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Date de création : 09.08.2009
Dernière mise à jour :
31.01.2016
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La Grèce, qui avait laissé une des plus mauvaises impressions au niveau du jeu sur les deux premières journées de l'Euro, est en quarts de finale ! Les joueurs de Fernando Santos ont réussi l'exploit de dominer la Russie (1-0) samedi lors de leur ultime match dans le groupe A, et pourraient retrouver l'Allemagne. Quel que soit l'adversaire, ce sera sans Giorgos Karagounis, suspendu.
C'était un peu impensable, mais ils l'ont fait. Les Grecs ont décidément une histoire très particulière avec l'Euro, et c'est bien sûr un immense paradoxe au vu de la situation économique de 2012. Cette inespérée victoire contre la Russie (1-0) aura peut-être été un symbole fort. Comme les finances de son pays, la sélection nationale était au bord de l'implosion, après deux premiers matches faiblards. Mais elle s'en est finalement sortie. Alors, seul l'avenir dira si la Grèce reste dans la zone euro, mais ça vaut aussi pour le foot. Après tout, rien ne dit que l'aventure des joueurs de Fernando Santos s'arrêtera en quarts...
Ils auront de bonnes chances d'affronter l'Allemagne, et la montagne risque quand même d'être un peu haute. Surtout que les Hellènes devront faire sans Giorgos Karagounis, capitaine et héros malheureux du soir, puisque buteur et suspendu à la fois. Huit ans après l'épopée portugaise, la Grèce vient à nouveau frapper à la porte du Vieux continent, et la manière est encore plus inattendue. En 2004, la victoire d'entrée face au Portugal avait au moins permis de prévenir... La Russie est l'immense victime collatérale de ce joyeux bazar, éliminée dès le premier tour à la surprise générale.
La Russie tombe de haut
Les hommes de Dick Advocaat, qui avaient a priori confirmé leur statut d'outsiders après leur démonstration contre la République tchèque (4-1) lors du premier match, en sont donc pour leurs frais. Tchèques et Grecs seront bien au rendez-vous des quarts, et pas eux. Sur le match, ce n'est pas forcément volé. Karagounis a profité d'une erreur de placement de Zhirkov sur une longue touche pour marquer en fin de première période (1-0, 45e+2), alors qu'Andrey Arshavin (11e), Alexander Kerzhakov (13e) ou Yuri Zhirkov (40e), justement, se sont procurés des occasions. Mais le Monégasque Giorgios Tzavellas (qui ne restera pas en Principauté) a aussi touché le poteau sur coup franc (71e).
Plus qu'un tournant du match, la simulation - pas forcément avérée - de Karagounis et le carton jaune qui en a résulté, à l'heure de jeu, pourrait surtout représenter un virage dans la compétition des Grecs. Avec des moyens déjà limités, ces derniers devront donc faire sans leur aboyeur en chef en quarts de finale. D'aucuns penseront que la présence de la Russie dans le top 8 aurait été préférable, mais la vérité d'un grand tournoi ne se limite évidemment pas au seul potentiel. La Grèce commence à connaître la recette par coeur.
C'est avec le sourire que Laurent Blanc s'est présenté en conférence de presse à la Donbass Arena de Donestk. Le succès acquis face à l'Ukraine (2-0) place en effet l'équipe de France dans une position favorable dans l'optique de la qualification. Le sélectionneur a expliqué ses choix de titulariser Ménez buteur et Clichy. Des choix offensifs qu'il revendique et qui lui ont donné raison.
Avez-vous eu peur de ne pas jouer ce match ?
Ça ne dépendait pas que de nous. Quand le match a été arrêté, notre crainte était qu'on ne puisse pas jouer car on l'avait bien préparé. On a attendu un peu pour le jouer... Après 30 minutes face à l'Angleterre, la météo a failli faire en sorte qu'on ne débute pas correctement. La pelouse était dans un état correct, le stade a très bien réagi, c'est une bonne chose. On avait prévu de changer de stratégie si le terrain avait été en mauvais état, cela n'a pas été le cas. L'arrêt n'a pas eu de conséquence sur notre stratégie.
Qu'avez-vous fait pendant l'heure d'attente ?
Les deux équipes sont rentrées au vestiaire, les joueurs se sont changés car ils étaient mouillés, ensuite il y a eu une période de doute, il y avait de la pluie et de l'orage c'était dangereux, les officiels nous ont dit d'attendre 20 heures, on a été dans la salle d'échauffement, pour rester concerné et prêt pour la reprise.
Quelle est votre analyse du match ?
On a été dominateur pendant presque tout le match, j'ai vu les statistiques sur la possession et les tirs. On a construit notre victoire en première période, j'ai dit aux joueurs de ne pas lâcher. On s'attendait à une réaction des Ukrainiens pendant les 15 premières minutes mais on a dominé, on a eu des temps forts, ils en ont aussi mais je pense qu'on mérite cette victoire.
"Ménez possède une qualité rare"
Que signifie cette victoire après une si longue attente ?
Je suis très heureux d'avoir gagné. 6 ans sans victoire en compétition officielle c'est long, j'espère qu'on n'attendra pas 6 ans de plus car sinon je ne serai pas là pour vous en parler, j'aurai été viré avant !
Pourquoi avoir titularisé Ménez ?
Je ne veux pas sortir une individualité mais il a besoin de confiance et possède une des qualités qui devient de plus en plus rare, il sait prendre la profondeur. On avait bien étudié le jeu de l'Ukraine, elle est joueuse mais déséquilibrée et laisse des espaces. Il prend la profondeur, il a du talent et doit prendre confiance au niveau international pour donner la pleine mesure de son talent. Cette soirée va lui faire du bien.
Pourquoi avoir misé sur Clichy plutôt que sur Evra ?
Ce n'était pas une sanction, c'est ce que je pense, on savait qu'on devait gagner et donc attaquer. Gaël est dans une forme physique excellente, et on savait qu'en face, Gusev prenait beaucoup les espaces. Il fallait mettre quelqu'un qui avait des jambes de feu. C'était un choix offensif de le mettre à la place d'Evra.
Le premier match des Ukrainiens vous avait-il aidé ?
On avait bien étudié l'adversaire, vu plusieurs fois leur premier match. Les Suédois avaient dit qu'ils avaient trop attendu et que du coup ils avaient pris des risques, c'était l'erreur à ne pas commettre, il ne fallait pas laisser l'Ukraine mettre son jeu en place et prendre confiance. On a donc décidé de jouer haut, d'être agressif et d'écarter beaucoup car on avait vu que leur équipe se regroupait beaucoup au milieu.
Que pensez-vous de la Suède ?
C'est un pays qu'on connaît bien, on les joue souvent, je les ai rencontrés en tant que joueur. C'est toujours difficile, ils ont un jeu physique. J'ai vu leur premier match et s'ils avaient égalisé, il n'y aurait pas eu grand-chose à dire. On connaît des Suédois, certains jouent en Ligue 1 et ils ont un grand joueur qui s'appelle Ibra. Il faut le surveiller car il peut marquer à tout moment. Ils ont un collectif solide, ce sera un adversaire coriace, j'en suis certain.
Andrea Pirlo a été le véritable chef d'orchestre de la Squadra Azzurra, qualifiée dimanche soir pour les demi-finales de l'Euro. Le meneur de jeu italien, inspiré et précis, a parachevé son récital d'une splendide Panenka lors de la séance de tirs au but fatale à l'Angleterre. Le talent du joueur de la Juventus, à 33 ans, a rejailli sur tous ses partenaires.
Andrea PIRLO: 8
Il a su éclairer le jeu italien grâce à la précision de ses passes. Sa clairvoyance mise au service du collectif a donné du relief au jeu offensif des Italiens et il est pour beaucoup dans la domination territoraile de son équipe pendant la quasi totalité de la rencontre. S'il a été un peu moins percutant sur la fin de match, l'un des vétérans de la Squadra a quasiment toujours joué juste et dans le bon tempo avec un déchet minimum dans son jeu et des passes qui auraient été décisives si les attaquants avaient fait preuve de plus de réalisme. Une prestation d'artiste, saluée par un modèle de Panenka sur son tir au but. Somptueux.
Gianluigi BUFFON: 7
Mis à contribution très vite, le fidèle portier de la Juve a sorti un arrêt réflexe de grande classe en repoussant le ballon d'une main suite à une frappe à bout portant de Johnson (5e). Il a ensuite passé une soirée plus tranquille que son vis-à-vis, mais s'est montré vigilant quand il le fallait, comme sur ce coup franc fuyant de Gerrard qui cherchait la tête d'un de ses partenaires (76e). Décisif dans la séance de tir au but en repoussant la tentative de Cole.
Ignazio ABATE: 6.5
Sa vitesse a souvent perturbé la défense anglaise lors de ses incessantes montées, à l'image de cette accélération et de ce bon centre qui n'a pas trouvé preneur (47e). Sérieux défensivement, le défenseur milanais a été remplacé par Christian MAGGIO (89e) juste avant la fin du temps réglementaire. Son suppléant, sobre, a rarement été mis en difficulté par les attaquants anglais.
Andrea BARZAGLI: 6
Il a rassuré son équipe grâce à des interventions propres et a très bien éteint les velléités de Rooney. Des relances précises qui ont permis aux Italiens de vite repartir de l'avant. Averti, un peu sévèrement, pour un tacle sur le ballon avant de toucher le tibia de Cole (82e)
Leonardo BONUCCI: 6
Comme son compère de la défense centrale, sa prestation ne souffre d'aucun raté. Présent dans les duels, à l'image de cette belle intervention sur un centre en retrait (12e), il a découragé les attaquants anglais au fil des minutes.
Federico BALZARETTI: 6
Moins prompt à se projeter vers l'avant qu'Abate, le joueur de Palerme s'est d'abord contenté de ses tâches défensives avant de sortir davantage de sa zone au fur et à mesure que le match avançait. Il a créé le danger sur un bon centre que Diamanti n'a pas concrétisé (112e). S'est dépensé sans compter.
Claudio MARCHISIO: 6
Sobre mais efficace, le joueur de la Juve a réussi un match plein, tant à la récupération qu'à la distribution. Moins en vue que certains de ses compères du milieu de terrain, il a pourtant contribué à la mainmise des Transalpins sur la possession du ballon.
Riccardo MONTOLIVO: 6.5
Quelques gestes techniques de grande classe, comme cette passe dosée au millimètre pour Balotelli (31e). Il aurait pu marquer s'il avait réglé la mire sur une reprise de près suite à une triple occasion de la Squadra Azzurra (52e). S'est quelque peu éteint au fil du match mais une grosse performance pour le meneur de jeu de la Viola, juste ternie par un tir au but à côté. Un raté sans conséquences...
Daniele DE ROSSI: 6.5
Le milieu de terrain de la Roma a beaucoup pesé sur les débats. Une frappe vrillée de l'extérieur du gauche des 30 mètres aurait pu changer la donne du match dès l'entame si le ballon n'était pas retombé sur le poteau anglais (3e). Très prompt à tenter sa chance de loin, il a adressé une belle reprise du gauche de près qui n'a pas trouvé le cadre alors que la défense anglaise l'avait oublié sur une remontée rapide (48e). Une autre grosse frappe repoussée par Hart (52e). Remplacé par Antonio NOCERINO (80e) qui aurait pu mettre tout le monde d'accord avant la prolongation si sa frappe, enchainée après un contrôle dans la course, n'avait pas été repoussée par un tacle de Johnson (88e). Il a cru, en toute fin de match, avoir fait la décision mais sa reprise de la tête dans les filets de Hart avait été effectuée dans une position de hors-jeu (114e). Il a marqué son tir au but.
Mario BALOTELLI: 6
Le controversé attaquant de City s'est procuré beaucoup d'occasions mais a manqué de réussite. Il a raté un un-contre-un face à Hart, son coéquipier à Manchester (25e). Ses tentatives, souvent pas assez précises ou trop molles, ont soit fait briller le gardien anglais soit manqué le cadre (31e, 43e, 52e). Une tentative spectaculaire en ciseau retourné non cadrée (59e). Alerte pendant les 120 minutes, "Super Mario" a peut-être trop voulu en faire au fil des minutes. Mais il n'a pas craqué face à Hart, qui l'a pourtant longuement défié avec le sourire aux lèvres, au moment de lancer la séance de tirs au but.
Antonio CASSANO: 5.5
Le virevoltant attaquant de la Squadra a livré une prestation moyenne. S'il a su se montrer dangereux, à l'image de son tir détourné par Hart (37e) après deux premières tentatives moins précises ou sur une parfaite remise en retrait de la tête pour Balotelli (41e), il a aussi parfois péché par excès de gourmandise. Remplacé par Alessandro DIAMANTI (78e) qui s'est mis de suite en évidence sur une frappe du gauche captée par Hart (80e). La précision de son pied gauche a encore prévalu sur un centre-tir enroulé venu mourir sur la base du poteau (101e). Il a en revanche manqué de précision suite à un bon centre de Balzaretti (112e) juste avant d'adresser une offrande pour Nocerino qui a marqué de la tête mais dans une position illégale (114e). Auteur du penalty de la qualification.
Comme en 2006, la Squadra Azzurra a brisé le rêve d'une Mannschaft, qui semblait pourtant taillée pour le titre, ce jeudi à Varsovie, en demi-finale du Championnat d'Europe des Nations (2-1). Trublions du dernier carré, les Italiens ont su faire déjouer les Allemands, s'imposant logiquement grâce à un doublé de Mario Balotelli. Espagne-Italie, telle sera l'affiche ultime de cet Euro 2012.
Une vraie malédiction. Jamais l'Allemagne n'a battu l'Italie en phase finale d'une grande compétition internationale. Une série noire en huit actes désormais. Comme en demi-finale du Mondial 2006 - sa Coupe du monde - la Mannschaft a buté sur l'obstacle transalpin, jeudi soir à Varsovie, sur la route d'une finale qui lui semblait pourtant promise depuis l'ouverture des hostilités voilà trois semaines. Après un carton plein en éliminatoires et quatre victoires probantes ici en Pologne, la sélection de Joachim Löw est tout simplement tombée sur plus forte qu'elle.
Mario Gomez, Mesut Özil, Lukas Podolski, Philipp Lahm et bien sûr Bastian Schweinsteiger - touché à la cheville et longtemps incertain avant la rencontre - aucun des cadres avérés de cette impressionnante Allemagne n'a su se montrer à la hauteur du rendez-vous ce jeudi. L'audace insufflée par Cesare Prandelli dans les rangs d'une Squadra Azzurra redevenue irrévérencieuse à souhait a il est vrai pesé lourd dans les débats. Magnifiquement incarnée par des Andrea Pirlo, Antonio Cassano et Riccardo Montolivo à la technique étourdissante.
Balotelli achève la Mannschaft
Si le premier d'entre eux, impliqué sur chacun des buts italiens jusqu'alors, s'est ce soir cantonné avec brio à un rôle de précieux métronome, prenant le jeu à son compte et gratifiant les siens de ballons subtilement distillés, les deux autres se sont illustrés dans un rôle de détonateur. Antonio Cassano d'abord, en enrhumant Mats Hummels, avant de délivrer un centre au cordeau pour la tête victorieuse de Mario Balotelli, au nez et à la barbe de Holger Badstuber (1-0, 20e). Puis Riccardo Montolivo, d'une ouverture lumineuse à destination du même attaquant de Manchester City, parti dans le dos de Philipp Lahm et impitoyable devant Manuel Neuer (2-0, 36e).
Déjà crédité d'une prestation remarquable en quart de finale contre l'Angleterre, Mario Balotelli a cette fois fait preuve d'un réalisme assassin, achevant en deux coups de griffes une National Mannschaft incapable dès lors de revenir. Les entrées de Marco Reus et Miroslav Klose à la pause n'y ont rien fait, pas plus que le lancement très tardif de Thomas Müller (70e). Et sans la maladresse de Claudio Marchisio (74e) ou Antonio Di Natale (82e) en fin de rencontre, l'addition aurait pu être plus lourde encore pour les Allemands. Auteur de quelques belles parades, sur des frappes de Sami Khedira (35e) et Marco Reus (62e) notamment, Gianluigi Buffon ne se sera guère incliné que sur le penalty accordé à Mesut Özil pour une main de Federico Balzaretti dans la surface (2-1, 91e). Trop tard pour changer le cours de l'histoire, et empêcher l'Italie de rejoindre l'Espagne en finale. Pour un premier sacre continental depuis 44 ans ?