décidé de partir". En entendant cela, j'ai eu envie de crier que c'était faux, mais vous ne m'entendiez pas, j'étais trop loin. Cloé a pleuré encore et encore, disant que tu mentais, et vous avez fini par partir. J'ai entendu le bruit du moteur s'éloigner, les pleurs s'estomper, et je me suis retrouvé seul, avec pour seul compagnie cette arbre et l'odeur de Cloé encore sur la laisse. La nuit est tombée, je me suis recroquevillé en boule, espérant que tu allais regretter ton geste, céder aux pleurs de Cloé, comme quand tu as cédé à ses envies. Mais les jours ont passé et tu ne revenais pas. Combien de temps suis-je resté là, mon ventre me tenaillant, le froid m'immobilisant, sous cette neige qui m'engloutissait? Peut-être 4 jours, ou 5, j'avais l'impression que cela faisait des mois que j'étais là! J'étais si petit, si fragile! Je priais dieu pour qu'il vienne enfin me chercher. Et enfin, quelqu'un est passé par là, un homme qui, en me voyant, l'horreur a traversé son regard et il a couru vers moi. Il m'a mis dans son manteau et, pour la première fois depuis des jours, j'ai cru que j'étais enfin mort, qu'enfin, j'avais gagné le paradis. Il m'a mis dans sa voiture et nous avons roulé. Cette promenade était bien trop courte à mon goût. Il m'a emmené dans un grand bâtiment rempli de chiens et de chats, seuls dans leurs boxes. Une dame nous a accueillis, si triste de me voir les rejoindre, et, à contre cœur, elle m'a mis dans un des boxes qui était vide. Les mois ont passé, j'ai grossi, j'ai grandi, on me faisair des câlins, me promenait de temps à autre, mais je me sentais si seul! Personne ne s'intéressait à moi, il y avats bien plus beau! Et enfin, il y a eu cette délivrance! La dame qui s'occupait de moi est venue me voir, m'a pris dans ses bras et je crois que jamais je n'ai eu un si beau câlin. Elle m'a conduit dans cette pièce qui sentait la mort. Une autre femme, qui parfois venait me voir quand j'allais mal, m'a immobilisé et, enfin, m'a donné la piqûre de la délivrance. Je me suis endormi, tout près de vous qui pleuriez sur mon sort. Mais ne vous en faites pas, je vous aime vous qui avez du prendre cette décision. Et mon maître, sache que si un jour tu revenais, la porte de mon cœur serait grande ouverte, j'irais te lécher les mains comme au premier jour et je serais ton fidèle compagnon, même si tu ne l'as jamais été.
Petit cœur.
Texte de POKIE : 13 ans
son site
http://zoo-land.forumactif.com/forum.htm
http://bullies.centerblog.net/
Semaine 1 :
Ca fait aujourd'hui une semaine que je suis né, Quel bonheur d'être arrivé dans ce monde!
Mois 01 :
Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire.
Mois 02 :
Aujourd'hui j'ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m'a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine" s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a fait.
Mois 04 :
J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer.
Mois 05 :
Aujourd'hui, ils m'ont disputé. Ma maîtresse m'a grondé parce que j'ai fait "pipi" à l'intérieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais pas!
Mois 12 :
Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent être fiers de moi !
Mois 13 :
Aujourd'hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m'a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes mâchoires sont devenues fortes et je l'ai blessé sans le vouloir. Après la peur, ils m'ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien à ce qui se passe.
Mois 15 :
Plus rien n'est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens très seul, ma famille ne m'aime plus. Ils oublient parfois que j'ai faim et soif. Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter.
Mois 16 :
Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'étais sûr que ma famille m'avait pardonné et j'étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont arrêtés. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. "Ecoutez, attendez !" Vous... vous m'oubliez. J'ai couru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'évanouir et qu'ils ne s'arrêtaient pas : ils m'avaient oublié.
Mois 17 :
J'ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison. Je me sens et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger. Je les remercie du regard et du fond du coeur. J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dû se perdre.
Mois 18 :
L'autre jour, je suis passé devant une école et j'ai vu plein d'enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un groupe, en riant, m'a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m'a abîmé l'oeil et depuis je ne vois plus de celui-ci.
Mois 19 :
Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j'étais plus joli. Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé. J'ai perdu mon oeil et les gens me font partir à coup de balais quand j'essaie de me coucher dans un petit coin d'ombre.
Mois 20:
Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n'oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m'écraser. Si au moins il m'avait tué ! Mais il m'a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrières ne réagissent plus et je me suis difficilement tiré vers un peu d'herbe au bord de la route.
Mois 21 :
Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe. Des gens passent, ils ne me voient même pas, d'autres disent "ne t'approche pas". Je suis presque inconscient, mais une force étrange m'a fait ouvrir les yeux... la douceur de sa voix m'a fait réagir. Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t'ont laissé"... avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m'a touché et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances". La gentille dame s'est mise à pleurer et a approuvé.
Comme je le pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardé, la remerciant de m'aider à trouver enfin le repos.
Je n'ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j'étais né si personne ne me voulait.
La solution n'est pas de jeter un chien à la rue, mais de l'éduquer. Ne transformez pas en problème une compagnie fidèle.
SANS DOUTE VOUS NE RESSEMBLEZ PAS A CES GENS QUI ABANDONNENT LEUR ANIMAL MAIS D'AUTRES OUI. IL EST DONC IMPORTANT QUE CE MESSAGE CIRCULE - PEUT ETRE FERA T-IL REFLECHIR QUELQUES UNS, NE FUT CE QU'UN SEUL, ALORS UN ANIMAL SERA SAUVE.
MERCI POUR NOS FIDELES AMIS
Envoyez ce mail à autant de personnes que vous pouvez. Ca ne coûte rien !!!
Un animal
Regarder dans leurs yeux la joie l'amour la tendresse.
Ses petit yeux là vous remercie de votre gentillesse.
Il vous remercie bien.
Rien quand faisant un petit câlin.
Il ai aimer depuis que vous avez adopté.
Grâce a vous il a été sauvé des gens qui le mal traitait.
Il est un peu coquin.
Mais vous aimer bien.
Car c'est un copain.
Depuis que c'est votre chien.
Votre animal de compagnie qui soit grand ou petit
Il faut bien se le dire c'est pour la vie.
Regarder dans leurs yeux la peur la haine la tristesse.
Quand il sait qu'il aura plus de caresse.
Il est malheureux car il est laisser.
Sans être regarder dans les yeux il se sens détester.
Depuis qu'il est abandonné.
A causse de vous il sera peut être pas sauvé.
Il reste dans un coin jusqu'au lendemain.
Pour pourvois un matin.
Redevenir un copain.
Pour quelqu'un qui fera du bien.
Votre animal de compagnie qui soit grand ou petit
Il faut bien se le dire c'est pour la vie.