Fandeloup

Ses propriétaires refusent de le récupérer à cause de son apparence physique, mais voici que le destin tourne en sa faveur.

Inhumaines et irresponsables, certaines personnes ne sont pas faites pour adopter des animaux et cette triste histoire en est une parfaite illustration.

Ce chien abandonné dans les rues d'une ville au Texas par un homme était dans un état pitoyable : il lui manquait la moitié de sa truffe et son museau était moitié arraché.

L'homme qui a rencontré le chien errant, après investigation découvre qu'il s'appelle Bjarni. Pensant faire une bonne action. Il appelle donc la famille et pensant qu'elle allait se faire une joie de retrouver son animal de compagnie nnouveau, mais la réponse fut sanglante : ils ont refusé de le récupérer à cause de son apparence physique (qui serait apparemment due à une bagarre avec un autre chien).

Le sauveteur, très peiné décide donc d'emmener l'animal dans un centre. Il se met en relation avec Anne Graber, la fondatrice d'une association de protection des animaux qui constate que Bjarni a d'énormes difficultés pour respirer et à manger à cause de son museau déformé.

Le refuge prend soin de Bjarni et prend en charge son intervention afin qu'il puisse trouver une famille aimante pour s'occuper de lui comme il le mérite. Découvrez les différentes étapes de rétablissement de Bjarni Voici le chien en salle d'opération.

Il va subir une greffe de la peau est une reconstruction du museau. Il a dû garder sa collerette de protection pendant un long moment pour qu'il évite de toucher ses cicatrices.

Et Bjarni peut enfin vivre normalement grâce aux membres de l'association. Et pour couronner le tout, il a trouvé une famille. Il coule désormais des jours heureux entouré d’une famille aimante et qui le comble.

Raymonde 86 ans passe sa retraite en croisière Par soignant Le 21/01/2015 Commentaires (0) Raymonde 86 ans n'est pas une passagère de croisière ordinaire. Peu de temps après la mort de son mari, elle a décidé de vendre ses cinq appartements et elle a opté de vivre dans un navire de croisière. "Mon mari était banquier et expert immobilier et m'a appris à aimer la croisière. Au cours de nos 50 ans de mariage, nous avons fait 89 croisières."Avant de mourir d'un cancer, en 1997, mon mari m'a dit, 'N'arrête pas de faire des croisières.» ", J'ai passé trois années à bord d'un navire le cristal, pour la plupart des 655 membres de l'équipage du navire, j'etais "Mama RAY", je suis allé à presque n'importe quel pays qui dispose d'un port. "Elle avoue être rarement allé à terre ces derniers jours, en grande partie parce qu'elle a visité la plupart des endroits. Son ", conte de fées sans stress" est un mode de vie qui lui a coûté 141880 euros cette année, sa couvre le coût de sa cabine, le repas dans les restaurants haut de gamme, les pourboires et une variété d'activités, y compris la danse de salon. Raymonde n'est pas la seule résidente à temps plein du navire de croisière Crystal Cruises au moins trois autres femmes vivent en permanence sur le navire. La vie en mer peut-être plus rentable que sur terre. Toutefois, les prix pour une croisière de 91 nuits pour une croisière autour du mond e commencent à 3795 euros par personne tous compris, hébergement, les repas, le divertissement et la chance de visiter des endroits exotiques sur plusieurs continents. Les loyers moyens sont de 611 euro par mois en France ajouter les impôts locaux, le gaz, les factures d'eau et d'électricité, et la nouriture ,les loisir et voiture, il n'est pas difficile de voir pourquoi certains optent pour une vie à flot. Qui est moins cher: la vie en mer ou la location d'un appartement? Ce n'est pas inhabituel pour les hommes, les femmes ou les couples qui aiment la croisière à s'installer sur leur bateau favori", selon certaines compagnies de croisière, il y aurait plus de 100 passagers qui vivent toute l'année sur leurs navires. "Il y a toujours une activité a faire ( karaoké, danse loto ,gym, etc....) l'équipage s'occupe de vous, et à chaque croisière vous vous faite de nouveaux amis. C'est un environnement sûr et confortable, les membres d'équipage sont vos nouveaux amis, les installations médicales, si vous en avez besoin, sont à proximité et, contrairement à une maison de retraite, un bateau de croisière se déplace à différents endroits donc, pourquoi pas, surtout si vous n'avez pas des liens de famille", Il y a même un bateau de croisière privé The World, qui sert uniquement comme une résidence permanente à 200 personnes qui ont choisi ce mode de vie.

BONNE NUIT

50 000 Lévriers sont sur le point d’être exterminés. Et personne n’en parle

La Fondation Brigitte Bardot vient de lancer un appel aux autorités espagnoles pour que cette « tradition » révoltante soit abolie. Une pétition est également en ligne, n’hésitez pas à la signer ! Seule une mobilisation internationale exceptionnelle peut faire avancer les choses.

* * * Aujourd’hui, 1er février, c’est la journée mondiale des Galgos, ces Lévriers utilisés pour la chasse en Espagne. Un rendez-vous annuel symbolique pour attirer l’attention sur le terrible sort qui leur est réservé quand la saison de chasse espagnole se termine. Les Galgos sont les chiens de prédilection des chasseurs espagnols.

Chaque année, ils les font naître par milliers et les condamnent à une existence de misère, entassés dans des hangars, affamés, négligés.

Il est aussi d’usage de les entraîner à courir le plus vite possible, le collier attaché à un véhicule roulant à vive allure.

« L’holocauste des Lévriers »

Mais le pire a lieu quand la saison de chasse se termine, début février. Si les chiens sont trop vieux pour chasser, ou si le chasseur juge qu’ils sont déjà « usés » après une saison, ou encore parce qu’il ne souhaite pas payer pour leur nourriture en attendant la prochaine période de chasse, ils sont exterminés brutalement ou abandonnés. Pendus, condamnés à mourir de faim ou de soif dans leur box, jetés au fond d’un puits ou d’une falaise, brûlés vifs…

Les chasseurs rivalisent de cruauté pour se débarrasser de ces chiens devenus encombrants et inutiles. Les plus chanceux seront lâchement abandonnés, relâchés et livrés à eux-mêmes dans la nature. Les associations locales estiment que chaque année, 50 000 chiens sont concernés par ce qu’elles ont tragiquement baptisé « l’holocauste des Lévriers ».

Reproduction excessive et incontrôlée

Si les 190 000 chasseurs espagnols qui utilisent des Galgos se permettent de telles horreurs avec leurs chiens, c’est aussi parce qu’il les considèrent pour la plupart comme des objets jetables. Leur reproduction est en effet excessive et incontrôlée. Tant ils sont nombreux, il est très facile de s’en procurer autant que l’on veut, leur vie ne valant rien. Sur son site, l’assocition Lévrier Sans Frontières explique :

Il est important de comprendre que le Galgo n’a aucune valeur dans ce pays, que ces chiens sont élevés en masse et que les jeunes et meilleurs « sujets » remplaceront ceux qui ont deux ou trois saisons de chasse derrière eux. Les chiens qui se sont montrés les plus efficaces à la chasse seront donc conservés et serviront de reproducteurs pour les saisons suivantes.

Le formidable travail des associations de terrain

Par chance, les associations sont nombreuses à agir localement pour aider ces pauvres chiens et dénoncer les atrocités dont ils sont victimes. L’association Baasgalgo par exemple, organise des tournées dans les régions concernées et recueillent les Lévriers errants. La plupart sont faméliques et ont subi des sévices. Il est en effet courant qu’en les libérant, les chasseurs leur cassent une patte afin qu’ils ne puissent plus servir à la chasse.

Depuis la France, il est aussi possible d’aider les Galgos

Le nombre de chiens abandonnés est si important que les associations locales organisent des partenariats avec plusieurs organisations des pays voisins qui se chargent de trouver une nouvelle famille à ces pauvres animaux.

En France, on peut citer les association Sos-Chiens-Galgos et Lévriers Sans Frontières qui proposent de nombreux Lévriers espagnols à l’adoption. À défaut d’adopter l’un d’entre eux, n’hésitez pas à apporter votre soutien à ces associations !

Et diffusez l’information autour de vous. Ces atrocités ne doivent plus être commises dans l’indifférence générale. Plus il y aura de personnes conscientes de cette barbarie, plus les choses auront de chance d’évoluer.

CE PÈRE COGNE SON BÉBÉ DE 5 SEMAINES SUR LE TROTTOIR À PLUSIEURS REPRISES. MAIS LA SUITE EST ENCORE PLUS ÉPOUVANTABLE...

Dalton Davis passera les prochaines années de sa vie en prison et c'est une très bonne chose. En effet, le jeune père a enfin appris sa sentence après avoir reconnu coupable d'un geste impardonnable. Alors que Dalton avait eu une dispute avec Courtney Lloyd, sa conjointe et la mère de leur bébé de cinq semaines, le jeune homme a concocté un plan tout simplement diabolique afin de se venger. Suite à la dispute, Courtney a décidé d'aller faire une sieste et Dalton a profité de la situation pour aller chercher le petit bébé nommé Lillian qui dormait paisiblement dans son berceau.

Dalton est alors sorti de la maison avec son bébé dans les bras et sans même hésiter une seule seconde, il a percuté de toutes ses forces le bébé sur le trottoir à au moins trois reprises. Puis, Dalton est calmement retourné dans la maison pour aller replacer le bébé dans son berceau afin de réserver une surprise cauchemardesque à sa conjointe.

Quand Courtney a découvert l'horrible situation, il était malheureusement trop tard pour la petite Lillian. Dalton a été reconnu coupable de ce meurtre gratuit et il devra maintenant passer les 65 prochaines années en prison. Il ne pourra pas faire de demande de libération conditionnelle avant d'avoir purgé 55 ans de sa peine.

Quant à Courtney et à sa famille, ils devront faire le deuil de Lillian encore bien longtemps. Quelle histoire horrible...

Cette femme passe en voiture à côté du SDF, mais lorsqu’elle voit ce qu’il a écrit sur son carton, elle écrase le frein.

 En septembre dernier, Wilma Price est au volant de sa voiture pour rentrer chez elle dans la ville de Huntsville au Texas, lorsqu'elle aperçoit un homme debout au bord de la route, couvert d'habits sales et vétustes.

Il tient dans ses mains un morceau de carton où est inscrit quelque chose, Wilma pense qu'il est en train de mendier. Mais alors que le trafic ralenti, elle est forcée de presque s'arrêter à son niveau et ne peut s'empêcher de lire ce qu'il y a sur l'écriteau du SDF : "Mon chien est à la fourrière. Aidez-moi."

À ce moment-là, Wilma est prise de compassion pour l'homme. Sans se soucier des voitures derrière elle, elle met les warning et sort de son véhicule. Lorsqu'elle demande à l'homme ce qu'il s'est passé avec son chien, il lui raconte alors qu'il s'appelle Patrick et qu'il a été en prison pendant deux jours pour être entré par effraction dans une propriété privée.

Au cours de son enfermement, son chien a été capturé par la fourrière et lorsqu'il a voulu aller le récupérer, on l'a informé qu'il devait s'acquitter de 120$ (109€). Wilma ne dispose que de 8$ (7€30) sur elle et ne sait pas encore si elle peut croire sur parole l'homme qui se tient devant elle, donc elle décide de rentrer chez elle.

Sur place, elle appelle la fourrière et demande des renseignements concernant le chien de Patrick. L'interlocuteur confirme l'histoire de Patrick et ajoute même que le chien en question est arrivé en très bon état à la fourrière et qu'il est donc clair que le maître s'en occupe très bien.

Patrick est peut-être SDF, mais il ne fait aucun doute qu'il traite bien son animal. Néanmoins, les 120$ doivent être payés, car la fourrière s'est occupée du chien le temps de l'emprisonnement de Patrick : un vaccin antirabique a été fait et un vermifuge administré. Wilma prend alors la décision de venir en aide à Patrick.

Elle retourne à l'endroit où il se trouve, l'emmène à la fourrière, paye la note et regarde avec émotion "Fred Frederick" (le chien) se jeter dans les bras de son maître. Wilma, qui adore les animaux , est touchée de voir tous les soins, le respect et l'affection que Patrick donne à ce chien alors qu'il prend si peu soin de lui-même.

Elle ne peut peut-être pas leur offrir une maison, mais Wilma a permis à ses deux compagnons d'être réunis. Patrick et Fred sont heureux d'être ensemble et c'est tout ce qui compte.

LA BELLE HISTOIRE DU JOUR : ELLE RAMASSE UNE GLACIÈRE AU BORD DE LA ROUTE ET SAUVE NEUF VIES SAUVETAGE

– Au Texas, une femme s’est arrêtée sur le bord de la route pour ramasser une glacière en bon état. Elle ne pensait pas y trouver neuf très jeunes chiots entassés et sur le point de suffoquer.

Lorsqu’une passante s’est arrêtée sur le bord d’une route au Texas, elle pensait simplement récupérer une glacière fermée, somme toute en bon état. Mais en l’ouvrant, elle a fait une découverte bien plus précieuse.

Neuf très jeunes chiots y étaient entassés les uns sur les autres et pataugeaient dans leurs propres besoins, sous le soleil brûlant de la région. "Je les ai. Ils sont en sécurité maintenant."

Karri McCreary, vétérinaire et soigneuse pour le refuge Hunt County Pets Alive La passante a tout de suite prévenu un organisme de contrôle animal, raconte The Dodo. De fil en aiguille, Karri McCreary, vétérinaire et sauveteuse pour le refuge Hunt County Pets Alive, a eu vent de cette trouvaille et s’est rendu sur place pour mettre la glacière et son fragile contenu en lieu sûr.

"Heureusement, ils ont été trouvés dans ce petit four avant qu’il ne soit trop tard". En les extirpant de leur prison, la sauveteuse s’est rassurée : ces chiots, probablement des bergers allemands, se portaient tous bien.

"La personne a dû les trouver juste après qu'ils aient été abandonnés", suppose-t-elle. Les petits animaux seront rapidement proposés à l’adoption, une fois vaccinés. Des demandes ont d'ores et déjà été déposées. Une occasion de ne plus jamais vivre dans le noir.

Isère: âgé de 300 ans, le grand chêne de Venon attire les photographes

Le grand chêne de Venon est la star végétale de l'agglomération grenobloise. Surplomblant la vallée du Grésivaudan, cet arbre est régulièrement photographié.

Grâce à l'entretien des paturages par plusieurs générations d'agriculteurs, il a pu atteindre les 300 ans.

"Il a connu du beau temps, du mauvais temps. Des orages, des coups de tonnerre, du monde", s'amuse Gérard Boniface, agriculteur propriétaire du site sur lequel est installé ce chêne. Sa taille n'est pas exceptionnelle :

17 mètres de haut, 5 mètres de pourtour. Sa renommée vient de son emplacement. Et de son grand âge. Il est examiné, ausculté pour repérer des symptômes, champignons ou insectes. Sa résonnance et sa dureté sont aussi étudiées pour détecter des possibles altérations. "C'est un point de repère pour la vallée, et bien sûr, comme un vieillard, il a déjà quelques affections, quelques fragilités" analyse Henri Moulin, Expert arbre conseil de l'Office national des forêts.

Admiré ou vénéré, le vieux chêne est très fréquenté. Mais les visiteurs ne sont pas tous respectueux du site, une exploitation agricole occupée par Christophe Franchini, éleveur de vaches laitières. "C'est apaisant, on peut comprendre que les gens de la ville veuillent venir le voir. Mais il faut arriver à composer entre le loisir, les promenades, et notre activité professionnelle autour de cet arbre".

Pour découvrir d'autres arbres remarquables de la région, la FRAPNA, association de protection de la nature a dressé une carte collaborative qui les répertorie.

LA BELLE HISTOIRE DU JOUR : APRÈS AVOIR ATTENDU SES MAÎTRES PENDANT UN MOIS, CE CHIEN EST SAUVÉ TOUCHANT

– Dans le Michigan, un chien a attendu pendant un mois entier sur les affaires laissées par ses maîtres après leur déménagement. Alertés par les voisins, un sauveteur animalier a finalement réussi à le tirer de son attente.

 Dans les rues de Detroit aux Etats-Unis, une famille a laissé derrière elle quelques meubles, une lampe, un matelas… et leur chien, Boo.

Fidèle envers et contre tout, le pitbull a cependant décidé d’attendre que ses maîtres reviennent le chercher pendant tout un mois. Dormant dans la rue près du tas d’affaires abandonnées, Boo refusait obstinément de bouger.

Les voisins, qui nourrissaient de temps à autre l’animal déterminé, ont fini par appeler le refuge local, Detroit Youth and Dog Rescue mi-octobre. Le fondateur, Mike Diesel, s’est tout de suite rendu au chevet de Boo.

"Il était simplement couché là, fidèle comme il est", raconte-t-il, interrogé par The Dodo. Le sauveteur a nourri son nouveau compagnon. Mais quoique Boo fût sociable, Mike devait encore gagner sa confiance.

Onze heures passées à l'amadouer

Ce premier jour,  Mike a passé onze heures d’affilée auprès du chien pour lui montrer qu’il n’avait rien à craindre, raconte-t-il sur Facebook. Parti à 2 heures du matin, il est même revenu le lendemain matin à 10 heures avec un nouveau repas. Et Boo a finalement accepté le collier.

Après une promenade d’une demi-heure, le chien s'est ensuite laissé conduire en voiture. Direction : le vétérinaire. Mais les nouvelles n’étaient pas bonnes. Boo est atteint d’une maladie cardiaque, la dirofilariose, qui nécessite un traitement.

Soigné et choyé, Boo est dorénavant hors de danger près de Mike et des autres chiens du refuge. Aujourd’hui, Boo attend de trouver une nouvelle famille, sous le regard attentif de son sauveteur, pour n'être jamais plus jeté parmi les meubles oubliés.

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