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Date de création : 09.08.2009
Dernière mise à jour :
31.01.2016
113496 articles
Le choc de la 2e journée du groupe B entre l'Allemagne et les Pays-Bas a tourné mercredi soir à l'avantage de la Mannschaft qui a dominé des Oranje longtemps méconnaissables grâce à un doublé de Gomez contre un but de Van Persie (2-1). Pour autant, rien n'est joué dans ce groupe B où les quatre équipes ont encore la possibilité de se qualifier pour les quarts de finale.
Il faudra sortir les calculettes dimanche prochain pour la dernière journée du groupe B de l'Euro 2012, ce «groupe de la mort» pour l'instant nettement dominé par l'une des grandes favorites de la compétition, l'Allemagne. En battant ce mercredi soir dans la touffeur de Kharkiv des Pays-Bas qui auront mis trop de temps à entrer dans la partie (2-1), les hommes de Joachim Löw ont fait un grand pas vers la qualification pour les quarts de finale, mais n'y sont pas encore, puisqu'une défaite face au Danemark lors du dernier match à Lviv, conjuguée à une victoire portugaise sur les Pays-Bas dans le même temps à Kharkiv, pourrait, selon les scores, pousser la Mannschaft vers la sortie.
Un scénario cependant bien improbable tant le finaliste du dernier Euro, à qui un nul face aux Danois suffira, a longtemps affiché face aux Néerlandais une maîtrise qui devrait lui suffire pour remplir son premier objectif, les Scandinaves ne semblant a priori pas en mesure d'enrayer la machine allemande. Les Pays-Bas, vice-champions du monde, n'en ont, eux, pas été capables, étouffés pendant plus d'une heure par la présence physique de la Mannschaft mais aussi victimes de leurs errements défensifs, décidément le gros talon d'Achille de cette équipe qui risque de continuer de promener encore quelques années son étiquette de «loser». Leur réveil a ensuite été trop tardif pour arracher le point du match nul, les voilà aux portes de l'élimination, même s'ils peuvent encore passer à la double condition de battre le Portugal dimanche et que l'Allemagne domine le Danemark (le goal-average serait alors le juge de paix).
Gomez-Schweinsteiger, la paire d'as
Pour ce choc face à l'ennemi juré allemand, Bert Van Marwijk, qui peut s'attendre à un accueil houleux à son retour au pays si les Néerlandais restent sur le carreau dès le premier tour, avait décidé de ne quasiment rien changer par rapport à l'équipe battue quatre jours plus tôt par le Danemark à la surprise générale: si Mathijsen fait son retour en défense centrale, Huntelaar, réclamé par beaucoup, a encore les «honneurs» du banc de touche, laissant Van Persie seul en pointe, tout comme Van der Vaart, à qui Afellay est préféré dans le couloir gauche. Des choix tout près d'être payants puisque la première occasion est pour Van Persie qui reprend de volée une longue ouverture par-dessus la défense de Van Bommel, mais Neuer veille au grain (7e).
Quasiment la seule occasion du premier acte pour des Oranje qui, très vite, perdent pied face à la puissance et la technique adverses, nettement supérieures. Özil passe tout près de l'ouverture du score sur une reprise de volée du gauche sans élan sur le poteau gauche de Sketelenburg (8e), une chaude alerte qui annonce le premier but allemand: sur un beau mouvement collectif, Schweinsteiger, dans l'axe, sert Gomez qui, à la limite du hors-jeu, effectue un contrôle en pivot qui laisse la paire Heitinga-Mathijsen sur place avant de tromper Sketelenburg d'un parfait intérieur du droit (0-1, 24e). Le gardien néerlandais sort ensuite miraculeusement une tête à bout portant de Badstuber après un coup franc tiré côté droit par Özil (37e), avant de constater une nouvelle fois les dégâts, sur une frappe croisée de Gomez, encore servi par Schweinsteiger, et qui inscrit son troisième but de la compétition, son vingt-cinquième en sélection (0-2, 37e).
A la pause, l'Allemagne a un pied en quarts, les Pays-Bas un à la maison, poussant Bert Van Marwijk à jouer l'attaque à tout-va en faisant rentrer Huntelaar et Van der Vaart aux places de Van Bommel et Afellay. Déséquilibrés, les Néerlandais se créent des occasions, par Van Persie (reprise sortie par Neuer, 58e) et Sneijder (frappe enroulée à côté, 62e, puis tir sauvé in extremis par Boateng, 71e), mais s'exposent aussi aux contres, comme sur cette remontée plein axe de Hummels qui oblige Sketelenburg à un double arrêt (52e). A force d'insister, les Oranje sont récompensés sous la forme d'un exploit personnel de Van Persie qui, à vingt mètres du but, décoche une puissante frappe du droit entre les jambes de Badstuber et hors de portée de Neuer (1-2, 73e). Les Pays-Bas tentent alors le tout pour le tout, mais sans parvenir à réellement inquiéter une Mannschaft qui termine le match au petit trot, quasiment qualifiée pour les quarts. Pas de doute: il faudra compter sur l'Allemagne pour le titre européen. On n'en dira pas autant de Néerlandais pas assez complets et collectifs pour rivaliser, Robben mais aussi Sneijder ayant encore failli, preuve qu'il ne suffit pas d'aligner les joueurs de talent pour viser haut...
Grâce à Mario Gomez, l'Allemagne a battu le Portugal (1-0) et rejoint le Danemark, vainqueur des Pays-Bas (1-0), en tête du groupe B de l'Euro 2012 de football.
C'était le premier choc de l'Euro 2012. Le match que tout le monde attendait. D'un côté, l'Allemagne, une des trois favorites de la compétition. De l'autre, le Portugal de Cristiano Ronaldo, outsider du tournoi. Deux équipes techniques qui ont finalement offert un spectacle globalement décevant, symbolisé par la courte victoire (1-0) de la Mannschaft grâce à un but de Mario Gomez peu après l'heure de jeu (70e), ce samedi à Lviv, en Ukraine.
Si l'équipe du Portugal a montré un visage nettement plus séduisant à partir du moment où elle a été menée au score, en produisant enfin un jeu tourné vers l'avant, elle s'est longtemps contentée de regarder jouer l'Allemagne, lui laissant la possession du ballon et préférant défendre bas en misant tout sur les contres.
Pepe trouve la barre puis la ligne
Avant le but de Mario Gomez, qui a pu faire admirer son redoutable jeu de tête à la réception d'un centre contré de Sami Khedira, la sélection allemande s'appliquait déjà à passer par les côtés pour essayer de contourner la toile d'araignée défensive tissée par les Portugais. Sans succès.
Ainsi, les tentatives de Mario Gomez (1e), Lucas Podolski (9e, 30e) et Thomas Müller (39e) ne trouvaient pas le chemin des filets. C'est même le défenseur du Real Madrid, Pepe, qui à la réception d'un corner tiré par João Moutinho, manquait d'ouvrir le score d'un plat du pied enroulé qui terminait sa course sur la barre transversale de Manuel Neuer avant de rebondir sur la ligne et de sortir miraculeusement (44e).
24e but de Mario Gomez
Après l'ouverture du score signée Mario Gomez, son 24e but en 54 sélections, les coéquipiers de Cristiano Ronaldo, plutôt discret dans ce match, ont poussé pour égaliser, mais les occasions de Fabio Coentrão (82e), Silvestre Varela (87e) ou encore Nani (82e, 92e) n'ont pas été concrétisées.
En dix-sept confrontations entre les deux équipes, c'est la neuvième victoire de l'Allemagne. Grâce à ce succès, la sélection entraînée par Joachim Löw, finaliste de l'Euro 2008 et demi-finaliste des deux dernières Coupes du monde (2006 et 2010), prend la tête du groupe B, à égalité avec le Danemark, vainqueur surprise des Pays-Bas (1-0) en fin d'après-midi.
Au prochain match, mercredi, le Portugal jouera (déjà) sa survie contre le Danemark, à 18 heures. Dans la foulée, les Hollandais, eux aussi sous pression, affronteront les Allemands en début de soirée. Les deux premiers de ce groupe rencontreront, en quart de finale, les deux premiers du groupe A, où la Russie est en tête après sa large victoire (4-1) sur la République Tchèque vendredi.
L'aventure s'est terminée au bout d'une séance de tirs au but malheureuse pour le Portugal. Les hommes de Paulo Bento avaient pourtant tactiquement parfaitement abordé cette demi-finale. Incapable de s'appuyer sur ses grands principes de jeu, la Roja a tremblé 90 minutes durant avant de reprendre vie en prolongation. Le courage et l'abnégation du Portugal auraient pu suffire. Mais la loterie en a décidé autrement.
Fierté, déception et quelques larmes. Les Portugais ont sans doute eu beaucoup de mal à trouver le sommeil mercredi tard dans la soirée à l'issue d'une demi-finale cruelle. Le positif viendra plus tard, sans doute accompagné par un sentiment d'orgueil d'avoir tenu tête au champion du monde et d'Europe qui a filé vers une historique troisième finale de rang. Là où toutes les équipes, à commencer par la France, se sont cassé les dents, les coéquipiers d'un Moutinho absolument phénoménal pendant ce match ont osé. Ils sont restés compacts et ont joué en avançant systématiquement. Un pressing payant mais éreintant, évidemment.
"On a joué de façon fantastique, ce soir (mercredi) je pense qu'on était meilleurs qu'eux durant les 90 premières minutes, même si on était moins efficaces en prolongation, on les a plus laissés jouer. Si j'avais dû choisir une façon de perdre, je n'aurais pas choisi celle-là", plaidait après coup un Paulo Bento qui a sans doute donné des leçons à tous les futurs adversaires de l'Espagne. "Je veux adresser mes félicitations aux Portugais qui ont réalisé un très beau tournoi. Je pense qu'on a eu beaucoup de réussite", assure pour sa part Vicente del Bosque, conscient que le match aurait pu tourner dans l'autre sens.
Ronaldo n'a pas été décisif
La méthode était là, l'application aussi. Il n'a pas manqué grand-chose, peut-être un soupçon de réussite d'un Cristiano Ronaldo surveillé comme le lait sur le feu et qui n'a guère brillé. Il a pourtant eu plusieurs fois l'opportunité d'enfiler le costume du héros dans le dernier quart d'heure, sur coups francs ou notamment ce contre de feu dans le temps additionnel terminé par une frappe hors cadre. "CR7" n'en aura pas cadré une seule sur sept opportunités... "Je n'ai pas vraiment d'opportunité de marquer, j'essaye toujours de faire de mon mieux. On était bien dans le tournoi mais on ne gagne pas par manque de chance. On est frustré de s'arrêter là mais on doit aussi être fier de notre parcours", analyse le Madrilène.
En zone mixte, les Espagnols accorderont tous un grand mérite à leurs adversaires, pour leur prestation défensive et parce que, comme le disait Pique, "la pièce est retombée du bon côté". Cela n'empêchera pas Pepe de taper dans la main d'un Casillas qui répondait à la presse. Malgré tout, la déception était terrible et les mines forcément fermées. Peu d'entre eux ont choisi de parler. Il leur faudra sans doute un peu de temps pour digérer cette amère déception. "Les joueurs vont maintenant vers des vacances méritées. En septembre, on repensera à tout ça et aux qualifications pour 2014. Mais nous savons comment jouer, on sait qu'on peut être compétitif pour n'importe quel tournoi", concède Paulo Bento, conscient du chemin parcouru pour une équipe qui ne devait pas sortir de son groupe de qualification, qui s'est arrachée des barrages puis du groupe de la mort avec l'Allemagne et les Pays-Bas. Le Portugal peut regarder fièrement en arrière.
Match de la dernière chance pour les Pays-Bas, qui affrontent le Portugal, ce dimanche soir, à Kharkov, pour le compte de la troisième journée du groupe B de l'Euro 2012. Finalistes de la dernière Coupe du monde, les joueurs néerlandais n'ont plus leur destin entre les pieds. Voici le pourquoi du comment de cette élimination possible et inattendue.
Malgré un zéro pointé, les Pays-Bas se qualifieront s'ils l'emportent par au moins deux buts d'écart contre le Portugal, ce dimanche soir, à Kharkov, et qu'en même temps l'Allemagne gagne face au Danemark. Chose plus facile à dire qu'à faire, c'est vrai. Surtout quand on sait que les Oranje n'ont remporté qu'un seul de leurs dix matches devant la Selecção (un succès 1-0 à Rotterdam en éliminatoires de l'Euro 1992) et que la sélection portugaise a systématiquement battu son homologue néerlandaise en phase finale d'un tournoi international, aussi bien en Coupe du monde (1-0 en 2006), que lors d'un championnat d'Europe (2-1 en 2004).
Voilà pour les chiffres, pas vraiment favorables aux hommes de Bert van Marwijk. Et les paroles dans tout cela ? "Je suis ici pour devenir champion d'Europe, soutient Wesley Sneijder, qui garde espoir malgré tout. J'y crois encore, mais il faut jouer davantage en équipe, comme les Allemands l'ont fait" mercredi. Quatre jours après avoir buté contre le Danemark (0-1), équipe présumée la plus faible du groupe B, les Pays-Bas, finalistes du dernier Mondial, avaient encore échoué cette fois face à un rival d'un tout autre calibre, en l'occurrence l'Allemagne (1-2), mais auquel ils ont facilité la tâche en ne parvenant pas à parfaire leur expression collective, en n'étant pas assez agressifs en défense ou au milieu et pas assez dangereux sur les ailes.
"Il n'y a aucune cohésion entre nos lignes, déplorait dans la foulée Arjen Robben, qui n'a converti aucun de ses 29 derniers tirs, soit depuis la finale de la Ligue des champions perdue avec le Bayern Munich (club et sélection confondus). Il y a des espaces et nous ne communiquons pas, donc c'est difficile de récupérer le ballon. Nous ne sommes pas aussi forts sur le plan collectif que nous l'étions il y a deux ans". Sneijder abonde dans le même sens que son compatriote: "Nos automatismes semblent avoir disparu. C'est fou ! Je ne comprends pas ce qu'il nous arrive".
Il y a dans cette formation des Pays-Bas arrivée en Ukraine pleine de certitudes quelque chose de l'équipe de France de 2002, éliminée sans gloire de la Coupe du monde en Corée du Sud et au Japon. Ils ont survolé les qualifications et comptent dans leurs rangs le meilleur buteur de Premier League (Robin van Persie, 30) et celui de Bundesliga (Klaas-Jan Huntelaar, 29). D'où, peut-être, une guerre des égos ? "Bien sûr que l'ambiance n'est pas la même qu'en 2010. C'est normal quand on ne gagne pas. Cela dit, il n'est pas nécessaire que nous soyons tous amis pour jouer ensemble et gagner des matches. Et je n'ai pas l'impression qu'il y ait des clans, des petits groupes qui s'opposent. Si c'était le cas, je réagirais", répond Sneijder, patron du vestiaire néerlandais, en guise de conclusion. Mais le mal n'est-il pas déjà fait ?
Défaite par la République Tchèque ce samedi (0-1) suite à un but de Jiracek, la Pologne est éliminée de son Euro à domicile. Les coéquipiers du Bordelais Ludovic Obraniak quittent la compétition sans le moindre succès. Incapables de marquer, les Polonais laissent leur adversaire du soir se qualifier pour les quarts de finale.
Après l'Autriche, la Pologne ! Comme en 2008, l'un des pays hôtes de la compétition ne verra pas les quarts de finale. Il s'en est fallu de peu mais un manque cruel de réalisme a fait chuter des Polonais qui bouclent leur tournoi par une défaite contre la République Tchèque (1-0) après deux nuls 1-1 contre la Grèce et la Russie. Et sans victoire, la qualification était impossible ce samedi soir à Wroclaw. Malgré le soutien de tout un peuple, les joueurs de Franciszek Smuda n'ont pas su s'ouvrir le chemin des quarts lors d'un match fermé où leurs rares occasions ont été dans l'ensemble mal gérées par les attaquants des Rouge et Blanc.
La première période est plutôt fermée, la République Tchèque présentant un visage très défensif face à une Pologne agressive mais maladroite dans le dernier geste. Obraniak par deux fois (7e et 13e) et Lewandowski (10e) manquent ainsi le cadre au cours d'un premier quart d'heure où la Pologne tente de mettre le feu. Boenisch est le premier à véritablement inquiéter Cech sur une frappe lointaine mais le gardien tchèque capte sa tentative (21e). Pilar est même tout proche de cueillir la Pologne mais Tyton capte en deux temps devant Baros (43e).
Jiracek, héros tchèque
La République Tchèque se satisfait de revenir aux vestiaires sur ce score de 0-0 qui pourrait assurer sa qualification. Sauf, que dans le même temps, la Grèce marque face à la Russie juste avant la mi-temps (1-0), les mettant de nouveau sous pression. Placé à la pointe du 4-2-3-1 tchèque, Milan Baros traverse la partie comme une ombre et un match nul semble l'issue toute désignée de la partie. Mais à la 73e minute, l'ancien Lyonnais fixe la défense polonaise à l'entrée de la surface avant de servir Jiracek.
Ce dernier frappe du pied droit et trompe Tyton (1-0, 73e) pour inscrire son deuxième but dans cette compétition après sa réalisation face à la Grèce. La Pologne est KO et doit inscrire deux buts pour se qualifier. Obraniak sert bien Wasilewski mais sa tête passe au dessus (87e). Surtout, B?aszczykowski reprend également de la tête sur un centre venu de la droite. Cech semble cette fois battu mais Gebre Selassie se jette pour sauver sur sa ligne (90+2). La République Tchèque tient et arrache une qualification inespérée après sa lourde défaite initiale contre la Russie (4-1). Mieux que ça, elle s'offre même la première place du groupe A avec six points ! De quoi rêver d'un parcours surprise, 16 ans après sa finale à Wembley contre l'Allemagne (1-2 a.p).
Une défense de fer, pour un gardien qui sait tout faire. Iker Casillas, capitaine de cette équipe d'Espagne qui emporte tout sur son passage, tient un rôle prépondérant dans les succès de la Roja. Sans ses exploits, la formation espagnole ne serait pas ce qu'elle est et n'aurait pas non plus le même palmarès. Il symbolise parfaitement cette série de neuf rencontres sans encaisser de buts dans les matches à élimination directe...
Un vrai patron. Et pas seulement parce qu'il est capitaine. Iker Casillas incarne cette force tranquille, cette sérénité assumée face à tous les dangers qui se présentent à lui. Le portier du Real Madrid fait partie des meubles, du haut de ses 136 sélections, il en est l'inamovible dernier rempart. "On a le meilleur gardien du monde", s'enthousiasme ses coéquipiers. Alvaro Negredo l'a dit avant la demi-finale de l'Euro face au Portugal, Sergio Ramos l'a répété à l'issue de la qualification et de cette séance de tirs au but.
La pression ne semble pas avoir de prise sur lui. Rui Patricio stoppe le penalty de Xabi Alonso ? Il arrête celui de Moutinho et stoppe immédiatement l'élan du Portugal qui ne s'en remettra pas ! On pourra écrire ce qu'on veut, que les séances de tirs au but sont une loterie, c'est vrai. Mais plus l'aura et la réputation du gardien est grande et plus la pression est forte sur le tireur qui veut en faire plus. Bruno Alves a manqué le sien en l'envoyant sur la transversale et c'est encore la bande emmenée par Casillas qui a fait la différence. En zone mixte, malgré "la fatigue mentale" procurée par la fin de match haletante, il a pris le temps de répondre à la prendre pendant de longues minutes, répétant à l'envi ses impressions et les mérites de l'équipe, n'hésitant pas au passage à saluer Pepe, son coéquipier en club, qui passait en même temps.
Neuf matches, série en cours
Car la finalité est là, cette qualification pour la 3e finale consécutive ce qui permet à son Espagne d'égaler l'Allemagne de 72, 74, 76. "On est en finale, je pense que le groupe le mérite. J'espère que les supporters se souviendront de nous toute leur vie", lâche-t-il. Mais évidemment, il veut plus, toujours plus. Et quand on lui demande de commenter cette statistique de neuf rencontres sans prendre le moindre but dans les matches à élimination directe des trois dernières phases finales, il répond: "C'est le mérite de toute l'équipe pas seulement le mien, c'est une statistique à prendre en compte, c'est incroyable mais c'est le fruit du travail de l'équipe."
On aurait pu lui rétorquer que c'est lui qui stoppe le penalty de Cardozo face au Paraguay lors de la Coupe du monde 2010 pour une victoire 1-0, ou encore que c'est lui qui fait doublement barrage face à Robben en finale de ce même Mondial. On pourrait également lui parler de ses arrêts réflexes, de la qualité de son jeu au pied, de son côté rassurant pour une défense, de la séance de tirs au but face à l'Italie en 2008 et bien évidemment de celle de cette demi-finale... Les exemples ne manquent pas... Iker Casillas ou « San Iker » a déjà l'esprit tourné vers la finale de cet Euro 2012, cet ultime match qui ferait entrer pour de bon l'Espagne dans l'histoire du football. Le reste ne compte déjà plus.
Les Bleus ont bouclé leur Euro en s'inclinant face à l'Espagne (0-2), samedi à la Donbass Arena. Une défaite logique face à une formation espagnole largement dominatrice. Laurent Blanc s'est expliqué sur ses choix, notamment celui de placer Debuchy en milieu de terrain. Il regrette surtout d'avoir encaissé un but venu d'un côté gauche qu'il souhaitait bloquer et sur la première opportunité. Pour lui, ça a tout changé.
Pourquoi avoir placé Debuchy milieu de terrain ?
Si on analyse la composition de l'équipe d'Espagne, sur leur côté gauche Alba et Iniesta dédoublaient en permanence. C'est rageant d'avoir pris le but de ce côté-là alors qu'on avait justement prévu de les bloquer. Sur le seul centre d'Alba, Xabi Alonso est au deuxième poteau et il marque. On savait que ce côté était dangereux... 0-1 à la mi-temps, ce n'était pas une bonne chose, on voulait arriver à la pause à 0-0.
Quel était votre plan offensif ?
Leur côté gauche était performant, on pensait le nôtre pouvait l'être aussi. On avait beaucoup utilisé la vidéo, on savait que notre côté était plus fort à gauche avec Franck (Ribéry) et Karim (Benzema). On a eu deux ou trois opportunités mais par maladresse ou manque de justesse technique on n'a pas pu les mettre en difficulté. On savait qu'on allait avoir 35% à 40% de possession et quelques occasions, on les a eues mais on n'avait pas prévu de prendre ce but. C'est pénalisant car je pense que si on atteint la mi-temps à 0-0, même s'ils ont eu le ballon, on aurait pu les mettre en difficulté et rester dans le match. Avec ce but, les joueurs savaient qu'il fallait marquer deux buts face à une équipe qui avait 60% de possession, ça devient très compliqué.
Aviez-vous prévu que Fabregas évolue en pointe ?
On avait prévu les deux options, ce n'était pas une surprise. Ils avaient déjà joué comme ça pendant les matches de groupe, avec Fabregas pour aspirer la charnière et apporter une supériorité numérique au milieu. On s'attendait à Torres, on a eu Fabregas... ça aurait peut-être été mieux avec Torres, cela aurait permis à la charnière centrale d'être sur un joueur, là il a fallu constamment sortir et entrer dans la ligne de quatre. On aurait peut-être fait différemment si on avait eu plus de temps pour le travailler. L'Italie a eu le temps car c'était le premier match, on aurait peut-être travaillé avec trois joueurs derrière, là on a constitué équipe pour bloquer le côté gauche. On voulait toucher plus vite nos attaquants mais c'était difficile car ils ont très bien défendu.
Avez-vous des regrets ?
Il faut être réaliste, on n'est pas des rêveurs. Cette équipe, et je le dis sans honte, est meilleure que nous. Elle l'a encore prouvé, j'ai beaucoup de regrets car on a pris le premier but. Même s'ils dominaient, s'ils avaient la maitrise, je sais pour en avoir discuté avec eux qu'ils nous craignaient, notamment dans le domaine offensif. En deuxième période, on a eu une meilleure maîtrise technique, il y a eu des occasions. J'ai des regrets sur le but inscrit sur leur première occasion. En deuxième, mes joueurs ont tout donné, ils se sont énormément dépensés mais c'était très difficile de les mettre en danger.
Pensez-vous rester ?
On vient de se faire sortir, on est déçus. La déception est palpable pour le staff et les joueurs. Il faudra faire le point sur cet Euro, l'analyse. On va tout regarder, c'est un travail normal. Si on avait été qualifié, on l'aurait fait plus tard, je pense qu'il y aura des satisfactions et des déceptions. On va l'analyser avec du temps.
L'Espagne n'a eu aucun mal à vaincre l'Irlande jeudi (4-0), lors de la deuxième journée de l'Euro. Eliminés sans gloire, les Boys in Green ont aussi contribué à relancer Fernando Torres, titulaire et auteur d'un doublé. Les voyants sont au vert pour la Roja, qui devra toutefois finir le travail contre la Croatie pour valider sa qualification en quarts.
La marche était vraiment trop haute. Les Irlandais n'ont pas spécialement moins bien joué que face à la Croatie, puisqu'ils n'ont rien pu montrer. Mais pour eux qui étaient si solides défensivement avant la compétition, l'Euro a l'air d'être de trop. Après leur lourde mais logique défaite face à l'Espagne (0-3), les hommes de Giovanni Trapattoni ont encaissé six buts en deux matches et sont les premiers à être éliminés du tournoi. Et si le football est sans doute le seul sport qui réserve des surprises parfois impensables, il comporte aussi des vérités implacables. La supériorité de l'Espagne sur l'Irlande en est une.
Obligatoire pour la Roja, ce succès porte un nom: celui de Fernando Torres. Finalement titularisé à sa place d'avant-centre, qui lui avait été piquée par Fabregas face à l'Italie, l'attaquant de Chelsea n'a pas mis longtemps à se rassurer enfin. Après quatre minutes de jeu, sa frappe chirurgicale sous la barre laissait Shay Given pantois, et lui permettait d'inscrire son premier but en sélection lors d'un grand tournoi depuis quatre ans. C'était lors de la finale de l'Euro 2008, remportée 1-0 face à l'Allemagne.
Contre la Croatie, il ne faudra pas perdre
Déjà tout près de doubler la mise dès la huitième minute, Torres a ajusté cliniquement Given à 20 minutes de la fin suite à une passe parfaite de David Silva (3-0). Encore remarquable d'aisance technique et de justesse dans ses choix, le milieu de Manchester City avait lui-même inscrit le deuxième but tout en finesse, en jouant le toreador dans la surface face à des défenseurs irlandais tourneboulés (49e). Cesc Fabregas, tout sourire au moment de remplacer Torres dans une symétrie parfaite par rapport au match de l'Italie, a mis à profit son temps de jeu pour finir le boulot d'une puissante frappe croisée (4-0, 83e). L'addition aurait pu être encore plus salée sans quelques arrêts de Given, face à Iniesta deux fois (23e, 45e+1), Xavi (55e) ou Cazorla (82e).
A l'inverse, les Irlandais ne sont apparus qu'une ou deux fois dans la surface de Casillas, qui n'a eu à s'employer vraiment qu'une seule fois, sur un tir de Keane (75e). Désormais, charge aux Espagnols de ne pas perdre contre les Croates pour assurer leur qualification en quarts de finale, et étendre un peu plus leur série d'invincibilité en match officiel, qui dure depuis leur défaite face à la Suisse au Mondial 2010. Pour savoir comment terminer premier ou deuxième, il faudra sortir les calculatrices et procéder à des comptes d'apothicaire. Si les Italiens ne gagnent pas face à l'Irlande, un match nul contraindrait même l'Espagne et la Croatie à une séance de tirs au but. Il faudra aussi gérer les cartons jaunes, avec la menace d'une suspension qui plane sur Jordi Alba, Arbeloa et Torres.
Quatre jours après une belle prestation face à l'Ukraine (2-0), l'équipe de France est tombée de haut mardi à Kiev, battue par la Suède (2-0), qui met ainsi fin à une série de 23 matches sans défaite des Bleus. Les hommes de Laurent Blanc finissent du coup deuxièmes du groupe D derrière l'Angleterre, victorieuse de l'Ukraine (1-0), et joueront l'Espagne en quarts samedi à Donetsk.
Un non-match mais les quarts de finale ! L'équipe de France a joué avec le feu en produisant une bien pâle copie du football qu'on lui connaissait ces derniers temps. Peu de mouvements, peu d'idées, des mauvais choix, de grossières erreurs techniques, une défense aux abois, des appels à contresens, bref l'antithèse du jeu prôné par Laurent Blanc. La fin de série d'invincibilité, débutée au lendemain d'un France-Biélorussie en septembre 2010, paraît accessoire pour des Tricolores qui s'en sortent finalement bien en franchissant ce premier tour, seul enseignement de la soirée, de l'aveu même de Laurent Blanc, interrogé sur M6: "La qualification était l'objectif, mais on a été battus dans tous les compartiments du jeu." Evidemment, ce revers a un coût, la deuxième place, renvoyant les Bleus vers Donestk pour un quart de finale face à l'ogre espagnol tant redouté...
Une difficulté qui était évitable en soignant notamment l'entame de match afin d'éviter que les Suédois, même éliminés, ne prennent confiance et viennent jouer les trouble-fête, eux qui n'avaient plus battus les Bleus depuis... le 15 octobre 1969, époque à laquelle aucun international actuel n'était né. Hélas, la première vraie opportunité vient de Toivonen qui se joue de toute la défense mais ne cadre pas sa tête (3e). Dans la minute qui suit, Larsson place une tête suite à un joli déboulé à gauche (4e). On a vu plus rassurant comme début de match...
La réaction ne tarde cependant pas avec Ben Arfa (6e et 9e), préféré (sans succès), à Ménez, et Ribéry dans un angle fermé (8e). La délicate soirée tricolore se poursuit avec une tête manquée de Mexès manque face à Toivonen, Lloris sort bien, le Suédois s'excentre en dribblant mais rabat le ballon sur le poteau (10e). Milner n'avait pas fait mieux avec l'Angleterre et les Bleus peuvent vraiment souffler. Mexès aussi même s'il recevra plus tard un carton qui le privera du quart...
Ibrahimovic met tout le monde d'accord
Toujours est-il que l'équipe de France tarde à jouer en mouvement et ne place que quelques accélérations sporadiques mais jamais dangereuses, par Debuchy, mais M'Vila manque sa reprise (12e), tandis que celle de Benzema s'envole (18e). Il manque un petit quelque chose pour contourner une défense qui coulisse plutôt bien côté suédois. Les Tricolores essayent de loin par Ben Arfa (35e) ou Benzema (42e) mais sans inquiéter un Isaksson assez tranquille. Le dernier mot du premier acte revient à Ribéry pour une frappe légèrement déviée du Munichois (45e). A l'arrivée, que de choix douteux et quel manque de conviction inquiétant !
A la reprise, si Benzema réalise enfin un appel tranchant, il enroule un peu trop sa frappe (50e). L'éclaircie ne dure pas, bien au contraire puisque le meilleur Scandinave, Ibrahimovic, se distingue par une reprise de volée somptueuse qui fait mouche, au nez et à la barbe de son coéquipier milanais, Mexès, au supplice toute la soirée (1-0, 54e). Les Bleus sont clairement à la peine mais restent en vie grâce à deux arrêts de Lloris devant Toivonen (57e) puis Mellberg qui passe entre Rami et Mexès et contraint le portier à une claquette (58e). Il y a clairement le feu au sein d'une équipe qui recule et semble, pour la première fois de l'Euro, dominée. Laurent Blanc intervient et lance Malouda à la place de Ben Arfa afin de donner du liant au jeu français (59e).
Le choix est presque gagnant lorsque le nouvel entrant joue un corner rapidement vers Nasri dont le missile passe de peu à côté (64e). Les Bleus semblent même reprendre petit à petit leurs esprits et se mettent à dominer les débats. Mais là encore les opportunités sont plutôt lointaines et jamais menaçantes, avec Benzema (70e), M'Vila (71e) ou Malouda du gauche (74e). De son côté, Nasri, effectue un dernier centre pour Mexès, dans la boîte, avant que Blanc ne le remplace par Ménez (78e). Le Parisien signe son entrée par une frappe croisée qui oblige Isaksson à la parade (82e). Cela ne suffit pas à Blanc qui remplace M'Vila par Giroud qui se distingue lui aussi d'entrée en reprenant de la tête, juste au-dessus, un corner de Malouda (83e).
Mais il était dit que cette soirée serait pourrie jusqu'au bout puisque les Suédois ont le dernier mot en profitant de cette réussite qui les avait fui jusque-là, ce qui permet à Larsson de doubler la mise, après une reprise de sur la barre de Holmen (2-0, 90e+1). Et encore, heureusement que Wilhelmsson gâche une dernière opportunité énorme pour les Suédois qui ont gagné leur pari et peuvent rentrer au pays la tête haute. Les Bleus, eux, devront rapidement chasser les doutes. Les voilà condamnés à un énorme exploit en quarts...
La Russie a manqué une bonne occasion de se qualifier pour les quarts de l'Euro 2012 en concédant mardi soir le nul contre la Pologne (1-1). Un but de Dzagoev (37e), son troisième, avait mis les Russes sur les bons rails mais Blaszczykowski a égalisé (57e). Les quatre équipes du groupe A ont donc encore toutes leurs chances de passer ce premier tour.
Dzagoev et Arshavin sont redoutables. Respectivement meilleur buteur et meilleur passeur de cet Euro 2012, les deux fers de lance de l'attaque russe ont encore fait parler la poudre, mardi soir à Varsovie, quatre jours après avoir dynamité la défense tchèque. Mais cette fois, cela n'a pas suffi car la Pologne, chez elle, est bien décidée à s'accrocher jusqu'au bout dans ce groupe A à sa portée. Et c'est fort logiquement que cette équipe très joueuse, parfois trop, a arraché le point du match nul (1-1), qui lui permet de croire encore en ses chances de qualification pour les quarts de finale.
La Russie, qui a ouvert le score avant la pause grâce à une tête - ou plutôt une épaule - de Dzagoev sur un coup franc d'Arshavin (1-0, 37e), peut regretter de ne pas avoir su tenir le score, et même de ne pas avoir aggravé la marque lorsqu'elle en a eu l'occasion. Une victoire lui aurait effectivement assuré l'une des deux premières places de la poule, et permis de faire tourner ses cadres lors de son prochain match face à la Grèce. Au lieu de ça, les quatre équipes sont toujours en course. Même les Grecs qui, malgré leur défaite face aux Tchèques dans l'après-mid1 (1-2), peuvent encore créer l'exploit.
Blaszczykowski relance tout
Sans ce but assez inattendu de Blaszczykowski, d'une superbe frappe excentrée (1-1, 57e), tout aurait été plus clair. Inattendu parce que les joueurs de Dick Advocaat, s'ils ont manqué de réalisme dans le dernier geste, dans la dernière passe, semblaient plutôt bien contrôler les débats après une première période assez maîtrisée. Hormis sur des tentatives plus ou moins précises de Boenisch (7e) et Lewandowski (11e), Malafeev et sa défense n'avaient pas été inquiétés outre-mesure alors qu'Arshavin et Kerzakhov (25e, 29e) ont eux régulièrement créé le danger à l'autre bout du terrain. Une domination récompensée par cette ouverture du score.
Le problème des Russes, c'est qu'ils ont davantage souffert physiquement après le repos et les contres adverses ont fini par faire craquer leur arrière-garde. Sans un Malafeev une nouvelle fois inspiré sur sa ligne, Polanski aurait même pu donner l'avantage aux Polonais (69e). Voilà qui leur laisse donc de l'espoir avant leur "huitième de finale" à venir contre la République tchèque. La Russie, elle, aura a priori plus de marge face à la Grèce puisqu'elle compte quatre points en tête de ce groupe A. Mais les Hellènes ont aussi prouvé qu'ils avaient des ressources morales. Dos au mur, et sans aucune pression, ils seront peut-être dangereux.