Fandeloup

Tout y est ! L'harmonie parfaite...

Au moins ces enfants savent qu’ils ne sont pas adoptés. C’est naturel que les enfants ressemblent à leurs parents. Rien n’est plus fort que les liens du sang. Les gènes transcendent les gé

nérations et se mélangent. Mais parfois la similarité est tellement frappante que l’on a du mal à croire que ce sont deux personnes différentes. C’est surprenant, surtout la dernière !

Père et fils

C,est dans la simplicité des choses que la vie aime se manifester et apporter des réponses , ne cherche pas , les réponses viendront d'elles même...

Au moins ces enfants savent qu’ils ne sont pas adoptés. C’est naturel que les enfants ressemblent à leurs parents.

Rien n’est plus fort que les liens du sang. Les gènes transcendent les générations et se mélangent. Mais parfois la similarité est tellement frappante que l’on a du mal à croire que ce sont deux personnes différentes. C’est surprenant, surtout la dernière !

Père et fils

Ne cherche pas à comprendre pourquoi cette cage t'entoure.... cherche plutôt le moyen de t en libérer

Au moins ces enfants savent qu’ils ne sont pas adoptés.  

C’est naturel que les enfants ressemblent à leurs parents. Rien n’est plus fort que les liens du sang. Les gènes transcendent les générations et se mélangent. Mais parfois la similarité est tellement frappante que l’on a du mal à croire que ce sont deux personnes différentes. C’est surprenant, surtout la dernière !

Père et fils

Je deviens cette eau limpide , je deviens ce vent qui berce , je deviens cette lumière qui brille , je suis Un avec le Grand Tout

Elle est enceinte de jumeaux mais les docteurs découvrent une chose étrange à l’échographie.

Une grossesse particulièrement difficile attend l’Américaine Lisa Hansen : elle n’est pas seulement enceinte de jumeaux, mais les médecins ont découvert que ses bébés étaient “mono-mono”. Cela signifie qu’ils partagent le même placenta et la même poche amniotique.

Ce genre de grossesse est extrêmement rare mais aussi dangereux. Le gynécologue obstétricien de Lisa n’a jamais eu affaire à ce cas auparavant mais assure qu’il est prêt à accompagner la jeune femme tout au long de sa grossesse.

La mère n’est pas la seule à être en danger : 50% des grossesse monochoriales monoamniotiques se terminent par le décès d’un ou des deux nourrissons. Pour cette raison, Lisa a dû rester à l’hôpital à partir du cinquième mois afin que sa grossesse soit toujours sous surveillance.

La jeune mère est très mal à l’aise mais ses amis, sa famille et son époux attentionné l’aident et lui apportent tout le soutien dont elle a besoin. Même après quelque 30 échographies, les médecins ne sont toujours pas certains du sexe des bébés. En revanche, ils ont vu que l’un des cordons ombilicaux était enroulé autour du cou de l’un des foetus. Si les docteurs n’interviennent pas rapidement, le bébé peut mourir par asphyxie.

Lisa espérait pouvoir accoucher naturellement, mais la césarienne est inévitable et plus sûre pour la maman et les bébés. Son mari la soutient dans son choix et essaye de lui donner toute la force dont elle aura besoin avant l’opération, qui n’est pas sans risque. Mais heureusement, l’opération est un succès.

La courageuse mère a réussi à surmonter tout le stress de la situation et les bébés, River et Piper, sont nés en bonne santé. Les deux fillettes prématurées ont toutefois dû passer leurs six premières semaines de vie dans l’unité de soin intensif de l’hôpital avant de pouvoir rejoindre leurs parents à la maison. Après 14 semaines passées à l’hôpital, Lisa a pu rentrer chez elle avec ses deux enfants aux bras.

Les jumelles sont inséparables et on dirait qu’elles le seront pour toujours. Voici une vidéo (en anglais) de la venue au monde riche en émotions de ces deux adorables bébés : Chaque naissance est une expérience extraordinaire, mais ces parents ont deux fois plus de raisons d’avoir des étoiles plein les yeux. Il est clair que ces jumelles seront unies par un lien très fort.

Félicitations aux Hansen pour ces deux petites merveilles qui sont un véritable cadeau!

Sois attentif au chant des oiseaux , au vent qui danse à travers les branches , c'est l'hymne à la vie !

Santé : les premiers ratés du tiers payant

Les femmes enceintes et les personnes souffrant d’affections longue durée peuvent voir leur acte automatiquement enregistré en tiers payant alors même que le médecin leur a facturé. Résultat : le patient n’est pas remboursé.

Depuis le 1er juillet, deux catégories de patients risquent de ne pas être remboursés de leur consultation. En cause, un nouveau réglage du logiciel qui gère la carte Vitale. Attention, risque de non-remboursement pour les patients en affection longue durée (ALD) ou les femmes enceintes.

Le 1er juillet dernier, la loi Santé a en effet étendu le bénéfice du tiers payant à ces deux catégories de patients pris en charge à 100 % par l'Assurance maladie. Depuis, les médecins qui le souhaitent peuvent proposer à ces patients de ne pas avancer les frais. Ils facturent alors la consultation « en tiers payant » et c'est l'Assurance maladie qui leur règle directement les honoraires.

Un dispositif mal engagé, car les médecins y sont majoritairement hostiles. Et si cette « possibilité » deviendra un droit au 1er janvier 2017, les médecins viennent de découvrir une curieuse anomalie dans leur logiciel de facturation qui anticipe cette échéance, créant au passage des couacs.

« Vendredi soir en faisant le décompte de ma journée, je me suis rendu compte que j'avais trois chèques en trop, raconte le docteur Gilles Urbejtel, généraliste à Mantes-la-Ville (Yvelines). En vérifiant sur mon logiciel, j'ai vu que trois patients en ALD avaient été automatiquement facturés en tiers payant, alors que je leur avais fait régler la consultation. Si je ne m'en étais pas rendu compte, ils n'auraient pas été remboursés et moi j'aurais été payé deux fois. Là, je vais leur rendre leur chèque mais si j'avais été réglé en carte bancaire, cela aurait été plus compliqué. »

Santé : les premiers ratés du tiers payant

«L'Assurance maladie a pris des libertés avec la loi de façon masquée, sans communiquer»

CLAUDE LEICHER, PRÉSIDENT DU SYNDICAT MG FRANCE Depuis vendredi, Gilles Urbejtel a constaté que quatre confrères étaient concernés. Et les forums sur internet commencent à se faire l'écho de protestations.

« Ce problème va toucher tous les médecins, s'inquiète Claude Leicher, président du syndicat MG France. Car si des modifications des logiciels ont été faites, c'est à la demande du GIE Sesame-Vital, dirigé par l'Assurance maladie. Cette dernière a pris des libertés avec la loi de façon masquée, sans communiquer, c'est scandaleux. » L'Assurance maladie admet avoir « anticipé » l'échéance de janvier 2017 et avoir demandé une modification des logiciels. Ceci, dit-elle, afin de « faciliter la pratique du tiers payant » et « d'éviter de multiplier les versions » du logiciel, en soulignant que la procédure automatisée est « débrayable manuellement ».

Les médecins, eux, ont le sentiment d'avoir été « piégés ».