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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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histoire vrai (animaux)

refuge

Publié à 17:51 par fandeloup Tags : mort maison travail femme animal amour vie nuit
refuge

Ce refuge unique offre aux chiens un foyer aimant après le décès de leurs propriétaires

 Rita Lynd a fait une promesse à la chienne Hannah : un jour, elle ouvrirait un refuge pour chiens orphelins où ils seraient entourés d'amour pour le reste de leur vie. La femme a fait cette promesse en 2009.

Après des années de travail acharné et de collecte de fonds, le rêve s'est finalement réalisé en 2019 !

Hannah a été adoptée par Rita après la mort subite de son propriétaire John, un ami de Rita, en 2012. "Hannah était tellement traumatisée et stressée. C'était déchirant de l'éloigner de John. Je me suis assise avec elle nuit après nuit alors qu'elle pleurait et pleurait", a déclaré Rita à ABC. Il a fallu six mois à Hannah pour récupérer et profiter de la vie. Rita est elle-même une dresseuse de chiens expérimentée, elle a donc su bien aider l'ami à quatre pattes. Cela l'a incitée à créer le refuge.

"Il y a beaucoup de gens qui n'ont pas de famille. Et qu'arrive-t-il à leur animal quand ils meurent ?" se demanda Rita. Les gens peuvent faire en sorte qu'en cas de décès, leur chien bien-aimé aille au refuge. Là, l'animal pourra passer le restant de ses jours dans le confort et l'amour. Un vêtement appartenant à leur propriétaire décédé est conservé. Ils créent un profil de leur régime alimentaire et de leurs exercices, et quels sont leurs jouets préférés.

Le refuge dispose de lits spacieux, de jardins adaptés aux chiens, de promenades quotidiennes et les chiens sont suivis par des vétérinaires. La maison d'Hannah compte actuellement quatre adorables résidents : Marley, Banjo, Taz et Tango.

À l'heure actuelle, 50 chiens de toute l'Australie sont enregistrés pour aller dans des refuges en cas de décès de leurs propriétaires. Une idée intéressante qui pourrai se développer ici également.

tristesse

Publié à 11:05 par fandeloup Tags : bleu sur merci moi vie chez animaux fond amis mort bonjour heureux demain nuit maison fille
tristesse

Maman, je veux un rat ! Pour Noël, s’il te plait ! Dis oui, dis oui, dis oui ! S’il te plaît maman ! »

« Je ne sais pas, ma chérie. Ce n’est pas bien raisonnable… Est-ce que tu saurais t’en occuper ? »

« Oui maman, c’est promis ! »

« Tous les jours, hein ! Et il faudra nettoyer la cage ! »

« Oui oui, allez, s’il te plaît ! »

« Bon… C’est d’accord. Tu veux lequel ? »

Le noir et blanc, là.

Moi. Une main me saisit, un peu brutalement, mais je ne proteste pas. J’attends ce moment depuis trop longtemps : trois mois, trois longs mois pendant lesquels j’ai vu partir mes frères, mes sœurs, mes amis de passage, et cette fois-ci, mon tour est arrivé : je vais enfin être libre.

« Joyeux Noël Mélanie. » 

« Merci maman.

Bonjour Ratatouille ! »

Bonjour Mélanie. Je dois te l’avouer, j’ai tout de même un peu d’appréhension : après tout, je n’ai rien connu d’autre que cette vitrine trop éclairée, cette litière qui me pique les narines, et la chaleur de mes compagnons d’infortune. On m’a placé dans ce petit box, au milieu des autres, et j’ai patienté, là, tandis que les jours s’égrainaient lentement. Je suis un peu banal il paraît. Personne ne s’est intéressé à moi, jusqu’à ce que tu me choisisses.

Moi. Ratatouille. Aussi apeuré que je sois pour l’instant, je déborde d’innocence et d’amour. Si tu le veux bien, je pourrais être ton ami. La route est longue. Au fond de cette petite boîte sombre, je suis brinquebalé, secoué au rythme de la circulation. Hurlement du klaxon. La voiture pile et je suis violemment projeté contre la paroi de carton. Je retombe sur mes pattes, me fais tout petit et subis les cahots en silence. Puis nous arrivons enfin. Une brève accalmie. J’entends Mélanie et sa mère qui s’affairent, des cliquetis métalliques, des voix brouillées,

« j’ai presque fini de préparer sa cage, donne-moi la petite maison » dit la maman de Mélanie.

Et soudain, un torrent de lumière. Je suis aveuglé. L’espace d’un instant, je me retrouve sens dessus-dessous. Je tombe sur cette litière qui m’irrite, la même que derrière la vitrine. Je panique, tourne en rond et finis par trouver une cachette dans laquelle je me terre et tâche de reprendre mes esprits. Plus tard, prudemment, je sors et explore. Une cage dont j’ai très vite fait le tour, avec des barreaux pour laisser passer le jour. Une gamelle, une écuelle remplie d’eau. Puis un tunnel en plastique bleu translucide, un peu étroit. Une roue, trop petite… Rien n’est vraiment à ma taille, mais qu’importe, c’est chez moi. Et, comble du bonheur, Mélanie est venue déposer une croûte de pizza dans ma gamelle. Je savoure cette pâte croustillante et parfumée, je n’avais jamais rien mangé d’aussi bon. Il est heureux,

Ratatouille. ..Mélanie est gentille. Elle vient m’ouvrir la porte tous les jours. J’aime bien son odeur, ses mains sentent le savon aux amandes. Elle me laisse courir sur le tapis de sa chambre, elle me construit des cabanes en Lego et me donne beaucoup de friandises. Elle me dessine souvent et parle de moi à ses amis. Lorsque nous jouons, elle me fait parfois un peu mal mais je ne lui en veux pas, elle est beaucoup plus grande que moi, elle ne peut pas savoir. Alors je lui lèche les doigts. Ça la fait rire. Il est gentil, Ratatouille. Tous les soirs, elle s’assoit avec moi sur le tapis et me raconte sa journée, en n’omettant aucun détail. Elle a eu un A à l’école, puis elle a joué à la marelle, et elle n’aime pas Sébastien parce que c’est un garçon et que de toute façon les garçons sont un peu bêtes et ne comprennent pas grand-chose (moi non plus, mais j’écoute attentivement). Et puis demain elle ira à la piscine, et elle se moquera de Sébastien qui ne sait pas plonger, puis elle ira à sa leçon de piano, et ensuite, peut-être que sa mère lui offrira le téléphone portable qu’elle veut depuis si longtemps. Pour appeler ses copines. Et parce que Sébastien a un téléphone, lui aussi… je m’endors sous les caresses, paisiblement.

Il est mignon, Ratatouille.

Hier, je me suis évadé et j’ai grignoté des objets, par désœuvrement. Des « fils électriques », une « poupée » et des « livres ». J’ai été puni. Les jours coulent, et je n’ai pas d’ami avec qui jouer quand Mélanie est à l’école, je m’ennuie… Derrière la vitrine, je n’étais jamais seul. Ici, je me contente d’attendre que Mélanie rentre, pour avoir un semblant de contact. Peut-être aurais-je bientôt de la compagnie ? Ce soir Mélanie ne m’a pas regardé. Elle ne m’a pas ouvert la porte, et je ne peux plus l’ouvrir non plus. Sa maman est venue y mettre un cadenas pour m’empêcher de sortir. C’est Mélanie qui l’a dit, un ca-de-nas. En séparant les syllabes. Un cadenas pour que je ne détruise plus rien. Il est vilain, Ratatouille. Mélanie ne me parle plus que rarement, elle ne m’aime pas comme au début, je le sens bien… Et pourtant, je n’ai pas changé, je suis seulement un peu plus grand, j’ai cinq mois à peine. Je suis un peu triste, et las d’attendre en vain l’arrivée d’un compagnon. La vitrine me manque. Je ne sors pas beaucoup, mes articulations sont endolories, comme si la vieillesse me frappait déjà. La litière piquante sent mauvais, Mélanie ne la nettoie plus. Sa mère a pris le relai, elle bouillonne et peste contre sa fille à chaque fois qu’elle entre dans sa chambre. Et contre moi aussi. Je n’y peux rien… Il est sale, Ratatouille.

Et puis, la porte s’ouvre de moins en moins. Mélanie ne me parle plus, jamais. Elle appelle Sébastien, de temps en temps : « on va bientôt au ski ! Dans trois semaines, pour les vacances, tu veux venir ? » Sa maman passe me nourrir et m’abreuver, sporadiquement. Je lui en suis reconnaissant, et je guette avidement son arrivée… elle ne me touche jamais, je suis « une sale bête ». Je l’aime quand même, je ne peux pas m’en empêcher : elle est le seul être vivant qui s’occupe encore de moi. Tous les trois jours, puis une fois par semaine, puis quand elle y pense… Puis plus du tout. Les jours défilent. Les heures s’étirent. Tout bourdonne autour de moi. Mes poumons crépitent. Ma cage est devenue prison. L’air empeste les excréments et l’urine. La puanteur qui émane de ma litière souillée me brûle. Je suis tapi au fond de ma petite cachette poisseuse, seule parcelle de ma cellule dans laquelle je puisse encore me réfugier. Ma respiration est sifflante, mes yeux sont encroûtés, j’ai perdu de ma superbe… Je suis maigre, sale, je ne comprends pas : hier encore, j’étais si beau…

Mélanie ne me voit plus, je ne fais plus partie de sa vie, on m’a « déplacé », sous l’escalier. Là où il n’y a plus de lumière, là où mon odeur ne gêne pas trop, là où on ne passe pas souvent. Là où on m’oublie peu à peu. Il est moche, Ratatouille. Et les vacances arrivent. Alors on attrape Ratatouille avec ce qu’il reste de sa cage. On enfourne l’immondice dans un grand sac poubelle, que l’on va déposer sur le trottoir gris, à la veille du départ. Toute la famille part skier. Mélanie glissera, insouciante, le long des flancs scintillants des montagnes. Elle sera heureuse. On ne peut pas emmener Ratatouille, et, de toute façon, il est malade. On ne soigne pas les rats… Le froid est mordant, et le claquement du sac contre les barreaux gelés se répète à l’infini. Le plastique vrombit sous les bourrasques, se gonfle d’air glacé. Une danse funèbre qui s’éternisera une nuit entière dans l’ignorance la plus absolue. Une goutte dans l’océan des abandons. Il est mort, Ratatouille. Joyeux Noël, qu’ils disaient... "

 Même le plus petit d'entre les animaux n'est pas un objet.

retrouvailles

Publié à 15:53 par fandeloup Tags : animaux belle histoire fille
retrouvailles

Une éléphante retrouve sa fille et ses petites-filles après 12 ans de séparation

 Les éléphants sont des animaux qui vivent en famille et lorsqu’ils sont séparés depuis longtemps, ce n’est pas leur mémoire qui vont leur faire défaut. La preuve avec cette belle histoire !

Elle s’appelle Pori et est âgée de 39 ans. Résidente au zoo de Berlin, elle a été récemment transférée au zoo de Bergzoo, situé à Halle. Ce déménagement lui a permis de retrouver sa fille, Tana, âgée de 19 ans, qu’elle n’avait plus vu depuis 12 ans. Une belle réunion de famille !

 Des retrouvailles d’éléphants

Ses retrouvailles attendrissantes ont également été l’occasion pour Pori de rencontrer pour la première fois ses deux petites-filles, Temaki et Elani, âgées respectivement de quatre et un an. Cet instant a été immortalisé par les employés du zoo à travers des images où l’on voit les éléphants, séparés par une clôture, se caresser mutuellement la trompe. La preuve que les années d’absence n’ont pas fait flancher la mémoire des pachydermes qui, on le sait, est infaillible.

Née en 1981 au Zimbabwe, Pori a été amenée en 1983 au zoo allemand de Margdeburg, et ce jusqu’en 1997 où elle a été transférée au zoo Tierpark de Berlin pour se reproduire.

En 2001, elle donna naissance à Tana. Zoo Halle Cette réunion de famille fait partie d’un programme de conservation des éléphants qui consiste à recréer progressivement les troupeaux séparés en captivité. S’ils sont réunis, ils resteront, dans un premier temps, à l’abri des regards afin de leur permettre de se retrouver ensemble.

Pori sera très bientôt installée dans le même espace que Tana, Temaki et Elani. Si à l’état sauvage, les mâles délaissent souvent leur horde afin de trouver une femelle et rejoindre une autre horde, les femelles, elles, restent tout le temps dans le même troupeau.

rip

Publié à 16:27 par fandeloup Tags : belle vie homme chez amis animaux travail histoire air fille pouvoir chien
rip

Le chien refuse de quitter son propriétaire mourant - ils décèdent à quelques heures d'intervalle

 Ce n'est un secret pour personne que le chien est le meilleur ami de l'homme ! Mais si vous avez encore des doutes, cette histoire vous convaincra sûrement !

Daniel Hove était atteint d'un grave cancer. Lui et son chien bien-aimé sont restés ensemble jusqu'à la fin, et tous deux sont morts à quelques heures d'intervalle.

Daniel Hove était un soldat de l'US Air Force et a travaillé comme chef des pompiers pendant de nombreuses années.

Cet homme courageux a confronté à de nombreuses situations difficiles dans son travail, mais jamais aussi dans sa vie personnelle, notamment lorsqu'on lui a diagnostiqué un cancer du pancréas, écrit Zooprendente. Sa famille l'a soutenu, mais son fidèle chien Gunner l'a encore plus soutenu et ne l'a jamais quitté.

Gunner, un labrador de 11 ans, n'a jamais quitté son propriétaire. Il a eu droit à son propre lit à l'hôpital pour pouvoir tenir compagnie à Daniel tous les jours et toutes les nuits. L'état de Daniel s'est considérablement détérioré au fil du temps en ce début d'année, et Gunner lui aussi est devenu de plus en plus malade. Finalement, Gunner n'a pas pu aller plus loin, il souffrait trop. La famille a dû prendre la décision difficile de l'emmener chez le vétérinaire pour l'euthanasier.

Heather, la fille de Daniel, était dévastée par cette décision, elle savait en plus que son père était dans un état également très grave. "Quand mon père était bouleversé, le chien était bouleversé, Quand mon père était agité, le chien était agité. Lorsque papa n'a pas répondu, le chien n'a pas répondu", dit Heather à Zooprendente. Il s'est s'avéré que Daniel et Gunner sont partis en moins de deux heures. Quand Gunner a rendu son dernier souffle, Daniel aussi.

"J'ai toujours pensé à ce qui serait le pire pour Gunner. Le faire euthanasier ou voir papa mourir. Quoi qu'il en soit, nous avons toujours su qu'ils disparaîtraient en même temps, mais pas en seulement quelques heures", ajoute-t-elle "Gunner ne pouvait pas vivre sans papa, je pense qu'il a choisi de l'accompagner", dit-elle. C'est une histoire incroyablement triste mais belle. Cela montre vraiment l'incroyable relation qu'on peut avoir avec nos animaux de compagnie

Reposez en paix, magnifiques amis.

syndrome

Publié à 10:19 par fandeloup Tags : sur vie fond animaux mort histoire heureux maison
syndrome

CE CHAT DE REFUGE DIFFÉRENT À CAUSE D’UN SYNDROME RARE A TROUVÉ UN FOYER OÙ IL PEUT VIVRE HEUREUX

 Lorsque Georgina Price et son fiancé Christopher Lardner ont adopté leur premier chat, Herbie, il avait déjà 16 ans et était à la fin de sa vie.

Herbie est mort au bout de quelques mois et même si le couple ne le connaissait que depuis quelque temps, cela leur a brisé le cœur. Cependant, cela leur a aussi donné l’envie d’avoir quelqu’un d’autre dans leur vie.

 Georgina pensait souvent aux animaux en fin de vie qui passaient leur temps dans les refuges. « Nous avons décidé de chercher un chat spécial qui mettrait un peu plus de temps à trouver un foyer », raconte-t-elle.

En naviguant sur le Web, Georgina est tombée sur Toby et Quinton. C’est sur le site de la SPA locale que le couple les a repérés. Quinton, un chat noir et blanc de 7 ans, avait perdu toutes ses dents et Toby, un félin de 6 ans à poils courts, avait la peau très lâche. Ils étaient proposés à l’adoption ensemble car très proches l’un de l’autre. Et pour le couple, aider deux chats au lieu d’un était encore mieux.

Georgina a découvert que Toby était atteint du syndrome d’Ehlers-Danlos (SED), une affection congénitale qui peut causer une peau exceptionnellement élastique, lâche et fragile en raison d’une mauvaise production de collagène. Une chose dont le couple n’avait jamais entendu parler.

Georgina et Christopher sont allés rendre visite au duo qui vivait dans une unité spécialisée. « Ils étaient à la fois terrifiés et blottis au fond. Toby s’est caché derrière Quinton tout le temps, en tremblant », explique le couple.

Georgina pouvait caresser Quinton, mais Toby restait en retrait tellement il avait peur. Mais le couple n’a pas renoncé à les adopter.

Au début, les deux félins avaient peur et vivaient sous le lit. Mais au fil du temps, ils ont trouvé la paix dans leur nouvelle maison. Et maintenant l’endroit leur appartient !

Le syndrome de Toby fait que sa peau est sensible et qu’il peut se blesser juste en jouant et en se toilettant. Mais cela ne semble pas le gêner et il ne le vit pas mal. De plus, l’estomac de Toby pend jusqu’aux genoux, et Georgina et Christopher s’inquiètent de l’effet que le poids supplémentaire de cette peau supplémentaire pourrait avoir sur sa santé à long terme, comme des problèmes articulaires par exemple

 Le couple arrive à gérer l’état de santé de Toby et font en sorte que ses griffes ne soient pas trop longues afin qu’il ne se blesse pas. « Il cherche Quinton pour l’aider à se nettoyer alors Quinton lui lèche le visage et la tête, en particulier les coupures », explique Georgina. Le couple fait également attention à ce que Toby ne saute pas de trop mais, même s’il a besoin d’un peu plus de soins, Georgina et Christopher ne pourraient être plus heureux avec Toby et son frère Quinton.

Malgré tout, Toby est un chat normal qui aime s’amuser et recevoir des câlins. Il ne se rend pas compte de son état et est heureux.

Georgina espère que le partage de son histoire  donnera envie aux gens d’adopter des chats ayant des besoins particuliers. Ce sont des chats qui méritent autant d’amour que les autres et qui peuvent apporter beaucoup.

sauveatge

Publié à 16:39 par fandeloup Tags : sur fond nuit animal
sauveatge

Les missions se suivent et ne se ressemblent pas... Mercredi dernier, en fin d'après midi, le peloton de gendarmerie de montagne (PGM) des Hauts de Bienne est intervenu sur la commune de Chapelle des Bois pour secourir un cochon immobilisé dans la neige en bordure des pistes de ski de fond ! La propriétaire de ce cochon apprivoisé, très attachée à son animal , ne souhaitant pas attendre la fonte des neige pour le sortir de cette impasse, s'apprêtait à passer la nuit à ses cotés. Afin d'éviter d'en arriver à cette extrémité et ne pas aggraver l'état d’hypothermie de sa propriétaire, les deux militaires du PGM ont damé un sentier pour permettre au cochon de regagner fort dignement la piste de ski et permettre à l'un comme à l'autre de passer une nuit bien au chaud ! De mémoire de secouriste jurassien, c'est une première !

humour

Publié à 10:19 par fandeloup Tags : humour

histoire

Publié à 17:08 par fandeloup Tags : aime sur merci vie moi monde chez travail animaux histoire message chien maison
histoire

Bonsoir, Moi c’est Bergère et je vais vous raconter mon histoire .

Ma vie a mal commencé. Ma mère, chienne de troupeau, appartenait à des gens qui ne s’en souciaient pas beaucoup et elle a eu plusieurs portées. Je suis née comme ça, sous un tas de bois.

Personne ne s’est occupé de nous pendant les premières semaines de notre vie ; j’étais la plus craintive de la portée, donc je suis restée cachée longtemps. Un jour, j’ai dû sortir, j’avais trop faim pour rester là-dessous. J’ai eu droit à des croquettes mais jamais à de l’attention ni de l’affection. Je voyais ces humains tous les jours mais j’avais trop peur pour m’en approcher, et eux n’avaient pas l’air d’en avoir envie non plus.

J’ai donc poursuivi ma vie comme j’ai pu en restant à proximité. Personne ne m’a jamais touché, personne ne m’a jamais parlé, sauf Cathy. Quand elle a su que j’existais, elle a cherché à m’apprivoiser en m’attirant avec des bonbons, et sa chienne Kira. J’ai peu à peu pris confiance en elles et je les attendais toujours pour les suivre pendant leurs balades ; mais j’avais encore trop peur pour la laisser me passer une laisse.

J’ai grandi, et comme ma mère avant moi j’attendais des petits. Quand « mes maîtres » ont su ça, ils ont voulu se débarrasser de moi car des bouches inutiles à nourrir en plus, ça n’était pas envisageable pour eux ! C’est comme ça que la S.P.A a été appelée par quelqu’un qui s’inquiétait pour moi.

Quand les enquêtrices sont venues me chercher, je ne voulais pas qu’on m’arrache à ma maison, le seul endroit que je connaissais ; pourtant elles avaient apporté plein de choses à manger et Cathy est même venue les aider. Mais comme je suis intelligente, elles n’ont pas réussi à me capturer. Malgré tout, elles ont persévéré et sont revenues avec une trappe. J’avais déjà eu mes bébés, au même endroit que là où je suis née. L’appel de la nourriture a été plus fort que la peur et je suis entrée dans la cage qui s’est refermée sur mon ancienne vie d’errance. On m’a emmenée au refuge avec mes petits, au chaud.

J’ai commencé à me rendre compte que les humains n’étaient pas méchants ; ils me caressaient, et ça ne faisait pas mal. Ils étaient doux, patients et prenaient soin de mes bébés qui n’avaient pas peur donc je me suis détendue jusqu’à me laisser passer cette laisse qui me faisait si peur. Quand mes bébés ont été assez grands, ils sont partis avec leurs nouvelles familles. C’était un peu dur au début, mais je m’y suis habituée grâce à mes gentils bienfaiteurs et Cathy qui continuait de venir me voir avec Kira. Et le grand jour est arrivé.

Cathy voulait en fait m’adopter et que je reste avec elle et Kira pour toujours. Tout le monde craignait que je panique en arrivant chez elle, par ce que je n’avais jamais vécu à l’intérieur. Mais j’ai tout de suite adoré la maison et su que j’allais y être bien. Depuis, tout se passe à merveilles. Je suis propre, sage et je profite pleinement de ma vraie vie de chien entre longues balades avec ma famille, siestes et gourmandises en tous genres !

Je reste craintive mais j’ai confiance en Cathy et Kira qui me rassurent toujours plus chaque jour. Je sais que toute l’équipe du refuge est très émue par mon histoire et je voulais donc la partager avec tout le monde. Je voudrais aussi faire passer un message important : nous les chiens, nous sommes des êtres très sensibles et même si on peut vous aider à accomplir votre travail, on a besoin de considération, de soins et surtout d’amour.

C’est d’ailleurs grâce à ça qu’on a envie de vous défendre et de vous faire plaisir en faisant ce que vous attendez de nous. Notre monde, c’est vous et on vous aime sans limites. Je suis aujourd’hui heureuse par ce qu’on m’accorde l’importance et l’amour que je mérite, alors s’il vous plait, faites passer ce message à tout le monde et prenez un instant pour agir pour les animaux que vous pensez en danger, ou simplement pas dans de bonnes conditions ; vous leur sauverez peut-être la vie.

Merci d’avoir pris le temps de lire mon histoire.

maladie

Publié à 11:25 par fandeloup Tags : chez sur heureux maison
maladie

Un Chat avec une maladie rare est si heureux quand quelqu’un l’adopte avec son meilleur ami

Lorsque Georgina Price a rencontré Toby, elle a su qu’il était parfait. Non seulement elle l’a ramené à la maison, mais aussi son meilleur ami. Toby le chat a six ans et semble sage au-delà de son âge. Il souffre d’asthénie cutanée féline (ACF), une affection dans laquelle la peau du chat est très fragile, lâche et facilement meurtrie, également appelée syndrome d’Ehlers-Danlos chez l’homme.

“Cela signifie que son corps ne produit pas correctement le collagène. Il ne guérit pas aussi bien qu’il le devrait et cicatrise très facilement”, a déclaré Georgina à Love Meow. Mais cela ne l’a pas empêchée de tomber amoureuse du doux minou. Lorsque Georgina et son fiancé Christopher Lardner ont rencontré Toby, il se recroquevillait dans un coin du refuge, se cachant derrière son meilleur ami, Quinton.

Je les ai vues sur le site Web de la RSPCA et je suis tombée amoureuse instantanément”, a déclaré Georgina. “Quand nous les avons rencontrés, ils étaient tous les deux terrifiés et blottis dans le dos. Toby se cachait derrière Quinton tout le temps, tremblant. Je n’ai même pas pu le toucher car il était tellement effrayé.”

Lorsque l’abri les a accueillis, ils étaient en mauvais état. Quinton a dû se faire enlever toutes ses dents et Toby en a aussi fait extraire quelques-unes. Les deux étaient toujours ensemble à travers vents et marées. Le refuge a immédiatement compris qu’ils avaient besoin l’un de l’autre et devaient être adoptés ensemble. Georgina vit leurs petits visages tristes et sut tout de suite qu’ils étaient ceux avec qui il fallait emmener à la maison et aimer. “Nous prendrons toujours soin d’eux et leur donnerons tout l’amour et la sécurité dont ils ont besoin.”

Ils ont rempli les papiers et les ont officiellement intégrés à leur famille. Au cours des semaines qui ont suivi, Toby s’est réfugié avec son frère dans une cachette de leur nouvelle maison. Nous avons dû les nourrir sous le lit et ils ne sont pas sortis à moins que nous soyons sortis de la maison ou endormis”, a déclaré Georgina à Love Meow. “Finalement, ils ont commencé à nous faire confiance mais c’était lent.” Toby est réconforté par Quinton et le suit partout où il va. Alors que Quinton devenait plus confiant, Toby commencerait à sortir de sa coquille un peu plus.

Finalement, il explorera l’endroit derrière son meilleur ami, son bouclier et son protecteur. Une fois qu’ils se sont rendus compte qu’ils étaient en sécurité et qu’ils n’avaient plus besoin d’avoir peur, ils ont commencé à s’épanouir. “Toby est un garçon si gentil et il accepte tout ce que Quinton veut.” Au fil des jours, Toby se tenait un peu plus grand et se sentait plus à l’aise d’être chez lui. Puis un jour, il a commencé à chercher l’affection de ses humains et a même découvert des câlins. Maintenant, chaque fois que Georgina prépare du café dans la cuisine, Toby arrive en courant, s’étirant pour voir ce que maman fabrique et mendiant pour un festin.

tristesse

Publié à 11:43 par fandeloup Tags : article france sur chevaux cheval soi animal
tristesse

SON ODEUR DÉRANGE LES VOISINS, LE CHEVAL EST CONDAMNÉ À PAÎTRE SUR UNE AUTRE PARCELLE

Depuis 2014, les exploitants d'un gîte se plaignaient du bruit de l'animal et de l'odeur du crottin. Après des années de bataille judiciaire, un compromis a été trouvé.

Après Maurice, le coq de l'Ile de l'Oléron, les cigales à Beausset dans le Var, les abeilles de Pignols dans le Puy-de-Dôme, ou encore les grenouilles en Dordogne, c'est au tour de Sésame le cheval de subir les foudres de ses voisins. Marie et Jean-Paul Zusslin, viticulteurs, pratiquent la biodynamie depuis 1997.

En 2012, ils décident d'aller plus loin et d'utiliser la traction animale dans leurs vignes. Ils achètent Sésame. Mais Marie-Odile Holler et son mari, propriétaires d'un gîte labellisé en 2001 à Orschwihr dans le Haut-Rhin, se plaignaient du bruit de l'animal mais surtout des odeurs de crottin, d'urine et la présence de mouches. À tel point qu'une procédure judiciaire est lancée en 2014. Une tentative de conciliation a eu lieu en 2017, sans succès

 En juillet 2018, le tribunal d'instance de Guebwiller donne raison aux propriétaires du cheval. "La présence de chevaux en nombre très limité (…) dans un environnement semi-rural et semi-urbain ne saurait être considérée comme anormal", affirme le tribunal. Mais les exploitants du gîte font appel. Distance de 15 mètres A lire aussi Ces troubles anormaux du voisinage qui peuvent être sanctionnés On ne se plaint pas d'un trouble de voisinage... si on n'est pas soi-même irréprochable Le 13 janvier, la cour d'appel de Colmar statue sur un trouble anormal du voisinage.

Mais pour contenter les deux parties, elle ne demande pas aux propriétaires de Sésame de se séparer du cheval. La cour a préféré suivre la solution proposée par Marie Zusslin, à savoir un éloignement à une distance de 15 mètres. Sésame devra donc paître dans une autre parcelle. À France 3 – Régions, Marie-Odile Holler affirme que c'est "une satisfaction pleine", car outre l'éloignement, la cour a également demandé aux propriétaires de Sésame de ramasser le crottin.

"S'ils l'avaient ramassé dès le début, comme il nous semble normal de le faire dans un village, on n'en serait pas arrivés là". Par ailleurs, Marie et Jean-Paul Zusslin doivent verser 2.000 euros de dommages et intérêts. Les exploitants du gîte réclamaient 5.000 euros.