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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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ange

Publié à 16:54 par fandeloup Tags : anges
ange

Appel à tous les anges

J'ai besoin d'un signe, pour me dire que tu es là



galgos

Publié à 16:47 par fandeloup Tags : vie chiens chien monde france amis travail mort
galgos

Les Galgos, ces chiens martyrs

Les lévriers espagnols, également appelés Galgos, sont encore aujourd’hui utilisés en Espagne comme chiens de chasse, conformément à une tradition ancestrale.

Mais lorsqu’ils ne sont plus assez efficaces pour la chasse au lièvre, les Galgos sont abandonnés, martyrisés ou tués dans d’atroces souffrances. Chaque fin de saison de chasse en Espagne voit son lot de drames.

Ce sont des milliers de Galgos qui périssent chaque année dès la fin du mois de février, abandonnés, sacrifiés, brûlés vifs, mutilés ou tués par pendaison lente.

Cette maltraitance, profondément choquante à notre époque, est liée à l’orgueil : un chien qui a mal chassé ou qui a rusé déshonore son propriétaire. Cet « affront » doit alors être lavé par le sang, dans une mort lente et douloureuse dont sont victimes ces chiens dès l’âge de 3 ou 4 ans, parfois moins.

Les chiens que leurs « maîtres » ne tuent pas directement finissent dans des fourrières insalubres et surpeuplées où ils seront gazés au bout de 14 jours, période légale d’attente, sans soins et sans avoir été proposés à l’adoption.

Car qui, en Espagne, voudrait d’un chien de chasse incapable de chasser ? Les Galgos sont en effet utilisés exclusivement comme outils de chasse. En faire un chien de compagnie serait impensable dans l’idéologie collective, et nombreux sont les Espagnols choqués de voir qu’un lévrier peut bénéficier du confort d’un canapé ou d’un lit dans nos demeures françaises…

En France, l’utilisation de lévriers dans la chasse est interdite depuis 1844 ; en Espagne, le fait-même de promener un Galgos en laisse dans la rue, c’est prendre le risque de se faire mal voir, de se faire insulter voire même menacer. Le fossé idéologique qui existe entre ces deux pays voisins et amis est donc considérable.

« A l’instar de la corrida, entre autres traditions locales, l’animal est encore trop souvent considéré comme un divertissement, ou dans le cas des Galgos, comme un outil de travail dont on se débarrasse facilement », expliquait au Monde Brigitte Auloy, chargée de mission à l’international pour la Fondation Brigitte Bardot.

La chasse, ce lobby très puissant 190 000 chasseurs espagnols s’adonneraient encore aujourd’hui à ce loisir populaire, toujours très ancré dans les régions rurales.

D’après certaines associations, ce sont près de 50 000 chiens qui en subiraient les conséquences chaque année. Mais faire évoluer les mentalités et la législation dans cet Etat où même le Roi s’affiche librement en tenue de chasse, arme à la main et gibier aux pieds, est bien compliqué.

D’autant plus que la chasse représente un lobby très puissant. Ainsi, en avril 2013, une députée a tenté d’interpeller la Commission européenne au sujet des « tortures infligées aux lévriers », en rédigeant une déclaration dénonçant le non-respect par l’Espagne des textes européens relatifs à la protection animale.

Cette déclaration ne recueillera que 221 signatures sur 766, une majorité étant nécessaire pour transmettre l’initiative. Les associations européennes au secours des Galgos Parce que les Galgos ont pour l’instant peu de chance de connaître une vie meilleure en Espagne, ils sont, pour certains, pris en charge par des associations européennes. En Allemagne, Belgique, ou en France, nombre d’entre elles récupèrent chaque année en Espagne des milliers de Galgos qui seront ensuite proposés à l’adoption sur leur territoire. Brigitte, utilisatrice de dogfidelity.com, fait partie de ces Français sensibles au sort des Galgos.

Elle-même s’est rendue sur place, dans un refuge en Espagne, pour adopter sa chienne Jaïna, aujourd’hui malheureusement décédée après des années de bonheur aux côtés de sa maîtresse. « Jaïna était lâchée, apeurée dans un endroit à l’écart pour notre rencontre », raconte-t-elle.

« Que dire de cette petite chienne blanche apeurée et prostrée au milieu de ses congénères ?

Que dire de ce grand chien de 8 ans dans un état de délabrement mental et physique ? Quelles souffrances ont-il dû subir pour qu’à cet âge-là ils soient dans cet état ?! »

Et de poursuivre : « Je ne savais pas si je devais aller vers elle, ne pas la brusquer… ». Très vite, Jaïna a trouvé refuge dans les bras de Brigitte. « L’alchimie s’est faite comme une évidence », se souvient-elle. Après Jaïna, Brigitte a également adopté son chien Junco que l’association Europe des Lévriers a sauvé.

Avec Junco, Brigitte continue de sensibiliser à la cause des Galgos espagnols et de militer pour leur adoption. Vous aussi, vous pouvez partager votre passion pour les Galgos sur dogfidelity.com en rejoignant le groupe des Amis des Lévriers !



crue

Publié à 15:58 par fandeloup Tags : bleu chez france cadre jeux film
crue

Paris se prépare à la crue du siècle

 Dans les studios de la radio francilienne, l’animateur Laurent Petitguillaume et le journaliste Samuel Aslanoff enregistrent des flashs info simulant une crue majeure de la Seine. 19-21, avenue du Général-Mangin (XVIe), ce lundi.

Dans les studios de la radio francilienne, l’animateur Laurent Petitguillaume et le journaliste Samuel Aslanoff enregistrent des flashs info simulant une crue majeure de la Seine.  « 7,60 m enregistrés ce matin au pont d’Austerlitz : la crue de la Seine se poursuit inexorablement. Les alentours de l’hôpital Georges-Pompidou (XVe) à Paris ont désormais les pieds dans l’eau comme de très nombreuses communes d’Ile-de-France. »

Dans les studios de France Bleu 107.1, ce lundi après-midi, le rédacteur en chef Samuel Aslanoff enchaîne les journaux… et les mauvaises nouvelles. Ça y est : la crue centennale* de la Seine tant redoutée est là. Et la station, «radio de crise majeure » attitrée, a basculé en édition spéciale.

Certes, il ne s’agit, pour l’instant, que de simulations qui seront diffusées du 7 au 18 mars dans le cadre du grand exercice Sequana 2016 (lire ci-dessous), organisé par la préfecture de police. Mais ces faux flashs info, bluffant de réalisme, font froid dans le dos.

La crue de la Seine en 1910. Ici, rue de Lyon (XIIe) (DR.) A mesure que l’eau du fleuve grimpe (50 cm chaque jour), les conséquences s’aggravent dans la région : péniches à la dérive, maisons de retraites et écoles fermées, hôpitaux et usines d’incinération perturbés, tous les réseaux touchés. Via France Bleu, la préfecture de police invite les Franciliens à sortir leurs voitures des souterrains pour les garer dans les bois de Vincennes (XIIe) et de Boulogne (XVIe).

«Vous êtes nombreux à nous signaler des queues devant les distributeurs de billets et les stations-service ainsi que des milliers de rats qui fuient les caves inondées », souligne le journaliste. Clés 30 Mds€. Ce que pourraient coûter les dommages directs d’une crue centennale en Ile-de-France. La croissance économique française serait, en outre, fragilisée et perdrait deux points de PIB. 5 millions. Le nombre de Franciliens (sur 12 millions au total) qui pourraient être sinistrés en cas de crue majeure de la Seine. 830 000 d’entre eux se retrouveraient en zone inondable. 400 000.

Le nombre d’emplois qui pourraient être directement affectés par la crue. 500 km2. La superficie du territoire francilien qui se retrouverait sous les eaux. Le vendredi 11 mars, à la veille du pic de crue, le scénario de crise atteint son paroxysme.

La circulation est très difficile dans toute l’Ile-de-France malgré la gratuité des transports. Et certaines communes du Val-de-Marne sont presque entièrement sous l’eau. Plus aucun train ne peut partir des gares d’Austerlitz (XIIIe), de Lyon (XIIe) et de Bercy (XIIe). Idem pour les TGV à la gare de l’Est.

«150 000 personnes sont par ailleurs privées de courant, 800 000 toujours privées de téléphone fixe et 500 000 personnes n’ont pas de chauffage », égrène Samuel Aslanoff. En régie, Bruno Lenormant délégué à la Défense chez Radio France, insiste sur l’importance de délivrer une information «vérifiée et certifiée » lors des crises où les rumeurs ont tendance à se propager. «Ce type d’exercice a aussi vocation à sensibiliser le grand public à un risque d’inondation auquel personne ne croit, insiste-t-il.

Il y a pourtant dix fois plus de chance de connaître une crue centennale que de subir un incendie dans un établissement recevant du public. » Ironie du sort, le rôle de Bruno Lenormant est aussi de planifier le déménagement de Radio France en cas de crue, ses locaux étant situés sur le front de Seine. Lorsque le fleuve sortira de son lit, les flashes de France Bleu 107.1 devraient donc être émis… depuis la province.

*Crue qui a une chance sur cent de survenir chaque année. La dernière remonte à 1910. Un exercice d’une ampleur inédite Se préparer au mieux lorsque la Seine viendra chatouiller le menton du Zouave du pont de l’Alma.

Du 7 au 18 mars, la préfecture de police de Paris organise, avec le soutien de l’Union européenne, EU Sequana 2016, présenté comme le «premier exercice européen de simulation de crue de la Seine ». Une opération hors normes de gestion de crise qui mobilisera, sur cinq départements, 900 sauveteurs (dont certains viendront d’Italie, d’Espagne, de Belgique et de République tchèque), 150 policiers, 60 véhicules, 4 hélicoptères.

Des manœuvres (évacuation d’une maison de retraite, opération de dépollution, sauvetage d’une péniche…) auront lieu les 12 et 13 mars à Valenton (Val-de-Marne), à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), à Beynes et à Limay (Yvelines) et sur le bassin de la Villette (XIXe). Sequana mobilisera surtout 87 institutions et entreprises (Assistance publique-Hôpitaux de Paris, Banque de France, EDF, SNCF, Orange, Veolia…), qui se sont engagées à «jouer » un scénario de crise.

La RATP va ainsi emmurer des stations de métro pour les protéger de l’eau et les académies de Paris et Versailles testeront notamment leur capacité à assurer la continuité du service public. Le 13 mars, un site d’information grand public sera aménagé sur le Champ-de-Mars (VIIe, face à l’Ecole militaire) de 13 heures à 19 heures. On y trouvera notamment un film en 3D de simulation d’inondation, des ateliers et des jeux pour tester sa vulnérabilité à la crue.



regard

Publié à 14:32 par fandeloup Tags : chat
regard

Quand parfois je plonge dans le regard de mon chat je me dis que dans ses yeux , il y a du loup



bientot

Publié à 11:52 par fandeloup
bientot

Simplement un peu de couleurs dans ce jour blanc.....Comme pour ne pas oublier que le printemps viendra



vérité

Publié à 11:26 par fandeloup Tags : monde
vérité

N'oubliez jamais cette vérité absolue : ce qu'il y a de pire dans ce monde, ce ne sont pas les épreuves, ce sont les injustices



momifier

Publié à 11:01 par fandeloup Tags : photos amis vie anniversaire mort
momifier

Le corps momifié d’un navigateur allemand retrouvé dans son bateau un an après sa mort

Personne n’avait de ses nouvelles depuis un an. Le corps momifié de Manfred Fritz Bajorat, un navigateur allemand de 59 ans, a été retrouvé ce week-end dans son yacht abandonné au large de la côte sud des Philippines, rapporte le "Mail online" ce lundi.

Ce sont deux pêcheurs locaux qui ont fait la macabre découverte. Dans la cabine du navire, inondée par les eaux, se trouvaient des albums photos , des vêtements et des boites de nourritures. Et surtout le cadavre en bon état de conservation de Manfred Fritz Bajorat, installé à une table à proximité de la station de radio, comme s’il avait voulu appeler à l’aide au moment de mourir. Impossible de déterminer, pour le moment, si l’intéressé est décédé à la suite de causes naturelles.

La police tente désormais de retracer les derniers mois de sa vie et une autopsie est en cours. Un des amis du défunt a en tout cas confié au journal "Bild" qu’il n’avait pas eu de ses nouvelles depuis qu’il lui avait parlé, voilà un an, à l’occasion de son anniversaire .



apprendre

Publié à 10:19 par fandeloup
apprendre

Apprendre du passé, ne pas être coincé dedans. Faire de meilleurs choix et aller de l'avant.



caf

Publié à 09:51 par fandeloup Tags : sport pouvoir voiture loisirs mode enfants chez vie rouge
caf

Baisse des allocations familiales : malgré nos 6.200 euros par mois, notre vie va changer Les familles nombreuses et aisées seront les plus touchées par la modulation des allocations familiales, selon une information relayée par "Les Echos". Cette baisse va-t-elle avoir un réel impact sur le quotidien de ces foyers ? Valérie, mère de trois enfants, va voir ses allocations – 295,05 euros par mois – diminuer. Elle nous explique ce que cette modulation va changer pour sa famille.

Professeur des écoles, je suis aussi mère de trois enfants, âgés de 11, 13 et 15 ans.

Mon salaire s’élève à 1.800 euros net par mois, tandis que mon mari, qui est militaire, gagne 4.400 euros.

Avec nos 6.200 euros mensuels, on pourrait croire que notre quotidien est facile. Pourtant, les allocations familiales que nous percevons chaque mois nous sont indispensables.

La modulation de ce montant telle qu’elle est prévue par le gouvernement, va avoir un réel impact sur notre quotidien et cela m’atterre.

Un impact sur la vie de tous les jours Nous percevons 295,05 euros d’allocations familiales par mois, ainsi qu’une majoration de 64,67 euros pour notre aîné, qui a plus de 14 ans.

Cette somme totale de 359,72 euros, nous l’utilisons pour les besoins de nos enfants, que ce soit le matériel scolaire, l’habillement ou encore les activités sportives.

Avec la modulation des allocations familiales, nous allons perdre la moitié de ce montant. Ça peut sembler dérisoire, mais cela va avoir un impact énorme sur notre vie de tous les jours. Nos impôts ne font qu’augmenter : nous payons 500 euros de plus par an, soit 40 euros par mois, et nos salaires ne sont pas revalorisés.

En tant que professeur des écoles, je n'ai pas été augmentée depuis 10 ans ! Ce n'est pas facile tous les jours : notre loyer parisien s'élève à 2.000 euros par mois et nous aidons également ma mère, qui est en maison de retraite.

Pourtant, avec nos 6.200 euros par mois, nous sommes censés avoir un pouvoir d’achat supérieur à la moyenne nationale. Ce n’est pas le cas : nous ne pouvons même pas changer de voiture , alors que la nôtre a déjà 13 ans. Faire attention à toutes les dépenses Nous faisons déjà attention à nos dépenses, car nous sommes dans le rouge de façon chronique.

Qu’est-ce que ce sera quand nos allocations familiales vont diminuer ?

Sur le plan matériel, nous serons obligés de faire attention à tout : nous irons moins faire le marché, nous privilégierons les marques discount et nous éviterons les dépenses qui ne sont pas indispensables, comme les vêtements. Il en sera de même pour les loisirs : plutôt que de louer une maison pour les vacances, nos enfants iront chez leurs grands-parents.

Ils ne pourront pas non plus choisir n’importe quelle activité extrascolaire. Il faut savoir qu’une année d’équitation coûte environ 900 euros ! Ce n’est pas possible pour nous, alors nous choisirons des associations qui proposent des activités à moindres frais. Nous ne pourrons plus nous permettre d’inscrire nos enfants dans des clubs de sport privés !

Une baisse insidieuse La modulation des allocations familiales ne nous fera peut-être pas changer de mode de vie de façon radicale, mais si l’on met bout à bout les sommes que l’on ne percevra plus chaque mois, on voit bien que c’est énorme !

Cette baisse va être insidieuse, car cela nous obligera à rogner légèrement sur tout ce qui constitue notre quotidien. Ce n’est pas encourageant et on finit par se sentir étranglé. C’est donc un sentiment d’injustice qui prédomine : bien que l’on travaille tous les deux, notre pouvoir d’achat est en constante baisse. Et le gouvernement ne fait rien pour nous aider.

Ne plus taxer les classes moyennes La modulation des allocations familiales va dans la lignée de la politique d’austérité qui a été mise en place. Le problème, c’est que l’on s’attaque toujours aux classes moyennes.

Pourquoi ne pas taxer les plus gros salaires ?

Ces baisses sont trop lourdes pour nos épaules et c’est regrettable. Malheureusement, je ne serais pas surprise si nos allocations familiales baissaient encore : les politiques sont bien loin des réalités. Pour prendre des décisions adaptées, il faudrait qu’ils viennent sur le terrain et qu’ils constatent par eux-mêmes que le quotidien des classes moyennes n’est pas toujours évident.



regard

Publié à 09:18 par fandeloup Tags : monde
regard

Notre unique obligation morale, c'est de défricher en nous-mêmes de vastes clairières de paix et de les étendre de proche en proche, jusqu'à ce que cette paix irradie vers les autres. Et plus il y a de paix dans les êtres, plus il y en aura aussi dans ce monde en ébullition



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