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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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danger

Publié à 16:13 par fandeloup Tags : enfants
danger

Attention à ce geste dangereux : Voici la raison pour laquelle il ne faut jamais tirer le bras de votre enfant

Les enfants adorent ce jeu un peu brutal parfois, l’avion!: on les tire par les bras et hop !c ‘est l’accident : une fracture du poignet ou la subluxation du coude !

Cet incident est très fréquent avant l’âge de 6 ans car le os de l’avant- bras ne sont pas encore ossifiés ; donc quand on tire sur le bras de l’enfant un peu brutalement ,ou quand on le tire par le poignet vers le haut, on risque de provoquer une fracture du poignet ou la subluxation(pronation) du coude.

L’enfant ne peut plus bouger son bras qui est douloureux. Dans ce cas- là il faut directement consulter votre médecin ou aller aux urgences pédiatriques.

Pour éviter cet accident :

- Ne tirez pas votre enfant par la main ou par le bras, ne le soulevez pas, ne le balancez pas et ne le faites pas tourner en le le tenant par les poignets ou les mains (jeu de l’avion)

- Quand vous le soulevez pour traverser un obstacle (trottoir ou flaque d’eau) prenez-le sous les bras et non par les poignets.

- Si votre enfant vous échappe en traversant la rue, retenez –le par l’épaule ou le haut du bras, et non par la main ou le poignet.



s'adapter

Publié à 15:47 par fandeloup Tags : animal nature
s'adapter

L'animal s'adapte à la nature. L'humain exige de la nature qu'elle s'adapte à lui.



garder

Publié à 15:29 par fandeloup
garder

Garder mes repères, rester dans mon univers, côtoyer ceux qui le peuplent.



accepter

Publié à 15:12 par fandeloup Tags : soi image
accepter

Accepter de laisser entrer en soi la beauté, fermer les yeux pour fixer une image, un moment parfaits, c'est inventer une machine à voyager dans le temps et dans l'espace. Une fois qu'on a vécu cette expérience, on la recherche à jamais, comme le chercheur d'or qui trouve une pépite dans la rivière et remonte ensuite le cours de l'eau inlassablement, jusqu'à en trouver une autre. Mais la beauté est toujours neuve, c'est son signe. Elle ne se répète jamais.



voyage

Publié à 14:49 par fandeloup Tags : vie monde amour voyage
voyage

Les gens vrais ...

        Accord harmonieux, douce mélodie qui résonne à tes oreilles, sonorité parfaite ... ceux qui te font connaitre la valeur de l'instant.

Les faux ..

       fausses notes, vacarme assourdissant qui t'envahit l'âme, volonté de nuire... ceux qu'on perçoit du premier regard. Ceux qu'on détecte d'un coup de baguette.

Changer ce monde, baguette magique, contre l'obscurantisme oter les masques, voyage solitaire qui t'apprendra la patience, que toute chose vient à point que la vie est un voyage sans retour, qui se fait seul, et qui s'apparente au maniement de la baguette de sorcier.

Promenades paisibles ou cheminement escarpé paisibles vallées ou ornières infréquentables, sortilège caché au bout duquel tu trouveras une oasis faite de paix et d'amour, douce promenade préférée à l'excursion sans fin, celle qui nous ramène à notre maison familière



oublier

Publié à 14:07 par fandeloup Tags : coeur oiseaux
oublier

Oublie les petites rides qui naissent dans les soucis. Prends le temps d'écouter les oiseaux chanter sous la pluie. Et la brise légère siffloter dans les branches des cerisiers. Prends le temps d'ouvrir ton coeur pour oublier les peurs et les rancoeurs .



temps

Publié à 13:39 par fandeloup Tags : livre
temps

Prends le temps de vivre et d'ouvrir les pages d'un livre. De te raconter des histoires devant ton miroir



loup

Publié à 13:29 par fandeloup Tags : france mort mode cadre nature afrique bande pouvoir chiens rouge patrimoine
loup

Le loup va-t-il disparaître de France ? Son statut d'espèce protégée est menacé

LE PLUS. Le récent "Plan Loup 2013-2017" du gouvernement est loin de faire l'unanimité dans le camp des protecteurs des canidés. Ils se battent pour une meilleure cohabitation entre les loups et les hommes.

C'est aussi ce que souhaite Muriel Fusi, juriste. Elle s'explique. Le loup, qui occupait 90% du territoire au XVIIIème siècle, a totalement disparu de France en tant qu’espèce reproductrice entre 1930 et 1936.

Après plus d’un demi-siècle d’absence, un couple de loups venu d’Italie est aperçu en France en 1992 dans la zone centrale du parc du Mercantour (Alpes-Maritimes).

La lente recolonisation par le canidé de l’est du territoire français, puis du massif central et des Pyrénées, était amorcée. Aujourd’hui la population de loups, venus spontanément d’Espagne et d’Italie, est évaluée à 250 individus.

Ce qui n’est pas sans susciter des heurts avec les éleveurs, mais la protection de l’espèce reste en tout état de cause une obligation juridique et politique pour la France.

Le pays est en effet signataire de la convention de Berne ratifiée par la France le 31 décembre 1989, et lié par la "Directive Habitats" qui donna au loup le statut "d’espèce d’intérêt communautaire prioritaire" devant être protégée (transposée aux articles L.411-1 ; L.411-2 ; R.411-1 à 14 du code de l’environnement).

Stop à l'abattage des loups

Ces instruments communautaires et internationaux, s’ils établissent la protection de l’espèce "canis lupus", admettent des possibilités d’intervention que l’État français utilise plus que largement pour autoriser des tirs dans le cadre du Plan loup.

Ainsi le récent Plan Loup 2013-2017(dénoncé par les défenseurs de la nature) a doublé le maximum de loups abattables par rapport au précédent en le portant à 24 loups, chiffre qui représente tout de même 10% de la population de loups estimée en France.

Protéger l’espèce ne signifie donc pas sauvegarder tous les individus de cette espèce, c’est le moins que l’on puisse dire. Or plus le loup progresse en France et plus les autorités préfectorales tendent à abuser de la latitude que leur offrent les textes. Ainsi au 9 décembre 2013, presque 400 tirs de loups avaient été ordo

nnés en France dont une quarantaine de tirs de prélèvement, et plus de 350 tirs de défense, sur une population estimée à 250 individus seulement. Les associations de protection de la nature (ASPAS, LPO, FERUS, FNE etc), ont donc pris l’habitude d’attaquer ces arrêtés autorisant l’abattage des loups pour faire respecter le droit (le même phénomène existe avec les chasses illégales aux requins).

Mais entre l’entrée en vigueur de ces arrêtés illégaux et leur suspension, des loups sont bien souvent abattus. On déplore particulièrement la mort de femelles allaitantes dont les petits meurent de faim.

Une crise de tirs qui atteint les politiques Les tirs de prélèvement sont accusés d’être inefficaces si les troupeaux restent sans protection, voire même contre-productifs, puisque ne visant pas à défendre les troupeaux mais à réduire les effectifs. Ces tirs sont en fait non sélectifs, et lorsqu’ils touchent un loup alpha, sa mort déstructure la meute, engendre la dispersion des loups et finalement l’augmentation des attaques.

Mais ces centaines d’autorisations de tirs n’ont pas suffi à calmer la grogne des anti-loups. Alors fin septembre 2013, une circulaire du ministère de l’Ecologie est venue autoriser les battues promises par le ministère de l’agriculture aux éleveurs.

Puis en décembre 2013, lors de l’examen du projet de loi intitulé "Agriculture : avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forêt", un amendement a été déposé pour contourner les décisions récentes des tribunaux administratifs qui invalident certaines décisions préfectorales de destruction de loups qui "ouvraient" aux chasseurs la possibilité de tirer le loup en battue.

Le retour des battues est vécu comme une véritable régression par les défenseurs de la nature, en plus d’être en contradiction avec les engagements internationaux de la France et avec les règles qu’elle s’est elle-même fixées dans le "Plan Loup" et les arrêtés interministériels des 15 et 16 mai 2013. Une plainte a d’ailleurs été déposée pour "destruction d’espèce protégée en bande organisée".

Les loups : première victime Face à ces menaces qui se multiplient, les associations soulignent que la sauvegarde du loup n’est pas encore assurée en France (l’espèce est classée "vulnérable" sur la liste rouge de l’UICN) et qu’avant d’envisager toute mesure de tir d’un loup, il faut revoir le mode de pastoralisme : la moitié des attaques a lieu dans les Alpes-Maritimes, qui ne compte qu’une petite minorité des ovins présents dans l’aire de répartition du loup en France.

Mais où des troupeaux, immenses et mal gardés, pâturent dans de vastes terrains escarpés et broussailleux. Ce qui constitue des conditions très favorables aux attaques. Et surtout, il faut protéger les troupeaux : d’après une étude DDAF 2004 citée par la FNE, en Savoie 72% des brebis, dont la mort est attribuée aux loups, sont issues de troupeaux non protégés.

4% seulement sont issues de troupeaux bien protégés. Un avis que ne partagent pas les éleveurs, qui ne savent plus faire face à la prédation du loup. Car après 60 ans d’absence, les troupeaux ne sont plus gardés.

Mais ce qui a été oublié peut être réappris. L’ASPAS et FERUS rappellent d’ailleurs qu’en Italie (1.000 loups) et en Espagne (3.000 loups), les troupeaux sont protégés efficacement.

Ce qui fonctionne pour des milliers de loups doit donc pouvoir fonctionner pour les 250 loups français. Des mesures pour protéger les troupeaux ... et les loups On sait par exemple que les causes principales des attaques sont l’absence de parcage nocturne des troupeaux (90% des attaques), l’absence de gardiennage, l’absence de chiens de protection et l’effectif des troupeaux (les gros troupeaux sont les plus d’attaqués).

Sachant cela, dès le retour des loups en France, des mesures de protection du cheptel domestique, ovin et caprin, ont été proposées aux éleveurs par des programmes européens et nationaux. Ces mesures sont prises en charge au moins à 80% au travers d’aides au gardiennage (embauche d’un aide-berger), au regroupement nocturne du troupeau dans des parcs électrifiés, à l’achat et à l’entretien de chiens de protection.

De plus, l’Etat ne fait pas que financer l’achat et l’installation de clôtures électriques, il indemnise également toutes les victimes de prédation pour lesquelles la responsabilité du loup n’est pas exclue. Néanmoins, l’impact du loup sur le cheptel domestique ne doit pas être surestimé.

Le loup ne représente qu’une infime proportion de la mortalité des troupeaux (4.913 bêtes tuées en 2011, d’après le "Plan Loup" 2013-2017 p.8) et les pertes liées aux loups restent faibles en comparaison des 400.000 à 500.000 brebis de réforme que les éleveurs envoient à l’équarrissage pour diverses raisons, dont la maladie, et des 100.000 moutons et chèvres victimes de chiens divagants.

Les Français sont attachés aux loups En dépit des alternatives et des aides de l’Etat, certains éleveurs et chasseurs seront toujours convaincus que la cohabitation est impossible et qu’il faut tuer les loups jusqu’au dernier. Ils sont encouragés dans cette idée par des élus démagogues et des syndicats pour lesquels le loup a bon dos.

Le loup "bouc-émissaire" fait oublier que les pouvoirs publics paraissent impuissants face aux problèmes que rencontre la filière. Les éleveurs souffrent de la concurrence internationale et de la baisse du cours de la viande depuis des années.

Des problèmes qui existeraient de toute façon sans le retour du loup en France . A l’heure où les élevages de montagne ne survivent que grâce aux subventions publiques, les souhaits des contribuables, qui participent ainsi à l’essentiel de leurs revenus, doivent être pris en compte.

Justement, un sondage Ifop publié en septembre dernier a révélé que 80% des Français sont attachés aux loups et ne veulent pas qu’ils disparaissent. Ils estiment que le loup fait partie du patrimoine naturel de notre pays et qu’il doit pouvoir y vivre libre.

Cette majorité silencieuse doit sortir de son mutisme avant qu’il ne soit trop tard, ce qu’elle fait encore trop timidement. Aujourd’hui, alors que le statut d’espèce protégée du loup est menacé, il faut espérer que François Hollande qui vient d’engager la France dans la lutte contre le braconnage en Afrique, entendra les attentes des Français en matière de biodiversité et sera capable de faire preuve d’autant de courage en interne qu’à l’international. Sinon la France pourrait bien connaître une nouvelle extinction du loup.



savoir

Publié à 11:12 par fandeloup Tags : vie monde société mort pouvoir
savoir

Savoir dire adieu : la plus difficile des conversations à avoir avant de mourir

La mort est un passage obligé dans la vie de tous les êtres vivants. Même si on en a conscience, nous, les êtres humains, nous vivons dans une bulle.

Nous nous convainquons du fait que l’on ne quittera jamais ce monde . Cependant, la réalité ne prend pas toujours la tournure que l’on aurait espéré.

Parfois, la vie n’est pas très coopérative. Un jour, notre compagon/compagne peut s’en aller, on peut tomber malade, ou notre meilleur ami peut avoir un accident.

De toutes les situations possibles, la plus compliqué à gérer est celle où on sait que la mort d’un proche est latente. Dans ces moments-là, on se fiche de la raison.

Le vrai choc a lieu avant même que ne se présente l’idée de devoir faire face au processus de la mort, sans qu’aucune alternative ne soit envisageable.

Comment se préparer à dire adieu ?

«Garde tes bons souvenirs pour les mauvais moments, et écoute… Sois l’acteur de ta vie, dis ce que tu ressens, montre ce que tu vaux, rêve des choses auxquelles tu aspires, et n’oublie pas d’apprécier ce que tu as.»

De nos jours, dans cette société dans laquelle nous vivons, on prend rarement du temps pour nous. Peut-être est-ce pour cette raison si les techniques de méditation sont si populaires. En fait, on voudrait vivre sans interruption. Quand vous devez dire adieu à un être cher, il est important que vous preniez du temps pour vous. Isolez-vous, et concentrez-vous sur vous. Donnez-vous le temps de ressentir la tristesse, la colère et la frustration. Passez toutes les étapes nécessaires, et finalement, acceptez que cette personne ne soit plus à vos côtés.

Que ressentez-vous ?

Qu’avez-vous besoin de dire à cette personne ?

Devez-vous vraiment lui dire tout ce que vous pensez ?

Ne vous y trompez pas, ce sera un moment de grande souffrance, mais cela vous donne aussi la possibilité de changer certaines circonstances. Il est important de pleurer, de s’énerver, et d’accepter le changement qui se prépare.

Vous ne devriez vous présenter à l’autre qu’après avoir médité sur la situation. Probablement que la personne sur le point de mourir aura davantage besoin de parler que d’écouter. Donnez-lui du temps, permettez-lui de dire ce qu’elle a besoin de dire, et montrez-lui que vous êtes là pour elle et que vous l’accompagnez.

En revanche, donnez-lui de l’espoir seulement si la réalité le permet. Ne lui donnez pas de faux espoirs en lui faisant miroiter de possibles traitements miraculeux.

Si de telles possibilités existent, alors elles doivent être mentionnées telles qu’elles sont, sans être enjolivées ou exagérées. Aider l’autre personne à accepter sa condition «Après tout, la mort, ce n’est qu’un signe montrant qu’il y a eu de la vie»

Une part très important de cette conversation difficile consiste à s’assurer que la personne comprend sa situation. Voici quelques phrases qui peuvent vous y aider :

Comprends-tu ton diagnostic ?

Quelles sont tes principales inquiétudes ?

Veux-tu faire quelques changements ou arrangements ?

Comment veux-tu occuper ton temps, à partir de maintenant ?

Qui aimerais-tu voir prendre les décisions à ta place quand cela sera nécessaire ?

Cette conversation n’est pas facile, mais il est important d’écouter quelqu’un qui s’apprête à mourir. En lui montrant que son opinion compte pour nous, on lui donne le pouvoir sur sa vie, et c’est une chose à laquelle personne ne doit renoncer.

Si vous ne vous sentez pas capable de rendre le processus plus supportable à l’autre, alors contentez-vous d’être là. La compagnie des êtres chers est très importante.

L’importance de cette conversation

«La mort ne nous vole pas les gens qu’on aime. Au contraire, elle nous les garde et nous les immortalise dans le souvenir.C’est au contraire la vie qui nous vole souvent, et définitivement».

 La plupart d’entre nous cherchons toujours à retarder cette conversation. On essaie de nous convaincre du fait qu’il y a encore du temps, mais il n’en est pas toujours ainsi. Les choses peuvent se produire bien plus rapidement que ce que l’on croit.

Souvent, ceux qui ont préféré éviter cette conversation se sentent mal, ou coupables de ne pas avoir su dire ce qu’ils avaient à dire quand il était encore temps.

Si vous avez peur d’aborder le sujet, alors commencez simplement par écouter ce que la personne a à dire. Peu à peu, vous saurez s’il y a quelque chose que vous aimeriez partager avec elle, ou pas. Certaines de ces conversations peuvent durer quelques minutes, alors que d’autres sont interminables.

Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas obligé de dire ou de faire plus que vous ne le vouliez.



tristesse

Publié à 10:27 par fandeloup Tags : vie homme femme mort histoire amitié animaux chien pouvoir
tristesse

Cet homme sans-abri est mort dans la rue. La réaction de son chien est déchirante.

Le meilleur ami de cet homme sans-abri a été à ses côtés jusqu'à la dernière seconde.

Chaque jour, grâce à quelques pièces qu'il récoltait à côté d'une banque à Oaxaca au Mexique, il achetait de l'eau et de la nourriture pour son fidèle ami à quatre pattes.

Un jour, ce monsieur s'est endormi pour une sieste et ne s'est jamais réveillé. Quand les gens ont remarqué que l'homme ne répondait plus, ils ont appelé les urgences. L'homme était malheureusement décédé.

L'équipe de secouristes a essayé de déplacer le chien pour pouvoir prendre le corps. Mais il a refusé catégoriquement et ne voulait pas s'éloigner de son propriétaire. Finalement, une des infirmières a du contacter un membre d'une association de défense des animaux pour leur venir en aide.

Quand la femme est montée dans l'ambulance, il se leva et se mit à courir derrière. Le chien a du être transporté jusqu'au refuge-clinique à l'avant de l'ambulance, le refuge où il vit encore aujourd'hui dans l'attente d'une nouvelle famille adoptante.

Nous espérons qu'il trouvera rapidement une place dans une famille aimante, loin de la vie de la rue.

Partagez cette histoire unique et touchante. L'histoire d'une grande amitié et d'une fidélité éternelle.



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