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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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besoin

Publié à 08:00 par fandeloup
besoin

Tu n'as pas besoin de croire au miracles pour qu'ils existent , sois simplement confiante ,lâche prise, il viendra.....



bonne nuit

Publié à 19:13 par fandeloup Tags : bonne nuit bonne nuit

l’homme qui a arrêté le désert

Publié à 19:07 par fandeloup Tags : vie chez amis mort divers enfant oiseaux
l’homme qui a arrêté le désert

Yacouba Sawadogo, l’homme qui a arrêté le désert,«Les gens pensaient que j’étais fou».

Surnommé « l’homme qui a arrêté le désert », Yacouba Swadogo, un paysan burkinabé, a remis, au goût du jour, une méthode culturale ancestrale permettant aux agriculteurs de ralentir l’envahissement de leurs maigres superficies de terres fertiles par le désert.

Appelée Zaï, la technique consiste à déposer du fumier et du compost dans des trous creusés dans le sol au cours de l’ensemencement.

Attirées par les matières organiques enfouies dans le sol, les termites du genre Trinervitermes creusent, jusqu’à la surface, des galeries qui permettront l’infiltration de l’eau et la formation de poches d’eau en profondeur.

Ces réserves qui s’évaporent plus lentement seront utilisées par les plantes entre deux pluies. Réintroduite en 1974, la méthode a très vite donné des résultats probants. Dès les premières pluies, les rendements se sont multipliés par quatre.

Encouragé par ce succès, Yacouba sawadogo a, aidé de Ali Ouédraogo, un autre cultivateur, amélioré la technique en plantant des arbres; ce qui a amélioré la rétention de l’eau dans le sol. « Les gens pensaient que j’étais fou quand j’avais commencé à planter ces arbres. Ce n’est qu’aujourd’hui qu’ils se rendent compte de l’avantage de la forêt », raconte-t-il à Rue 89.

Depuis, l’homme sillonne tout le pays pour initier les agriculteurs à cette méthode. « J’aimerais que les gens aient le courage de se développer à partir de leurs racines.», confie-t-il.Le Zaï a permis aux agriculteurs burkinabés de hausser leurs revenus, freiner l’exode rural et renforcer le processus d’autosuffisance alimentaire du pays.

On compte plus de 3 millions d’hectares reboisés depuis la réintroduction de cette technique séculaire. 8 pays du Sahel font désormais appel à l’expertise de Yacouba Sawadogo pour lutter contre la désertification. Dans les petits trous creusés dans le sol latéritique stérile, les agriculteurs mettent de la matière organique qui attire les termites. Celles-ci creusent de petites galeries dans le sol et améliorent la structure du sol, de sorte que l’eau peut s’y infiltrer et être conservée.

En digérant la matière organique, les termites rendent les nutriments plus facilement disponibles aux racines des plantes. Yacouba Sawadogo, l’homme qui a fait reverdir le désert au BURKINA FASO, vit dans un village au nord du pays.

Un Cheikh, alors qu’il était encore enfant, lui avait prédit un grand avenir. Adolescent, il avait ouvert un petit commerce qui, avec les années était devenu florissant, mais l’a abandonné pour retourner à son village..

Sécheresse, 1/4 des paysans ont quitté le village, il a alors compris qu’il avait un rôle à jouer. Il était sur le point de faire une découverte qui allait changer sa vie : le « zaï », petits trous dans la terre desséchée, son idée : faire des trous plus grands, et les garnir de fumier et de compost qui retiennent mieux l’eau. Allant contre l’avis de la coutume qui interdisait de pratiquer le Zaï avant la saison sèche..

Il s’est opposé à cette coutume stupide, et a fait de bonnes récoltes, il a ainsi pu nourrir ses anciens amis d’enfance, qui mouraient de faim du fait de leurs mauvaises récoltes dues à la sécheresse, mais les chefs de clans ont malgré cela, voulu l’empêcher de pratiquer le Zaï.

Il a aussi fait construire des murets de cailloux qui ralentissent le ruissellement gardant ainsi plus d’eau dans la terre. Il a eu l’idée, et a pris l’initiative de s’aider des termites qui d’instinct savent conserver l’eau.. :

« Dans les petits trous creusés dans le sol latéritique stérile, les agriculteurs mettent de la matière organique qui attire les termites. Celles-ci creusent de petites galeries dans le sol et améliorent la structure du sol, de sorte que l’eau peut s’y infiltrer et être conservée. En digérant la matière organique, les termites rendent les nutriments plus facilement disponibles aux racines des plantes ».

Il a ajouté des tas de méthodes « personnelles » à celles qui étaient traditionnelles, surtout la pratique de la plantation des arbres, importante pour la pluie, car les forets attirant la pluie, et préservant la faune sauvage, les oiseaux, et une grande quantité d’espèces de végétaux divers, qui combattent le désert, viennent y vivre et s’y reproduire, s’y implanter à demeure.

Il s’élève contre l’exploitation des arbres, qui le désole, surtout le non remplacement des arbres coupés par une replantation équivalente. Sa pire opposition est venue des gens du pays, qui, ne comprenant pas la portée de ses méthodes différentes des traditions, ont été jusqu’à incendier ses cultures..

Il était alors parti en ville et a vu de très loin l’incendie de ses 4 hectares de plantes. Sans se décourager, pressentant que s’il était si combattu, c’est qu’il devait avoir raison, et fort de cette conviction, il a choisi de persévérer et a décidé d’augmenter la surface de ses champs, et par la suite, s’apercevant que ses cultures prospéraient, les agriculteurs se sont mis à pratiquer son « Zaï » amélioré, et tous ont dû convenir qu’ils s’en étaient bien trouvés.

Il reçoit maintenant beaucoup de visiteurs, et véritable enseignant, leur délivre ses conseils de plantation. Sa réserve de graines a permis à beaucoup de gens de survivre à la sécheresse.. Beaucoup de gens avaient émigré vers les villes.. Par la technique du « Zaï », la terre est redevenue fertile et depuis 1985, n’ayant plus connu de famine, les gens n’ont plus quitté la région, et beaucoup de ceux qui étaient partis lors des sécheresses sont revenus s’y installer.

Le « Zaï » amélioré de Yacouba Sawadogo a permi le développement de la région, ayant assuré leur subsistance, amélioré la sécurité alimentaire des familles, les habitants peuvent ainsi espérer voir progresser leur existence. Un projet immobilier est venu compromettre cette réussite agricole, qui est pourtant une véritable « résurrection » écologique, un bornage effectué par les fonctionnaires d’état compromet tout l’avenir, des lotissements doivent remplacer 80% des terres de Yacouba Sawadogo ainsi que celles de beaucoup d’autres agriculteurs.. Invité à New York par une ONG, il expose ses méthodes d’agriculture et l’espoir qu’elles suscitent… dîne avec l’ambassadeur du BURKINA FASO aux USA… dont il obtient une aide précieuse, la pire partie du projet, celle visant à détruire sa forêt, qui est de fait sa réussite la plus visible, est abandonnée..

Plus tard, de retour chez lui, Yacouba Sawadogo réalisera que les prédictions du Cheikh à son sujet se sont réalisées.. et que son exemple et son œuvre pourront être poursuivis, même après sa mort.



saisies de chiens

Publié à 17:55 par fandeloup Tags : photo 2010 argent internet animaux animal carte chien livre chiens homme
saisies de chiens

Graulhet. Il vendait des chiens dangereux sur internet

La vigilance et le flair du gendarme Moreau ont permis de démanteler un trafic de vente de chiens dangereux.

C'est grâce au flair d'une gendarme qu'un Graulhétois s'est vu confisquer ses 7 chiennes et chiots American Staf. Depuis plusieurs mois l'individu, qui habite un appartement en centre ville, avait trouvé le moyen de se faire de l'argent en revendant, par l'intermédiaire d'annonces sur internet, les chiots issus de portées de ses deux chiennes reproductrices de race American Staffordshire Terrier.

Toutefois il ne possédait aucune autorisation et n'avait fait aucune déclaration de son activité, ni aux services de l'état, ni en mairie. Au prix de 850 € par chiot, le filon aurait pu être intéressant. Mais c'était sans compter sur la vigilance de la gendarme Moreau de la BTA de Graulhet, spécialement qualifiée pour la détection de ce type d'infraction.

Le jeune homme, âgé de 20 ans, a été laissé en liberté avec dans sa poche plusieurs procès verbaux, dont l'un pour détention d'animaux dangereux sans autorisation. Il répondra des faits qui lui sont reprochés le 18 février devant le tribunal de Castres.

Quant aux chiots, en attendant une décision de la justice, ils ont trouvé refuge dans un chenil.

13 saisies de chiens dangereux «Depuis le 1er août 2011, nous avons réalisé 13 saisies de chiens suite au non respect des obligations permettant la détention de ces animaux et notamment pour des personnes connues de la justice.

Pour la seule commune de Graulhet , ce sont 42 permis de détention qui ont été délivrés suite aux déclarations ou régularisations demandées par nos services ou la mairie. Il ne faut pas perdre de vue que les sanctions sont réelles lorsque les différentes obligations ne sont pas respectées.

Cela peut aller de la confiscation temporaire ou définitive de l'animal, le paiement d'une amende de 150 à 15000€ voire même une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 6 mois si la détention est irrégulière», précise le lieutenant Bertrand Collot, commandant la brigade autonome de Graulhet.

Sur les 13 chiens saisis, 4 ont du être euthanasiés en raison de leur dangerosité. Une réglementation très précise Les propriétaires de chiens potentiellement dangereux doivent se soumettre à des obligations.

Les chiens classés en 1re catégorie :American Staffordshire terrier (dits pit-bulls), Mastiff (boerbulls ), Tosa, sont interdits à la vente depuis 2010. La stérilisation et un permis de détention sont obligatoires pour ceux qui en détiendraient avant cette date.

Les chiens de 2e catégorie : American Staffordshire terrier, Rottweiler, Tosa et les non-inscrits à un livre généalogique reconnu par le ministère en charge de l'agriculture et qui peuvent être rapprochés morphologiquement des chiens de la race Rottweiler. Le propriétaire doit obtenir un permis de détention délivré à un majeur (non condamné) par la mairie du lieu de domicile nécessitant.

Autres papiers nécessaires : une carte d'identification de l'animal, un rapport d'évaluation comportementale, une attestation d'aptitude délivrée après le suivi d'une formation spécifique, un certificat de stérilisation (uniquement pour les chiens de 1re catégorie), une attestation spéciale d'assurance responsabilité civile en cours de validité, un certificat de vaccination antirabique en cours de validité. Les accès aux lieux publics en dehors de la voie publique sont interdits. Le chien doit être en laisse, muselé et tenu par une personne majeure.



soleil

Publié à 16:29 par fandeloup
soleil

Capturer le soleil n'est pas une mince affaire



univers

Publié à 16:17 par fandeloup
univers

Quand tu fais appel à l'univers et que tu écoutes sagement .... Tout devient facile et merveilleux....



rip

Publié à 15:54 par fandeloup
rip

Parce que bon... voilà quoi .On est à deux doigts de faire une pétition là !



interdiction

Publié à 15:43 par fandeloup Tags : photo bonne chez france argent internet animal chien sport animaux
interdiction

Depuis le 1er janvier Vente d’animaux interdite pour les particuliers : fini l'argent facile !

Un particulier n’a plus le droit de vendre un animal sans être déclaré, posséder une capacité d’éleveur et exercer dans des locaux répondant à des critères précis. C’est tolérance zéro. La SPA a déjà récupéré une portée devenue légalement invendable.

Ces chiots récupérés par la SPA de Thionville valaient plus de 800 € chacun avant le 1 er janvier. Mais, faute d’être déclaré éleveur, le propriétaire n’a plus le droit d’en faire commerce.

Vendre un chien peut rapporter gros. Enfin, pouvait… Depuis le 1er janvier ce "business" risque surtout de coûter très cher : 7 500 € !

C’est le montant de l’amende désormais encourue par un particulier qui s’aventure dans le commerce d’animaux. En France, l’élevage à domicile est un sport national qui a engendré de sévères dérives. Ce marché pèse 1,5 milliard d’euros, selon le ministère de l’Agriculture, mais 80 % de l’activité se ferait hors de toute structure officielle, échappant ainsi à tout contrôle aussi bien fiscal que vétérinaire.

Un arrêté ministériel vient de sonner le glas de ces élevages clandestins en imposant à toute personne souhaitant monnayer un animal de se déclarer préalablement auprès de la chambre d’agriculture, d’obtenir sa capacité d’éleveur (un examen après deux jours de formation) et de disposer de locaux conformes. L’avantage est multiple, car il s’agit d’assurer la santé et le bien-être animal, mais aussi de garantir la traçabilité des individus et d’organiser un meilleur suivi de l’évolution des races et des lignées.

Au passage, cela permet aussi de limiter une concurrence déloyale pour les professionnels, et d’engranger quelques taxes, tout en luttant contre les abandons. C’est une vraie bonne nouvelle pour les associations de protection des animaux . Les propriétaires appellent la SPA Le refuge SPA de Thionville se trouve directement concerné par ces nouvelles dispositions.

Nombre d’abandons se font après une vente mal négociée, mal réfléchie, ou inadaptée, réalisée de la main à la main sans autres formalités. La modification de la réglementation permet d’espérer un changement dans les pratiques, en obligeant à se soucier davantage du devenir de l’animal, et pas uniquement d’en faire une source de revenus.

Lundi dernier, une portée de huit chiots cane corso âgés de 2 mois a été récupérée chez un propriétaire. Non déclaré en tant qu’éleveur, il ne pouvait plus les vendre sans se retrouver de facto en infraction, alors que des chiots de cette race sont régulièrement proposés à plus de 800 € par petites annonces. Il a préféré les confier à des gens dont c’est le métier.

« Nous avons aussi reçu l’appel d’une dame qui a cinq bichons et qui ne souhaite pas s’engager dans des démarches administratives, donc elle n’a pas d’autre solution que de les donner », poursuit Jennifer Megna, responsable du refuge thionvillois.

Elle est loin de mettre tous les propriétaires dans le même sac, mais les dérives souvent constatées, ne serait-ce qu’en lisant les offres sur internet, ont achevé de la convaincre de l’urgence de la situation. Traque des annonces sur les sites internet .Un gros ménage doit se faire sur les sites internet, où le vendeur doit impérativement inscrire son numéro de référencement.

La SPA va redoubler de vigilance et traquer les annonces suspectes pour les signaler à sa cellule nationale anti-trafic et à la direction des services vétérinaires.

Jennifer Megna est confiante sur l’efficacité : « L es dossiers sont suivis. » Sa conclusion ne souffre d’aucune hésitation : « I l faut se mettre en règle … Au moins, chez nous il y aura un suivi à partir d’un contrat d’adoption, et si cela ne se passe pas bien nous avons le droit de reprendre l’animal. C’est une garantie. »

Autant pour le vendeur, que l’acheteur et pour l’animal. Les huit petits cane corso, trois mâles et cinq femelles, vont passer chez le vétérinaire pour recevoir leur primo vaccination, leur puce d’identification électronique ainsi que leur certificat de bonne santé et même leur passeport européen.

Une fois toutes ces formalités obligatoires remplies, ils seront prêts à l’adoption. Un particulier n’a plus le droit de vendre un animal sans être déclaré, posséder une capacité d’éleveur et exercer dans des locaux répondant à des critères précis. C’est tolérance zéro.



impensable

Publié à 14:41 par fandeloup Tags : homme amis mort histoire revenu
impensable

Russie : «mort», il se réveille à la morgue et repart faire la fête

Un Russe a été déclaré mort avant de se réveiller à la morgue. Il est ensuite reparti faire la fête. Un Russe a été déclaré mort avant de se réveiller à la morgue. Il est ensuite reparti faire la fête.

C'est une histoire peu commune que vient de vivre un Russe. L'homme, qui vit à Khasanky dans l'est du pays, est «mort» d'un coma ethylique, selon les constations d'un médecin, après une soirée arrosée entre amis.

Comme le racontait il y a plusieurs jours le DailyMirror, il est emmené à la morgue après un rapide examen médical. Mais surprise : il finit par... se réveiller !

Le chef de la police explique à un journal local «que l'homme s'est mis debout, ne comprenant pas où il était». Les médecins finissent par le laisser repartir. L'homme, revenu d'outre-tombe, est parti retrouver ses amis là où il les avait laissés. Ces derniers étaient en train de boire un verre en sa mémoire.



humour

Publié à 11:29 par fandeloup Tags : humour
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